Je ne réponds pas à ses questions inquiètes sur cette pratique inconnue pour elle, et la détache puis l’emmène en la tenant par la boucle en métal de son collier jusqu’à un cheval d’arçon sur lequel je lui ordonne de s’allonger à plat ventre.
Bien maladroitement elle s’exécute. Je dois la faire se repositionner plusieurs fois, mais l’essentiel est là : son magnifique cul est bien exposé, au bout du coussin circulaire, et j’ai une vue imprenable sur sa tirelire brillante appuyée sur le vieux cuir et entrouverte, et sur sa petite rosette.
« – Ma belle, puisque vous vous montrez bien docile et obéissante, pour le moment je ne vais pas vous rattacher Enfin, on verra après Pour les photos. »
Je prends de nombreux clichés tant sur la vue de derrière que de profil, sur la courbe sensuelle de son dos et de ses reins, et sur ses nichons qui pointent vers le bas, pendant piteusement à la verticale.
Je me saisis d’un tube de gel lubrifiant et en verse une bonne dose dans la raie de ses fesses, visant bien la petite cible froncée en particulier.
Puis je vais chercher un plug de taille moyenne, un bel et vieil objet en cuir souple.
Il est temps de passer aux choses sérieuses
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Je ne m’attendais pas à ce genre de choses. Surtout qu’il m’avait dit que nos relations seraient juste pour des photos. Mais intérieurement je m’en réjouis. Par contre le lubrifiant sur mon petit trou m’inquiète. Je pensais à quelque chose de plus commun.
De plus il aurait pu me pénétrer la chatte sans lubrifiant car je suis trempée. Même si la partie violente des fessées m’a plutôt refroidie, je dois dire que penchée ainsi en avant par-dessus un banc est ma position préférée !
Il revient vite et j’entends le déclic de son appareil. Il semble prendre des clichés de mes longues jambes tenant debout sur mes bottes aux talons aiguilles. Il caresse mes fesses ce qui me fait trembler un peu. Il prend des photos de sa main sur mes fesses. Ses doigts viennent dans la raie de mes fesses. Ma conscience me dit de partir, de crier. Mais j’écarte un peu les jambes pour lui donner meilleur accès. Ses doigts passent sur ma vulve et je couine, puis ils sont sur mon anus. Il passe bien le lubrifiant sur cet endroit. Je miaule, "pas par-là" avec une petite voix. Je sens un objet pousser mon orifice. Le lubrifiant aidant il est rapidement au fond de moi. Il ressort puis rentre en moi encore. Je couine car cela fait quand même un peu mal même si son sexe n’est pas bien gros. Il pratique ainsi plusieurs allers-et-retours et je me laisse faire.
Des déclics, et soudain je vois ses pieds à côté de moi. Puis il vient devant moi. Je comprends que ce qui me pénètre est un jouet sexuel. Je pousse un soupir de soulagement ou de dépit.
Je regarde en haut et vois son entrejambe et l’énorme bosse qui déforme son pantalon. Je suis comme paralysée réalisant à quel point il semble bien trop équipé. Je ne peux m’en empêcher et ma main vient caresser sa cuisse puis remonte lentement
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Elle a protesté mollement quand j’ai posé l’extrémité du plug sur sa rondelle mais je n’en ai pas tenu compte. Des simagrées de chochotte. Avec un cul pareil qu’elle ose prétendre qu’elle ne s’est jamais fait prendre le petit.
Surtout que son petit trou est des plus appétissants : un petit illet bistre, bien net, bien rond et bandant comme je n’ai jamais vu !
J’ai poussé et l’objet a forcé sa petite rondelle qui a cédé sans trop de problème. Elle n’a même pas crié, elle a soupiré, la chienne ! Mais c’est que j’ai l’impression qu’elle aime ça !
Il est rentré en elle et je lui ai fait faire quelques aller-et-retours, tout en mitraillant avec mon reflex dans l’autre main ; je venais juste de prendre des clichés de son cul, fesses ouvertes, bien déployées sur tous les angles. Et également de ma main bien appuyée sur sa fesse comme si elle venait de lui appliquer une claque. Cliché intéressant pour avoir l’échelle : j’ai pourtant des grosses paluches mais la dame a vraiment des fesses bien larges, on ne dirait pas à la voir comme ça, ah elle est bien pourvue la salope !
