Une de ses mains tenait mon sexe pendant que l’autre s’approchait discrètement par derrière de mon anus, mais sur le coup, je ne remarquai rien, je pensai que c’était pour mieux me tenir. S’ensuivent alors quelques coups de langue bien placés qui me firent frétiller à chaque fois un peu plus. Maman mouilla bien mon sexe avec sa salive, puis tenta de mettre ma bite au plus profond de sa gorge. Elle eut d’abord du mal, elle prit alors ma main et la déposa sur sa tête afin que j’appuie. Après quelques tentatives, maman réussit enfin à aller jusqu’au bout de mon pénis. Je restai quelques secondes comme ça d’intense plaisir avec mes mains autour de sa tête. Elle faisait sortir sa langue qui arrivait alors à me lécher les couilles. Puis n’ayant plus d’air, elle voulu reculer mais c’était tellement bon que je l’en empêchai :
— Encore un peu C’est trop bon !
Je commençai alors un va-et-vient dans sa gorge. Ma mère appuyait contre mes cuisses pour se libérer, mais je sentais que j’allais venir :
— Oh, s’il te plait encore un peu ! Je vais jouir !
A chaque mouvement de mon engin dans sa gorge, cela produisait un petit son comme si ma mère s’étranglait. L’orgasme arriva. Je sentais mes testicules se contracter pour envoyer la sauce. Je me déversais en longs jets dans la gorge de maman, qui n’avait plus respiré depuis 2 minutes au moins. C’était trop bon de sentir mon gland frappait le fond de sa gorge. Cette sensation était vraiment particulière. Je libérais maman qui pu enfin reprendre son souffle. Elle respirait très fort, son maquillage avait dégouliné sous ses yeux, elle avait quelques filets de sperme et de salive sur le menton. Je pouvais voir son cur battre fort dans sa poitrine. Je me demandai alors si je n’avais pas été trop loin, je m’excusai :
— Désolé C’était trop bon, je voulais trop jouir encore une fois !
Lorsqu’elle eut reprit son souffle, elle me répondit :
— Ca c’était de la pipe hein !
— Oui. Tu ne m’en veux pas d’avoir forcé ?
— Non, carrément pas. Et bien j’ai l’habitude avec ton père. L’important c’est que tu aies bien joui, mon chéri.
Elle s’approcha de moi, et commença à me lécher mon sexe qui était devenu mou.
— Ca m’étonnerait que je bande de si tôt ! Dis-je. Vu comment j’ai joui.
— Tu sais, un pénis reste un pénis. Il suffit lui dire les mots magiques !
Elle s’approcha de mon oreille et me susurra :
— Ca te dirait qu’on continue dans ma chambre et que tu me bourres ma petite chatte rasée et serrée comme tu n’en as jamais bourré d’autres ? Puis tu pourrais aussi enfoncer ton engin au plus profond de mon cul. Tous mes trous sont à toi !
Maman savait vraiment comment s’y prendre, en entendant ces mots le sang affluait de nouveau dans mon corps caverneux.
Nous sommes donc allés dans la chambre de mes parents. Sur leur grand lit, nous aurions toute la place pour baiser encore et encore. D’autant plus que j’étais d’aplomb avec ce que ma mère m’avait dit. Elle me fit m’allonger, après m’être déshabillé. Puis elle se déshabilla devant moi, tout en dansant comme le faisaient les strip-teaseuses.
— Pas mal pour une femme de 40 ans hein ?
— Tu es superbe, maman ! Chaque jour tu t’embellis davantage.
Sa petite danse finie, elle vint sur le lit et s’approcha de mon pénis. Elle le suça quelques instants afin de le lubrifier puis elle se monta sur moi. Tout de suite, je sentis un plaisir immense m’envahir. Et ce n’était rien à côté de ce que devait ressentir ma mère. Je pouvais sentir son utérus toucher mon gland. D’ailleurs, elle ne fit pas tout de suite des mouvements verticaux. Elle tournait d’abord sur mon sexe, comme on fait bouger ses hanches pour faire un hula hoop, pour bien sentir mon pénis en elle. C’était exquis, je m’allongeais confortablement et profitai de ce moment. Maman commença alors ses va-et-vient.
— Ton vagin est parfait maman. Il dirait qu’il veut engloutir ma bite.
— Il va te pomper toute ta semence tu vas voir.
Nous sommes restés dans cette position quelques minutes, mais étant sur le point d’éjaculer je voulu m’accorder une petite pause en changeant de position. Je fis coucher ma mère et la pris en missionnaire. J’avais une vue parfaite sur son pubis rasé, son clitoris qui ressortait très légèrement. D’ailleurs, tout en la pénétrant, mon pouce jouait avec son clitoris. Elle devenait dingue, elle prenait son pied. Cela se voyait par la quantité impressionnante de cyprine qu’elle produisait. Mon autre main touchait sa paire de seins, puis son ventre ou son visage d’ange. Ma mère est d’habitude magnifique mais elle l’était d’autant plus lorsqu’elle jouissait. Après quelques minutes, je me sentais encore une fois venir. Mais je ne voulais pas m’arrêter.
— Je vais éjaculer !
