Histoires de sexe mobiles Histoires tabous

Marlyse – Chapitre 5




Chapitre 5

La préparation du pentathlon du sexe incestueux.

Après démenti avec succès leurs réputations de cougne-pet invétéré, Jacques à fait la connaissance de Gustave qui était un peu dans la même situation queux, à la différence que pour lui tout seul, il avait 3 à 4 femmes qui réclamaient ses faveurs. Il était aussi à lÉcole Polytechnique Fédérale de Lausanne, en micro technique, une année plus avancée queux. Ce ne fut pas simple de voir les points de convergence entre eux, on ne crie pas sur les toits : je baise ma mère.

Ils y sont arrivés tout naturellement dans une autre soirée où Louis était invité et que Gustave était avec deux de ses compagnes, sa mère et une doctoresse sexologue.

Ne pouvant pas les faire danser simultanément, Gustave lui a demandé de les faire danser, ne voulant pas les laisser faire le banc ou que quelquun se mêle. Gustave qui fit la première danse avec sa mère avait une telle attitude que l’on pouvait difficilement croire que c’était sa mère.

Pendant la danse, Louis qui tenait Thérèse la doctoresse ne peut s’empêcher de remarquer :

— Cela me rappelle nos vacances dans le Jura avec un ami et sa mère. On a vraiment été très très proche quand elle a appris que son mari la trompait avec la mère de mon ami.

— Ainsi, il a consommé l’inceste ?

— Je ne peux faire une confession que sous le secret médical, affirme Louis qui se dit quil a été un peu trop loin dans ses explications.

— N’aie donc pas peur, je vais te faire une confidence, sa mère et moi on baise à trois avec son fils.

— Ouah ! Cest pas vrai ! Nous on a mis nos mères en compétition et souvent on fait linverse, on les baise à deux.

— Toi aussi tu es dans linceste ?

— Après avoir consommé et surconsommé pendant les vacances, en rentrant, Jacques mon ami et moi, sommes rentré, où ladultère a été constaté et on a laissé le père de Jacques reconduire son épouse à la maison, épouse, provisoirement hors service. Alors pendant la nuit, avec ma mère, on lui a aussi fait le grand jeu, un devant et l’autre derrière. Depuis ce temps, ma mère ou la sienne viennent alternativement tenir notre appartement et contenir nos débordements.

— Intéressant, il faudra qu’on fasse plus ample connaissance, je vais en parler à Gustave lors de la prochaine danse.

À la danse suivante, les couples s’échangent et Thérèse se retrouve dans les bras de Gustave et l’affranchit de la situation alors que Louis, commence à discuter avec Nelly.

— Ne vous fâchez pas, mais Thérèse m’a affranchi que vous êtes dans une situation d’inceste avec Gustave.

— Quelle mauvaise langue!, Répond Nelly très énervée.

— Ne vous fâchez pas, parce que je suis dans la même situation que Gustave ainsi que mon ami Louis. Je pensais quon pouvait faire plus profondément connaissance.

— Je mexcuse, mais cela ne devait pas sortir d’un certain cercle bien restreint d’amis, mais là, c’est une surprise, évidemment que ce serait bien de faire plus ample connaissance et plus si entente.

— Qu’est-ce que vous diriez d’une soirée commune, chez nous ou chez vous ?

— C’est une bonne idée, à la fin de la danse, on va en discuter. Il faudra encore voir avec vos mères et votre copain.

— Je ne pense pas que cela devrait poser problème, ils sont toujours partants pour de telles combines.

— En attendant, quand je danse avec vous, je constate que tu as du répondant, minaude-t-elle, en lui caressant le devant du pantalon. Je me réjouis que l’on fasse plus ample connaissance.

— Gustave n’est pas jaloux ?

— Pour lui, tout est bon dans les cochons et les cochonnes. Mais il manquait un peu de copains comme vous. C’est très bien.

Là-dessus la danse se termine dignement et les danseurs rentrent à la table.

— On a plus ou moins décidé avec Louis de l’on allait élargir nos cercles de connaissances intimes. Il faut encore décider quand et où !

Louis, subitement a une idée :

— On pourrait faire le pentathlon du sexe incestueux. C’est pas encore une discipline olympique, mais je viens d’avoir cette idée. Qu’en pensez-vous ?

— Ce qui veut dire que j’en suis exclue minaude Thérèse.

— Surtout pas, rétorque Louis, on a besoin d’un arbitre et assistant.

— Comment tu vois la chose, lui demande Gustave.

