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Relations incestueuses avec ma soeur – Chapitre 2




Je me lève pour fermer ma porte afin de tout remettre en ordre. Je prends le temps de réfléchir à la situation. Mon petit jeu vient de devenir une espèce d’intro de film porno plutôt médiocre. Dans ma tête, deux partis viennent de se créer.

Une partie co-présidée par ma teub et mes pulsions sexuelles, crie haut et fort: "Y a tellement moyen ! Pas grave que ce soit une sur, tant que c’est consenti et uniquement pour le plaisir, ça passe !"

L’autre partie est plus réaliste et soutient que ce n’est pas parce qu’Angèle vient de prendre mon corps nu en photo qu’elle veut forcément ma bite.

Je me dis que ma sur aurait simplement aimé la vue de mon sexe en occultant l’identité du propriétaire. Cette hypothèse diffère totalement de l’idée que ma sur fantasmerait sur moi. Là, on ne parle pas de n’importe qu’elle autre fille où un refus serait juste honteux, mais légal, là, on parle de ma propre sur. Je ne dispose que d’une et unique chance qui ne doit être qu’un succès si je ne veux pas être vu comme le mec déviant de la famille pour toujours.

Je choisis comme solutions la patience et la prudence. Si j’y vais par petit pas, et on pourra sûrement réduire les probabilités d’échec qui doivent absolument être proches de zéro. Il faut donc que je recommence à indirectement lui montrer ma teub et guetter ses réactions. Qui sait ? Elle va peut-être commencer à faire de même si elle est effectivement intéressée.

*************************

Une semaine plus tard, je rentre d’une séance à la salle de sport et aperçois le vélo de Mia, la meilleure amie d’Angèle, devant la maison. Angèle et elle se connaissent depuis le collège. Mia est venue quelques fois en vacances avec ma famille et vient régulièrement à la maison. Je connais un peu Mia et sais que nétant pas du tout timide, ça ne m’étonnerait pas qu’elle ait déjà touché à pas mal de choses niveau sexe et qu’elle puisse potentiellement influencer ma sur dans ce sujet.

Mais suite à ce qu’il s’est passé la semaine dernière, je me dis que ce n’est pas impossible qu’Angèle ait confié à Mia l’évènement. Je décide donc de rentrer silencieusement dans la maison afin d’entendre leur conversation. Même si c’est peu probable, peut être qu’elles vont aborder le sujet, mais je n’en sais rien. Je rentre par la cuisine et écoute la maison, des voix féminines viennent de la terrasse. Soudain, ça fait "tilt" dans ma tête et j’ai la brillante idée de me poster à la fenêtre de la chambre de mes parents, située juste au-dessus des canapés de jardin où sont posées les deux filles.

La conversation est centrée sur Mia qui raconte ses aventures de sa semaine chez sa tante.

… Donc il m’a prise comme ça, en levrette sur le tracteur, et puis il me faisait plein de bisous dans le cou c’était trop booooon !

Mais vous étiez même pas cachés ? dit-elle l’air prude.

Bah non on était au milieu des champs, et personne aux alentours donc tranquille.

Putain meuf, j’aimerais trop tester.

Tu m’étonnes, c’était trop excitant et aussi faut que je t’avoue un truc sur le mec…

Comment ça ? Il avait quoi ?

Je te le dis, mais tu gardes ça pour toi hein ?

Promis.

Mia prit une grande inspiration.

C’était mon cousin Patrick.

Ah ouais ? Ouah trop stylé !

Je me mets les mains devant la bouche tellement je suis abasourdi. D’une part, Mia baise son cousin, mais d’autre part, Angèle trouve ça "stylé".

Je ne devais pas être le seul étonné de sa réponse puisqu’elle répond :

Stylé ? Putain, je m’attendais plus à ce que tu sois choquée.

Nan, mais t’as trop de chance, genre c’est un plan cul, mais ça reste un garçon qui te respectera toujours et que t’aime de manière familiale.

Ben ouais, c’est un peu ça. Ça doit faire 2 mois qu’on baise occasionnellement quand on se voit. Mais bon, on fait trop gaffe, t’imagines un peu le scandale si la famille était au courant ?

Ouais ça serait chaud, mais je t’avoue, ça m’excite trop les relations comme ça…

Tu veux dire l’inceste ?

Ouais c’est ça.

Ton frère, tu le trouves comment ?

Ma poitrine me brûla sur ses mots.

Jonathan ? Euuuh… ben en vrai… c’est-à-dire que… c’est mon frère quoi.

