Je m’appelle Patrick, j’ai 28 ans et je vais vous raconter l’histoire d’Élodie qui a aujourd’hui 26 ans. Depuis que la puberté avait fait son uvre, j’avais toujours été attiré par Élodie, une fille qui habitait proche de chez moi et qui postait régulièrement des photos d’elle laissant imaginer une très belle poitrine et une taille très fine. Elodie n’était pas la plus gentilles des filles, du moins à première vue. Elle était facilement irritable et avait souvent un comportement hautain, ce qui stimulait d’autant plus mon envie de me glisser sous la carapace qu’était son fort caractère. Pour moi, il n’y avait aucun doute que derrière cette image de fille qui voulait tout contrôler, un détail montrerait tôt ou tard qu’elle pouvait être soumise dans la vie privée.
Ce détail arriva plus rapidement que prévu. Lors de la fête pour célébrer les 20 ans de sa sur, où j’étais invité, elle était venue avec son copain du moment. Elle avait alors 18 ans. La soirée se passait normalement lorsqu’une dispute entre elle et son copain éclata. Il lui ordonna d’aller l’attendre dans la voiture. Elle ne fit pas et continua à jouer son rôle de fille hautaine, mais elle eut un mouvement de recule, presque imperceptible, où elle baissa un peu la tête et fit un pas en direction de la voiture. Personne d’autre que moi ne lavais remarqué, mais il faut dire qu’il n’y avait probablement personne autre que moi qui étais à l’affut d’un tel signe.
Depuis ce jour, j’ai tenté de me rapprocher d’elle et surtout à partir du moment où elle s’est séparée de son copain. J’étais toujours là pour elle, même elle disait très bien aller, je sentais bien qu’elle avait besoin de quelqu’un pour l’aider à surmonter sa séparation. Un jour, alors qu’elle avait un vingtaine d’années, elle me demanda d’aller à une fête avec elle, pas une simple soirée, la soirée de la grande entreprise pour laquelle elle travaillait et où il fallait mettre une tenue de soirée. Élodie, en ce temps-là, ne mettait jamais de robe. Elle portait des habits très classiques (jeans, top, baskets). Elle me demanda également de l’aider à choisir une robe. Dans ma tête, ma mission était claire, lui faire accepter une robe un peu plus provocante que ce qu’elle aurait pris sans mon "aide". Elle essaya plusieurs robes et ressorti avec une robe noire trop simple à mon goût. J’avais manqué mon premier objectif, mais avait réussi à lui faire accepter qu’elle ne pouvait pas mettre cette robe avec des chaussures plates. Elle mit donc sa robe pour que l’essayage soit plus réaliste. Sa poitrine 95E ressortait magnifiquement et si je parvenais à lui faire mettre des talons hauts. Elle commença par des talons de pas plus de 4 ou 5 cm et je lui dis que juste pour essayer elle devrait tenter un peu plus haut. Se voyant dans le miroir avec des escarpins à plateformes et un talon de 12cm, elle dut bien avouer que le résultat était beaucoup plus concluant. Pour l’encourager, j’avais décidé de lui les offrir, ce qu’elle accepta après une longue discussion animée.
Deux semaines plus tard, nous sommes donc allés à cette soirée. Deux semaines, tout juste le temps pour Élodie d’apprendre à marcher avec ses talons. Quand je la vis sortir de chez elle pour entrer dans ma voiture, je ne fus pas surpris car je l’avais déjà vue ainsi … une bombe ! Je lui ouvris la porte et la fis entrer dans ma voiture. Lorsque je m’assis au volant, elle me pris par le cou et me déposa un baiser sur ma joue et me dit :
— Merci de m’accompagner, ça compte beaucoup pour moi.
— Ça me fait plaisir, répondis-je.
— Tu n’as qu’à dire qu’on sort ensemble si on te pose la question. Ça évitera les questions dérangeantes.
— Si c’est ce que tu veux …
J’avais envie de crier parce que c’était une grande victoire pour moi. Elle pouvait m’imaginer comme quelqu’un d’intime.
Je fis la connaissance de ses collègues de bureau, ceux qui travaillaient dans la même section de l’entreprise qu’Élodie. Elle, de son côté, parlait avec son chef de section qui n’avait d’ailleurs pas hésité à complimenter sa tenue. Ses collègues n’hésitaient pas à lui resservir à boire aussi souvent que possible. La soirée passa assez rapidement et lors de notre départ, Élodie était passablement ivre. Je la ramenai donc chez elle. Je l’ai même aidée à monter les escaliers en la portant à moitié. Arrivés à sa porte, elle sortit les clefs de son sac et me fit signe d’entrer. Elle posa son sac sur la table et fila vers sa chambre. Une trentaine de secondes plus tard, j’entendis :
— Viens m’aider, s’il te plait.
— Pourquoi ?
— Je n’arrive pas à enlever ma robe.
Mon cur fit un bond. Élodie était en train de me demander de l’aider à se déshabiller, mais je ne voulais pas qu’elle regrette sa demande le lendemain en disant que j’aurais profité de son état.
— Tu es sûre que tu veux que je vienne ?
— Oui, viens, on sort ensemble après tout, non ?
Ce trait d’humour me fit sourire et comprendre qu’elle savait encore plus ou moins ce qu’elle faisait, mais qu’apparemment ses capacités motrices étaient réduites à cause de l’alcool. J’ouvris alors la fermeture Eclair et elle enleva sa robe. Son corps était encore plus beau que ce que j’imaginais. En plus de son beau visage, trop souvent caché derrière des sourcils froncés, ses seins étaient magnifiques et très bien gardés dans un soutien-gorge. Son string était assorti et j’aurais juré qu’il était un peu mouillé. Tout d’un coup, elle me dit :
— Tu veux bien dormir ici ? Je sais que ce n’est pas très poli de ma part, mais si tu pouvais dormir sur le canapé, ce serait cool parce que je ne me sens pas très bien. Si je sais qu’il y a quelqu’un, je serai plus en sécurité.
— Pas de problème, tu peux m’appeler quand tu veux.
Elle vint vers moi et me serra contre elle, appuyant sa poitrine contre la mienne en me glissant un "merci" à l’oreille. Je mis une main dans le creux de son dos et senti sa peau douce. Elle relâcha son étreinte et je me dirigeai en direction du salon, mon cerveau imaginant toutes sortes de fantasmes que j’aimerais réaliser avec Élodie. Le sommeil m’emporta …
Je fus réveillé par le pas d’Élodie dans ma direction …