— On pourrait imaginer des épreuves, liées au sexe, mais dans l’esprit du pentathlon. Par exemple :

* On baise avec sa mère simultanément, sans préparation pour que les conditions soient semblables pour tous. Le dernier à jouir a gagné la première épreuve.

* Pour la deuxième par exemple, ce sont les mères qui vont être à la bourre, avec la bouche seulement, la première qui arrive à faire rejaillir son enfant a gagné cette manche.

— J’aurai bien encore une autre idée liée au clitoris, mais c’est pas évident de mettre en avant les qualités de brouteur de gazon.

— Pour ton information, déclare Gustave, Thérèse m’a demandé de développer un clitomètre, instrument destiné à mesurer la dimension du clitoris.

— Selon mes informations, en moyenne, il mesure 11 cm, mais ce que l’on voit, ce n’est que lextrémité. Il faudrait que Thérèse en fixe les modalités.

— Cela fait trois disciplines, pour une suivante, je pensais à commencer à sec chez les mères et le fils qui réussit à lui faire produire le plus de cyprine seulement en excitant la poitrine, ce serait peut-être pas mal.

— Finalement, quelque chose qui se rapproche du saut hauteur, les 3 mamans branlent leurs rejetons et celui qui gicle le plus haut a gagné. Tous les moyens sont bons dans cette dernière discipline, doigter la prostate, serrage des pruneaux, pas ceux d’Agen,

— Pour la dernière épreuve, pour le moment, je sèche un peu en imagination.

— J’ai une idée, dit Gustave, mais c’est un peu triché, vu mon membre, c’est après un enculage, 5 secondes après la sortie, mesure du diamètre résiduel par photo.

— Voilà, on y est, il ne reste plus qu’à fixer où est quand, il faut tenir compte des périodes menstruelles éventuelles. On se recontacte pour une fois tous les renseignements pris.

À ce moment-là, Nelly intervient :

— C’est intéressant, mais complètement débile. Un peu plus on pourrait faire venir la télé Japonaise. Ils sont friands de ce genre de dérapage.

— Mais Maman, on ne dérape pas, si on farte bien le pertuis.

— Je proposerais le prochain week-end, annonce Thérèse chez Gustave. Il y a plus d’installations adéquates je suppose.

— Je suis d’accord, mais au préalable, je proposerais chez nous une soirée pour faire connaissance des participants. Disons mercredi soir.

Le mercredi soir, toute la tribu de Gustave arrive, Thérèse, la maîtresse en titre, Nelly, sa mère, Florida la mère de son enfant et son fils qui vient d’avoir une année.

Il faut dire que Marlyse avait prévu large et demandé de grosses rations au traiteur, y compris un agneau qui cuisait entier sur la terrasse suspendus avec un chauffage à gaz. C’était un des copains algériens qui suivaient les mêmes cours que Gustave en micro-mécanique et qui avait fait une exception en faisant plutôt de la tôlerie.

— Pour le repas, pour s’habituer entre nous, je proposerais que cela se passe nus, propose Jacques qui se dit plus y il en a, mieux c’est.

— Oui, pourquoi pas, mais pour éviter de l’espionnage, il faut descendre les jalousies, mon copain qui est détective privé, m’a averti que mon mari avait chargé un concurrent de ses amis, d’accumuler les preuves contre moi. Il lui avait demandé de l’aider. Alors ne tentons pas le diable.

— J’espère que mon mari n’a pas eu la même idée. Réplique Malyse. J’ai pas pensé à passer l’appartement au peigne fin pour voir si il n’y a pas éventuellement des micros ou caméras planqués.

— En premier, on passe tout au peigne fin déclare Gustave. On contrôle toutes les lampes, bouquet de fleurs, dessus d’armoires et dessous.

Après une demi-heure de recherche, effectivement, ils découvrent un joli petit micro avec un enregistreur associé.

— Je le prends et je vais demander au directeur de l’agence Viet-pas-con son avis, je suis restée en bon contact avec eux.

— Bon maintenant que l’appartement est scanné, on se sent un peu plus libre. Mais j’y pense, il faudra qu’on procède au même dans ton appartement pour le pentathlon.

— Je lui demanderai de faire le nécessaire, annonce Nelly.

C’est ainsi que pour une fois, on fait des échanges de partenaires et les deux genevois ont envie de connaître les belles Neuchâteloises (Il parait que si on les monte ou remonte bien, elles sont toujours à l’heure) . Jacques se met à côté de Nelly et lui fait compliment sur sa beauté et lui avoue qu’il aime les femmes mûres plutôt que les fruits verts.

