La croisière… première exhibition publique
Le second épisode se passe sur un bateau de croisière.
Le premier récit que j’en avais fait était accompagné de photos qui l’illustraient, comme dans un roman photo érotique, voire pornographique.
Je ne pense pas que je puisse partager un lien pour accéder aux plus soft de ces photos malheureusement, alors je vais essayer de les remplacer par mes mots.
Je vous passe les détails de x journées sans intérêt pour vous où mon épouse préféra profiter comme n’importe quelle femme des services du bateau.
Pendant qu’elle se faisait masser, j’allais courir dans la salle de musculation qui se trouvait à l’arrière du bateau avec une vue panoramique sur la mer!
Mais il n’y a rien à faire, je préfère courir en forêt, avoir le plaisir des parfums de la terre, entendre les oiseaux. Oui bon ok vous êtes là pour de l’érotisme alors j’en viens directement à la partie qui va vous intéresser.
Je fis tout de même quelques photos en cabine. La notre, au quatorzième pont, devait mesurer un peu plus de 7m2 avec un grand lit, une cabine de douche et wc contigu à l’entrée et penderie. C’était un peu spartiate mais pas trop. Je m’attendais à pire.
Alors que je désespérais de le voir venir, arriva enfin le jour où, à l’occasion d’une escale, elle claironna avec un grand sourire:
— "ça te dit un câlin coquin dans la cabine alors que le bateau arrive au port? On pourrait essayer le hublot?"
Devinez quelle fût ma réponse!
Arrivés dans la cabine elle s’installe directement sur le cadre dans lequel le hublot est enchâssé.
Je dois vous préciser, pour ceux qui n’ont jamais eu la chance de visiter ce genre de navire, qu’en fait de "hublot" il s’agit d’une fenêtre sur mer d’1m50 sur 1m20 et que le rebord du cadre est, quant à lui, d’une taille suffisante pour qu’une femme fine comme la mienne puisse s’y installer.
On peut donc presque s’y allonger, par contre, cela reste très inconfortable et on a l’impression d’être collé à la vitre d’une fenêtre au quatorzième étage d’un immeuble sans vis à vis pour le moment.
Nous faisons nos premières photos, ça occupe, en attendant de voir arriver le port.
De plus en plus excitée, elle commence à se caresser. le regard perdu vers lhorizon. Nous y sommes.
Enfin!
Presque..
Il lui manque un jouet…
Vous devez vous dire "ah d’accord! Carrément une exhib à la fenêtre! Elle n’a pas froid aux yeux!"
Elle faisait la maligne là sur son hublot avec pour seuls spectateurs son mari et les poissons.
Mais je redoutais l’arrivée au port.
Nous étions en étage donc j’espérai bien que l’absence de proximité avec des éventuels voyeurs permettrait de faire durer le délire.
A parler honnêtement j’étais certain que dès le quai en vue elle se laisserait glisser sur le lit pour être à l’abri des regards. Alors j’hésitais.
J’aime la voir jouer avec un gode et en particulier un beau transparent avec lequel elle se rend folle. Inutile de vous dire qu’ensuite je n’ai pas d’autre choix que de prendre la petite porte!
C’est le double effet kiss cool du grand blanc comme nous l’appelons!
Peut être comprendrez vous alors pourquoi j’adore lui présenter ce jouet et qu’elle par contre… y va parfois à reculons.
Je n’avais pas envie d’une polémique. C’était bien partit. Elle s’amusait. J’aurai mon spectacle, elle jouirait, j’aurai mes photos et on s’amuserait bien pendant et après. C’est assez comme dit la baleine n’est ce pas?
Oui? Non? Je sortais le grand blanc et le posais sur le lit. A elle de décider après tout!
Elle me regardait avec un air qui en disait long sur son plaisir. La situation lui plaisait. Le petit bateau qu’on avait croisé lui avait donné l’impression qu’en fait les gens étaient loin. Le sentiment de sécurité s’était imposé et l’avait libéré. Ses yeux parlaient maintenant pour elle.
— "On arrive bientôt?"
— "ça ne va pas tarder oui."
— "Tu veux que je joue avec? Donne! Avant qu’on arrive au port parce que ..
Je lui tendais le gode et la vaseline. Il fallait que j’en profite maintenant si je voulais mes photos.
Elle oublia la vaseline et commença à le faire glisser entre ses lèvres déjà bien gonflées. Pendant quelques belles secondes elle les écartait et faisait grossir son clitoris avec l’engin.
