La période de vacances scolaires touchait à sa fin, et pendant ce temps, ma relation incestueuse avec mon petit frère Dylan prenait une autre dimension. C’était un peu comme si nos petits jeux de sexe habituels n’étaient plus suffisants pour nourrir nos envies, nos délires allaient à chaque fois un peu plus loin. Je n’aurais jamais pensé me laisser autant aller dans de tels vices avec mon propre frère. Il faut dire qu’il savait très bien comment et à quel moment m’attaquer pour me donner encore plus envie. Je ne pouvais m’empêcher de savourer les plaisirs qu’il offrait à mon corps, même les plus audacieuses finissaient par me faire céder.
Dernièrement, il m’avait tout simplement dépucelée l’anus avec son doigt. Je n’avais jamais eu une aussi grande honte de ma vie, mais cette nouvelle sensation de me faire pénétrer à cet endroit, si étrange qu’elle soit, m’avait quand même apporté du plaisir. Dire que j’avais toujours refusé que mon copain Charles regarde ou touche mon anus, je finissais malgré moi par franchir cette étape avec mon petit frère Dylan. Son autorité et son audace pendant nos actes sexuels me faisaient carrément vibrer de désirs. Nos actes sexuels dérivaient un peu dangereusement vers l’inconnu (surtout pour moi), mais nous étions tous les deux parfaitement conscients de ce que nous faisions et nous gardions quand même un grand respect l’un envers l’autre.
Dylan semblait me connaître parfaitement, deviner mes sentiments, mes envies, et particulièrement mes moments de chaleur. Surtout ce fameux jour de mon anniversaire en début d’aout.
Ce matin-là, je me réveillai un peu en sursaut en entendant vaguement frapper à la porte de ma chambre, et que celle-ci s’ouvrit immédiatement. Tout en essayant de comprendre, car j’étais encore en état de sommeil, je voyais ma mère s’avancer vers mon lit et mon père la suivant dans ses pas. 4 heures du matin que je remarquais sur mon réveil. Je faillis m’inquiéter d’apprendre une mauvaise nouvelle, que tout à coup, tout en parlant à voix basse, mes parents me souhaitèrent :
Joyeux anniversaire, ma chérie.
Ma mère déposa un doux baiser sur mon front en glissant un joli petit sac à main en cuir tout blanc dans ma main. Toute joyeuse, je lui sautai au cou pour la serrer très fort dans mes bras. Mon père à son tour, me fit le même baiser comme par leur habitude depuis mon plus jeune âge, et déposa un petit paquet cadeau au creux de ma main avant que je le prenne lui aussi dans mes bras. Prétextant être en retard, mes parents me demandèrent d’ouvrir mes cadeaux plus tard, et de plutôt les écouter me donner les directives pour cette journée exceptionnelle.
Fièrement, ils m’offraient carte blanche pour préparer mon dîner d’anniversaire, la décoration et le gâteau. Et curieusement, je pouvais choisir une de mes meilleures amies à rester dormir à la maison, mais d’autant plus curieux, comme ils savaient que j’avais un amoureux, et datant déjà de 4 ans suivant les dires de Dylan, ils désiraient l’inviter pour le dîner de ce soir même. Je devenais toute rouge de timidité, et sans même pouvoir prononcer un seul mot, je les regardais quitter tranquillement de ma chambre.
J’étais bien entendu très ravie qu’ils fassent ce premier pas vers mon copain, mais j’étais aussi très inquiète que Charles ne leur plaise pas. Charles est un beau garçon, juste un peu plus grand que moi et mince, une très jolie peau mate, un beau langage, et admirablement doux et calme. Mais mes parents ne se limiteraient pas qu’à la beauté et la douceur. Je finis même par me demander s’ils ne se doutaient pas un peu de mon dépucelage avec ce garçon.