— Je vois que du point de vue équipement, tu es en concurrence sévère avec mon fils. Cela me fait plaisir, j’aime bien les grosses.

— Moi j’aime les blondes authentiques qui aiment baiser.

— Alors on va s’entendre et s’étendre après le repas, ma chatte a faim d’une belle queue

Un peu plus loin, Louis joue au baby-sitter avec Florida, ne sachant pas qu’il avait affaire à une vrai vide couilles diplômée.

— Il est bien mignon votre fils, il vous ressemble, vous êtes séparée du père, car je ne le vois pas ?

— Si, il est bien là, c’est Gustave qui me l’a fait il y a bientôt deux ans à la foire de Bâle.

— Ouah ! Il a de la chance, un si joli fils. Dit-il en passant la main sur la tête du nourrisson. Il s’appelle comment ?

— George-Kevin.

— Et il en a de la chance le bambin d’avoir une si jolie maman.

— C’est le nouveau plan drague ? Dit-elle en souriant.

— Non c’est sincère, avec Jacques, on a des penchants pour les dames qui ont déjà un peu vécu.

— Cela tombe bien, moi c’est pour les jeunes délurés. J’aime sentir leur vigueur et la puissance de leur sexe.

En se rapprochant du garçon, elle lui passe la main où il ne faut pas et lui fait compliment :

— Je constate que c’est vrai et que tu es plein de désir, à mon égard ?

— Évidemment, qui d’autre attire mon attention dans les environs ? Je salive déjà en pensant toutes les cochonneries qu’on va faire.

— Brigand, tu es en train de mettre à feu et à sang mon nécessaire de camping, j’ai la chatte qui me démange singulièrement.

— Si on trouvait un coin discret, affaire de se faire du bien en baissant la tension et en baisant.

— Viens dans la chambre d’ami, je crois qu’elle est libre.

Se tenant par la main, enfin c’est ce que j’ai vu, mais il parait que Florida le tenait pas son appendice caudal, ils entrent dans la chambre qu’il croyait libre, mais la chambre n’est pas libre, Gustave, plus rapide est déjà en train de faire apprécier son mât à Marlyse qui couine comme une folle alors que Génie lui lèche les seins.

— Il est rapide mon Gustave s’émerveille Florida.

— C’est vrai, mais ce n’est pas ce qui fait mon beurre et ma crème risque de tourner si elle n’est pas consommée rapidement.

— Qu’à cela ne tienne répond-elle en dégoupillant la braguette de Louis et en sortant un braquemart bien érigé

— Belle colonne, qui fera bien mon entremets, laisse-moi déguster ce magnifique cervelas.

Sans transition comme disait PPDA, elle tombe à genou en adoration lécheuse devant le magnifique steak prêt à la consommation. Elle commence à agacer l’extrémité du goupillon, insinuant sa langue dans le petit trou qui orne le sommet, créant un tremblement chez son partenaire.

— Hum c’est bon, j’aime, c’est une spécialité de la Chaud-de-fond ?

— Non pas de la Chaud-de-fond, mais du Locle. Répond-elle en enfournant tout l’objet de ses désirs dans sa bouche.

— Ah ! Tu pourrais être citoyenne de Genève sans problème, tu as vraiment une très grande gueule. (on prétend que les Genevois sont les grandes gueules de la Suisse romande, comme les Zurichois sont les grandes gueules suisse-allemande)

— C’est pour mieux te sucer répond cette émule du grand méchant loup dans le petit chaperon rouge. Mes amygdales ont besoin d’un petit rafraîchissement de peinture. Tu peux lâcher quand tu veux, j’ai une faim de louve.

Comme je le disais tout à l’heure, Louis ne sait pas qu’il a affaire à une vide couilles diplômée du Pod (Pod, rue principale de la Chaux de Fond), il ne peut résister longtemps à l’appel du vide et s’épanche joyeusement dans la gorge de Florida qui déguste avant l’heure du dessert cette crème de couille qui n’a rien à voir avec la crème brûlée, ni la crème anglaise qui est parsemée de confitures rouges.

— Voilà, cela va mieux dit Louis en rangeant son artillerie. Je me sens un peu soulagé.

— Toi oui, mais moi, ma minette crie famine comme la cigale qui avait chanté tout l’été. Tu ne vas pas jouer à la fourmi.

— T’inquiète, ôte les remparts et j’investis la place, en attendant que le bélier reprenne la forme, je vais te faire un cours de langue. Je pratique couramment le clitolingus, l’anulingus et le broute-minou, n’en déplaise le Vatican, mais j’adore m’abreuver à la fontaine de Trévise.

