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Astrid et Julia – Chapitre 18




Plusieurs jours se passent, les plaies de mes deux femmes se sont cicatrisées. Nous avons repris une vie normale.

C’est aujourd’hui que le mari d’Astrid doit rentrer de sa longue tournée. J’en profite pour me mettre à jour côté travail. Mon portable vibre, c’est Astrid. J’entends sa voix affolée dans le haut-parleur :

Viens vite mon chéri, un drame épouvantable vient d’arriver.

Quoi ? Qu’est-ce que tu dis ?

La radio vient d’annoncer qu’un vol d’Air France a disparu des écrans il y quelques heures. J’ai vérifié le numéro de vol, c’est celui dans lequel avait pris place Paul. Je n’ai pas pu joindre Julia, son portable est fermé.

J’arrive, c’est probablement une erreur.

Je me précipite chez elle à l’instant même où sa fille rentre de la fac. Nous écoutons les nouvelles en boucle. Elles sont dans mes bras en pleurs et tout semble se confirmer. C’est bien le vol dans lequel était Paul. Nous essayons d’avoir la compagnie, mais le standard est bloqué. Les appels doivent être nombreux.

Je les emmène à l’aéroport où un porte-parole officiel convie les familles dans un salon réservé afin de les informer. L’entrée est filtrée. Astrid et Julia donnent leur nom et malheureusement Paul est bien dans la liste des passagers.

Dans les jours qui suivent, l’épave de l’avion est retrouvée dans les Alpes : aucun survivant. Le corps de Paul est identifié et sa mort devient officielle.

Mes femmes sont dévastées, mais m’ont demandé de venir loger chez elles afin de leur remonter le moral. Je m’y emploie du mieux que je peux. Par décence, je dis à Astrid qu’il serait préférable que nous ne fassions pas l’amour jusqu’à l’enterrement de Paul. A ma grande surprise, elle me dit qu’il n’en est pas question. Elle se jette dans mes bras et exige que je la prenne comme une bête dans les toilettes comme la première fois où nous avons fait connaissance. C’était sans compter sur Julia qui, nous entendant, en demande autant.

On se dirige vers les toilettes. Sur les indications d’Astrid, elles enlèvent leur culotte, se baissent et s’appuient toutes les deux contre le mur.

C’est un moment anniversaire, dit Astrid, il n’y a plus aucun obstacle à notre vie commune. Pour fêter ça, en signe de soumission, ce n’est pas dans ma chatte que je te veux, c’est dans mon cul.

Moi aussi, ne ménage pas tes efforts, prends-moi dans l’anus, abonde Julia.

J’accède à leur désir et les défonce alternativement pour terminer finalement dans leurs bouches. Elles se relèvent, le visage rieur, contentes de ce que je leur aie fait.

Elles ne semblent pas être malheureuses du décès de leur conjoint et père. Astrid parce qu’ils n’avaient plus de vie de couple et que Paul était juste un compte en banque pour elle, Julia par manque de l’affection qu’aurait dû lui prodiguer son père.

Six mois se sont passés, tout naturellement, Astrid a pris la direction de l’entreprise j’ai appris qu’elle était diplômée de HEC elle s’en sort très bien. Elle a insisté pour que je démissionne de mon job actuel pour prendre la nouvelle place de directeur du digital qu’elle a créée. Julia a décidé de poursuivre ses études afin d’obtenir un master en droit des entreprises. Sa mère lui réserve le poste de directeur juridique.

Elle a vendu sa maison, moi la mienne pour que nous en achetions une plus belle, bien à nous. Nous vivons, comme nous le souhaitions, ensemble. Nous faisons « chambre commune » Astrid, Julia et moi. Nous avons fait faire un lit sur mesure où nous pouvons nous ébattre librement.

