Sylvie pénétra dans le bureau de son patron… l’un des 15 "manitous" de la mairie de Paris.
Elle n’appréciait pas trop cet homme sec et trop rigoureux.
Néanmoins, elle avait toujours été fascinée par sa position sociale éminente, ses relations dans le grand Paris bourgeois, et sa culture encyclopédique.
Il avait plusieurs fois tenté de la draguer… oh, elle n’avait pas été la seule… au moins une vingtaine des plus belles femmes du service avaient connu ce petit désagrément. Néanmoins, comme ses collègues, elle n’avait pas cédé… c’était sûrement cette impression de malaise que l’on avait quand il vous regardait droit dans les yeux : un regard glacé de reptile… alors chaque femme qui avait affaire à lui, se demandait à quelle sauce elle aurait "été mangée", si d’aventure, elle avait cédé à ses avances ! Sylvie n’allait pas tarder à le savoir !
Après être rentrée dans le grand bureau dont les murs étaient décorés de boiseries, et comblés d’étagères supportant des milliers de livres, elle dit bonjour à son patron, et lui demanda la raison de son appel.
Il n’y eut aucune réponse de sa part. Le visage baissé vers un volumineux dossier, il semblait absorbé par la tâche, et ne paraissait pas s’être aperçu de sa présence.
Sylvie savait que la "hyène" aimait faire poireauter les gens, debout devant lui, pour les faire se liquéfier à l’idée de la raison de leur venue… on était rarement invité au bureau du boss pour se faire féliciter… c’était plutôt le contraire. Observant l’homme tiré à quatre épingles, avec son superbe costume sombre Armani, sa mèche de cheveux grisonnants sur le front, son air austère… Sylvie se demanda si les rumeurs étaient fondées à son sujet.
Une employée d’un ministère, très belle femme au demeurant, avait été invitée par l’un des proches du boss, à une soirée "très spéciale".
Une partouze, où on lui avait fait faire des trucs… très spéciaux. Elle avait juré que Jean-Paul Delerue y était… mais en qualité de voyeur. Rumeur infondée, calomnie, affirmation diffamatoire, réalité ou plus simplement mythomanie de la jeune femme… personne n’en avait jamais rien su. En tout cas, il régnait sur sa personne comme une aura sulfureuse !
Même si Sylvie avait toujours refusé ses avances, cette fois-ci, avec sa nouvelle personnalité de femme révélée et lubrique, elle se demanda si cette fois, elle accepterait une soirée avec lui ? Que se passerait-il ? Un dîner romantique dans l’un des plus chics restaurants de la capitale, puis une nuit d’amour ? Une soirée dans un club libertin ou carrément SM ? Ou bien l’avilissement total par les amis de Jean-Paul ? Devenir l’espace d’un soir une catin de luxe, un objet sexuel entre les mains des 20 plus puissants hommes de Paris ?
Hummm… pensa-t-elle, que voilà des perspectives agréables !
Elle se voyait déjà nue, écartelée sur une roue ou une croix de Saint-André, les seins malaxés par des inconnus avec des cagoules de cuir noir… cinglée par des cravaches, fouettée jusqu’au sang, ligotée à un palan la tête en bas, obligée de sucer tous ceux ou celles qui se présenteraient… ou avilie et prise dans un rapport sexuel bestial par un chien de grosse taille…
Sylvie, toute à ses fantasmes lubriques, se tortillait sur elle-même, les mains serrées devant la zone de son pubis. Sans s’en apercevoir, elle se mordait les lèvres et offrait tous les signes d’une intense excitation sexuelle !
Et bien, asseyez-vous au lieu de vous tortiller comme une mauvaise élève attendant la fessée du maître !
Le timbre de la voix grave et austère, le ton autoritaire, " la fessée du maître"… lui déclenchèrent un petit orgasme, elle poussa un couinement et sentit l’humidité arriver entre ses cuisses… le problème est qu’elle ne portait rien, à part ses bas résille et son porte-jarretelles, sous sa robe en stretch très moulante ! Alors elle s’assit rapidement. Ah oui, elle se serait bien vue, la robe relevée, les jarretelles apparentes, les fesses nues, reposant sur les genoux du boss, en train de se faire copieusement fesser !!
