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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 1




Je m’appelle Hélène, j’ai 56 ans, parisienne BCBG, physique agréable et mariée à Henry qui a une excellente situation. Nous habitons dans le 7ème arrondissement de Paris, nos deux enfants ont fini leurs études et sont maintenant casés. Tout allait donc pour le mieux jusqu’à ce qu’un jour me mari me dise qu’il avait noté une baisse d’appétit sexuel chez moi. Il faut dire qu’avec le temps, nos ébats amoureux se faisaient plus rares et je reconnais que cela ne me manquait pas spécialement. Toutefois, ne souhaitant pas que mon mari se trouve une maîtresse pour apaiser ses envies, je me suis dit qu’il fallait que je fasse quelque chose.

J’hésitais sur la conduite à tenir. Aller voir un sexologue ne me disait rien et je ne me voyais pas en parler à ma gynéco ou mon docteur. Je n’avais donc toujours rien fait jusqu’à ce que je découvre sur un prospectus, distribué à la sortie du métro, les miracles que semblait réaliser un médium du nom de monsieur Mamadou Coulibadou. L’intéressé semblait pouvoir remédier à tous les problèmes de la terre : revers de fortune, perte d’emploi, envoûtement, déboires sentimentaux et perte de vitalité sexuelle. Le tarif d’une consultation était de 50 euros et payable seulement après résultats. Il me sembla plus facile d’aller me confier à un inconnu plutôt qu’à quelqu’un de ma connaissance et je me décidait donc à prendre un rendez-vous un lundi en milieu d’après-midi.

Le jour convenu, je me présente à l’adresse indiquée dans l’une des petites rues perpendiculaires au boulevard de Clichy à proximité du métro Pigalle. Je monte au second étage de l’immeuble et découvre sans peine la plaque de monsieur Coulibadou, grand guérisseur. J’entre, il n’y a personne et je m’installe dans une petite salle d’attente. Au bout de cinq petites minutes, une porte s’ouvre et un homme africain, grand et sec, d’un âge certain avec des cheveux blancs vient vers moi. Madame F., me dit-il, veuillez me suivre dans mon cabinet. Il me fait asseoir dans un fauteuil devant son bureau et, une fois installé de l’autre côté, me pose quelques questions sur ma vie, mes occupations et les soucis qui m’amènent à le consulter. Je me livre à lui et lui fait comprendre que je ne ressens plus beaucoup d’envies intimes avec mon mari. Il m’écoute avec attention et me relance quand il souhaite des réponses plus précises. Sa voix est chaude et agréable à écouter ; je me trouve en confiance avec lui.

C’est donc tout naturellement que je m’exécute lorsqu’il me demande de retirer ma robe et de m’allonger sur la table d’exposé située dans un coin de son bureau. C’est avec mes escarpins aux pieds et en simple lingerie soutien-gorge et culotte Aubade que je me retrouve allongée sur le ventre devant cet inconnu qui m’inspire pourtant confiance. Il me demande de fermer les yeux, de bien respirer et de ne pas m’inquiéter car il va me faire quelques palpations pour voir comment mon corps réagit. Après s’être huilé un peu les mains, il les pose ses mains sur mes chevilles, attend quelques instants, remonte derrière les genoux, attend de nouveau et continue ainsi jusqu’en haut de mes fesses. Puis, après m’avoir palpé le bas du dos par quelques pressions, il remonte progressivement jusqu’à ma nuque puis redescend vers mes poignets. Ses mains sont grosses mais pourtant très douces. Il me fait frissonner, pas de peur !