Mais si seulement ils savaient à quel point je n’étais pas aussi sage ! Mais tout à coup, en pensant à tout cela, je me réalisai Charles qui devait se retrouver en compagnie de mes frères ce soir même, mes deux chers frères avec qui je n’avais pas encore mis un terme à nos rapports incestueux. Je ressentis tout à coup un sentiment de honte et de dégout envers moi-même. Il était vraiment trop tard pour pouvoir faire marche arrière. Pour la énième fois, je me posais la même question « Pourquoi suis-je comme ça ? » Et comme à chaque fois, la même réponse « Mes frères ne sont pas mieux que moi ». Que pouvais-je bien faire ? Mais je ne pouvais quand même pas me mentir ! J’avais trop bien aimé tous ces bons plaisirs qu’ils m’avaient procurés. Charles n’avait qu’à être plus présent pour moi, et ainsi il m’aurait suffisamment soulagée pour ne pas continuer ces petits jeux sexuels avec mes frères.
Bizarrement, comme une petite folle du sexe, je me mettais tout bêtement à comparer ces trois différents pénis qui avaient bel et bien goûté à mon corps. De belles images de leur sexe me donnant du plaisir défilaient audacieusement dans mes pensées. Une excitation drôlement forte réveilla mon corps en frissons. Je sentais mon vagin se contracter comme un signal de faim, et mes bouts-de-sein tellement se durcissent à m’en faire presque mal. Mon corps devenait tellement fiévreux que la chaleur sous la couette m’étouffait. Je ne pouvais résister plus longtemps à cette demande que me réclamait mon corps. D’un coup de main, je poussai la couette de côté, me découvrant entièrement, et aussitôt je glissai ma main droite directement dans ma culotte. « Humm ! » M’étais-je laissée exprimer en constatant mes lèvres intimes effectivement gonflées de désirs, audacieusement entrouvertes, et très humides dans le doux sillon qu’elles formaient.
Je ne pouvais vraiment pas me laisser dans cet état, et comprenant mon jus d’excitation particulièrement abondante, je décidai d’ôter complètement ma petite culotte et ma petite nuisette, et les placer sous mes fesses pour ainsi protéger un peu mon drap.
Je me sentais merveilleusement bien, entièrement nue allongée sur le dos, mes jambes repliées et mes cuisses bien écartées, j’enfonçai direct deux doigts, dont mon majeur et mon annulaire, dans mon vagin divinement inondé et affamé. Ma main gauche se plaça sans tarder sur mon sein droit, et s’attaqua aussitôt à ma pointe durement dressée. Je la roulais et la pinçais entre mes doigts. Je me laissais tranquillement savourer mon plaisir en murmurant assez librement :
Humm ! Mes petits cochons ! Vous me faites bien mouiller là !
Mes gémissements incontrôlables semblaient résonner sourdement contre les murs de ma chambre confirmant le degré de mon excitation particulièrement forte. Puis en accélérant le mouvement de mes doigts entièrement enfouis dans mon vagin, je continuais de délirer en disant :
Oh, oui ! C’est bon ça !… Qui me baise là ?… Oh, oui !… Humm !
Puis je prononçai un peu plus fort tellement l’excitation me gagnait :
Humm ! Oui ! C’est qui là ?
Soudain, j’entendis une petite voix juste derrière ma porte :
C’est moi.
Je sursautai d’un vrai bon en attrapant rapidement ma couette tout en voyant ma porte s’ouvrir déjà. J’eus juste le temps de penser que mes parents avaient sans doute décidé de rester à la maison pour profiter de mon jour d’anniversaire, qu’une tête se glissa déjà dans l’entrebâillement de la porte sans même que je puisse me recouvrir correctement. Je fus bien sûr soulagée que ce ne soit que Dylan et non mes parents, mais une grande honte m’envahit quand même. Il eut suffisamment de temps et d’indices pour comprendre ma nudité sous ma couverture que je tirai jusqu’à mon cou. Curieusement, il me lança :
Bah ! Tu fais quoi là ?
Assez furieuse, je lui grondai :
Tu pouvais quand même frapper avant d’entrer ?
Dylan me fixa d’un air bien étonné, puis me répondit :
Bah ! J’ai frappé ! Peut-être un peu doucement, mais tu m’as bien répondu, non ?
Je n’arrivais plus à trouver mes mots. J’étais certainement un peu trop concentrée dans mes délires. Je finissais par rougir de honte en regardant Dylan s’avancer vers moi, et me dire :
Joyeux anniversaire, ma grande sur chérie !
