Salut c’est votre folle de Lycra

J’étais donc positionné en Coralie, bien profondément, elle me donnait un plaisir monstrueux et apparemment c’était réciproque. Les aller et retour que je faisais en elle étaient méchamment efficaces et j’étais obligé de me retenir pour ne pas partir en elle, mais c’était dur. Ce qui me plaisait beaucoup c’est que pendant notre rapport sexuel elle était d’une douceur formidable, j’avais l’impression que nous étions un couple. Heureusement que de temps à autre il y avait une mouette qui poussait un cri et me déconcentrait, cela me permettait de tenir un peu plus longtemps avant de partir en elle. Bon je l’ai entendue pousser un grand cri j’en ai conclu que elle avait atteint l’apogée du plaisir, heureusement j’avais l’impression que nous n’étions pas nombreux dans le bâtiment. Je n’ai pas été bien long à faire comme elle et lui déposer toute ma semence à l’endroit où on fait des bébés.

Tous les deux venions de prendre notre pied et tous les deux étions épuisés. Je peux vous garantir que cela sentait très très fort le sexe sous les draps et cela me permettait de ne pas débander. Coralie s’est levée un instant pour aller ouvrir la fenêtre histoire que nous ayons un peu d’air frais. Nous sommes donc restés là allongés sous les draps en écoutant juste des cris des oiseaux et le claquement des câbles sur les mâts des bateaux. Ce qui me plaisait le plus c’est que j’étais sûr qu’ il n’y avait pas que le sexe entre nous, j’étais de plus en plus convaincu qu’il y avait des sentiments. Je n’arrêtais pas de me dire dans la tête: et si c’était une histoire d’amour qui venait à durer et si j’avais trouvé la femme de ma vie.

Coralie était une meneuse dans la vie de tous les jours mais d’une douceur sans égal dans l’intimité, il n’y a pas à dire elle adorait l’acte amoureux. J’étais très heureux qu’une telle complicité soit née entre nous quatre et surtout entre Coralie et moi. Je me voyais parfaitement vivre en couple avec cette dernière et donner du plaisir à nos deux collègues de temps à autre quand besoin était. Même si c’est un peu dégradant pour un homme que de se glisser sous la robe d’une femme juste pour lui faire une langue, cela ne me dérangeait pas car j’ai toujours adoré donner du plaisir à une femme de ce côté-là. Là, Coralie m’a expliqué qu’elle faisait tout et partageait tout avec ses deux amies d’enfance. C’est ainsi qu’elle m’a avoué qu’il lui était arrivé d’avoir des rapports avec les mecs de ses copines, mais toujours en leur présence.

Coralie m’a confessé que ses deux copines adoraient que je leur broute le minou; elle ne voyait donc aucun inconvénient à ce que je leur fasse leur toilette intime régulièrement, mais toujours ensemble. En fait ma collègue me demandait si cela ne me dérangeait pas que je devienne leur jouet sexuel. Le rôle n’était pas très valorisant, pas très honorifique mais au combien érotique et excitant. Je lui ai répondu que je n’y voyais aucun inconvénient et que je ne s’engageait à brouter les minous de chacune, quand ces dernières me le demanderaient. Ma collègue préférée m’a aussi expliqué qu’elle ne voulait aucun acte sexuel qui se fasse tout seul, à savoir moi seul avec une fille.., toujours minimum deux filles; à l’exception d’elle bien évidemment. J’ai répondu par l’affirmative car cela me semblait évident.

Je suis d’un naturel soumis coquin et obéissant mais toujours fidèle à ma belle. C’est ainsi que nous avons pris l’habitude de faire des folies de nos corps à 3 à 4 à l’heure du repas. Ce qui me plaisait c’est que Coralie avec comme la mainmise sur toutes les employées. Du coup il m’arrivait souvent de la voir du bureau, dans le magasin en train de coller une discrète petite main au cul à une collègue; histoire de rembouster cette dernière. Jamais aucune ne rouspétait, elles avaient même plutôt l’air d’aimer ça. Il y avait une complicité entre toutes les employés, une complicité sexuelle qui me plaisait beaucoup. Et moi j’étais au milieu de tout ça. Pratiquement tous les midis, il fallait que je nettoie le minou de certaines, toujours dans un plaisir Mutuel. Là où cela commençait à dégénérer c’est que maintenant il fallait que je remplisse cette mission après le boulot, mais dans mon bureau.

