J’avais été invitée chez une amie dans le cadre d’un rallye. Nous étions une cinquantaine de filles et de garçons, lycéens ou étudiants. Je préparais mon bac, j’avais dix-sept ans. J’étais ronde et mes yeux bleux plaisaient. J’avais dansé avec plusieurs garçons très insipides, trop timides, mais j’avais repéré un, étudiant, très bronzé, mais je n’osais pas lui faire des avances.

Et puis l’occasion s’est présentée quand à l’occasion d’un jeu, ’par hasard’, je me suis assise un court moment sur ses genoux. Evidemment dans la pleine lumière et au milieux de la foule, pas question d’être très langoureuse, mais j’ai aimé sentir sa cuisse musculeuse et tiède sous moi, et je suis sûre que lui sentait bien la tiédeur de mon entre-jambes, surtout que j’étais en fait légèrement à cheval sur sa jambe, le dos appuyé contre sa poitrine.

Il a posé la main droite négligemment sur mon genoux, et j’ai mis aussitôt ma main sur la sienne. Finalement il me! fit danser un rock’n roll, et là j’ai commencé à aimer. En fait, il me serrait très près de lui quand il me faisait tourner, et puis quand il me prenait par la taille. Enfin la taille, il me prenait un peu au-dessus de la taille, ce qui fait que de temps en temps sa main se refermait sur mon sein. Je sentais brièvement la tiédeur de sa paume à travers le fin coton de ma robe, c’était bon ! Je me suis un peu appuyée sur son bras, lui faisant comprendre que j’appréciais ses gestes.

Plus nous dansions, plus je sentais ses doigts sur ma poitrine et sur mes hanches, plus j’en avais envie. Je crois qu’il appréciais aussi. Et puis je lui ai demandé s’il pouvais me trouver quelquechose à boire, et pendant ce temps, je suis allé dans une chambre, là où j’avais mes affaires, et j’ai enlevé mon soutien-gorge. Ma robe moulait bien un peu mes seins, qui sont déjà beaux et lourds ; comme je portais un léger cardigan sur ma robe je savais que ça ne se verrai pas.

Nous avons encore dansé le ! rock, et j’ai senti qu’il me regardais différemment, tandis que le contact de ses mains à travers ma robe me rendait folle de plaisir et de désir. Maintenant, quant je tournais, il posait directement sa main sur l’arrondi sous mon sein droit, ou gauche. J’aurais voulu qu’il me caresse tout le temps partout.

Entre les danses, il me serrait contre lui, j’avais le sentiment de lui appartenir un peu. Et puis on a baissé les lumières, nous avons dansé le slow. Sans hésiter j’ai mis ma joue contre la sienne, il m’a serrée contre lui, je sentais ses mains dans mon dos, il me caressait les reins, du bout des doigts. Il m’a dit qu’il aimait mes deux fossettes sur mes reins, et là je me suis demandé comment il savait. Je lui ai dit qu’il avait les doigts très sensibles. Il m’a dit ’Veux-tu que je te montre ?’

J’ai dit oui, sans savoir ce que j’allais voir. Nous dansions bien serrés, il prit mes lèvres, je fondais entre ses bras. J’aime sa langue contre la mienne, je ferme les yeux, sen! tant toujours sa main qui caresse mes reins, puis légèrement, ses doigts effleurent mes fesses.

Je me serre encore plus dans ses bras, et je sens qu’il glisse un doigt sous l’élastique de ma culotte, à travers ma robe. Je sens son doigt qui s’attarde dans le petit creux qui marque le haut du sillon de mes fesses. Puis son doigt glisse le long de l’élastique, vers ma hanche, puis elle revient, mais un peu plus bas. Je comprends : il et en train de faire descendre doucement ma culotte !

J’aime cette caresse pleine de suspense, je cambre les reins sous sa main. Je l’embrasse à pleine bouche, qu’il ne s’arrête pas surtout. Je suis folle, ma culotte est à moitié de mes fesses, bientôt elle sera sur mes cuisses, puis elle tombera sur mes pieds… J’aime la caresse de sa main tiède sur mon derrière, si douce, si excitante. J’ai l’impression que je pourrais compter les phalanges de ses doigts en contact avec ma peau sous le fin coton de ma robe. Il continue de faire glisser la culotte! , je suis obligée de serrer les genoux pour qu’elle ne tombe pas sur mes chevilles devant tout le monde.

Doucement je l’ai entraîné vers le point le plus sombre de la salle, et entre deux sièges, j’ai rapidement laissé glisser ma culotte le long de mes jambes, et je l’ai ramassée et mise dans sa poche. Je ne pouvais pas me livrer à lui plus franchement.

Nous avons continué à danser, plus d’une heure encore, et de me sentir nue sous ma robe, ses mains chaudes sur mes seins et sur mes fesses, qu’il pétrissait gentiment, je découvrais une excitations nouvelle, et je sentais que j’étais toute humide entre mes cuisses. Et puis ça a été la fin de la soirée, je l’ai embrassé très fort, mes parents m’attendaient, je suis rentrée chez moi en me jurant de le revoir, et de me donner à lui.

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