Régulièrement, nous organisons des soirées « cul » auxquelles participent Marc et Julien et leurs compagnes respectives, Sophie et Chloé. Elles aussi sont devenues des accros du sexe au contact de mes femmes qui les pervertissent de plus en plus. Chloé, vingt-cinq ans, est même devenue l’esclave de Julia. Elles se rencontrent souvent pour des séances de domination hard. Mes amis sont ravis de la tournure que prennent nos relations et ils profitent au maximum de mes compagnes. Pouvoir posséder en même temps la mère et la fille, c’est inespéré.

En échange, ils m’ont accordé le droit de dresser Sophie et Chloé pour les amener au même stade de luxure que mes soumises. Sur un simple SMS, je peux les faire venir séparément ou ensemble. Il n’est pas question qu’elles refusent sous peine de punition sévère.

Dans cet exercice, celle que je préfère c’est Sophie, trente-cinq ans, mon âge. Au début, elle était très rétive d’avoir des rapports sexuels en dehors de son couple, mais, après que je lui aie tanné le cuir plusieurs fois et que Marc l’ait menacée de la quitter, elle est devenue très coopérative. Maintenant, elle fait tout ce que je veux et se précipite quand je la somme de venir. J’adore fouetter ses seins et tirer sur les anneaux qui les agrémentent. Je me délecte de les voir zébrés à la fin de chaque séance. Quand je la baise, le Barbell planté dans son clito vient titiller mon gland, c’est super !

Ces « formations » ne sont que des extra, j’ai juste pris goût à devenir un dominateur. Je me suis d’ailleurs inscrit sur un site spécialisé. Il n’y a aucun sentiment dans ces relations avec Sophie et Chloé. Mon amour se porte uniquement sur Astrid et Julia.

Faire l’amour avec elles est toujours un enchantement. J’adore caresser leur peau et jouer avec les anneaux qui ornent leurs attributs Astrid, quelques jours après le décès de son mari, m’a demandé de l’emmener chez le perceur. Elle voulait être à l’identique de Julia afin qu’il n’y ait plus de différences entre elles. Ça leur permet désormais de jouer dans des scènes saphiques où elles s’étirent mutuellement les seins et leur lèvres vaginales à la limite de la douleur.

Quand nous sommes ensemble, elles portent continuellement des boules de geishas. Elles adorent être excitées en permanence, pour mon plus grand plaisir.

Toujours disponibles, même quand elles ont leur règle, elles ne se refusent jamais, ni à moi ni à ceux à qui je les offre. Beaucoup de couples de rencontres, très étonnés par notre vie hors du commun, ont fini la nuit dans notre chambre et ne s’en sont pas plaints : mes femmes prenant un malin plaisir à initier la femme au lesbianisme et montrant au couple sélectionné comment une mère et une fille peuvent partager leur amant et avoir des rapports incestueux.

On me demande souvent comment Julia, proche de ses dix-neuf ans, ne préfère pas des garçons de son âge. La réponse est simple, elle n’en voit pas l’intérêt. Sur ma demande, elle a bien essayé, mais elle les trouve fades et sans imagination. Je suis son mentor et elle désire fermement que je le reste. Prendre un autre homme l’obligerait aussi à nous quitter et, là aussi, il n’en est pas question. Elle est accroc au sexe non seulement avec moi, mais aussi avec sa mère qui le lui rend bien.

Sur les conseils de maître Hubert en son temps, je les fouette régulièrement. Je n’ai plus peur de les marquer. Je pratique aussi souvent des étirements de leurs grandes lèvres en suspendant des poids aux anneaux qui les transpercent. Le travail de leur poitrine fait partie aussi de mes préoccupations. J’utilise pour cela des étaux à seins qui compressent leurs mamelles jusqu’à les faire devenir bleus. Elles en ont pris l’habitude et pratiquent elles-mêmes entre elles, en dehors de ma présence.

Il y a quelques jours, Julia nous a amené une copine de fac à la maison, un peu plus vieille qu’elle : une blonde aux yeux bleus, pas farouche du tout son décolleté provocant et sa robe ultra-courte, véritable « moule-fesses » le démontrant. A peine assise dans le canapé en face de moi ; Sabine c’est son prénom ; m’a allumé en écartant ses cuisses largement. Sa robe étant remontée sur ses cuisses, j’ai pu voir qu’elle ne portait pas de culotte.