Elles avaient récupéré un canapé en très bon état aux encombrants et l’avaient installé dans mon bureau; une fois ce canapé installé il ne restait plus beaucoup de place pour travailler. C’est toujours Coralie qui dirigeait les opérations en fait elles avaient fait de moi leur brouteur de Minou de toute la société. Avec le temps je reconnaissais le goût de chaque minou, je reconnaissais l’odeur de chaque minou, je reconnaissais la texture de chaque culotte et même le grain de peau de chacune. Elles avaient instauré un petit jeu le midi, maintenant systématiquement nous venions manger chez Coralie un minimum 4 voir 5; j’étais toujours le seul homme. Après le repas que nous prenions à toute vitesse, Coralie me bandait les yeux me baissait mon pantalon pour me libérer mon sexe. À chaque fois j’étais gêné de montrer mon sexe qui était maintenu dans une petite culotte toujours bien féminine. Avec le temps je me disais que en fin de compte les employés de cette société n’avaient plus grand-chose à se cacher.

Je peux vous garantir qu’il faut être en confiance pour se laisser aller ainsi devant des collègues de boulot. Une fois mon sexe offert à toutes ces femmes et mes yeux bandés par un foulard, l’une d’entre elles me faisait une fellation sans que je sache qui c’était. À chaque fois elle veillait à ce que je ne parte pas, mais je peux vous dire que même une petite fellation de 5 minutes après le déjeuner ça vous donne la pêche pour l’après-midi. C’est vrai que j’étais toujours intrigué et curieux, j’aurais bien voulu savoir qui me faisait ce doux plaisir. En général je ne pouvais rien dire car la plupart du temps Coralie en profitait pour m’embrasser de la façon la plus amoureuse qui soit. Au bout de bientôt 8 mois, je pense que toutes mes collaboratrices m’avaient sucé. De mon côté je n’avais pénétrer que Coralie laetitia et Élodie par contre pour ce qui est de mes autres collègues leur minou et leur petit trou n’avaient plus aucun secret pour ma langue.

Dans cette supérette en plus d’être le responsable, j’avais aussi l’impression d’être devenu le sextoys de ces dames. Cela me faisait tout drôle car, le soir après le boulot, dans mon bureau; c’est Coralie qui disposait de mon corps. Heureusement cela ne se faisait pas tous les soirs mais facilement trois soirs par semaine. Ce genre de relation intra professionnelle était très bénéfique au niveau de la cohésion de l’équipe, nous étions on ne peut plus complices. Je n’ose imaginer si cela s’était su en haut lieu au sein de l’enseigne. Le pire c’est que maintenant à force de porter de douces culottes, de fines culottes; j’y prenais de plus en plus goût d’autant qu’à chaque fois leur odeur était on ne peut plus enivrante. Souvent avec Coralie parfois accompagnés de Élodie ou Laetitia nous allions acheter des dessous. En général je me prenais la honte de ma vie quand elle essayaient sur moi les dessous que ce soit des body des culottes des tanga et même des robes.

À vrai dire je pense qu’elles le faisaient exprès j’étais gêné mais en même temps c’était super excitant. C’est vrai que en même temps c’était commode d’être en compagnie de ces trois très jolies femmes, qui a peu de chose près, étaient de ma taille et du coup je rentrais dans tous leurs vêtements. Un samedi soir nous avons passé une étape supplémentaire sous la forme d’un déguisement total. Ce soir-là, elles m’ont totalement travesti, je me suis retrouvé en escarpins (Elodie avait la même pointure que moi), en robe douce longue et moulante. Les trois s’amusaient à me caresser les fesses à me pincer les tétons et me solliciter le sexe, je n’en pouvais plus, j’avais envie de me les faire toutes les trois. Elles ont poussé le vice jusqu’à me maquiller et me mettre du vernis à ongles, d’après elles le résultat était superbe. Comme m’a dit Élodie, j’étais superbe et bien baisable; ça c’est un compliment qui m’est allé droit au cur, même pour un mec…