" Bon, vous savez pourquoi je vous ai fait venir !
Pour me baiser sur ton bureau, pensa-t-elle en un éclair.
Heu non, Monsieur ?
Je vous observe depuis les 13 ans que vous êtes arrivée dans mon service. Vous avez toujours dédaigné l’intérêt que je vous portais. Votre mari est une loque que vous méprisez, et vous avez toujours été coincée comme une bonne-sur et habillée comme telle ! Alors que vous arrive-t-il, Madame Martin, depuis le milieu de la semaine dernière ?
Je… je ne vois pas de quoi vous parlez ?
Vous avez changé votre style vestimentaire depuis vendredi… j’ai l’il pour ces choses-là ! Vous vous maquillez un peu plus vulgairement et vous êtes habillée comme une " courtisane".
Ah bon, et cela vous plaît Monsieur Delerue, lui demanda-t-elle en lui lançant un sourire coquin, et en penchant la tête.
Vous vous prenez pour qui, Madame Martin ? Et surtout pour QUI me prenez-vous ? Un minable qui va s’esbaudir au Bois de Boulogne ?! "
Ayant perdu toute contenance devant la rage à peine rentrée de l’homme, elle s’approcha de son patron qui lui montra son écran d’ordinateur. Alors horrifiée, elle se vit, les trois premières minutes, debout à s’exciter en pensées. Oui, son trouble sexuel était plus qu’évident ! Il l’avait filmée à son insu depuis son arrivée dans le bureau !
Alors qu’en dites-vous ? Vous vous croyez chez Madame Claude ! Regardez-vous avec cette robe moulante rose, au ras des cuisses, et en bas résille noirs ! Vous voulez ameuter le service, faire des extra dans les toilettes ? Mais il y a plus grave ! Regardez ceci !
Et sidérée, Sylvie vit le film complet en Dolby stéréo de sa prestation au sex-shop. Implacablement, son patron lui laissa voir 15 minutes de la vidéo sans dire un mot.
Et il y a encore pire !
Et Jean-Paul sortit le DVD amateur zoophile.
" Alors que dites-vous de cela ? Dans le service de la culture de la capitale du bon goût et de l’art à la française, j’ai une employée qui, en l’espace de 4 jours, se transforme en fille de trottoir, exhibitionniste, stripteaseuse et zoophile ! A 52 ans, mais vous n’avez pas honte ! Il est clair que vous ne pouvez rester chez nous. Albert a déjà préparé votre carton avec vos affaires. Vous êtes rayée des cadres pour faute grave, sans indemnités…
Et n’essayez pas de me traduire au tribunal administratif face à l’irrégularité de la procédure… non seulement avec mes contacts vous avez déjà perdu, et l’on vous demandera des dédommagements, mais en plus, j’éditerai un dossier compromettant sur vous, que j’enverrai dans tous les services… tout le monde saura que vous êtes une putain infidèle. Comment pouvez-vous trahir votre pauvre mari comme cela ?
Mais… mais c’est lui qui…" Et Sylvie s’écroula en larmes sur la moquette du bureau. Le boss la releva et la fit asseoir sur le bureau devant lui. Elle eut la présence d’esprit de croiser très fort ses cuisses pour éviter de lui montrer son sexe dénudé et sa moiteur poisseuse…
Votre mari qui quoi ? Vous voulez dire que vous n’étiez pas seule, il vous observait dans un box ?
Et Jean-Paul jusqu’à la révolté, et en fureur contre la délurée, sentit son sexe grossir dans son pantalon, et son excitation poindre. Ainsi le mari exhibait sa femme… intéressant …
Il revint alors à la première idée qu’il avait eue… pourquoi ne pas en faire son objet de plaisir… tout en l’exhibant au mari… quelle idée fantastique !
Voler.