Soudain, mon téléphone a vibré – message de Julia :

Tu peux y aller, elle est chaude de la chatte. N’aie crainte, elle ne va pas crier au viol si tu lui plantes ton doigt dedans. J’ai envie qu’on la mette à notre tableau de chasse. On va la faire monter au plafond. Avec un peu de chance, on pourra la descendre dans la cave. J’ai envie de la fouetter. Je vais dans la cuisine rejoindre maman.

Je me lève alors et je dis à Sabine :

Venez, je vais vous faire visiter la maison.

A peine dans le couloir, je la plaque contre le mur, relève sa robe et insère mes doigts dans sa foufoune. Elle est trempée la salope. Elle prend une mine effarouchée, mais répond à mon attaque en m’embrassant à pleine bouche. Quelle hypocrite ! Entre deux baisers, elle me dit :

Julia va nous surprendre, il ne faut pas. Je te donne mon 06 et on pourra se revoir à un autre moment.

Comment ? Tu n’es pas au courant, dis-je en éclatant de rire. Mais ici, c’est la maison du stupre. Je baise la mère et la fille et toi tu es le petit oiseau qu’on vient de piéger. On te veut dans notre lit dès ce soir.

J’accentue la pression de ma main à l’entrée de son vagin. Elle entre en pâmoison. Je sors ma queue et je l’enconne sans faiblir. Elle pousse un oh de surprise, elle ne s’attendait probablement pas à quelque chose de si gros.

Dans votre lit ? réussit-elle à articuler.

Oui, je vais d’abord en finir avec toi rapidement et puis nous aurons toute la nuit pour faire connaissance. Je crois que tu vas avoir intérêt à nous obéir, dis-je en pilonnant son con sans relâche.

Elle halète, pousse des cris et jouis alors que je jute en elle.

J’espère que tu prends la pilule, car je t’ai mis la dose.

Oh mon Dieu, je comprends pourquoi Julia t’aime tellement.

Dieu c’est un peu fort pour me qualifier, mais tu peux m’appeler désormais : maître, dis-je en riant.

C’est le moment où Astrid fait son apparition.

Et bien petite salope, tu n’as pas perdu ton temps pour faire l’amour avec notre homme. Tu l’as bien allumé à ce que je vois. J’espère qu’il t’a bien fait reluire ?

Tu réponds ?

Oui, dis Sabine dans un souffle.

Rien que pour ça, tu mérites d’être punie.

Punie ?

Oui, allez ! Direction la cave.

La cave ???

Oui, tu vas être fouettée.

Fouettée ? Mais vous êtes fous, je ne veux pas !

Pourtant tu as bien dit à ta copine que tu aimais être soumise ou tu as menti ? lui dis-je.

Non, je n’ai pas menti, je rêve en permanence de domination.

Alors tu dois nous obéir. Hervé t’a fait jouir sans notre permission, tu dois le payer. On est d’accord ? questionne Julia.

Oui, dit-elle timidement.

On l’amène à la cave où, après l’avoir déshabillée, elle va prendre dix coups de cravache sur ses seins magnifiques. Elle crie aux premiers coups, puis elle se calme jusqu’au dernier. On peut voir alors une flaque de mouille à ses pieds. La salope a pris son pied. Elle aime ça !

Nous allons la garder toute la nuit. Elle s’en souviendra longtemps. Julia et Astrid ont essayé tous leurs jouets sur elle. Ils lui ont élargi le fion pour faciliter la défloration de son cul ; elle était vierge de ce côté. J’ai pu l’enculer alors sans problème, mais j’ai aussi profité de sa bouche et plusieurs fois de son con.

Au petit matin, nous avons dû appeler un « Uber » pour la ramener chez elle tant elle était épuisée. Elle a promis de revenir dès qu’on l’appellerait…

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