Une fois ainsi déguisé, elles ont décidé que nous allions aller nous amuser en boîte; je leur ai fait comprendre que dans ma tenue, il n’était pas question que je bouge de là. À force d’insistance elles ont fini par me convaincre et c’est ainsi que nous sommes montés dans la golf d’Élodie direction la boîte de nuit de nuit qu’elles connaissaient déjà bien. Une fois arrivés là-bas, à mon grand étonnement, pas une seule personne a fait attention au fait que je sois un travelo. Mes 3 amies m’ont fait comprendre que cela ne se voyait pas, d’autant plus que les trois étaient déjà très grandes. Coralie savait que dès qu’il y avait de la bonne musique, je ne pouvais pas me tenir en place il fallait que j’aille sur la piste de danse. Quelle ne fut pas mon malheur quand ils se sont mis à passer du bon funk, je n’ai pu me retenir d’aller danser. Et là je ne vous raconte pas car j’étais un peu bloqué sur mes escarpins qui n’étaient quand même pas trop hauts mais il fallait que j’ondule de façon féminine.

Et là je peux vous garantir que ce n’était pas dans la poche, du coup mes trois amies sont venues essayer de m’épauler sur la piste de danse. Toutes les trois dansaient en rond et moi j’étais au milieu d’elle comme pour me protéger des regards. Au bout d’un certain temps un homme très élégant est venu nous courtiser, j’ai vraiment commencé à avoir peur pour moi. J’ai surtout eu peur que mes 3 accompagnatrices me laissent tout seul avec cet homme. À ma grande surprise mes 3 collaboratrices l’on jeté comme un malpropre en lui argumentant que nous étions gougnottes. Je l’avais échappé belle car je ne sais pas comment j’aurais pu réagir si je m’étais fait draguer par un homme en chaleur. Ce qui me faisait drôle c’est que maintenant je faisais partie de la bande en tant que femme et elles me parlaient au féminin.

Ce qui était le plus sensuel c’est que sur la piste de danse tous les 4 nous ne cessions de nous embrasser sur la bouche en nous collants des mains aux fesses très osées. Rien de tel pour attirer l’attention de tous les autres danseurs sur la piste et même les gens qui étaient tout autour… Nous avons passé une soirée très agréable dans cette boîte de nuit, puis ensuite nous sommes rentrés. Etant vraiment crevée, Élodie nous a déposé tous les trois devant chez Coralie, je me suis donc retrouvé tout seul chez Coralie avec Laetitia où toutes les trois étions de jolies femmes. J’ai commencé à me faire chambrer car elles se sont amusées à me dire que je m’étais fait draguer par le mec, ce qui entre parenthèses n’était pas faux. Laetitia m’a dit que heureusement qu’elles étaient intervenues, sinon elle ne savait pas ce qui me serait arrivé.

En fait elles ont surtout mis en avant le fait que j’étais vraiment très féminine au point de plaire aux hommes dans la boîte. Coralie qui elle aussi était fatiguée a suggéré que nous allions nous coucher, heureusement qu’elle avait un grand lit. Elles se sont déshabillées dans la chambre sans aucune pudeur devant moi et je n’ai eu qu’à me rincer les yeux devant ces deux corps magnifiques. Coralie m’a tendu une robe très longue très fine et très douce en m’expliquant que cela allait me servir de chemise de nuit; elle m’a aussi dit de garder mon tanga qui avait l’air de bien m’aller. Ainsi vêtu, j’ai eu le droit de leur part à des commentaires pas très masculin du style: "tu es bien belle" "tu es bien désirable" "tu es bien faisable" "on a envie de toi"… Je savais qu’il n’y avait rien de méchant dans ces gentilles moqueries et en même temps c’était un peu flatteur. Le problème c’est que je trouvais ça vraiment très agréable d’être ainsi vêtu.

Nous avons fini par nous coucher dans ce grand lit où nous n’étions pas si serrés que ça. C’est Coralie qui a pris l’initiative en m’invitant à aller leur nettoyer l’abricot car après cette soirée il avait besoin d’un petit coup de langue. Du coup le soumis que j’étais en train de devenir s’est exécuté et je me suis mis à quatre pattes pour me glisser sous leur chemise de nuit à elles. Sur les consignes de ma compagne je me suis occupé de Laetitia en premier et c’est ainsi que j’ai compris que leur minous avaient effectivement besoin d’un coup de frais. Pour mon plus grand plaisir, et le leur accessoirement, je me suis délecté de leur jus intime un quart d’heure durant pour chacune. Ce qui me plaisait par-dessus tout c’est le plaisir que je leur donnais, je les entendais soupirer et quelquefois des petits cris sortaient; des petits cris de plaisir bien évidemment.