Je mitraillais pestant intérieurement sur le résultat décevant. Le contre jour était trop fort, il serait totalement impossible d’avoir l’extérieur et l’intérieur sur la même photo.
Le spectacle était magnifique. Ma femme est si belle quand elle se caresse. A chaque fois je suis partagé, de plus en plus, entre l’envie de faire de belles photos au delà de la simple photo souvenir, mais toujours sur le vif, sans pose exagérée, et l’envie folle de participer en joignant mes mains aux siennes.
Nous arrivions au port. Le gode apparaissait et disparaissait maintenant à une vitesse phénoménale dans son entre cuisse.
Je suis toujours fasciné de voir avec quelle facilité elle peut s’enfiler un truc aussi énorme sans la moindre, ou presque, grimace, dans la plus impudique des postures. Elle si sage en apparence cache en fait un vrai volcan.
Cuisses largement ouvertes, je l’informe que nous sommes maintenant à quai et que des bateaux de croisières sont visibles. Nous nous approchons d’eux.
C’est là que le récit avait pour illustration une photo de mon épouse de dos sur le rebord du hublot, s’enfilant copieusement son grand blanc alors qu’on pouvait apercevoir au loin la silhouettes des premiers bateaux amarrés.
Je pense mettre dans ma signature sur le forum un lien pour voir ces photos.
Je m’attendais à ce qu’elle stoppe tout là. Mais au contraire, son rythme de pénétration s’est encore accéléré. J’abandonne la photo pour la caméra. Il va y avoir du son!
Des gens sont maintenant visibles sur les quais et elle continue de plus belle. C’est alors que dans l’angle je vois que nous nous approchons d’un énorme bateau. Là les gens seront à notre niveau.
Madame, à l’annonce de l’approche du bateau de croisière, mettait en marche forcée son piston.
Elle prenait visiblement un pied total. Quant à moi je paniquais en voyant le résultat sur mes photos. Je voulais avoir à la fois devant et derrière la vitre du hublot mais c’était vraiment impossible.
La caméra était posée et filmait déjà mais une belle photo d’elle avec des mecs en arrière plan… comment dire… j’en rêvais un peu!
Nous arrivions à la hauteur des premiers bâtiments du port maintenant. Des gens étaient sur les quais. Pas grand monde car c’était une partie du port de commerce avec des containers partout.
Pas vraiment le genre d’endroit qui fait rêver mais cela n’empêchait pas ma belle de monter tranquillement en puissance.
Je lui racontais ce que je voyais pour l’exciter mais c’était bien inutile.
Comment vous dire ça? Ma femme est le genre à qui on donne le bon dieu sans confession comme on dit. Et là, je la voyais prendre" un risque" avec la plus complète désinvolture.
Elle faisait comme chez nous. Sauf que chez nous devant le baie vitrée à 4 h du matin en rentrant de soirée sans personne dans la rue en face elle semblait moins à son aise qu’elle ne l’était aujourd’hui alors même que des dizaines de personnes se trouvaient pas loin.
Mais elle n’était pas chez elle. Ces gens là elle ne les connaissaient pas. S’ils la voyaient il n’y aurait aucune conséquence pour son quotidien. Alors elle se lâchait et j’observais qu’elle attendait vraiment d’avoir des spectateurs face à elle pour commencer le spectacle.
Comprenant qu’elle n’avait en fait même pas commencé à s’amuser et qu’on en était à l’apéro, je réalisais tout son potentiel exhibitionniste et cela me fit un peu peur.
Le "grand Blanc" entrait maintenant si facilement tout entier dans son intimité qu’il semblait ne plus servir à rien.
Elle le sortait donc de temps à autre pour le refroidir un peu et le laisser "respirer".
—
J’étais subjugué pas son sexe ouvert et cet objet qui glissait. Le mien commençait à se tendre.
Je la regardais qui, d’un air absent, continuait à se faire plaisir. Elle cherchait dehors des gens à qui se montrer.
Plus rien n’existait. Elle était partie. Totalement dans le jeu, son film se déroulait dans sa tête, seul son plaisir comptait et il était en panne au bord de l’aboutissement. Il lui fallait un truc de plus pour la faire exploser.