Oui ben et alors ? Patrick c’est mon cousin avec qui j’étais super proche et pourtant on fait l’amour et ça change rien à nos vies à part du plaisir en plus. En plus, il est pas mal ton frère en vrai depuis qu’il prend soin de son corps. Et aussi, je sais pas si je te l’ai dit, mais ma sur et lui ont baisé y a un mois. Askip’ il se débrouille pas mal en sexe. Mélissa m’a dit avoir kiffé.

Dans ma tête j’étais comme :"Arrête un peu je vais rougir". C’est vrai que je l’avais bien démonté la Mélissa, cette bombe au teint méditerranéen. On s’était bien amusés et savoir qu’elle m’avait laissé une bonne note flattait mon ego de petit con.

Je sais pas, c’est vrai qu’il est pas mauvais, mais bon je sais pas si j’ai mes chances avec lui. On est pas super proche et lui a l’air plus intéressé avec ses copines plutôt qu’avec moi. Mais surtout, je sais pas s’il trouve ça acceptable de baiser sa sur quand même.

Si elle savait…

Si vous êtes pas super proches alors t’en sais rien, mais bon après, commence petit, je sais pas, montre-lui ton corps en le laissant penser que tu fais pas exprès, c’est un mec, il sera obligé de mater.

Ouais j’ai déjà testé et c’est vrai qu’il m’a matée, je lui ai montré mes seins sous mon pyjama en me baissant comme ça.

Elle lui mime la scène qui s’est déroulée il y a plusieurs mois dans la cuisine. (Voir chapitre 1)

Bah voilà, tu vois, s’il t’a matée, ça veut déjà dire qu’il trouve chez toi ce qu’il aime. Tu l’as déjà vu à poil ou pas ?

Ah ouiiii, y a un truc que je t’ai pas dit !

C’est quoi ?

Je l’ai vu en train de se branler, nu, sur son téléphone. Ce couillon devait avoir tellement la gaule qu’il n’a même pas remarqué que la porte était grande ouverte. Regarde, je l’ai même filmé !

Mais t’es vraiment une petite cochonne toi, montre-moi ça"

Ma sur lui tend son portable.

Ah ouais pas maaaal, putain, il a une grosse bite quand même.

Tu trouves ?

Bah quand même, tu peux le branler à deux mains tranquille tout en lui suçant le gland regarde-ça.

"Eh oh ! Comment tu parles de mon frère, espèce de salope va ?

HAHAHA ! En tout cas, t’as intérêt à te dépêcher parce que sinon, je vais tenter ma chance moi !

Mouais, laisse-moi le temps de voir avant de sauter dessus. En attendant, retourne sucer ton cousin !

J’ai quand même du mal à réaliser ce que j’ai entendu. Ma sur ne serait pas contre pour baiser avec moi. Je me méfie tout de même, car là, elle faisait la belle devant Mia donc entre ce qu’elle dit et ce qu’elle compte faire, il devrait quand même y avoir un écart. Je me retire en silence et file prendre une douche.

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Dix jours plus tard, nous sommes à la fin du mois de juillet, le moment durant lequel nos deux parents prennent leurs vacances. Cette année, ils avaient décidé de passer en famille, un moment très reposant, et donc de partir deux semaines dans un grand ressort aux Maldives. Ils avaient réservé une superbe suite pour quatre personnes avec room-service et tout le bazar qui vient avec. Donc autant dire qu’on planait sur de bonnes ondes.

Quelques heures d’avion après, nous nous retrouvons à l’aéroport, avec une très mauvaise nouvelle qui peut potentiellement foutre les vacances en l’air. On nous explique qu’il y a eu un gros incendie dans notre hôtel le matin même, qu’il a été partiellement évacué et donc en impossibilité de nous accueillir. On nous donne deux options, soit de nous inviter à prendre le vol retour pour Paris CDG, soit d’être transféré dans un autre hôtel, ce qui sauverait les vacances de tout le monde.

Mes parents partent discuter avec l’agence de l’aéroport puis reviennent tout sourire vers nous.

Ma mère – " On a réussi à sauver le coup puisqu’on va aller dans un autre hôtel à peu près semblable à celui d’avant.

Mon père – "Par contre, il n’y avait plus de chambre 4 places donc on a pris deux chambres pour deux. Et si ça ne vous dérange pas, je me mettrai avec Maman, car il faut qu’on puisse… euh… ben.

Ma mère (lui mettant un coup) – "Allez les enfants, qui prend la valise verte ?"