Je préférais ne pas trop bouger, je m’installai juste à demi-allongée sur mon gros oreiller, presque qu’au milieu de mon grand lit, et par simple reflex, mes mains restées sous ma couette me servaient comme pour protéger un peu mes parties intimes, une repliée sur ma poitrine en tenant ma couverture, et l’autre serrée entre mes cuisses comme pour cacher mon sexe.
Dylan me regardait avec son air très coquin que je connaissais très bien. Il comprenait parfaitement mon gène de me retrouver dans une telle situation. Et comme si cela ne suffisait pas, mon regard survola un instant une magnifique bosse au-devant du son short. Aussitôt, un long frisson me parcourut tout le corps. A croire qu’il ne portait aucun sous-vêtement, son sexe pointait tout droit en avant déformant complètement son short quand même assez ample. Dylan se pencha sur mon visage pour m’embrasser, mais bizarrement, il se dirigeait vers ma bouche. J’eus juste le temps de tourner un peu plus ma tête pour l’éviter qu’il arriva quand même à déposer un baiser sur le coin de mes lèvres. En même temps, sa main droite se posa sur mon bras protégeant ma poitrine. Dylan y prenait simplement appui, mais volontaire en se relevant, sa grande main écrasa mon bras pour arriver à presser suffisamment mon sein à sa portée. Surprise de sa réaction, je lui demandai :
Mais ! Ça va, toi ?
Assez fier de lui, il me murmura :
Je sais très bien ce que t’étais en train de faire, à être à poil dans ton lit… Tu veux que je t’aide ?
Puis, à peine terminée sa phrase, Dylan plaça ses mains sur le gros élastique du haut de son short, et l’abaissa d’un geste à ses genoux. Son sexe totalement raide jaillit d’un coup sous mes yeux, se balançant comme une audacieuse invitation. Dylan l’empoigna aussitôt de sa main droite, et tout en se tenant en équilibre par ses jambes appuyées jusqu’à mi-cuisses contre mon lit, il poussa son bassin en avant pour mieux me présenter son sexe, et me dit :
Je te donne ton cadeau d’anniversaire tout de suite ?
Je n’en revenais pas de ce que je venais d’entendre, et encore moins ce que je voyais. Un autre plus gros frisson s’empara de mon corps en admirant sa main qui allait et venait sur son pénis gonflé de désirs et dégoulinant d’un long filet de son jus d’excitation. Je semblais être hypnotisée par le spectacle. Mon regard restait complètement figé sur ce membre que je connaissais très bien par ses forts et loyaux services en me donnant de multiples bons plaisirs. Et le réalisant si soudainement à seulement quelques centimètres de mon visage, me troublait profondément. Plus je le fixais, et plus une drôle de chaleur augmentait dans mon corps. Les battements de mon cur s’accéléraient. Je frissonnais et je sentais l’intérieur de mon sexe se manifester en se contractant légèrement comme pour me signaler un désir de faim.
Aussitôt, ma main d’entre mes cuisses s’agrippa à mon sexe en écrasant mes lèvres intimes comme pour l’empêcher de se manifester, mais bien malheureusement, mon majeur fut aspiré dans mon sillon qui s’était un peu trop bien humidifié, et se retrouva déjà à l’entrée de mon vagin encore plus humide.
Ma bouche étant entrouverte par mon état d’étonnement salivait de plus en plus.
Dire que je désirais juste me donner un peu de plaisir solitaire avant de me lever ! Je n’en demandais pas tant. Je devais vite trouver un moyen de me sortir de cette situation avant qu’il ne soit trop tard. Soudain, je secouai ma tête comme pour me dire « non », et tout timidement, je bégayai à Dylan :
Ar. arrête ça Dylan ! S’il te plaît… Pas aujourd’hui, je vois mon copain ce soir.
Dylan semblait réfléchir tout en m’observant à admirer son sexe. Puis, il continua de me taquiner :
Pourtant je vois bien que tu en as très envie !… Elle te plaît bien cette petite surprise, hein ?
Les mots de Dylan ne faisaient qu’augmenter mon trouble. J’étais tellement bouleversée que je ne savais plus trop quoi répondre, et sans même réfléchir j’articulai :
Oui… Euh non !… Laisse-moi Dylan.