Quand je me déplace et arrive à hauteur de ses épaules, lui laissant le plug bien enfoncé dans le cul, elle a tourné sa tête vers moi et j’ai vu à son air incrédule qu’elle venait de comprendre que c’est un objet que je lui avais enfoncé. Quelle chienne, elle croyait que j’étais en train de l’enculer et elle n’avait même pas protesté. Ma parole, elle n’attend que ça !
Je comprends mieux maintenant pourquoi sa mouille lui dégoulinait pareillement sur l’intérieur des cuisses, presque jusqu’aux genoux, et pourquoi sa vulve toute rose était si gonflée. En tout cas mon reflex n’en a rien perdu ! Quand elle verra son anatomie en gros plan, quelle honte elle aura !
Maintenant, tandis que je photographie ses beaux cheveux, sa jolie petite gueule, et ses beaux nichons à faire bander un mort, je vois qu’elle louche sur mon entre jambes. Elle ne peut ignorer la gaule qui déforme mon pantalon moulant le tend à me faire mal. Elle ouvre des yeux comme des soucoupes : on dirait qu’elle n’a jamais vu un chibre de cette taille, même encore moulé par le cuir.
Et c’est pas vrai, j’hallucine : elle lève son bras et sa main caresse ma cuisse en remontant hésite un peu et continue : elle me caresse le paquet, sa jolie petite main aux ongles rouges vernis de bourgeoise de galerie me caresse doucement la pine ! Elle en a vraiment envie, elle va l’avoir !
Ma main droite appuie sur sa nuque, lui faisant bien sentir mon emprise, tandis que de ses jolis doigts elle caresse en de longs va-et-vient la moulure de ma colonne phallique.
Je pose un instant l’appareil sur son dos lui recommandant de ne pas trop bouger (je ne voudrais pas qu’il tombe, un reflex à plus de mille boules !) : ma main gauche dégrafe ma ceinture et je lui ordonne de me déboutonner ma braguette, et d’extirper la bête.
J’ai repris l’appareil et photographie en gonzo tant bien que mal.
Elle arrive de sa main gauche à tout déboutonner elle est douée, plutôt habile. Elle écarte les pans de cuir, baisse mon boxer et sort ma grosse queue qui a une forme étonnante. Elle roule encore plus des yeux ; elle sent la chaleur de la grosse colonne dure entre ses doigts, je crois bien qu’elle n’en a jamais vue une de cette taille.
Je m’approche un peu plus, l’il dans le viseur, et lui déclare :
« – Allez-y, prenez- le en bouche, vous en mourrez d’envie. »
Mais elle hésite un peu, lève ses yeux vers moi et déclare en minaudant :
« – Oui, mais arrêtez de prendre des photos »
Je lui réponds :
« – Désolé, je ne paie que pour les photos, je vous paierai pour celles-là aussi. Ça sera un bonus pour vous, et moi je les veux pour ma collection personnelle ». « Ma catin personnelle » j’ai envie de lui dire, « ma collection de salopes » mais je ne veux pas la choquer.
Elle cède, elle en a trop envie. Je sais qu’elle coule comme une salope. Elle prend l’objet entre ses lèvres, elle doit ouvrir grand la bouche pour absorber le gland, plus gros qu’une balle de golf.
J’adore son expression. Ses lèvres dilatées. Les clichés tombent en rafale.
° ° °
Me voilà dans une situation inattendue. A cheval sur le ventre sur un chevalet. Vêtue juste de mes bottes dont les talons aiguilles grincent sur le sol et de mes bas autofixants beiges.
Mais maintenant il pousse son membre massif dans ma bouche. Un membre comme je n’en avais jamais vu avant. Son gland me force à ouvrir les mâchoires en grand. Je lèche le tour du gland pour attiser ces zones plus sensibles en dessous. Il ronronne
Je m’assure que mes cheveux couvrent le haut de mon visage alors qu’il prend des photos. Que suis-je en train de faire ? Je ne suis pas une fana de fellation mais je ne pouvais pas attendre de prendre sa queue dans ma bouche. Je me redresse un peu. Il pousse un peu plus et bientôt ma tête rebondit sur sa queue. J’étouffe et les sons qui sortent de ma gorge sont plus des « gguurgggglll » qu’autre chose. Je bave copieusement sur sa bite. Il bande comme un fou en prenant des photos de cette femme bcbg qui se plie à ta volonté et devient sa chienne.
° ° °
J’ai bien entendu accroché une laisse courte en cuir tressé au mousqueton de son collier de chienne.