Ma sur et moi nous regardons en rigolant, mais je viens de réaliser que je vais passer deux semaines dans la même chambre qu’Angèle, loin des parents. Cette histoire vient de prendre un tournant décisif.

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Nous arrivons à la réception de l’hôtel, nous sommes venus en bateau à l’hôtel qui se situe sur une petite île au bord d’un lagon. Des bâtiments blancs modernes abritent des chambres sur la terre ferme tandis que d’autres chambres se tiennent sur pilotis dans le lagon. C’est tout simplement paradisiaque. Bien sûr, sans nous dire, nos parents se sont pris un bungalow au-dessus du lagon tandis qu’avec ma sur, nous logerions sur l’île.

Nous arrivons devant la porte de la chambre, j’insère la carte dans la fente, bip bip et la porte s’ouvre. La chambre est magnifique avec une vue sur l’eau et je me rends compte qu’elle a toutes les caractéristiques d’une chambre pour un couple. Un énorme lit central sous une fine moustiquaire ouverte faisait face à une baie vitrée face au lagon. Ce qui me plaît plus particulièrement est la douche qui est juste transparente. Idéale pour un couple, mais qui allait favoriser une intimité partagée entre nous.

Putain c’est méga classe.

Regarde, y a même un jacuzzi sur la terrasse. dis-je.

On va être bien pour deux semaines hein ? J’espère que ça te dérange pas le lit deux places ?

Oh bah non t’inquiète, on a pas le choix puis on dormait bien ensemble dans les hôtels quand on était plus petit.

"Ouais, puis mate un peu la douche, on risque pas de se cacher hahaha !

Elle commence à m’exciter à me rappeler tous les détails, ce qui fait de cette chambre un lieu de baise idéal. Mais bon, on vient d’arriver et on avait dit à nos parents qu’on les retrouverait aussitôt s’être installé.

**************************************

Vers minuit, ma sur et moi rentrons vers la chambre après avoir copieusement dîné. A cause du voyage qui fut assez long, nous sommes fatigués et décidons de nous doucher puis nous coucher rapidement. J’avais hâte de ce moment depuis avoir découvert la configuration de la salle de bain.

" Je te laisse aller à la douche en premier, faut que je me fasse un soin au visage".

Quoi ? Mais je serais déjà dedans ?

Bah et alors, t’as cru qu’avec la tête de notre salle de bain, on allait jamais se voir à poil ?

Oui enfin, là, tu mets les pieds dans le plat direct"

Oh ça va, comme tu disais tout à l’heure, quand on était petits, on dormait ensemble. On prenait aussi des bains ensemble que je sache.

OK OK c’est bon, ça me dérange pas. Par contre, on devient quitte dès le début, y a pas de triche."

Nous venions d’entrer dans la chambre et ma sur, pour répondre à ma phrase me regarde dans les yeux, me fait un petit sourire et fait mine de me défier. Elle descend le "zip" de sa robe courte dans son dos et la laisse tomber à ses pieds.

Pas de triche.

Je suis sur le cul, jamais je n’aurais cru ma sur capable de faire ça devant moi. Elle tient sa belle poitrine devant moi puis tourne les talons vers la table de la salle de bain équipée d’un grand miroir.

Allez, pas de triche hein, à la douche vite !

Ouais ben, deux secondes, y a pas le feu.

Je me déshabille puis me ressaisis pour paraître un peu plus en confiance à côté de ma sur, qui face à son miroir, s’étalait une crème sur le visage. Je fais couler l’eau et je sens mon sexe qui s’allonge, car savoir que ma sur pouvait me regarder à sa guise m’excitait pas mal. De mon côté, je n’osais pas trop regarder de son côté et de croiser son regard, bien décidé à la contempler au moment quand elle prendra sa douche à son tour. Je sors de la douche, me sèche et enfile mon bas de pyjama. Je me pose sur le lit et constate qu’on a une vue sur le côté gauche du lit qui donne sur la baie vitrée devant la douche.

Dès qu’elle finit son bordel, j’entends ma sur retirer sa culotte puis s’avancer. Elle apparaît sous la lumière de la douche. Elle est entièrement épilée et se montre tantôt de face que de profil sans jamais tourner la tête dans ma direction. J’en profite pour l’analyser sur tous les angles, ce qui commence à me provoquer une sérieuse érection. Puis elle finit son affaire, et disparaît de mon champ de vision.

