L’homme et la femme se sont emparés de Pallakshine. Ils l’ont conduite à l’extérieur et l’ont escortée sur un chemin de terre qui contournait la maison. A sa surprise, le couple l’entraînait dans la rue. « Ne touche pas à ton peignoir », lui a dit l’homme sans la regarder. Le peignoir était grand ouvert. Ils se sont arrêtés devant une camionnette, une vieille camionnette verte, dont l’homme a ouvert la porte extérieure pour faire y faire entrer Pallakshine.

Une fois à l’intérieur, elle a dû retirer son peignoir et rester assise pendant que l’homme prenait sa compagne sous ses yeux. Comme la femme ne portait qu’une jupe courte, l’homme l’a saillie en un rien de temps, après quoi il a secoué le cul de sa compagne avec une fureur impressionnante. La femme avait des râles longs, puissants et sonores.

Pallakshine regardait hallucinée les deux amants. Elle ne comprenait pas bien pourquoi on l’avait amenée ici mais le spectacle l’excitait assurément. Les fesses de la femme étaient très désirables, en effet. Pallakshine sentait monter en elle l’envie de les lécher, ces belles fesses. Mais on ne lui avait rien demandé. L’homme a eu un gémissement bizarre quand il a joui dans le cul de sa compagne. Il a sorti son membre qui a craché de courts jets de semence suer les fesses de la femme. Elle-même était prise de tressaillements. L’homme l’a relevée autoritairement et lui a demandé de remettre de l’ordre dans ses affaires.

Il a rouvert la porte de la camionnette et ils sont ressortis pour faire le tour du quartier. La rue était déserte et pourtant Pallakshine se sentait livrée à la vue du voisinage. Quant à la femme qui se tenait à côté d’elle et qui venait d’être foutue sous ses yeux, elle n’était guère plus décente. Pallakshine avait l’impression d’avoir sous le nez les effluves du con de celle qui se tenait à ses côtés et qui, sous sa jupe trop courte, devait sentir le sperme ruisseler le long de ses fesses.

Le petit groupe s’est arrêtée à un carrefour où l’homme a fait remarquer la présence de toilettes publiques, qui prenaient la forme de deux cabanons de bois installés sur une dalle de béton, au sol intérieur certainement couvert d’un carrelage sale, aux teintes urinaires.

On a expliqué à Pallakshine qu’elle devait se rendre dans les toilettes des hommes. Si elles étaient occupées, elle ferait la pute, elle se branlerait devant les hommes présents et, bien sûr, elle se plierait à leurs lubies s’ils en exprimaient le désir, elle se laisserait complaisamment prendre par l’orifice requis selon le souhait de ces messieurs.

Par malheur, il y avait préciséemnt deux hommes dans les toilettes publiques, à ce moment. Apparemment, ils étaient occupés à une transaction douteuse plutôt qu’à satisfaire des besoins pressants.

Quand ils l’ont vue arriver, ils ne se sont pas posés trop de question. Les poses qu’elles a prises devant eux étaient sans équivoque. Du coup, l’un des deux hommes s’est très vite approché pour lui tâter le cul, comme s’il avait voulu s’assurer de la réalité de l’apparition. L’autre, constatant la disponibilité de cette jolie salope, n’a pas voulu perdre de temps. Il a sorti son membre qu’il a approché de la bouche de Pallakshine, évidemment avide d’absorber ce nouveau vît et qui passait sa langue sur ses lèvres en regardant audacieusement l’inconnu, tandis qu’un homme installé derrière elle lui fouillait le cul avec les doigts qu’il insérait alternativement à l’intérieur du con et au plus profond de l’anus.

Le membre qui se rapprochait de son visage, elle l’a pris dans ses doigts, l’a caressé un temps et puis s’est mise à le sucer en gémissant de façon continue, parce qu’elle sentait bien que l’homme qui était derrière elle l’avait assez branlée à présent et qu’il allait lui enfoncer sa queue au con, qu’elle avait déjà tellement humide, ou au cul, que des doigts avaient lubrifié de son propre foutre. Le membre s’est planté profondément dans son con, en effet. Aussi, dans un mouvement réflexe, a-t-elle enfoncé tout au fond de sa gorge la queue qui envahissait sa bouche, pour la pomper avec la régularité d’une machine, jusqu’à ce que l engin lui explose dans la bouche et englue son palais de foutre. Et quand le sperme a investi son palais, Pallakshine s’est fait un devoir de le boire jusqu’à la dernière goutte. Le jouisseur s’est reculé d’un coup, exténué, pour se coller au mur de carrelage qui le soutenait.

Quant à l’homme qui lui besognait le con, il a eu tôt fait, voyant son camarade expulser sa jouissance, d’y éjaculer à son tour en lâchant un gros râle. Quelques jets, résiduels mais fournis, sont venus s’abattre sur les fesses de Pallakshine.

Les deux hommes n’ont pas eu le temps de lui poser la moindre question. Le couple qui avait conduit Pallakshine dans ces lieux, soudainement, est apparu dans le local. Silencieusement, l’homme et la femme ont relevé et récupéré leur jouet, qui ne s’était pas encore redressé. A petits pas, car Pallakshine accusait une certaine fatigue, ils l’ont ramenée au pavillon.

La femme riait : « Cette petite promenade te fera du bien ! » Pourtant, la promenade était encore une occasion obscène.. Sur le chemin, ils devaient en effet croiser quelques promeneurs qui pouvaient voir, sur le corps de Pallakshine, les traces du sperme dont elle n’avait pu se nettoyer. Un homme a interrompu la promenade pour demander, comme on demande une cigarette, du feu ou l’heure, s’il pouvait profiter un instant de ce corps apparemment offert. On lui en a donné l’autorisation.