Je ponctue ce geste d’une justification bien sentie :
« – Les bourgeoises ça se dresse, il faut les tenir bien court, comme les dogues ! »
Je lui replonge ma queue dilatée dans sa bouche (elle a eu un répit de moins de quatre secondes) et je lui tiens ainsi la nuque relevée pendant que je commence à lui besogner sa belle gueule. Je suis sûr que c’est sa première gorge profonde mais elle m’étonne, elle encaisse bien ! Ah, elle apprend bien, elle apprend vite, quelle bonne élève.
En tout cas, bonne, je ne peux parler que de sa bouche pour le moment, mais celle-ci est délicieuse, douce, soyeuse. Malgré les gargouillis que je lui inflige en allant buter à chaque coup de bite sur ses amygdales, son pharynx, elle s’applique, se concentre : ses lèvres sucent consciencieusement, sa langue me caresse.
Je l’encourage, je caresse ses cheveux, je la flatte : j’attrape son nichon qui pend et le pétris fermement, faisant rouler la pointe qui est toute érigée, toute dure.
Ah il va falloir que je lui fasse goûter aux pinces à seins j’ai hâte de l’entendre couiner, gémir, supplier je mitraillerai son visage, ses grimaces.
Elle m’excite : j’ai envie de voir les larmes jaillir de ses yeux, sous une fessée sans douceur, sans pitié, ou lors de la pose de pinces puissantes sur ses mamelons tendres et novices On verra après.
En tout cas, une chose est sûre : je placerai un grand miroir vertical (j’ai une psyché très ancienne dans l’appart, ça tombe bien) devant son visage avant de la sodomiser pour ne rien perdre de son expression et de son visage déformé, de ses yeux implorants, de sa bouche ouverte sous ses cris stridents, quand je vais enfoncer ma grosse queue dans son petit trou étroit !
(Ah oui, j’aime les enculer les bourgeoises surtout quand elles ont atteint la quarantaine !)
Pour l’heure j’ai placé l’appareil photo sur un trépied à un mètre cinquante, bien visé, et j’ai pris la télécommande du déclencheur. L’objectif est braqué sur son visage alors que ma queue monumentale va et vient dans sa bouche délicate ; j’ai limpression de commettre une profanation, un acte contre nature, je me régale !
Je la besogne, je mitraille. On voit son rimmel couler sur ses joues en train de se déformer, sa gorge grossir comme celle d’un crapaud qui chante, mes mains la tenir de chaque côté par les cheveux et les tempes, quel pied !
Elle suce, me pompe péniblement, plus forcée que volontaire, elle essaie de suivre le rythme, elle est à la peine ; je ralentis, je la guide (elle a besoin d’être menée, d’être dirigée, cette chienne bcbg), et lui dis :
« – Je ralentis, concentre-toi bien sur ta tâche, suce comme une belle salope, la belle salope que tu es Allez, sors ta langue, tire la bien tout en me pompant, lèche-moi les couilles ! C’est ça, c’est bien, tu es une bonne femelle, une délicieuse soumise, je vais bien m’amuser avec toi, je vais bien jouir de toi Et toi aussi, je sais que tu vas prendre ton pied ! »
Mais il va falloir qu’on passe à d’autres plaisirs à d’autres photos plus croustillantes encore.
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Je suis haletante. Être penchée en avant ainsi avec la tête presque en bas n’est guère confortable
Maintenue sur les talons hauts de mes bottes je suce avec bonne intention ce monstre qu’il a.
J’ai maintenant mal aux mâchoires à force de tenir la bouche grande ouverte. Chaque fois qu’il arrête de violer ma gorge comme personne n’a jamais osé le faire, je prends une respiration. Pour une raison que j’ignore, je commence à m’appliquer, je commence à vénérer cette queue massive. Je lèche le pourtour de son gland. Je passe du temps sur les points sensibles avec ma langue.
Ses grognements de plaisir me disent que je fais bien mon travail. Mais cela n’est pas le temps de la tendresse. Il tire ma laisse et me force à me relever. Il me force à me tenir plus droite. Je suis juste avec la poitrine sur le chevalet. Mes longues jambes poussées en haut avec les talons hauts. Je commence à le supplier :
"Non pas avec ça, c’est trop gros, oh mon dieu," Il regarde les lèvres gonflées de ma féminité. Caressant la ligne qui les séparent il sent l’humidité qui est au milieu. Il rit un peu en appuyant sur le bouton vidéo de ton appareil.