Dylan sourit malicieusement comme pour un peu se moquer de moi, puis me dit :
Donc, c’est pour ça que tu me résistes ?… Humm ! Tu me donnes de drôles d’envie là ! Alors regarde bien ma petite cochonne !
Dylan approcha davantage son sexe à quelques centimètres mon visage. Aussitôt, il accéléra la cadence de sa main, et ajouta :
J’ai trop envie de te souiller là !… Alors, prends ton cadeau, et suce-moi salope de sur !
Aussitôt, je sursautai, et un très gros et long frisson me traversa de nouveau tout le corps. J’avais terriblement honte de ressentir un certain plaisir assez fort malgré mon choix de vouloir refuser ses avances. Mes jambes repliées devant moi tremblaient sous la couverture tellement mon sexe me démangeait, et sans même pouvoir me contrôler, ma main s’y agrippait de plus en plus fort jusqu’à ce que le bout de mon majeur finisse par franchir l’entrée de mon vagin. Aussitôt, je baissai ma tête pour cacher ma honte, et je répétai à Dylan :
Non Dylan ! Pas aujourd’hui !
Soudain, Dylan m’ordonna :
Aujourd’hui, c’est moi qui décide… Viens là, et ouvre ta grande bouche de suceuse !
Mais que m’arrivait-il ? Mon majeur s’enfonça un peu plus dans mon vagin, et tout en continuant de frissonner de honte et incroyablement de plaisir, mon visage se dirigeait doucement face à ce bâton de chair qui me semblait encore plus gros que les autres fois. Mon regard étonné se leva vers celui de Dylan comme pour lui demander « pourquoi ? », mais de nouveau, il m’ordonna :
Ouvre ta bouche de salope, ma grande sur chérie !
Tout mon corps tremblait, et timidement, j’exécutais les ordres de Dylan qui colla son pénis contre ma bouche restée entrouverte par mon état encore plus étonné, et qui s’ouvrit davantage comme pour l’accueillir si naturellement. Dylan attrapa aussitôt ma nuque de sa main libre, et d’un geste bien précis, il tira ma tête avec suffisamment d’autorité vers le bord du lit. Même si je manifestai un semblant de résistance, je me laissai tout simplement glisser sur mon matelas. Je me contentais juste de retenir ma couette pour me garder couverte. Dylan admirait son pénis bien dur franchir mes lèvres humides de sa sève. Et curieusement, cette délicieuse sensation du bout nettement plus gros de son pénis sur ma langue et contre mon palais augmentait de plus en plus mon appétit que je me mette à le sucer un peu plus généreusement. Dylan n’avait plus qu’à se laisser librement aller dans ma bouche.
Et sa main libéra son sexe pour se poser aussitôt sur le haut de ma poitrine légèrement dénudée par les quelques mouvements.
Dylan me caressait doucement en aventurant peu à peu sa main sous ma couverture, mais tout à coup, il souleva ma couette, me découvrant presque entièrement, mais suffisamment pour remarquer ma main à mon entrejambe. Aussitôt, il me lança :
Oh ! Mais, t’es une sacrée vraie salope ! Tu te branles ? Donc tu aimes ça ?
Je voulus me relever pour récupérer ma couette, mais Dylan m’arracha ma couverture en la jetant à mes pieds, puis me cloua direct contre le matelas par sa grande main appuyée sur ma poitrine pendant que son autre main toujours sur ma nuque, retenait encore plus fort ma tête vers son bassin. Je serrais fort mes cuisses sur ma main qui désiraient ne pas quitter son emplacement, mais j’arrêtai de me masturber. Dylan s’enfonçait fièrement dans ma bouche tout en admirant mon corps entièrement nu, et en me massant fermement les seins tour à tour.
Dylan était de plus en plus excité. Il allait de plus en plus vite dans ma bouche, et s’enfonçait de plus en plus profond dans ma gorge. J’essayais de freiner un peu ses pénétrations en le tenant par le bassin. Et tout à coup, il pinça fort le bout de mon sein à sa portée et me dit :
Hum, oui !… Bouffe, ma cochonne !… Bouffe-moi !
Aussitôt, je sentis son sperme chaud gicler au fond de ma gorge pendant que je me tordais un peu de douleurs de mon bout-de-sein. Dylan arrêta enfin de bouger son bassin, mais son pénis continuait de palpiter au fond de ma gorge. J’avalai une bonne partie de sa semence abondante, puis je finis par recracher le surplus en toussant.