Il a touché du bout des doigts le con de Pallakshine, puis s’est agenouillé pour renifler le sexe et le lécher, tout en branlant son membre qu’il venait d’extirper hâtivement du pantalon. Puis, se relevant, il a demandé à Pallakshine de s’agenouiller à son tour et, très rapidement, il lui a éjaculé au visage. Il a alors expliqué qu’elle devrait poursuivre sa promenade ainsi, dorénavant. Il voyait là un spectacle plaisant.

L’homme et la femme qui accompagnaient Pallakshine ont assuré qu’il en serait ainsi et même, si l’occasion s’en présentait, qu’il serait bienvenu qu’on urine sur cette femme qui acceptera tout, peut-être même de manger de la merde !

Pallakshine n’a rien dit. Le visage couvert de sperme, elle a repris sa déambulation humiliante dans les rues d’une zone pavillonnaire dont les résidents semblaient trouver un attrait particulier au spectacle qu’elle offrait. Mais le couple a fini par la reconduire au pavillon dont elle était quelque chose comme l’otage.

En guise d’accueil, une toute jeune fille, qu’elle n’avait pas remarquée jusqu’ici, l’a longuement embrassée sur la bouche avant de lui retirer son peignoir pour lui lécher le corps, s’attardant longuement entre les jambes de Pallakshine, apparemment devenue le jouet de toute cette société lubrique. Un homme entièrement nu, dont le membre était épais, tendu, et collé à son ventre, s’est installé à côté de Pallakshine à son tour.

Il a demandé qu’elle le branle, ce qu’elle s’est appliquée à faire consciencieusement, les yeux rivés sur le gros membre. Pendant ce temps, l’homme lui-même gardait sa main collée au con de Pallakshine pour en caresser la surface. Il a exigé qu’elle le suce, lui aussi. Il l’a prévenue qu’elle en boirait encore beaucoup, du sperme, car il avait l’intention de se vider entièrement les couilles dans sa jolie bouche. Pallakshine a regardé l’homme avec des yeux gourmands avant de lécher longuement le membre, glissant sa langue sur les couilles quand elle en suçotait la base. Puis l’homme a promené sa bite sur le visage de Pallakshine.

Tout à coup, il lui a maintenu le visage ouvert et s’est amusé à insérer brutalement son membre dans l’orifice buccal qui lui était offert. Il l’enfonçait d’un coup pour l’en ressortir tout aussi soudainement. Il a recommencé plusieurs fois la même opération. Pallakshine a fini par reprendre le membre fermement entre ses lèvres et l’a sucé en aspirant la verge toute entière jusqu’à ce qu’il lui éjacule puissamment dans la bouche.

Le foutre débordait sur les lèvres de Pallakshine, du fait de la quantité impressionnante de sperme que cet homme avait la faculté de délivrer. Pallakshine se sentait devenir folle à cause du foutre qui s’accumulait en elle. L’homme gardait sa queue contre les lèvres de Pallakshine pour la forcer à boire les jets de sa semence qui jaillissaient encore par à-coups.

La bouche envahie par le foutre, le corps couvert d’éclaboussures poisseuses, Pallakshine a alors eu droit à quelques instants de repos. Quelques instants au cours desquels on lui a expliqué qu’il faudrait peut-être qu’elle « reprenne une douche ». La tête engourdie, Pallakshine s’est relevée. En effet, une douche lui ferait le plus grand bien. Elle pourrait se rafraichir, reprendre ses esprits un tant soi peu. Mais on n’avait pas prévu de la laisser bénéficier d’un tel luxe. Dans la salle de bain, il y avait encore un homme qui se tenait en travers de son chemin. Lui aussi voulait qu’elle le branle, qu’elle le suce, qu’elle le satisfasse. Son membre était très raide, le gland protubérant était d’un pourpre vif. Pallakshine s’est collée à lui pour le caresser, rivant ses yeux à ceux de son maître du moment, qu’elle a branlé longuement ainsi, au rythme de sa grosse respiration d’homme aviné. Il a fini par lui ordonner sèchement de se mettre à genoux. Pallakshine s’est exécutée.

L’homme a repris son membre en main pour l’approcher du visage de la jeune fille. Il a effectué quelques va-et-vient et le sperme a jailli. A son tour, l’homme a projeté son foutre sur le visage de Pallakshine, pour éclabousser ses yeux et ses joues cette fois. Et il s’est retiré, en silence, sans plus la regarder.

Pallakshine s’est précipitée sous la douche et s’est nettoyée tout le corps, qu’elle sentait englué dans le sperme dont elle avait aussi le goût en bouche. A peine sa douche terminée, deux jeunes filles, qu’on avait prévenues de la présence docile de Pallakshine, sont entrées dans la salle de bain et se sont précipitées sur elle. L’une s’est installée entre ses jambes, l’autre lui enfonçait ses doigts dans le cul. Elle l’ont ramenée au salon pour la jeter dans un canapé rouge où elles ont continué à s’occuper des orifices de leur victime.

Pallakshine n’avait qu’une compréhension partielle des événements mais il lui semblait bien que d’autres mains s’étaient ajoutées à celles de ses accompagnatrices. Elle n’avait pas la force de chercher à identifier ces mains nouvelles. De toute façon, la demoiselle qui lui avait inspecté le cul avec prédilection s’était fixée une nouvelle mission. La bouche de Pallakshine a vite été couverte par le con de la jeune lesbienne, dont les mains s’accrochaient au cul de Pallakshine tandis qu’elle exposait les lèvres charnues de son sexe à la bouche de sa prisonnière.

(à suivre…)

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