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Gwendoline – Chapitre 10




Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et jai 31 ans. Je mesure 1m70 pour 55 kg. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Je travaille dans une agence bancaire où il marrive beaucoup daventures coquines.

Travaillant comme secrétaire depuis 2007 dans la banque où je suis toujours actuellement, après 7 ans on vient de me proposer de devenir conseillère financière. Cela fait donc maintenant deux mois que je suis en stage de formation. Après un mois de formation aux produits financiers de notre groupe bancaire, je suis maintenant en stage de formation/application dans l’agence du groupe qui se trouve à proximité des bureaux de notre direction régionale.

Et vous ne devinerez jamais, un des formateurs n’est autre que Marc, le directeur dagence où j’avais fait un stage juste après mon embauche. Bientôt la quarantaine, diplômé dune école de commerce, mignon et craquant, avec qui j’avais eu une petite aventure à l’époque avant d’apprendre juste à la fin de mon stage qu’il était marié !

Toujours aussi mignon et craquant, je me suis vite aperçue qu’il ne m’avait pas oublié.

En l’honneur de l’anniversaire de l’un des stagiaires, il fut décidé d’un petit repas au restaurant. Repas qui se déroula dans une ambiance joyeuse favorisée par les verres de boissons alcoolisées qui furent consommées. Sous l’effet de l’alcool quelques réflexions plus ou moins graveleuses se firent, rien de bien grave. À la fin du repas, Marc proposa de continuer la soirée en boite et nous ne fûmes que cinq à accepter, un nommé Édouard, deux autres filles Julie et Eva, Marc et moi.

Arrivés dans une boite voisine, nous avons encore un peu bu et dansé. Au bout d’un moment Edouard rentra, il raccompagna Julie et Eva. Nous ne restâmes alors que Marc et moi en train de danser.

Une série de slows commença. Marc minvita et je me rendis vite compte que quelque chose avait changé, il me serrait de beaucoup plus près, ses mains descendaient beaucoup plus bas sur mes reins et sa bouche venait effleurer mon cou. Je fis comme si je ne me rendais compte de rien. Au slow suivant, je me suis vite rendue compte que ses intentions étaient peut être plus quamicales. Malgré notre aventure passée, le fait qu’il était marié, et sans doute favorisé l’alcool, je me laissais faire, curieuse de savoir jusquoù il allait aller.

Ses mains se firent de plus en plus précises, nhésitant pas à faire glisser la fermeture éclair de ma jupe et à y glisser une main. Sa bouche mordilla mon cou et chercha ma bouche, son ventre se colla au mien, me faisant sentir son désir. Je me laissais faire. Lorsque la série de slows sarrêta, je tentais de résister à ses mains qui remontaient le long de mes cuisses, mais lorsque Marc, une main sur ma nuque pour me bloquer la tête, colla sa bouche à la mienne, mes défenses tombèrent brutalement. Ma bouche souvrit pour accueillir sa langue, mes mains ne luttèrent plus, mon corps se détendit, mes cuisses sécartèrent.

Ses mains remontaient le long de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pus retenir un gémissement lorsquun doigt atteignit mon clitoris. Un reste de lucidité me fit penser à la folie de la situation, mais fut bien vite étouffé par sa bouche. Je me retrouvai dans un coin de la boite la jupe presque relevée jusquà la taille. Il ny avait plus dobstacle et il me caressa, membrassa et me pénétra de ses doigts jusquà me faire jouir brutalement, mes gémissements étouffés par sa bouche collée à la mienne. A peine avais je repris mes esprits qu’il se leva et, me prenant par les mains, mentraîna à lextérieur. Il nous dirigea vers sa voiture qui était garée un peu à l’écart sur le parking. Il s’appuya sur le capot de sa voiture, et ouvrit sa ceinture puis dégrafa son pantalon et descendit son caleçon qui tombèrent sur ses chevilles. Il découvrit ainsi son sexe qui commençait sérieusement à se dresser. Je tombais sans qu’il me le demande à genoux devant lui et mes lèvres se posèrent presque aussitôt sur son sexe. Je commençai par passer doucement ma langue tout le long et jaspirai délicatement lextrémité dans ma bouche, suçant tout en caressant avec ma langue. Par moments, le lui léchais tout le sexe, descendant jusquaux bourses pour revenir jusquau gland. Je le suce avec délectation ainsi pendant plusieurs minutes. Ensuite, il me demanda de me relever et de me pencher en avant sur le capot. Il souleva ma jupe et écarta le tissu de ma culotte. Il introduisit alors son gland entre les lèvres de ma vulve. Il lenfila dun coup dans mon vagin et commença de délicats va-et-vient sur toute la longueur de son sexe. Ses allers retours étaient pleins de délicatesse mais saccélérèrent bientôt. Dans cette position, il pouvait me pénétrer à fond et son sexe occupait tout lespace que lui proposait mon vagin. A chaque coup de reins, je lâchais un petit râle de plaisir. Il sarrêta bientôt pour venir lécher mon anus. Il insinuait sa langue délicatement au bord de mon petit trou. Prise par le plaisir quil me procurait je némis aucune protestation, bien au contraire. Il se releva bientôt pour venir présenter son sexe à l’entrée de mon anus. Il mencula doucement, mais fermement, bien à fond, me tenant par la taille, en haut des hanches. Excitée, je donnai même une légère poussée vers larrière et sa verge se retrouva facilement à lintérieur de mon conduit anal. Il ondulait du bassin afin de bien me caresser tout lintérieur avec son gland, choisissant le rythme qui me convenait, il mempalait. Je sentais sa verge gonfler, et une délicieuse sensation annonçait mon plaisir qui nallait pas tarder. Il m’annonça bientôt « Je vais venir en toi ! »

Il me devança de quelques secondes dans le plaisir, laissant échapper son sperme au fond de mes entrailles, alors que je gémissais. Je jouis alors que le plaisir me submergeait.

Il attendit un instant puis se détacha de moi. Il se rhabilla en regardant si nous n’avions pas attiré l’attention. Je me suis remise les vêtements et nous sommes montés dans sa voiture.

La remarque qu’il me fit au moment de m’asseoir à côté de lui, me rappela qu’il était marié : « Fais attention que ça ne coule pas sur le siège, ma femme pourrait se poser des questions ! ».

Il me ramena à l’hôtel où j’avais pris une chambre pour la durée du stage et me dit : « A demain ! ».

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