Plaçant son gland contre ma chatte bien offerte il déclare :
« – Bienvenue Jenna, maintenant tu vas rencontrer ton maitre. »
Sa grosse bite rentre en moi, m’arrachant un cri de pucelle.
° ° °
Sa chatte est vraiment baveuse, je prends plusieurs clichés : on voit distinctement des filets de mouille épaisse pendre de ses lèvres roses et osciller ! La honte qu’elle va avoir quand elle verra ces clichés !
Elle est délicieusement ouverte et une pareille réaction physiologique la trahit, elle la bourgeoise qui paraissait si prude et si réservée, son sexe ainsi luisant ne veut dire qu’une chose : « je suis une salope qui n’a qu’une envie : se faire baiser, se faire saillir, et tout de suite ! »
Je ne peux m’empêcher de lui dire : « ah si vous voyiez votre chatte, ma chère, toute brillante de mouille, c’est un aveu : elle vous trahit, et parle pour vous. Elle démontre que vous aimez exhiber votre corps ainsi, voire même que vous aimez être soumise, être traitée comme une chienne. N’est-ce pas ?
—
— N’EST-CE PAS ?! » répété-je en tirant brusquement sur la laisse, ce qui redresse brutalement son cou et sa tête. Elle se cabre, cambrant délicieusement les reins :
— Oui c’est vrai, j’avoue ! »
Je ne vais pas la faire languir trop longtemps. Elle est magnifique ainsi, ses fesses bien déployées, son cul généreux orné en son centre par le plug en cuir noir dont ne ressort que le petit manche.
« – Ah elle vous fait envie, hein, ma grosse queue ?! Eh bien tu vas l’avoir ! »
Elle me fait bander plus que jamais avec ses bottes à hauts talons. J’aurais dû lui mettre un chapeau texan sur la tête et j’aurais l’impression d’enfiler la pouliche d’un ranch chic, une de ces poules américaines qu’on voit traîner dans les rodéos, en mini-short moulant, cuisses à l’air et bottes, prêtes à se faire culbuter contre une barrière
J’assène deux grosses claques bien fortes sur chacune de ses fesses souples et charnues ; elles sont accueillies par des cris stridents mais je ne la laisse pas souffler :
je me place juste derrière sa vulve ouverte et juteuse et le gland renflé se fraie tant bien que mal un chemin dans l’ouverture de sa chatte. Je m’enfonce lentement. Elle est serrée et brûlante.
D’autant que le plug appuie sur la paroi postérieure de son vagin, et au fur et à mesure que je m’enfonce en elle, mon membre le refoule et elle doit avoir l’impression que son rectum se laisse envahir par dedans. (Mais elle ne perd rien pour attendre, j’explorerai son boyau, ses entrailles, avec ma queue énorme. Ça sera l’étape suivante)
Je finis par buter dans le fond de sa chatte, refoulant son utérus et ses ovaires, et pourtant ma queue ne peut rentrer qu’aux deux tiers. Je n’appuie pas encore, mais elle se rend bien compte de l’énormité de mon organe ; elle doit anticiper et savoir combien elle va se faire ravager la chagatte, combien je vais lui enfoncer et lui défoncer le fond de son ventre !
J’ai évidemment pris des clichés en gonzo sur chaque étape de cette pénétration. On verra ma grosse et large pine lui écarter ses jolis pétales baveux et le plug bouger dans son anus de façon bien émouvante.
Je prends sa taille à deux mains et commence à la saillir en cadence, mais lentement, et en douceur : elle doit se sentir prise, et doit me sentir passer, sortir et re-rentrer, sur toute la longueur. Elle gémit comme une jeune chienne.
Je sors juste un moment à regret de sa bonne chatte, et prends le déclencheur ainsi que des pinces à seins que j’avais rangées dans un tiroir.
Je m’accroupis près de sa poitrine de telle manière à ne pas me placer entre l’objectif et ses seins ; puis je tire sur un nichon, l’allonge, me saisis d’une pointe érigée, puis je pose et referme une pince juste sur la pointe du mamelon : elle se met à beugler comme une vache.
Grâce au retardateur, des rafales partent de mon reflex. Je suis content de mon effet et de la précision.
La petite chaîne se balance au bout de la pince accrochée à son téton. Il ne me reste plus qu’à les relier en posant l’autre pince, espérant qu’elle va gueuler autant : elle m’excite !
(A suivre)