C’était une situation vraiment nouvelle. C’est ce qui me fit peur. N’allait on pas vers une escalade où je ne pourrai plus trouver de situation "plus excitante" que celle d’avant? Aujourd’hui la simple évocation d’un homme l’observant suffisait à la faire partir au bord du plaisir mais demain, si l’on continuait ainsi, que lui faudrait-il?
Le bateau de croisière était en vue. Je lui fis remarquer que le poste de pilotage était à notre niveau et qu’un homme en uniforme fumait une clope sur la petite passerelle.
Elle sourit le regard dans le vide totalement fixé sur cette passerelle m’indiquant par là même qu’elle s’y trouvait déjà depuis un bon moment!
En attendant, les bâtiments du port étaient bien en vue et des vitres teintées pouvaient cacher tant de monde!
Mon épouse ouvrait grand les cuisses et seul le hublot l’empêchait de s’ouvrir totalement.
Fichu hublot, à peine assez large pour qu’elle s’y étende mais pas plus de fantaisie possible.
Je continuais à filmer essayant de garder sur l’écran un équilibre lumineux qui permette de voir à la fois l’intérieur et l’extérieur.
Le bateau était maintenant bien visible et s’approchait doucement. On voyait très distinctement les ponts, vides, et la passerelle, vide aussi.
Pourvu qu’elle ne s’en aperçoive pas! Jusqu’alors l’idée que cet homme la voit avait eu un bel effet sur elle!
Elle me dit "Il est plus là?"
Oui, l’homme en uniforme était entré dans la cabine de pilotage. Je sentais la déception dans le ton de sa voix.
J’essayais de garder le cadrage mais surveillais ce qui arrivait ensuite.
Un énorme bateau, comme le notre apparaissait à 500m. En fait nous allions nous "garer" à coté.
Et là, nous allions nous retrouver nez à nez avec des tonnes de touristes. Il fallait qu’elle prenne son pied rapidement maintenant car je savais que le jeu allait s’arrêter très vite.
Un petit bateau à moteur arrivait. J’en profitais pour le lui faire remarquer et faire repartir le film dans sa tête. Elle s’y accrocha et le grand blanc replongeait de plus belle dans ses eaux.
Je l’encourageais tant que je pouvais, mon sexe en main j’étais pour ma part au bord de l’explosion.
C’est alors que je l’entends me dire: "Il est revenu! Et il a des jumelles!"
Elle se tourne vers moi un grand sourire aux lèvres éclairant tout son visage. Elle s’amuse. Enfin un truc imprévu, "et alors que fait on?" semble t elle me dire!
J’éclate de rire et confirme "Oh oui il a des jumelles!"
Elle se cabre littéralement et se fiche son gode bien au fond s’offrant totalement au regard de son complice du jour.
Elle s’ouvre davantage butant contre la vitre du hublot.
-"Il y en a d’autres!! regarde!
Je sens la panique dans sa voix… 5 mecs viennent de se précipiter sur la passerelle!
-" Tourne ta tête qu’ils ne voient pas ton visage!!"
Elle tourne sa tête. Et je lui raconte ce que je vois. L’autruche continue son film et je dois y apporter les ingrédients.
-"Il y en a d’autres qui arrivent!! (je rigole en même temps surexcité par la situation) Et ils ont tous des jumelles! La vache avec ces jumelles là ils sont à 10 cm de toi!!!
Je la vois se cabrer et comprend que sa jouissance n’est pas loin et en effet quelques secondes plus tard elle y parvient.
Il était temps. Un bateau comme le notre arrive et là les touristes sont armés de caméras. Je lui dis de verser sur le matelas sous le hublot ce qu’elle fait dans un grand éclat de rire.
On se planque comme des gamins en passant à coté de l’énorme bateau. On se glisse dans les draps et la suite est trop porno pour être racontée ici…
Cette petite expérience d’exhib nous a mis dans tous nos états!
Pendant quelques mois cela nos a suffit pour alimenter nos fantasmes lorsque nous faisions l’amour. Et puis un jour, je me suis mis en tête de l’emmener faire un tour dans un club libertin.
J’ai donc discuté pendant des semaines sur des forums spécialisés et enfin je sus tombé sur un super site.
Je lui ai fait lire quelques témoignages "choisis" avec soin et si vous le souhaitez je vous raconterai la suite dans un prochain chat pitre!
Merci de faire des commentaires que votre pouce soit vert ou rouge, vos raisons m’intéressent et je vous remercie de prendre le temps.