Cette soirée avait pourtant commencé comme d’habitude. Sortie entre amis dans une boîte de la place, rien d’extraordinaire à part qu’un célibataire s’est joint à nous. C’est une connaissance d’un couple d’amis, de passage sur le territoire et dont c’est la dernière soirée avant de reprendre l’avion le lendemain pour poursuivre son périple à travers le pacifique.

Il doit être une heure du matin lorsque mon mari, donnant des signes de fatigue me fait signe qu’il va rentrer. Comme d’habitude, lorsqu’il voit que je m’amuse, il sait que je vais me faire raccompagner par l’un ou l’autre des couples de nos amis.

Je lui envoie un baiser et il disparaît vers la sortie.

Le jeune homme, Marc puisque c’est son prénom, me sert de chevalier servant. Il est bon danseur. Salsa, tango, paso, rock puis zouk, rien ne lui est inconnu. Je m’éclate un max avec un tel cavalier et je ne m’occupe plus guère de mes amis.

Ces derniers d’ailleurs ne tardent à me demander si j’ai besoin d’être raccompagnée car pour eux c’est l’heure de rentrer. Je leur fais signe de ne pas s’inquiéter et que je vais rentrer par mes propres moyens.

Marc me montre des clés de voiture pour me faire comprendre que j’ai un chauffeur. Nous continuons de danser. Une série de zouk commence. D’abord chacun de notre côté, il vient finalement vers moi pour m’enlacer. C’est très sensuel, il me colle à lui, son ventre et ses cuisses se frottent contre moi ce qui ne tarde pas à m’émouvoir d’autant que je sens bientôt contre mon ventre sa virilité, dure comme du bois.

Je ne sais comment réagir car même si je sens qu’il bande ferme, il reste correct autant qu’on peut l’être en dansant le zouk. Nous sommes presque soudés l’un à l’autre. La salle sombre presque entièrement dans le noir. Personne ne s’occupe de personne.

Mon partenaire me met face à lui en se déhanchant, son sexe emprisonné entre nos ventres. On se regarde dans les yeux.

Vous me troublez Elise.

Je souris mais ne réponds pas.

Vous aimez?

Je soutiens son regard bien que ne sachant pas trop comment gérer cette situation en train de m’échapper. On s’est presque arrêter de danser. Seul un déhanchement débordant de sensualité subsiste. Le pieu qu’il me présente me semble énorme.

On sort quelques minutes prendre l’air.

J’acquiesce de la tête et le suis lorsqu’il m’entraîne vers la sortie mais en arrivant dehors, on s’aperçoit qu’il commence à pleuvoir. Marc sans me demander mon avis m’entraîne dans son sillage:

Allons se mettre à l’abri dans ma voiture.

Je ne résiste pas. Il ouvre, on s’assied. C’est un grand pick-up américain avec trois grandes places à l’avant.

Sans un mot il se colle à moi, pose ses lèvres sur les miennes cherchant à pénétrer ma bouche avec sa langue. Je ne résiste pas. Je desserre les dents, sa langue m’envahit, se frotte à la mienne comme lorsque nous dansions tous les deux.

Il me fait basculer en arrière sur la banquette. Je sens sa main qui agrippe mon string. Je soulève mes fesses, il tire sur le tissu qui ne résiste pas longtemps à son impatience. Je sens l’élastique céder. Il remonte ma robe et s’allonge sur moi. J’ouvre les cuisses en sentant son chibre cogner contre ma vulve. Je passe ma main entre nous, je prends son membre entre mes doigts. Il est énorme. Je le fais glisser entre mes lèvres de bas en haut, plusieurs fois. Il s’impatiente en me donnant quelques coups de reins dans le vide. Je suis trempée.

Nous ne parlons pas. C’est juste du sexe. Il a envie de me baiser et moi de me faire baiser.

Je l’abandonne quelques secondes, le temps de m’enduire les doigts de ma propre salive puis je l’étale sur le gland et la tige que je pose à l’entrée de ma vulve.

Il s’enfonce déjà, lentement, très lentement, ses yeux plantés dans les miens. Il lit dans mes yeux la progression de son sexe dans le mien. Il a l’air d’apprécier, ses yeux se ferment de temps en temps. Je l’imite. C’est bon. Il est trop gros, il est obligé de s’arrêter, se retirer légèrement avant de s’enfoncer et progresser à nouveau dans mon ventre. Il me prend bien, il me remplit le vagin. Je sens un gros truc, énorme, puissant entre mes cuisses. Une bonne grosse queue, j’adore ça. Je m’ouvre pour l’absorber tout entier. Çà y est, il est au fond, bien calé dans mon fourreau qui s’étire sous la poussée. Je fais travailler mes muscles intimes pour le branler sans qu’il ait à bouger. Il se laisse faire, garde les yeux fermés, savourant ce que je lui fais avec ma petite chatte. De longues secondes se passent avant que j’esquisse un mouvement arrière avec mon bassin.

J’ai envie qu’il me baise. Il comprend le message tout de suite et commence à se retirer doucement avant de revenir et recommencer jusqu’à me pistonner la chatoune en profondeur. C’est puissant.

J’écarte ma jambe libre au maximum en avançant mon pubis à la rencontre du pieu qui me pilonne. C’est bon. J’ai envie de crier mais je me retiens. Lui aussi, s’abstient du moindre bruit. Seule son souffle qui s’accélère me renseigne sur son état d’excitation. Sa queue durcit dans mon ventre, je reconnais les signes avant-coureur de la jouissance du mâle.

Il est sur moi, en moi. Il s’active

Je trouve mon bouton, je l’agace, le caresse, le malmène pour qu’il m’emmène rapidement vers mon orgasme. L’homme sur moi, s’essouffle. Ses yeux perdent de leur éclat, il va jouir. J’accélère ma masturbation. Je veux jouir en même temps que lui. Il ouvre la bouche toute grande vers le ciel, il cherche l’air, il va crier. Sa queue se raidit en moi, plusieurs spasmes la secoue. Il jouit. Il me remplit la chatoune de sa semence.

Je l’entends pour la 1ère fois pousser un grognement d’animal blessé tandis que je bascule à mon tour. Tout mon corps se tends, des arcs électriques m’inondent le corps, de mon bas-ventre à mon cerveau qui implose. Un feu d’artifice dans ma tête me fait perdre pied, je jouis. Oui, je jouis. C’est bon. Je me laisse aller. L’homme continue à me perforer mais je n’en ai cure. J’ai pris mon plaisir. Je me laisse retomber en arrière, je sens qu’il me caresse les cuisses, le ventre, les jambes. Il respire fort.

J’ouvre les yeux. Il me sourit.

Merci. Ça sera ma plus belle soirée passée dans votre ville.

Je lui souris tandis qu’il se retire doucement en me tendant un kleenex qu’il vient de saisir sur son tableau de bord. Son regard est posé sur mon entrejambe. Je sens mon sexe ouvert comme jamais.

Vous êtes très belle.

Je n’ai pas honte et ne cherche même pas à cacher ce qu’il voit. Je me sens bien pourtant je viens de tromper mon mari sur un coup de folie avec un homme que je ne connaissais pas et que je ne reverrais sans doute jamais.

Il me raccompagne chez moi. Durant tout le trajet nous restons blottis l’un contre l’autre. Il s’arrête déjà. Je suis chez moi. Un petit baiser chaste du bout des lèvres pour fermer définitivement la porte à cette escapade insensée. Il disparaît dans la nuit après un petit signe de la main.

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