Dylan libéra enfin ma nuque que je puisse dégager ma bouche de son pénis. Je reprenais doucement mon souffle en terminant d’avaler les quelques gouttes de sperme coincées dans les recoins de ma bouche. Dylan me regardant d’un air bien satisfait. Il admirait toute cette substance épaisse et gluante, dont le même mélange que sur son sexe, débordant des coins de mes lèvres, et dégoulinants sur mes joues. Je me relevais pour récupérer ma petite nuisette pour me nettoyer le visage, quand rapidement, Dylan ôta complètement son short qui se retrouvait à ses chevilles, et sauta sur mon lit. Aussitôt, il me cloua de nouveau contre le matelas en s’allongeant de tout son corps sur le mien. Ses jambes musclées écartèrent les miennes sans que je puisse vraiment réagir. Dylan se retrouvait déjà entre mes cuisses, et je surprenais son pénis resté en très belle érection se frotter fièrement contre mes lèvres intimes. Totalement surprise, je lui demandai :
Mais ! Qu’est-ce que tu fais ?
Puis, encore plus surprise, je lâchai :
Oh !… Humm !
Je gémissais sourdement en sentant mes lèvres intimes tellement humides et restées entrouvertes se faire librement franchir. Trouvant déjà l’entrée de mon vagin, Dylan s’y enfonça entièrement d’un seul trait, et me murmura :
Pas aujourd’hui, tu dis ? Tu veux te garder propre pour ton chéri ce soir, c’est ça ?
Dylan se retira de mon vagin, puis s’enfonça de nouveau entièrement en me demandant encore :
C’est bien ça, salope ?
Je gémissais longuement et toujours aussi sourdement. Timidement, je lui répondis :
Humm ouï.
Soudain, Dylan stoppa ses mouvements entre mes cuisses, mais tout en gardant son pénis bien enfoui dans mon vagin. Il me fixa droit dans les yeux, et me dit :
Alors je vais bien te souiller là, ma petite salope… Tu aimes ça, hein ?
Curieusement, les questions de Dylan me troublaient tellement que je ne sache plus vraiment quoi décider et quoi dire. Je rougissais honteusement, ma respiration s’accélérait, et mon corps me trahissait audacieusement en s’ondulant légèrement comme pour demander la suite du plaisir. Dylan comprenait certainement mon trouble. Encore une fois, il se retira de mon vagin pour s’enfoncer de nouveau entièrement. Cette fois-ci, je me laissai gémir un peu plus librement en m’agrippant à ses épaules, et enfonçant mes ongles dans sa peau. Dylan fit une petite grimace de douleur, et aussitôt, il me murmura :
Humm ! Ma petite salope. Ça t’excite bien ça, hein ?
Dylan se retira encore, puis me pénétra encore plus fort entièrement en me disant :
Tiens salope ! Prends ça !
Je ne me contrôlais plus vraiment. Je gémissais de plaisir et d’étonnement que Dylan me parle ainsi. Timidement, je lui demandai :
Hmmm ! Arrête de me dire ça !
Tout en parlant, mon corps s’ondulait un peu plus sous celui de Dylan. Dylan se rendait bien compte de mon état complètement troublé. Il prit ma tête entre ses mains pour m’obliger à garder mon regard vers le sien, puis tout en s’activant entre mes cuisses, il me murmura :
Tu es une vraie petite salope… Ma salope de sur… Ma grande sur salope.
Les mots de Dylan semblaient réellement augmenter mon excitation. Son pénis bien raide entrait et sortait délicieusement de mon vagin de plus en plus humide et rempli de désirs faisant un fort bruit de sussions. J’essayais de supplier Dylan par mon regard très timide rempli de honte, d’arrêter cette trop excitante torture, mais bien sûr, il ne pouvait qu’apercevoir du bonheur dans mes yeux à demi-clos et mouillés de plaisirs. Dylan continua de me dire :
Tu es ma salope… Tu aimes être salope, hein !… Dis-moi que tu aimes être ma salope !
