Je m’appelle Patrick, j’ai 24 ans et j’ai toujours fantasmé sur Pauline la soeur de mon meilleur ami, Cédric.
Un soir de mai, j’étais invité à l’anniversaire de Cédric. Il faisait beau et il avait prévu un barbecue sur la terrasse de sa maison. En arrivant j’étais un peu déçu car Pauline, sa soeur, n’était pas là. J’avoue que depuis quelques temps, je venais plus chez Cédric pour voir Pauline qu’autre chose.
La soirée se déroulait dans une bonne ambiance, mais toujours pas de Pauline. À la tombée de la nuit, nous sommes allés nous baigner dans la piscine de la maison. C’est là que j’appris que Pauline assistait à une autre soirée en compagnie de la copine de Cédric et qu’elles nous rejoindraient plus tard. Les bières se suivant, je commençais à être saoul. C’est alors que Pauline arriva avec la copine de Cédric, Nicole.
Elles avaient beaucoup bu et Pauline courut chercher son maillot de bain. Elle revint quelques minutes plus tard et je fus pris du érection fulgurante. Pauline avait de gros seins, des cheveux blonds et des yeux d’ange. D’habitude, ses maillots de bains cachaient plutôt bien ses seins. Cette fois-ci, c’est comme si le tissus avait rétréci. Elle avait certainement acheté ce maillot de bain et n’avait jamais osé le mettre. L’’alcool fait parfois bien les choses, pensais-je. Les idées salaces fusaient dans ma tête et mon érection ne s’arrêtait plus, heureusement que j’étais dans la piscine et que l’on ne voyait rien.
La soirée continuait, les gens commençaient à partir, nous n’étions plus qu’une douzaine et c’est à ce moment là que Pauline vint vers moi. Elle était déjà bien ivre. Nous avons discuté longtemps, jusqu’à qu’il ne reste plus que quatre personnes à part nous. À ce moment-là, elle remarqua que les quatre autres personnes étaient en fait deux couples. Cédric et Nicole pour le premier et Vincent et Alexandra pour le deuxième.
Mon érection n’était toujours pas retombée, mais Pauline ne l’avait pas remarquée jusqu’à qu’elle vienne se coller à moi. Elle me dit :
— C’est bien joli ces couples, mais nous, on s’embête.
Ces paroles n’ont absolument pas aidé à faire baisser mon érection.
— Mmmmmh, continua-t-elle, il me semble qu’on ne va pas s’embêter longtemps.
Puis elle détacha mon maillot de bain et pris ma bite dans sa main. Son regard me rendait fou et j’avais envie d’elle mais je savais que c’était mal car elle avait trop bu et qu’elle n’aurait jamais fait ça si elle avait été de sang-froid.
J’ai donc pris sa main et la sorti de mon maillot. Je lui ai expliqué qu’il fallait qu’on parle de ce qu’elle avait fait, mais après avoir dormi car je n’avais aucune intention qu’elle soit un coup d’un soir pour moi. Je ne voulais pas qu’elle regrette le lendemain matin et qu’on ne couche plus jamais ensemble. Je voulais bien plus et même s’il était dur de me retenir ce soir-là, c’est nécessaire.
Elle protesta un peu, mais accepta d’aller se coucher. Je l’ai donc ramenée dans sa chambre. Ensuite, je descendis dans l’abri atomique de la maison où il y avait des lits à étage. J’étais seul et je m’endormi presque instantanément.
TOC TOC TOC
— Ouvre, c’est Pauline. Je voudrais te présenter mes excuses pour hier.
— J’arrive, mais tu n’as pas à t’excuser, ce n’est rien.
Je redoutais ce moment même si c’était moi qui le lui avait imposé. Je me levai et allai ouvrir la porte. Je ne portai qu’un boxer, mais c’est comme un maillot de bain, non ?
J’ouvris la porte, elle était en peignoir et entra.
— Alors, comment vas-tu ? lui demandais-je ?
A ce moment- là, elle baissa mon boxer, se mit à genoux et commença à me suçer sans que je puisse réagir. À ce moment-là, même si j’avais voulu la repousser, je n’en n’aurais pas été capable, c’était trop bon. Une chose est sure, ce n’était pas la première bite qu’elle suçait.
À SUIVRE