Elle revient vêtue d’une simple culotte noire et d’un haut très léger qui dévoile presque tout son ventre. Nous nous mettons sous le fin drap, puis nous souhaitons bonne nuit et dodo.

La pleine lune éclaire la chambre, ce qui fait que je peux facilement distinguer ma sur à côté de moi à ma gauche. Je suis trop excité pour dormir et me dis qu’il faut que je tente un truc discret. J’attends un peu puis je me retourne vers elle et place ma main gauche sur sa main droite, en laissant penser que c’est involontaire. Elle resserre un peu sa main sans totalement la prendre. Elle est allongée sur le dos et son haut dévoile franchement tout son ventre. Puis de ma main droite cette fois, je lui caresse très doucement le ventre en tâtant le terrain, de manière à pouvoir me replier au cas où…

Je me tourne sur le côté en lui faisant face puis je suis en meilleure position pour lui caresser le ventre en remontant à chaque fois un peu plus haut vers ses seins. Mon manège dure quelques minutes puis je me lance et passe une main sur son sein droit. Je sens son téton sous ma paume qui se durcit. Au même moment, sa main bouge, lâche ma main. Pendant une seconde, je crois que je vais la recevoir dans la gueule, mais non, sa main droite vient se coller contre mon bas-ventre. Malgré le coup de pression, ma main baladeuse n’a pas arrêté et se frotte maintenant aux deux seins d’Angèle. Je la regarde et vois que son visage "dort". Sa main commence à descendre et vient toucher mon sexe à travers mon bas de pyjama. Celui-ci réagit rapidement et ne tarde pas à se mettre au garde-à-vous. De ma main sur son corps, j’arrive à remonter son haut, ce qui met ses seins à l’air libre. Nous continuons nos caresses, mais les yeux d’Angèle restent fermés et son visage est neutre.

Je me colle à elle, ce qui lui permet de passer sa main sous mon pyjama et d’attraper mon chibre.

Le contact de sa main chaude me fit une sensation très étrange et très agréable. Nous étions très détendus, et suite à son pas vers moi, je rapproche mon visage de sa joue et délaisse son sein pour descendre ma main vers sa chatte par-dessus sa culotte. Nous nous caressons mutuellement le sexe de l’autre et je commençais à lui faire des baisers très discrets sur la joue et dans le cou. C’est un moment très tendre, très doux et plein de sensualité qui me transportait comme un rêve.

Nous ne parlons pas, on entend seulement le bruit de nos respirations et des vêtements qui se frottent en douceur. Je suis en train d’embrasser ma sur sur la joue quand soudain, elle écarte légèrement sa tête de moi et la tourne pour déposer ses lèvres sur les miennes. La sensation est incroyable. Rien à voir avec une galoche avec n’importe quelle fille. Là, je suis en train d’embrasser ma sur tendrement, et tout semble paisible autour de nous. Je sens sa langue se frayer un chemin vers ma bouche puis je lui rends la pareille.

Notre baiser dure quelque temps puis on se regarde longtemps dans les yeux. Nous esquissons un léger sourire puis je m’avance et l’embrasse encore, cette fois en passant ma main sous sa culotte. Son pubis, dénué de poil, est tout doux et ses lèvres sont un peu humides d’excitation. Angèle m’a dégagé ma bite de mon bas et me branle doucement en tournant son poignet, sans serrer et en laissant son pouce sous mon gland. J’en déduis que ce n’était pas sa première fois, ce qui me rassure pour la suite.

On continue à s’embrasser langoureusement puis ma sur me pousse sur le dos doucement et descend vers ma queue en m’embrassant les abdominaux. Son corps est perpendiculaire au mien et je la vois s’éloigner vers ma bite qu’elle tient fermement en main. Je lui passe ma main dans ses cheveux afin de les ramener vers moi pour ne pas qu’ils gênent. Puis, elle pose délicatement sa langue sur le bout de mon gland et commence à en faire le tour avec sa langue. Je lâche un soupir de bonheur tellement c’est bon. Petit à petit, elle engloutit tout mon gland dans sa bouche, chaude et accueillante. Elle se met sur les genoux puis vient se placer entre mes jambes, allongée sur le ventre, elle me fait face. Elle enfonce ma queue dans sa bouche tout en me branlant à la base et en me regardant dans les yeux avec désir. C’est une des meilleures fellations de ma vie tellement j’y ressens de la passion. Elle accélère la cadence puis ralentit, puis redémarre.

Le plaisir commence vraiment à monter, mais je n’ai pas envie de jouir tout de suite.