Dylan s’enfonçait de plus en plus fort et plus vite dans mon vagin. Je gémissais ouvertement en griffant ses épaules comme pour le corriger de me donner du plaisir. Je le faisais suffisamment mal pour qu’il décide d’arrêter, mais en vain. Le plaisir s’amplifiait dans mon corps autant que je pensais à mon chéri Charles. Curieusement, je me laissai dire :
Hmm, oui ! Je suis ta salope… Ta salope, oui…
Ayant encore un peu de sens, je signalai à Dylan :
Mais ne jouis pas en moi.
Dylan me pénétrait fièrement de son pénis gonflé de désirs. Il continuait de me fixer droit dans les yeux, et me répondit :
Je vais te souiller pour que tu sois encore plus salope… Tiens salope !… Oh oui, prends tout !
Dylan grognait fort. Son rugissement semblait résonner dans ma chambre. Il serait bien fort ma tête entre ses grandes mains, et tout en me regardant dans le fond des yeux, il se laissait librement jouir à l’intérieur de moi. Effectivement, je sentais de grands jets de sa semence venir s’écraser dans le fond de mon vagin. Aussitôt, je le grondai :
Salaud ! Je t’avais demandé de ne pas me faire ça !
J’étais bien sûr très déçue, mais curieusement, j’étais encore bien excitée que je continue d’onduler mon bassin sous le corps de Dylan pour encore faire bouger son pénis dans mon vagin bien affamé. Dylan, étonné lui-même, délaissa mon visage, et se redressa en se tenant sur ses bras tendus pour m’offrir plus de facilité dans mes mouvements. Il admirait mon corps s’onduler juste en dessous du sien, mes cuisses largement écartées de chaque côté de son corps musclé, et mes gros seins se balancer doucement, au rythme de mes mouvements. Je ne pouvais m’empêcher de diriger moi-même mon plaisir, et je fermais mes yeux pour mieux me concentrer sur ce pénis légèrement ramolli, mais toujours en moi. Dylan comprenait parfaitement mon envie de vouloir consumer ce plaisir. Il continua donc d’alimenter mon excitation en me parlant aussi crument :
Hmmm ! T’es une sacrée salope, toi !… Je t’ai bien souillée là, hein ? Ça t’excite, hein salope ?
Même si Dylan m’excitait énormément avec tous ses mots, j’essayais quand même de me prouver le contraire. Alors je lui murmurai en tremblant :
Non, ne me dis pas ça !… Non, je ne suis pas comme ça !
Mais tout en essayant de me défendre par mes mots, je m’agrippais de plus en plus fort aux hanches de Dylan pour mieux diriger mon entrejambe bien en face de son bassin, frottant énergiquement mon clitoris contre son pubis, et en même temps faisant bouger son pénis dans mon vagin. Je serrais bien fort les muscles de mon vagin pour encore mieux ressentir cette très délicieuse pénétration que je me prodiguais moi-même. Dylan continua :
Vas-y ma salope. Montre-moi que tu aimes ça !… Tu es bien souillée pour ton chéri là, hein ?… Ça t’excite, ça ! Hein salope ?
Puis tout à coup, mon corps se raidit. Je bloquais volontairement tous les muscles de mon corps pour ne pas me laisser exploser de jouissance que je me laissai exprimer :
Oh, non ! Je ne peux pas faire ça !
Dylan m’acheva en disant :
Mais si ! Tu es une grosse salope. Tu es la grosse salope de ton petit frère… Tu aimes les cochonneries, hein ?
Ne pouvant plus me retenir, je lâchai enfin tout en criant :
Oooh !… Oh oui !… Je suis trop salope, je jouis !
Je libérai enfin Dylan qui s’écroula juste à côté de moi sur le matelas. J’en profitai donc tout naturellement pour me recouvrir de ma couette. Dylan me regardait assez bizarrement et me souriait pendant qu’il rajustait son short pour couvrir son sexe. Je lui souriais à mon tour, toute confuse de ce qui venait encore de se passer entre lui et moi. Je ne pouvais pas me dire que je n’avais pas aimé ce énième rapport sexuel avec mon petit frère, mais je restais quand même un peu déçue qu’il ait délibérément joui en moi malgré mon refus. Il faut dire que je n’étais pas suffisamment convaincante.