Jean-Paul adorait ce genre de situations glauques et vicieuses. C’est pour cela qu’il allait aux séances amateurs du sex-shop, imaginant le trouble de la femme honnête dévergondée devant son mari, sous sa responsabilité à lui.
Mais cette fois, ce serait lui le maître du jeu… alors, la mettre à l’épreuve.
Sylvie, je suis sûr que vous êtes encore pire que ce que je pense. Vous êtes nue sous votre robe…évidemment !
Nnn… non…
Bien alors, prouvez-le-moi et relevez votre robe au-dessus des hanches.
Sylvie, terrifiée par l’homme de pouvoir, ressentit une pointe d’excitation lui traverser le ventre. Si elle se montrait obéissante, alors peut-être qu’avec ses charmes, elle sauverait la situation.
Alors lentement, en faisant bien durer le suspense, elle remonta la robe à deux mains, tout en fixant l’homme dans les yeux. A son regard hypnotisé par son bas-ventre, elle comprit qu’elle allait retourner la situation. Alors Jean-Paul qui bandait comme un malade, vit apparaître les jarretelles et puis le pubis, avec son petit triangle de poils blonds. Sylvie releva la robe jusqu’au-dessus du porte-jarretelles. Pour faire bonne mesure, elle se dénuda le buste en baissant la robe sous sa poitrine.
Je suis sûre que vous alliez vérifier si je portais un soutien-gorge !
Tout en faisant apparaître deux gros seins splendides, aux pointes turgescentes
Vous voyez que vous êtes une catin… allez, rhabillez- vous, et quittez ce bureau ! Adieu Madame Martin !
Mais… mais attendez, laissez-moi au moins vous expliquer pourquoi je suis devenue comme cela ; ce n’est pas ma faute !
Je veux bien vous écouter. Asseyez-vous sur le bureau, cuisses grandes ouvertes. Prenez ma main et posez-la entre vos cuisses, je suis sûr que vous avez joui tout à l’heure !"
Étonnée du revirement de l’homme, et de nouveau excitée par cette main qui allait s’emparer de son sexe, elle se dépêcha d’obtempérer !
Alors, elle raconta la dernière semaine de sa vie de femme honnête, en n’oubliant aucun détail scabreux de ce qu’elle avait vécu. Pendant ce temps, les doigts s’agitaient sur son clitoris qu’ils pinçaient et masturbaient en même temps, puis investirent sa chatte. Moitié criant sous les griffures et les pincements, moitié jouissant, Sylvie racontait son histoire. Son passage de femme "normale" à dominée par un maître, Paul, qui l’asservissait lentement à son mari !
Alors que la main se retira de son sexe, et la poussa le dos contre le bureau, son patron lui prit les pieds pour les mettre à plat dessus, jambes repliées, cuisses grandes écartées, présentant son sexe à la fente ouverte et baveuse, il ouvrit un tiroir, en sortit un martinet et comme un possédé commença à flageller le sexe offert de Sylvie.
Il ne s’arrêta que quand Sylvie se mit à crier très fort. Le problème est qu’elle resta disponible et ouverte à la punition, et qu’elle trouva un plaisir inconnu et terriblement addictif à la morsure du cuir ! Sylvie se découvrit être une pure masochiste… elle était humiliée et frappée, avait mal et elle aimait ça. Elle eut un orgasme dévastateur qui la laissa pantelante sur le bureau, son vagin ayant expulsé une grande giclée de cyprine… Jean-Paul avait transformé son nouveau jouet en femme fontaine !
Alors, se redressant, les cuisses en feu, le clitoris et les lèvres brûlantes, elle comprit qu’elle ne pourrait plus se passer des flagellations brutales comme celles-ci… elle se jeta aux pieds de son tortionnaire, lui ouvrit la braguette et engloutit sa verge énorme. Elle avala jusqu’à la moindre goutte de son sperme après 2 minutes d’une fellation savante, pour remercier son nouveau "maître et dieu vivant".
Je vais peut-être vous garder… mais il faudra être très très obéissante ! Vous expierez vos vices !
Paul et Raphaël avaient bien du souci à se faire…