Il me demande alors de retirer mon soutien-gorge et ma petite culotte pour poursuivre son examen. Je fais donc ce qu’il me dit tout en remarquant que sa djellaba est bien déformée au niveau de son sexe. Puis il me demande de m’allonger sur le ventre et de toujours garder les yeux fermés. Cela faisait longtemps que je n’avais pas connu une situation aussi excitante ! Il me palpe de nouveau les jambes puis les bras. Puis soudain, je sens sa main se poser sur mon ventre, descend vers mon pubis et se glisser entre mes jambes. De sa main, il me fait comprendre que je dois les écarter. Je m’exécute docilement en ressentant une chaleur m’envahir le corps et la point de mes seins se durcir. Lentement, très doucement, son index s’insinue dans ma fente et me caresse l’intérieur de la vulve. Ma respiration s’accélère et mon ventre se gonfle. Ce sont maintenant deux ou trois de ses doigts qui m’explorent et c’est encore meilleur. Soudain, il porte son autre main à mon visage, m’effleure les lèvres et glisse deux doigts dans ma bouche. Comme ceux qui sont dans ma chatte, ces doigts me caressent l’intérieur de ma bouche et jouent avec ma langue. Je me laisse aller, ayant du mal à comprendre que je me comporte ainsi. Tout en continuant à me parler de sa voix ferme mais douce, il me demande d’ouvrir grand la bouche. Je devine vite qu’il vient de relever sa djellaba et porter son sexe à mes lèvres. « Laissez-vous aller « me dit-il et savourer la douceur de mon fruit. Je suce doucement le gland qui bien vite se glisse un peu plus loin dans ma bouche tandis que l’autre main continue à jouer avec mon sexe déjà bien humide. Au bout d’une dizaine de minutes, il jouit longuement dans ma bouche et me dit « Avalez bien votre nouveau médicament. Vous aller commencer une cure de quelques jours ». Le liquide chaud et acre descend dans ma gorge et me laisse comme un goût de fruit bien mûr.

Comme si rien ne s’était passé, il me demande de me relever et de m’habiller. Une fois assise de nouveau en face de lui, il m’énonce son diagnostic « Tout est normal chez vous mais vous avez quelques nuds internes, des blocages inconscients qui bride votre corps et votre esprit. Je vous propose de nous revoir dans une semaine pour évaluer les progrès. D’ici là, tous les soirs après dîner, vous prendrez une cuiller à café de ce médicament ». Il ouvre un petit placard et me tend une bouteille de 50 cl. Le verre est teinté et empêche de voir la couleur du produit à l’intérieur. Je mets le produit dans mon sac et alors que je sors mon porte-monnaie pour le régler, il me regarde droit dans les yeux et me dit de sa voix grave « Non, pas pour l’instant. Nous verrons cela quand le traitement sera terminé et quand vous aurez retrouvé le plaisir aux jeux de la chair ». Je lui souris, un peu intimidé, et je le quitte.

Le soir après déjeuner, sans que mon mari me voie car je ne lui ai pas parlé de cette consultation, je prends la bouteille bien cachée dans l’un des tiroirs de la chambre sous ma lingerie. Je verse le liquide, blanchâtre, dans la cuillère et la porte à mes lèvres. Je le savoure en bouche, avant de l’avaler, comme si je dégustais un bon verre de vin. Je reconnais sans difficulté le breuvage qu’il m’a donné à boire lors de ma consultation. Lorsque j’avale enfin le doux nectar, un frisson me parcourt le corps et je ressens une douce chaleur m’envahir le bas-ventre. Une fois au lit, lorsque mon mari me rejoint et que la lumière est éteinte, je ne peux m’empêcher de me coller contre lui. Je caresse doucement son sexe qui bien vite durcit dans ma main. Je me glisse sous les draps et prend sa queue à pleine bouche. Je suce avec délectation mais c’est bien trop rapidement qu’il se vide en moi. Je trouve que le goût est bien moins agréable que mon médicament. Dès que mon mari est endormi, je m’imagine dans le cabinet de monsieur Coulibadou allongée les yeux fermés, offerte nue à son regard et à ses mains. Mon entre jambe réclame du plaisir et bien vite je me caresse jusqu’à la jouissance. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai déjà hâte d’être à mercredi prochain pour retourner voir mon marabout …

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