Dylan prit le petit paquet cadeau juste à côté de lui sur ma petite table de chevet, et me demanda :
Alors, je ne suis pas le premier à t’offrir un petit cadeau ce matin ?
Je lui répondis :
Eh bien, non. C’est le cadeau de papa.
Dylan me passa mon petit paquet que je l’ouvre de suite. Dans une petite boîte à bijoux, je découvre une clé de voiture, pas très neuve, mais totalement identique de celle de la voiture à ma mère. Toute joyeuse, aussitôt, je criai et sautai de joie en faisant un vrai bond que je me blottisse dans les bras de Dylan, mais d’autant plus curieux, j’étais tellement contente que j’attrape son visage entre mes mains et l’embrasse fièrement sur sa bouche. Je n’avais pas vraiment réfléchi à mon geste. Dylan, ne perdant pas une seconde, m’allongea de nouveau sur le matelas en appuyant tout le poids de son corps sur le mien, et glissa sa main droite sous ma couverture. Surprise, je lui demandai :
Mais, Dylan ! Qu’est-ce que tu fais ?
La main de Dylan se faufila entre mes cuisses. Je serrai mes cuisses de toutes mes forces sur sa main en repliant en même temps mes jambes jusqu’à mon ventre, tout en essayant de dégager son bras de mes deux mains, mais bien sûr, je n’avais pas assez de force. Dylan me répondit :
Mais ! C’est toi qui a commencé là !… Tu me donnes encore envie !
Mais ! Dylan ! Arrête ça !… Mais t’es un gourmand ! On vient juste de le faire !
Dylan répliqua :
Qui pourrait résister à une aussi jolie salope comme toi ?
La main puissante de Dylan atteignait déjà mon sexe. J’eus un sursaut accompagné d’un petit cri, puis un autre cri plus prononcé ressemblant à un fort gémissement en sentant mon vagin se faire pénétrer en s’ouvrant assez largement. Aussitôt, Dylan me lança :
Hummm ! Tu t’es vraiment bien fait souiller là ! Mes doigts glissent tous seuls là-dedans !
Cette sensation de pénétration me faisait carrément perdre la tête que je réalise ayant bien plus qu’un doigt bien enfoui dans mon intimité. Dylan m’avait carrément mis deux bons doigts, et connaissant parfaitement ses doigts de sportif bien gros et durs, je ne pouvais y résister bien longtemps, mais ses mots si osés déclenchèrent instantanément mon plaisir. Curieusement, je ressentais un grand gène de trouver les doigts de Dylan bien agiles et assez agréables. Je gémissais très timidement à chaque fois que son doigt franchissait un peu plus l’entrée de mon vagin et écrasait en même temps mon clitoris un peu trop vite de nouveau gonflé de désir. Je finis enfin par tourner mon regard à son opposé pour cacher ma honte. Dylan enfonçait davantage ses doigts jusqu’à entièrement dans mon vagin. Je gémissais plus fort, et mes mains ne faisaient qu’accompagner son bras entre mes cuisses toujours bien serrées l’une contre l’autre.
Tout à coup, Dylan changea le ton de sa voix, et m’ordonna :
Écarte tes cuisses, ma salope de grande sur !… Et regarde-moi quand je te parle !
Timidement, je retournai mon regard vers le sien. Et toute tremblante, j’écartais doucement mes cuisses déjà relevées pendant mes débattements, et offrais à Dylan une totale liberté de mieux orienter sa main vers mon sexe. Ses doigts se glissèrent fièrement dans mon intimité me procurant une sensation de plaisir vraiment bizarre et très intense que je me morde la lèvre inférieure pour exprimer mon désir tout en m’empêchant de gémir trop fort. Bizarrement, cette honte de me laisser si facilement gouverner par mon petit frère se transformait en forte excitation. Je semblais être hypnotisée par sa voix si autoritaire. Dylan me sourit, puis me murmura :
Hmmm ! C’est bien ma grande sur. Ma salope. On va bien s’amuser tous les deux, n’est-ce pas ?
Je devinais parfaitement le désir de nouveau dans les yeux de Dylan. Et bien malheureusement pour moi, ce petit jeu bien pervers semblait me procurer un drôle de plaisir. Dylan me fixa profondément dans les yeux, puis ajouta :
Je vois que tu as autant encore envie que moi !