Une fois qu’elles étaient bien chauffées Coralie m’a invité à les pénétrer à tour de rôle elle m’a juste donné comme consigne que je devais partir en elle et uniquement en elle. J’ai commencé par pénétrer en baissant au préalable mon tanga et le callant sous mes baloches, du coup Coralie s’est mise à embrasser Laetitia de façon gourmande. Il n’y a pas à dire ces deux femmes adoraient faire l’amour; que ce soit entre elles ou avec un homme. On sentait que ma partenaire ne faisait pas souvent l’amour par contre on la sentait gourmande de sexe. J’allais et venais en elle le plus profondément possible et l’étroitesse de son vagin me donnait des sensations vraiment formidables et je pense qu’elle devait ressentir les mêmes. J’avais sous les yeux 2 paires de seins magnifiques dont les tétons étaient tout durs et tout raides. Coralie a changé de position et a donné son minou et son petit trou à brouter par Laetitia, je me retrouvais donc face à ma compagne je l’embrassais pendant qu’elle se faisait manger sa friandise.

Je sentais maintenant ses pointes de seins qui caressaient ma poitrine velue. Je sentais les mains de Coralie sur mes hanches pendant que moi je donnais des coups de reins toujours plus puissants dans ma partenaire qui était en train de combler ma compagne avec sa langue. Vus les soupirs de ma belle, Laetitia était efficace avec sa langue… Par moment je me laissais déconcentrer par le phare local qui passait régulièrement dans la chambre en l’éclairant de façon brève et régulière. La luminosité de la chambre oscillait entre pénombre et grande lumière, ce qui donnait l’impression de faire cela en toute intimité par moment puis à d’autres instants l’impression de faire cela devant tout le monde. L’avantage c’est que cela me permettait de tenir plus longtemps et c’est ainsi que Laetitia a fini par prendre son pied bien avant moi.

Cette dernière n’a pas pu vraiment crier car elle avait la bouche plaine si je puis dire, Coralie est venue l’embrasser pendant que je continuais un petit peu mon va-et-vient. La douceur qui émanait de Coralie me subjuguais tant j’étais impressionné par ces 2 personnes qui étaient en elle. J’ai l’impression que Élodie et Laetitia avaient le même caractère. Ensuite ma chérie m’a fait sortir de son amie pour me faire une très agréable fellation avant que je la pénètre à son tour. À ce moment-là j’étais vraiment un homme comblé et je peux vous garantir que Coralie faisait tout pour cela. Compte tenu de l’étroitesse du vagin de Coralie et de sa cyprine pas trop liquide, j’ai malheureusement été très rapide à prendre mon pied en elle; mais heureusement elle n’a pas été longue après moi. J’ai continué un petit peu pour la forme mais ces deux femmes venaient de me tuer.

Quand je suis sorti de Coralie c’est Laetitia qui est venue me faire une petite fellation tout en sachant que mon sexe manquait un peu de vigueur après ce qui lui avait été demandé. Sa prestation était très agréable mais je vais vous avouer que j’avais plus envie de dormir qu’autre chose maintenant. Une fois mon sexe bien nettoyé, ce dernier était encore bien droit mais il manquait maintenant de rigidité; laetitia est venue s’allonger à côté de moi. J’étais en sandwich entre Coralie et Laetitia je peux vous dire que ce n’est pas évident de s’endormir ainsi; mais j’étais un homme heureux. Après la journée de boulot et la soirée que nous avions vécu; nous nous sommes endormis en quelques minutes enlacés les uns dans les autres. Je peux vous dire que j’étais sacrément crevé car pour réussir à m’endormir avec deux femmes collées contre vous et une méchante odeur de sexe féminin sous les draps; ce n’est pas évident.

J’espère que ce chapitre vous a plu si c’est le cas je lui donnerai suite

Bisous à vous

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