Par une chaude nuit d’été, je m’adonnais à une agréable promenade nocturne. En chemin j’entendis un ’Ploufff’. Cherchant à savoir d’où venait ce bruit, je m’aperçu que ça venait d’une cour pas très loin. Je m’approchai lentement de la clôture. Profitant d’un trou je m’en approchai pour voir qui profitait d’une baignade nocturne. C’est là que je t’ai vu. Tu étais nue. Tu dansais dans l’eau comme une sirène. Ton corps ne fesait qu’un avec l’eau. On dirait que tu fesais l’amour avec l’eau. À moins que c’était l’eau qui t’aimait ainsi… Tu sortis de l’eau lentement. La pleine lune faisait ressortir tes formes parfaites. Tes cheveux descendaient jusqu’aux reins et fesaient couler l’eau sur tes fesses. Puis comme un hymne à la lune, tu t’es mise à danser. Avec grâce et souplesse, tu te déhanchais et fesait des mouvements acrobatiques qui fesaient resortir tes courbes dans toute leur splendeur. Là c’est avec l’air chaud de l’été que tu faisais l’amour. Tes mains parcouraient tout ton corps, sans retenue, sans pudeur. Avec fougue, comme pour immiter un amant invisible. Tu t’es allongée dans une chaise longue qui par hasard était juste bien placée pour que je sois aux premières loges d’un spectacle inoubliable. De tes deux mains tu massais, tu caressais tes seins voluptueux, en emmenant parfois les mamelons vers le bout de ta langue. Puis, tes mains descendaient vers ton ventre que tu chérissais avec tendresse. Puis c’est avec hâte que tu atteignit ton nid intime. Tu commençais par effleurer du bout des doigts le contour des grandes lèvres. Puis deux de tes doigts pénétrèrent jusqu’au fond de ton coffre au trésors, t’arrachant un cris de plaisir. Après un long moment tu reportas tes doigts à ta bouche pour goûter le nectar d’amour que tu avais si merveilleusement bien fais jaillir de ton antre. Moi je te regardais, silencieux discret. Je rêvais d’être à la place de tes mains. Je voyais mon sexe bien droit et bien dur compléter l’ouvrage de tes doigts. Il y avait devant moi, un hommage à la vie, à la beauté, à la grâce… Tu étais émouvante… Tu étais toi… Tu étais belle… Juste belle. Tu as pris une serviette pour finir de te sécher. Puis avant d’entrer chez toi tu as regardé dans ma direction. Moi qui étais certain que tu ne me voyais pas, je t’ai vu sourire. Ce sourire s’adressait-il à moi…? Je devais en avoir le coeur net… J’y retournerais la nuit suivante… Par chance, la nuit était encore plus chaude que la nuit précédente. Cette fois, ma promenade n’avait rien d’une marche de santé. J’en étais même, presque à la course. Arrivé tout près j’entend à nouveau le ’Ploufff!!!’. Tu es là… Je cherche avec frénésie le trou dans la clôture. Mais je ne le trouve plus. On dirait que tu avais fais les réparations. Alors que je cherchais une autre ouverture, j’entendis la porte de la clôture s’ouvrir. Je ne t’ai pas vu tout de suite… Jusqu’à ce que tu me cris… ’Salut!!!’ Je me retourne et tu étais là dans l’embrasure de la porte. Tu étais nue, sans gêne, sans pudeur. Le clair de lune fesait de toi un chef d’oeuvre de la création. J’étais incapable de dire un mot, sauf peut-être… ’Ssssa sa salut’ bégayé maladroitement. Tu m’as dis ’il fait chaud hein…?’ J’ai répondu ’Heu… oui oui’. Comme si je n’étais pas certain de la réponse. Alors que j’étais déjà trempé de sueur. ?tait-ce vraiment la chaleur? Ou bien toi…? ’?a te tenterais pas de venir te baigner? L’eau est bonne…’ ’Heu… Ben… J’ai pas de maillot’ que j’ai répondu bêtement. ’T’es drôle toi!!! Moi non plus j’en ai pas… Allez ça va te faire du bien, tu es trempé de sueur’ Heu… J’sais pas… ’C’est comme tu veux, mais tu manques quelque chose… En tous cas tu es la bienvenue. Moi j’y retourne…’ En laissant la porte ouverte, tu retournas à ton ballet aquatique. Grâcieux, sensuel, beau. Moi je restais là, devant l’entrée de la cour. Et j’essayais de trouver une bonne raison de ne pas y aller. Y en avait pas… ’Ha et puis tant pis’ que je me suis dit. J’avançai lentement vers la piscine. Je trempai ma main dans l’eau. ’C’est vrai qu’elle a l’air bonne’. ’Super!!! Allez, déshabille toi et plonge’ que tu m’as lancé avec enthousiasme. Je n’avais sur moi, qu’un t-shirt, des shorts et une paire d’espadrilles. Il m’a semblé prendre une éternité pour enlever le tout. Toi tu me regardais toute souriante, riant parfois de mes maladresses. Alors qu’il restait mes short à enlever tu m’as demandé si tu pouvais m’aider. Sans attendre ma réponse, tu as agrippé mon short et tu m’as jeté à l’eau. ’Alors tu l’enlèves? Qu’on soit enfin à égalité? Tu m’a aidé frénétiquement à l’enlever. ’J’t’avais bien dis que l’eau était bonne hein…?’ Et tu continuas de nager, à faire l’amour avec l’eau. On dirait que l’eau jouait avec tes formes, qu’elle t’embrassait. Tu tournais autour de moi qui étais encore figé par l’émotion. Mais quelque chose de moi n’était pas figé. Je sentais mon sexe, se mettre au garde à vous. Se dressir, se durcir sous l’eau. Ce qui me gênait encore plus. Alors je me disais qu’en nageant un peu je réduirais la pression… Nous voilà donc tous les deux… Nus, dans l’eau sous le clair de lune, accomplissant une poétique chorégraphie marine. Alors que je me relevai pour reprendre mon souffle, tu arriva devant moi sous l’eau. Tu t’arrêtas devant mon membre viril. Puis tu te relevas pour reprendre ton souffle. En sortant de l’eau tu m’as fais un sourire irrésistible tout en passant ta langue autour de tes lèvres pulpeuses. ’Tu… Tu… Tu es belle’ que je réussis à te balbutier… ’Merci beaucoup’ que tu me répond… ’Tu aimais ça m’espionner hier…?’ Voilà la question que j’avais peur que tu me pose. ’Je… Je… Je m’excuse’ commençais-je. Mais tu me coupas la parole en disant… ’Je savais que tu étais là… C’est pour ça que j’ai voulu t’en donner pour ton argent… Comme ça, ça t’as plut…?’ ’Tu as fais ça pour moi?’ te demandais-je… ’Ben oui’. ’Tu étais, sublime’. Que je réussis à te dire enfin, à cours de qualificatifs. Finalement tu me demandas…’Tu veux faire l’amour…?’ ’Ben heu!!!’. Sans me laisser le temps de répondre, tu as pris mes mains et les a déposé sur ta généreuse poitrine. À cet instant, comme inspiré par le clair de lune, ma gêne et ma pudeur s’envolèrent comme par magie. Je succombai alors à la passion que tu dégageais. Immédiatement ma bouche se souda à la tienne pour s’offrir un langoureux baiser. On s’est même laissé glisser dans l’eau pour continuer notre étreinte passionnelle. On n’avait nul besoin de refaire surface car on se donnait mutuellement notre oxigène vitale. Au bout d’un moment, je te pris dans mes bras… Aidé par l’eau, tu pesais à peine une plume. Je t’aidai à t’asseoir sur le rebord. Puis je sorti de l’eau à mon tour. Te voyant offerte, dans toute ta splendeur, je n’ai pu résister à l’envie de litéralement dévorer ton corps. À partir de ta bouche, tes oreilles, ton nez, ton cou, tes seins… Aucune partie de ton corps n’échappa à mes baisers et à ma langue qui te savourait avec fougue et passion… Prenant ma tête entre tes mains tu me dirigea entre tes cuisses pour me laisser goûter ton nid intime… Je ne cessais de savourer ce fruit chaud et tendre que tu m’offrais. À chaque coup de langue je t’entendais gémir. Et parfois, la contraction de tes muscles m’en disait long sur le plaisir que tu éprouvais. Pendant que je te dégustais avec ardeur, mes mains ne chômaient pas. Je massais tes seins avec vigueur pendant que ma bouche abandonnait to vagin avec regret pour entreprendre une ascenssion vers le haut de ton corps sans que ma langue ne quitte ta peau. Je sentais la chaire de poule t’envahir et je savais que la température n’était pas en cause… C’est avec un plaisir non dissimulé que ma bouche atteigni enfin les bouts de tes seins bien durs. Je ne perdis pas de temps à me régaler de leur texture, de leur fermeté. Je les savourais comme un nouveau né. Puis, m’emprisonnant dans tes bras, tu nous a fais pivoter, me retrouvant à mon tour en dessous de toi. Sans prendre de détour, tu as pris mon sexe entre tes mains et le mis dans ta bouche. Tu commenças aussitôt un énergique va et viens tout en bougeant ta langue. Moi je n’ai pas tardé à t’avertir d’une imminante explosion. Là tu ralenti la cadence… Puis, d’une main caressant les testicules et de l’autre empoignant la verge, tu regardais avec passion mon membre gonflé à bloc et brûlant de désir. Je pouvais presque sentir ton regard me toucher. Sans avertir, tu te cambras et me cheveauchas. Mon missile ne tarda pas à trouver sa cible. Tu fesais onduler ton bassin vigoureusement tout en prenant mes mains pour tenir ta poitrine qui se balançait grâcieusement. Tu gémissais, tu criais ton plaisir. Tu t’en mordais les lèvres. Quand je t’avertis que cette fois je ne pourrais pas retenir l’explosion, à ma grande surprise tu te retiras. Tu continuas de me masturber à la main et tu me regardais comme si tu ne voulais rien manquer du feu d’artifice. C’est par de grandes et généreuses giclées que je fini par exploser de plaisir en ayant peine à retenir un cri. Tu continuais la masturbation pour tout faire jaillir jusqu’à la dernière goutte. J’étais presque couvert de mon nectar d’amour… Sur le ventre, jusqu’au cou. Et toi tu as entrepris de tout lécher, comme pour mêlé la saveur de mon sperme à celle de ma peau. Une fois bien léché tu t’es étendues sur moi et nous sommes resté là emprisonné tout deux dans cette étreinte que nous ne voulions plus relâcher… C’est là qu’on entendit la porte de ta maison s’ouvrir. Au début j’ai sursauté. mais quelle ne fût pas ma surprise de voir arriver ta copine elle aussi nue qui allait prendre son bain de minuit. Allait-on oser l’inviter à se joindre à nous…? Nous restait-il encore assez de force…? ?a c’est une autre histoire qui sera peut-être raconté une autre fois…

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