Salut je m’appelle Pyara, j’ai 27 ans, métissée avec une belle poitrine et des fesses de rêves, d’après ce que l’on m’a déjà dis, et une bouche très pulpeuse.
Au début, j’avais dû mal à accepter mon corps, parce que quand j’étais adolescente je faisais plus que mon âge et des hommes plus mûrs me sollicitaient et ça me gênait bien sûr.
Maintenant étant une femme je les assume pleinement.
Mais des fois, je me retrouve dans des situations assez peu banales, mais avec mon corps j’en joue pas mal aussi.
Je me souviens par exemple de mon premier travail, en tant que secrétaire j’avais en ce temps-là 22 ans.
Pour mon premier jour, j’ai mis un tailleur, mais il mettait ma poitrine en valeur avec une jupe.
Premier contact avec mon patron intéressant, surtout quand il s’attardait sur ma poitrine, ça ne me gêne pas.
Il me montra mon bureau, on parla un moment pour discuter de mes missions. Je me mis tout de suite à la tâche.
A ma pause vers 12h30, je rencontrais certains de mes collègues dans un petite pièce où ils mangeaient, c’étaient des commerciaux, des hommes. Ca ne me dérange pas de travailler avec des hommes, car en général je m’entends mieux avec eux qu’avec les femmes.
Ils étaient trois, Jean-Olivier, Steven et Alexandre. On a profité de ce moment pour faire connaissance.
Jean-Olivier avait 37 ans, marié, un homme très séduisant ; Steven 27 ans il avait sa copine, mais c’était un séducteur ça se sentait ; et Alexandre j’avais vraiment craqué sur lui 30 ans célibataire endurci, super sexy.
A un moment Jean-Olivier s’en alla, me laissant seule avec les deux autres. La discussion, bizarrement s’orienta vers une autre direction.
Steven commença par me demander si j’avais quelqu’un dans ma vie.
— Effectivement, je fréquente un gars, lui répondis-je, mais ce n’est rien de sérieux, et je rajouta, ce n’est que sexuel.
A cet aveux, ils firent de grands yeux et Steven continua.
— Pourquoi que sexuel ?
— Ca se passe très bien comme ça entre nous, pourquoi changer et en plus je suis encore jeune, je veux encore profiter.
— Tu fréquentes d’autres hommes ? me demanda Alexandre.
— Ca peut m’arriver. Mais vous me posez toutes ces questions, mais vous ne m’avez pas dis grand chose sur vous.
Alexandre me répondis : " Célibataire, sans enfant, et toujours prêt pour de nouvelles expériences où et quand tu veux".
Steven me dis : "Je ne suis pas marié donc toujours prêt moi aussi".
— Ok, c’est noté, leur rétorquai-je en sortant de la pièce. Je retournai à mon bureau pour continuer mon travail, comme ci de rien était.
Quelques jours après, j’allais au travail, journée normale, quand mon patron me dit qu’il sera absent pendant quelques jours, et que je devrais m’occuper de tout gérer, mais que de toutes les façons il y aura l’un de mes collègues avec moi, pour m’aider.
J’espérais que ce soit Alexandre ou encore Steven ce serait intéressant.
En effet les jours suivant, mon patron était absent, j’étais toute seule durant la journée qui était assez calme, trop calme. Je ne vis aucun commercial.
Un jour, Steven m’appela au bureau : " t’es toute seule là? ".
Je lui répondis que "oui", et il raccrocha. Quelques minutes plus tard je le vis entrer dans le bureau.
Il me dit : "J’avais trop envi de te voir, mais avec le boulot c’était difficile d’être au bureau.
— Et qu’est-ce que tu veux exactement ?
— On est tout seul et comme je t’ai di je suis toujours prêt.
— T’es sérieux ?
— Je bande rien quand te regardant, donc oui je très sérieux.
— Ah oui, laisse moi voir.
Il enleva son pantalon, son boxer et je vis son sexe bien debout et bien monté. Il se masturba.
Je le regardais en me demandant ce qui m’arrivait encore. Et puis je m’avançais vers lui, continuais à le masturber, et on s’embrassa en même temps. Il me demanda d’enlever mon haut, que je fis sans hésiter. Il mit mes seins dans sa bouche et commença à les lécher. C’était super bon, et je me mis à mouiller. Il souleva ma jupe, mis sa main dans ma culotte, commença à caresser ma chatte " tu mouilles déjà t’en avais envi toi aussi" et ensuite il me mit un doigt et en suite deux, trois.
Il m’allongea sur le bureau pour mieux faire son travail, ce qui me fit gémir de plus en plus fort tandis que son autre main continua à me caresser la poitrine.
Et je sentis enfin sa langue sur toute ma chatte, il avait beaucoup d’expérience.
Je sentis un truc dur rentrer dans ma chatte, il commença à me baiser doucement et ensuite il alla de plus en plus fort ce qui ne me fit plus gémir mais crier. Ses vas et viens se font de plus en plus fort ce qui me fit jouir et le fit jouir aussitôt.
"T’es une vraie et bonne salope et j’aime çà", il remit son pantalon et sortit du bureau.
J’étais encore sur le bureau les jambes écartées, j’avoue que j’en avais pas assez. Je me rhabillais me mis devant mon ordinateur et continua mon travail.
Le lendemain, la journée débuta normalement, jusqu’à ce que je vis Alexandre, il rentra dans le bureau me salua et ressortit.
Quelques heures plus tard, il retourna pour récupérer des documents. J’ai décidé de profiter de l’occasion pour tenter ma chance: " C’est maintenant que je veux " lui dis-je".
Il me regarda étonné et me répondis : tu n’en avais pas eu assez hier ?"
Je constatais qu’il était au courant pour Steven "c’est toi qui m’a dis que c’était où et quand je veux".
Il me fit signe de venir, baissa son pantalon, fit sortir son pénis, me demanda de me baisser et de le sucer, que je fis bien sûr.
Il prit par la suite ma tête dans ses mains et se mit à baiser ma bouche. Il me leva, me plaqua contre un mur, se mit à lécher mon cou, tout en déboutonnant mon chemisier, et enleva mon soutif, sa bouche descendit jusqu’à ma poitrine qu’il lécha avidement.
Ma culotte n’a pas eu autant de chance, elle fut déchirée, et je fis pénétrer direct. Ce qui est sûr c’est que ce n’est pas un tendre. Il me mit face sur le bureau et rentra dans ma chatte et me baisa comme une pute, ce qui me fit crier et je l’encourageais à continuer et d’y aller même plus fort. Il me dit : Steven m’a dit que t’étais une salope, il ne m’a pas menti".
Il me pénétra à nouveau la chatte, et je finis par jouir, il continua encore un bon moment, il est plus endurant que Steeven et finit par jouir.
J’ai continué à m’amuser avec eux jusqu’à ce que mon contrat prenne fin. Je repense encore beaucoup à eux mais bon c’est une page qui est tournée maintenant.