Depuis la soirée torride que Valérie à passé au club, elle ne rate pas une occasion de rappeler ses intentions érotiques
-Alors mon chéri, dit-elle, toujours pas décidé.
-Tu tiens vraiment à me faire prendre par Ralhid, dis-je, tu veux que je devienne pédé.
-C’est le plus beau cadeau que tu puisse me faire. Une femme aime voir son mari soumis à son amant.
-Bon, bien que çà me coute, on va réfléchir à une date.
-Mais c’est tout réfléchi mon amour, répond-elle.
-C’est à dire, que je lui demande.
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, que deux gros bras me prennent par la taille. Un sourire éclaire le visage de ma femme. J’essaie de me débattre, mais ne peut rien devant la force de cet homme.
-Allez, on se calme, dit-il.
Je reconnais la voix de Ralhid.
Il est tout nu derrière moi. Je sens sa queue énorme, frotter contre mes fesses. Valérie s’avance, et baisse mon caleçon.
Ralhid se met sur une chaise, et m’assied sur ses genoux, dos à lui, jambes écartées.
-Mais çà va pas, dis-je en me débattant, qu’est-ce-qu’il te prend.
-A, il t’a dis de te calmer, dit Valérie. Tu veux pas, en plus qui te donne la fessée.
Mon épouse se met toute nue, prend elle aussi une chaise, et se place en face de nous pour ne rien manquer du spectacle.
D’une main, Ralhid me tient par les couilles. De l’autre, il joue avec mon sexe, faisant coulisser le prépuce sur le gland. Il me soulève légèrement, et me gratte l’oeillet avec le pouce.
-Je t’en prie Ralhid, tu vas me faire mal, ta queue est trop grosse.
-Je te promet d’y aller doucement, répond-il.
Je sens la queue de Ralhid qui commence à me pénétrer. Mon petit trou commence à se dilater.
-Aie, aie hiaou, arrête, tu me fais mal, tu vas me déchirer.
ouille, aie.
je serre les dents. Je suis en larmes. Inexorablement, la queue de Ralhid se met en place dans mon ventre.
Malgré mes sanglots, ma femme assiste à la scène sans lever le petit doigt. Elle joui de me voir soumis à son amant.
-Si tu savais comme je mouille de te voir comme çà, dit-elle.
Regarde mon clitoris comme il est sorti ce salaud. c’est Ralhid qui va en profiter après.
Je cherche des solutions. Comment en suis-je arriver là, arriver à me soumettre à ce point. Mais ce sont les propos de ma femme qui font le plus mal.
-Alors, mon amour, tu es en train de devenir une petite fille.
Et qu’est-ce-qu’elles font les petites filles? Elles taillent des pipes, hein?.
-Sale pute, tu te régales de voir ton amant qui m’encule.
-Mais mon chéri, répond-elle, c’est toi la pute, c’est toi qu’il encule. Tu aimes pas? Regarde ta queue, elle est toute raide. Tu veux que Ralhid joue avec?.
Ralhid saisit mes testicules et les fait rouler entre ses gros doigts. Il prend le bout de ma queue avec deux autres doigts, et me décalotte. je ne peux m’empêcher de gémir.
-Vas-y, tape lui une queue, dit Valérie, il faut bien qu’il en profite lui aussi, hein, petite pédale.
J’en peux plus, je sens le désir monter en moi. je n’aurai jamais cru qu’un homme puisse me procurer autant de plaisir.
Je me surprend même a onduler du bassin sur l’énorme bite.
-Haaa…ha, vas-y Ralhid, branle, décalotte moi complètement je vais cracher, ha..ha.. salaud.
Ma semence gicle en direction de Valérie.
-Bande de salauds, gémit-elle, regardez ce que vous me faites faire. Ma petite chatte est toute excitée, oui, oui.
Ma femme hurle de plaisir.
D’un coup, Ralhid me soulève, libérant les vingt centimètres de chair qui labourait mes entrailles. Il me fait mettre à genoux devant lui.
-Allez, ordonne-t-il, suce.
Tel un automate, j’avale doucement le membre, jusqu’à ce que le gland cogne au fond de ma gorge. Il me prend par les cheveux, et guide lui même les va et vient.
-Regarde nôtre petite fille comme elle turlutte bien, dit Ralhid. Pour te récompenser, tu vas tout avaler, hein, ma chérie.
Je sens les premiers jets de sperme au fond de ma gorge.
J’essaie d’avaler à mesure, mais c’est trop. Voyant que j’étais en train de m’étouffer, Ralhid se retire, et finit de cracher sur mon visage. Je suis pris de sanglots tant l’humiliation est forte.
-Ben mon salaud, dit Valérie, quelle pipe tu lui a taillée.
Je suis toujours à genoux, essuyant mes lèvres d’un revers de main.
Sans un mot, sans un regard, Ralhid et mon épouse prennent la direction de la chambre. Une bonne partie de la nuit, je vais entendre ma femme hurler de plaisir.
Valérie et Ralhid sont toujours amant aujourd’hui. Et moi, toujours aussi soumis. Ralhid passe trois fois par semaine à la maison, même quand ma femme n’est pas là. il joue avec moi en attendant quelle arrive. Un après midi, Valérie revient des courses et me trouve en larmes.
-Qu’est-ce-qu’il se passe? demande-t-elle.
-Il m’a désobéit, dit Ralhid, je l’ai ramené à la raison.
-Mon pauvre chéri, dit-elle, tu sais bien que tu pleure quand il te prend les testicules. Allez, fait voir tes couillettes à ta petite femme.
-Aieeeee, non, pas toi, aieeee.