— Oui, vas-y, mon chéri, donne tout ce que t’as à ta maman !
— Oh, maman, c’est si bon ! Je t’aime !
— Je t’aime aussi !
Elle se cabra sur ses derniers mots, je sentais son vagin se crisper contre ma bite signifiant qu’elle avait atteint un énième orgasme. Je jouis à mon tour en répandant ma semence au plus profond que je pouvais. J’espérais même inconsciemment que j’éjaculais à l’intérieur de son utérus même.
— Ton sperme est bouillant ! Me dit-elle. J’adore ça !
Je restai quelques minutes ainsi, puis me retirai. Une grosse quantité de sperme s’écoula de son sexe. Elle se doigta et goûta ce mélange de cyprine et de sperme. Maman était exténuée. Moi aussi, mais mon envie de lui faire l’amour ne cessait pas au fil des orgasmes. Je me branlais pour ne pas perdre mon érection.
— Je veux ton cul maintenant.
— Maintenant ?
— Oui, maintenant !
OK me dit elle puis elle se positionna de sorte à m’offrir son cul. Il avait l’air si bon que je ne pu m’empêcher de le lécher.
— Défouraille le bien, mon amour.
D’un coup, je la pénètre sévèrement, elle laisse même échappé un cri de douleur.
— Oh putain Ca faisait quelques temps que je l’avais plus prise dans le cul !
— Désolé, mais c’est toi qui a dit de
— Oui, ne t’inquiète pas mon chéri. Vas-y, fais du bien à ta maman.
Sur ce je commence un mouvement lent mais profond, je vais jusqu’au maximum que je peux. Son anus est encore plus serré que sa chatte, ça fait un bien fou. A sec comme ça, j’ai un peu de mal à la pénétrer, je crache donc dans le but d’aider ma bite à glisser. J’adore faire sortir ma bite entièrement et puis la lui remettre. Ma mère n’a plus du tout mal maintenant, la douleur a laissé place à un plaisir intense. Elle me demande d’accélérer, je m’exécute. Bientôt ma paire de testicules frappe sur sa peau.
— Ah ! Je vais me déverser une dernière fois dans tes entrailles, maman.
— Oh oui, vas-y mon chéri, c’est bon ! Oui ! Oui ! Oui !
Je répandais quatre jets de sperme dans le côlon de maman. Je me demandais comment je pouvais encore avoir du sperme après avoir autant baisé. En sortant de son cul, ma bite était rouge.
— Elle n’en peut plus la pauvre, plaisanta ma mère, je vais lui faire une dernière douceur pour la calmer.
Je m’allongeais et maman commença à me sucer, le goût et l’odeur d’une bite qui sort d’un cul, aussi beau soit il, ne devait pas être très agréable mais ma mère avait l’air de se régaler. Mais petit à petit, je sentais la langue de maman descendre doucement vers mon anus. Elle lécha d’abord mes testicules, puis le muscle situé entre celles-ci et mon trou et enfin elle passa son premier coup de langue dessus. C’était exquis. Il faut savoir que l’anus a beaucoup de nerfs, ce qui le rend presque aussi sensible que le gland. Les coups de langue se firent de plus en plus grand et de plus en plus profond, jusqu’à un point où on aurait dit que ma mère me bouffait le cul, tout en me massant les couilles. La saliva le lubrifia et c’est naturellement qu’il s’ouvrit. Ma mère en profita pour y glisser dans un premier temps un doigt, puis enfin un deuxième.
— Ca se voit que tu as fort joui, toi ! Je sens ta prostate et elle est très grosse !
Le massage qu’elle lui faisait était une sensation divine. A un point même que sans m’y attendre, j’eus un orgasme. Mais cette fois, il était beaucoup plus puissant que les autres, alors que la quantité de sperme déversée, elle, était faible. Mon anus se contractait donc sur les doigts de maman, la sensation de plaisir remontait même jusqu’au plexus solaire. L’orgasme dura plus longtemps que les autres fois. Ma mère sortit ses doigts et à ma surprise les suça. Elle me regardait avec un air d’une petite fille innocente.
— C’était bon mon chéri ?
Je restai là, couché dans le lit, ma mère vint se blottir contre moi. Je jouais avec son mamelon tout en regardant en l’air, puis je dis :
— Est-ce qu’on le refera ?
— C’est fort probable. Je pourrais te dire que non, que ce que nous avons fait est considéré comme mal pour certaines personnes et qu’il vaudrait mieux ne plus jamais le refaire, mais je sais que la tentation sera trop grande. Chaque jour, on se regardera dans les yeux avec ce désir brûlant au fond de nous. Et je mets ma main à couper qu’on craquerait au bout d’une semaine, on baiserait trois fois par jour tout le mois suivant pour compenser notre manque !
Je souriais.
— Et papa dans tout ça ?
— On verra ça plus tard Pour l’instant, refais moi l’amour
Ce fut ma première fois avec ma mère. Il y eut tant d’autres fois, toutes aussi bonnes les unes que les autres, que je ne sais pas laquelle vous raconter.
La suite de ce qui se passe dans notre fabuleuse famille au prochain chapitre !