Dylan approcha son visage du mien, et posa ses lèvres sur les miennes. Il m’embrassait langoureusement en aspirant et en léchant mes lèvres pulpeuses. Curieusement, l’activité de ses doigts diminuait d’intensité et devenait beaucoup plus douce dans mon vagin. C’était comme s’il décida tout à coup d’apprécier le doux contact de ses doigts contre la fine paroi de mon vagin si bien inondée de mon jus d’excitation et de sa semence encore bien présente. Nos langues se mélangèrent un court instant que Dylan relève tout à coup sa tête en grimaçant un peu. Tout en me fixant dans les yeux, il me révéla :
Ta bouche à encore l’odeur du sperme, et je suppose que ce goût bizarre c’est aussi du sperme ! Beurk !… Comment tu peux aimer ça ?
Curieusement, ces quelques mots de Dylan m’amusaient. Je lui souriais malicieusement en ondulant volontairement mon bassin pour mieux ressentir les frottements de ses doigts dans mon vagin. Puis fièrement, je lui murmurai :
Il n’y a que les filles bien salopes qui adorent bouffer du sperme !
J’aurais certainement dû me taire que de suite Dylan me répondit :
Donc, tu en es une, bien salope !… Hummm ! Ma grande sur salope ! Ma salope !
Je rougissais en essayant de cacher mon regard trop timide. Dylan ôta doucement ses doigts de mon vagin, et les présentant juste devant ma bouche, il me murmura :
Je veux que tu sois encore plus salope pour moi… Si tu acceptes, lèche mes doigts !
Les paroles de Dylan m’inquiétaient un peu. Tremblante, je lui demandai :
Ça veut dire quoi encore plus salope ?
Dylan réfléchissait. Puis, curieusement, il dirigea sa main vers ma poitrine, et essuya ses doigts sur la pointe de mes seins. Aussitôt fait, il approcha son visage de ma poitrine, et à ma grande surprise, il lécha mes pointes une à une. Le contact de sa langue caressant mes bouts si sensibles me faisait agréablement frissonner. Dylan en profitait aussi pour se replacer allongé sur moi. Je surprenais son sexe de nouveau en érection se promener sur ma hanche. L’excitation ne m’ayant pas quittée, je le laissais tout tranquillement se positionner entre mes cuisses que j’écartais assez généreusement pour le recevoir. Encore une fois, sans même une assistance, son pénis trouva directement l’entrée de mon vagin encore si humide, et me pénétra lentement. Je gémissais doucement en appréciant dans les moindres détails le frottement de son pénis dans mon vagin.
Dylan étant entièrement collé contre mon corps semblait lui aussi autant vouloir apprécier ce doux moment, mais curieusement, il semblait toujours être en réflexion.
Je gémissais un peu plus fort pour l’encourager à me donner de ce genre de bon plaisir en me prenant plus fort, comme il le faisait toujours, mais tout à coup, il stoppa ses mouvements, se releva, et me dit :
On a beaucoup de choses à faire aujourd’hui, alors on va arrêter là !
Je ne comprenais plus rien. Mais j’avais un fort pressentiment que cette réaction de Dylan avait un rapport avec cette histoire de salope qu’il attendait de moi.
Drôlement très déçue, je sentais le sexe de Dylan se retirer doucement du mien. Je profitais pour encore savourer ce dernier doux frottement de son pénis gonflé contre la fine membrane de mon vagin dont les muscles se contractaient comme pour essayer de retenir son hôte qui s’échappa malheureusement. Je laissai échapper un tout petit gémissement de tristesse, mais aussi d’un peu de soulagement. Dylan ne me lâchait pas du regard. Je rougissais et je frissonnais en le regardant descendre de mon lit. Mes yeux continuaient d’observer son sexe tout raide se balançant dans tous les sens. Dylan me tourna enfin le dos, gardant son short dans sa main gauche, il se dirigea vers la porte. Il me lança encore un nouveau regard profond avant de disparaître dans le couloir.
Je n’avais pas vraiment le choix, et Dylan avait certainement raison. Même si je restais sur ma faim, je devais rester concentrée sur mon dîner d’anniversaire.