. Je vois que tu as une vaste culture, il ne te reste qu’à la mettre en pratique.

S’agenouillant devant Florida, il colle sa bouche en mode aspirateur à cyprine sur le sexe velu qui se présente.

— J’ai toujours dit que les huîtres portugaises l’emportaient sur les Belons affirme Louis, la figure barbouillée du bon jus, mais par contre, elles sont toujours plus difficiles à ouvrir. C’est joli d’avoir une forêt amazonienne entre les jambes, mais les interstices inter dentaires sont vite obstrués.

— Ne disserte pas tellement et bouffe, broute, lèche, je n’ai pas pris mon pied, encore un petit effort.

C’est alors que faisant un détour, Louis, proche de la défaite prend l’ennemi à revers et lui plante le pouce au milieu des troupes adverses, il investit le capitole et finalement le bélier étant prêt, il dégage la cavalerie et force la porte de service et de sévices d’un mouvement conquérant.

— Aïe, tu me casses le cul, mais continue, c’est super bon, le mélange de la douleur et du plaisir, mais ne te dépêche pas trop.

— Je sens bien ton boyau, il est très accueillant, j’espère pouvoir durer indéfiniment jusqu’à ce que tu rendes les armes.

Assis sur le lit à côté, leurs petites affaires terminées, Gustave et Marlyse commentent la scène. Gustave :

— Il va avoir de la peine à la finir, elle aime tellement ça qu’elle prend souvent le chemin buissonnier et on peut s’épuiser à la bourrer elle ne décolle pas.

— Tu ne veux pas lui aider en la prenant par-devant ? Peut-être qu’elle n’arrivera pas à se retenir, ce serait bien, je commence à avoir la dalle, même si ta crème de pruneaux est très savoureuse, j’aimerai bien du concret pour mon estomac.

— Oui, je vais aider la manuvre, je sais qu’elle résiste difficilement à mon arbre sans came. (par opposition à l’arbre à cames dans la technique automobile)

C’est ainsi que se sentant assiégée de tout coté, Marlyse lui léchouillant encore les seins, Florida se sentit partir dans un orgasme gigantesque, jamais elle n’avait été investie si sérieusement.

A ce moment là, arrive Thérèse avec un drôle d’appareil, le clitomètre :

— Je vais faire les essais préliminaires de mesure du clitoris. Florida montre-moi ta moule.

… C’est pas évident avec ce fouillis que tu as entre les cuisses.

… Voilà, on peut le définir comme saillant de 1 pouce 1/4 et toi Marlyse, on peut faire l’essai.

— Oui, mais cela fait un moment qu’il est au repos.

— Cela ne fait rien, cela donne un autre calibrage. Voilà, 3/4 de pouce. Louis, tu ne lui remettrais pas un petit coup de langue pour le faire dresser pour voir la différence.

— Oui, certainement, mais j’aimerai bien aussi mesurer le tien, avant et après.

— Plus on a de données, plus c’est fiable. Je t’expliquerai quand tu auras ravivé le bouton d’amour de Marlyse.

— Voila, c’est un peu moins compliqué qu’avec Florida avec sa forêt. Tu places l’appareil en face du clito et tu appuies jusquà ce que le cadran ici indique la pression nécessaire, soit 45 pascals et tu vises l’extrémité du clito avec cette oculaire. Regarde à quoi cela ressemble. Ensuite tu lis sur le curseur la longueur émergente.

— Comme je participe que comme sparring-partner, je ne vais pas sacrifier ma forêt pour des mesures qui ne m’apportent pas grand-chose. Réplique Florida.

— Thérèse, mets-toi en place que je puisse prendre la première mesure. Voilà, au repos, un 1/4 de pouce. Maintenant je vais essayer de le faire grandir. Enfin pas essayer, mais le faire grandir.

— Aspire pas si fort, lèche, c’est moins pénible.

— Tu es très sensible du bouton ?

— Oui, cela fait vite mal et à ce moment, il se rétracte encore plus qu’au repos au début, il faut le traiter avec douceur chez moi, mais après, tu peux y aller plus fort. Voilà, je pense qu’il doit être bien sorti.

— 1 pouce et demi, belle extension. Commente Louis.

Marlyse :

-Si on passait à table, la crème de pruneaux ou l’eau de la fontaine de Trévise, cela ne conforte pas. J’ai faim du sérieux.

Related posts

Voyage au Mexique – Chapitre 3

historiesexe

Dans ton bureau – Chapitre 1

historiesexe

Mes Maris – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .