Je la regarde sans rien dire, elle a les yeux gonflés, sa bouche tremble, je vois qu’elle se force à dire ça et je veux savoir pourquoi, en tout cas c’est en train de m’exciter terriblement et je veux savoir jusqu’où je peux aller, je lui dis:
"Tu sais pas de quoi tu parles, de toute façon je peux pas te faire confiance, je pense que je vais y aller." Je me lève, elle attrape mon bras pour m’empêcher de partir, en la regardant je vois qu’elle a peur, elle a peur que je la laisse, intéressant.
"S’il te plaît? Je suis dans la merde, je suis dehors, je ferai tout ce que tu veux tant que je serai chez toi, promis." Après le coup qu’elle m’a fait je n’ai aucun scrupule à profiter de la situation. Je me rassois à côté d’elle sur la banquette.
"Ok, je vais te tester un peu avant d’y aller, écarte les jambes." Elle ouvre ses jambes à peine de 20°."Tu te fous de ma gueule? Quand je te dis d’ouvrir les jambes, c’est à fond, compris salope?" Elle me balance un coup d’oeil de travers et ne bouge pas.
"J’en étais sûr, je lui dis, allez casse toi je veux plus te voir."
Encore une fois elle a l’air terrifié quand je menace de partir, je ne sais pas pourquoi mais j’ai bien l’intention d’en profiter, elle me rattrape encore une fois et écarte tellement ses jambes que sa jupe remonte jusqu’à sa culotte, en bonne salope elle porte toujours un mini-string qui ne cache que sa chatte entièrement épilée, je vois la ficelle posée sur son trou du cul et ça me donne une gaule instantanée, je me pose sur une fesse et met mon doigt à l’entrée de son cul qu’elle n’a jamais voulu ouvrir. Je, la sens retenir sa respiration mais elle ne dit rien, je force sa petite colerette avec mon majeur, même mon doigt a du mal à entrer, son cul est vraiment vierge.
J’appuie de toutes mes forces pour lui mettre mon doigt dans le cul, je la sens se raidir:"Quoi? T’as un truc à dire salope, si t’es pas contente tu te casses sinon tu supportes compris?"
Elle me regarde et je vois qu’elle a les larmes aux yeux:" Vas y fais ce que tu veux, je dirais rien sauf si tu me le demandes." La situation me rend dingue, j’ai envie de l’humilier, de la mettre plus bas que terre. Je rajoute un doigt et lui enfonce mon majeur et mon index dans le cul sans ménagement, puis je lui mets devant la bouche, elle n’hésite qu’une seconde et les prends en bouche je lui enfonce le plus loin possible dans la gorge, elle râle et tousse un peu.
"T’aimes pas ça salope? Mais dis toi que c’est rien ça, tu vas être ma pute, mon vide-couilles, ma poupée gonflable, tu comprends ça pétasse?" Les larmes coulent à flot maintenant et j’ai encore plus envie de lui faire mal, de me venger de cette chienne.Et là je l’entends me dire:
"Je suis ta pute, ton esclave sexuel, je ferai tout ce que tu veux mais seulement si tu m’aides." Je la lève de force et je l’entraîne aux toilettes avec moi, elles sont crades mais je m’en fous, je n’ai qu’une idée en tête, je la met en levrette debout, je la force à écarter les jambes qui sont vite tremblantes et je pose mon gland sur son trou du cul:"Demande moi de t’enculer sale pute." Mais elle ne dit rien, elle est tétanisée, alors je lui appuie ma queue bien à fond pour forcer le passage, je veux lui faire mal, je sens une résistance et d’un coup ma bite passe la porte, je sens son cul qui s’ouvre et là je me déchaîne, je lui rentre de force toute ma bite dans le cul, elle crie de douleur mais je suis sans pitié et je lui ravage le cul:"Alors sale pute, ça fait quoi de se faire enculer? C’est bon une bonne queue bien dure dans le fion hein?"
Elle gémit de douleur, je lui défonce tellement le cul qu’elle n’arrive pas à parler. D’un coup on frappe à la porte et une voix masculine dit:"Vous pourriez faire ça ailleurs quand même."
Je remballe le matériel et je sors en laissant Mylène dedans, le gars est gros, suant, mais je vois que son pantalon est déformé par une bosse énorme, je lui parle:"Tu veux lui mettre dans le cul? Elle dira rien, t’as 3 sec pour te décider." Le gars ne réfléchit même pas et entre avec moi dans le cabinet qui est un peu exigüe mais on tient, là il sort sa queue et avant même que j’ai pût dire quoi que ce soit il commence à enfiler le tout petit cul de Mylène, sa bite est énorme, 25 cm, large comme mon poignet, Mylène comprend vite qu’elle a intérêt à s’offrir si elle ne veut pas souffrir et elle se cambre au max, du coup le gars arrive à lui mettre sa bite presque en entier, elle ouvre la bouche pour crier mais je lui plante ma queue dans la bouche en forçant sa gorge.
Voir la bite démesurée de ce grand gros qui défonce le petit trou de Mylène me rend dingue et je bande comme un taureau ma queue n’est pas petite non plus et violer sa gorge la fait baver pas mal, le gars continue à lui perforer le cul sans dire un mot, le visage de Mylène est couvert de larmes de sueur et de salive, je la vois qui souffre et c’est un grand pied pour moi, je sens que je vais partir, je lui cale mon membre bien au fond de sa gorge et je lui balance de grandes giclées de foutre dans l’oesophage, elle ne peut pas faire autrement que tout avaler.
"C’est bien, t’es une bonne pute, maintenant tu vas vider monsieur." Je la tire par les cheveux pour la faire se retourner alors que le mec continuait à lui pilonner l’arrière-train sans relâche, son trou de balle ressemble à une pièce de 2 euros tellement il est ouvert, elle est à moitié catatonique et n’obéit à mes impulsions que machinalement ce qui fait que lorsque je lui colle les lèvres sur le gland du monstre elle ouvre le bec comme un oiseau et le gars complètement dans un autre monde essaye de lui baiser la bouche mais il ne rentre même pas la moitié, en revanche ça suffit pour le faire exploser et il couvre le visage et les cheveux de Mylène de sperme, il se rhabille toujours sans rien dire et en oublie même qu’il était là pour autre chose.
Elle se rhabille et me traite de salaud, je lui met une baffe bien appuyée et lui explique que si elle vient chez moi ce qu’elle vient de vivre sera de la rigolade, et si elle accepte je sais que j’aurai une pute soumise prête à tout à ma disposition