Putain Angèle, ce que c’est bon, laisse-moi goûter ton jus maintenant.

Elle comprend que je n’étais plus très loin et elle s’exécute, s’allongeant à ma gauche. Nous échangeons donc de position et je m’allonge devant elle, lui retire sa culotte et passe ses jambes au-dessus de mes bras pour attraper ses tétons du bout des doigts. Je commence par dessiner des cercles autour de son intimité puis je me rapproche toujours un peu plus. Ma sur me regarde en se mordant les lèvres, enlève son haut et me supplie des yeux pour la bouffer. Je joue avec le bout de ma langue sur son clitoris en faisant rouler ses tétons entre mes doigts. Ma sur ne tarde pas à gémir de manière à peine audible avec sa respiration au rythme croissant. J’amplifie le mouvement de ma langue et commence à lécher verticalement toute l’entrée de sa chatte. Angèle commence à pousser des petits gémissements de plaisir et elle attrape mes avant-bras qu’elle serre fort. Je délaisse un de ses seins et viens insérer un doigt dans sa chatte.

Celle-ci laisse s’écouler constamment de la mouille que je lèche avidement.

Je mets un deuxième doigt et commence à sérieusement la limer. Ma sur exprime son plaisir de plus en plus franchement en lâchant des petits :"vas-y, doigte-moi comme ça", "c’est trop booon", "continue, ne t’arrête pas". J’accélère la cadence jusqu’à son orgasme qui lui prend tout le corps en lui arrachant un cri de plaisir intense.

Ma bite, tendue au max, est prête pour le prochain acte. Je me redresse et m’approche du visage de ma sur. Celle-ci passe un bras autour de ma nuque et m’embrasse fougueusement. Puis elle se met sur le côté gauche, retourne sa tête vers moi et me dit: "Je t’attends" avec un sourire charmeur. Je m’allonge derrière elle, relève sa jambe droite, et guide ma bite vers l’entrée de sa chatte.

On a des capotes au moins.

T’inquiète, je prends la pilule, puis je te fais confiance, t’as pas chopé de saloperies.

Non t’en fais pas, mais bon, je vais quand même éviter de me finir en toi, on sait jamais.

Fais comme tu veux, à partir du moment où tu me la fous dedans, je m’en tape"

Sur ce, je commence à m’insérer en elle. Son vagin est relativement étroit donc ça passe, mais j’y vais doucement au début. Je me retire subitement, ce qui fait gémir ma sur. Je recommence l’opération plusieurs fois, puis j’arrive finalement au fond. Elle passe son bras droit par-dessus ma nuque, ce qui fait que je peux lui saisir un sein et l’embrasser tout en la baisant. Je commence par attaquer de manière plus puissante, ce qui la fait crier comme il faut. Nous sommes parfaitement emboîtés et j’apprécie la sensation de son corps nu contre le mien.

Nous restons comme ça un moment puis d’un coup, ma sur se lève et prend les commandes. Elle me repousse sur le dos et vient se mettre sur moi. La voilà qui me chevauche énergiquement. Je prends un pied monstrueux et j’ai l’impression que c’est réciproque. Je lève légèrement les cuisses, ce qui la rapproche de moi. Je lui saisis les seins et les lèche, alors qu’ils ballottent devant mon visage. J’attrape son beau cul bien galbé et le fais rebondir sur mon bassin.

Au bout de 10 bonnes minutes, Angèle se fatigue, donc je la guide et la mets à quatre pattes. C’est l’heure d’une bonne levrette des familles (mdr) ! Ayant pu récupérer en étant en dessous, je commence à me défouler en lui claquant le cul sur mes cuisses, l’empoignant comme un animal par les hanches. Angèle, qui gémit de manière saccadée me lance des :"t’arrête pas !", "ouiiiiiiiii !", "je kiiiiiiff !".

Ça commence à faire un petit bout de temps que je la pilonne et mon endurance arrive à ses limites. Je continue encore un peu puis les contractions de sa jouissance autour de ma queue déclenchent en moi un orgasme colossal. Je sors ma bite de sa chatte, un temps de latence puis j’expulse sous une série de puissants jets mon sperme chaud sur ses fesses tendues vers moi. Je pousse un gros soupir et termine mon éjaculation en plusieurs autres jets de plus en plus faibles. Ma sur s’affaisse sur le ventre et je m’étends sur le dos à ses côtés.

Jonathan, on vient de faire une sacrée connerie, dit-elle en me regardant d’un sourire narquois.

A suivre…

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