4 La grande soirée
Le réveil sonne depuis un bout de temps quand jouvre un il. La soirée me revient en mémoire, et je souris. Pour combler mon maître, je dois devenir la salope intersidérale. Aujourdhui, cest journée shopping, allons y. mon budget est serré, mais tant pis.
Je me prépare vite fait, je nai pas cours ce matin, et je file dans un magasin que jai repéré, plutôt genre sex shop, avec des tenues top délires.
Quand je rentre dans la boutique, jai déjà repéré une robe, avec une ouverture au niveau du nombril, qui mettra en valeur mon piercing, et le dos échancré qui confirmera que je ne porte pas de soutien gorge. Elle est verte, couleur qui me va bien, hyper courte, moulante à souhait, confortable,(ça cest lavantage du lycra).
Le vendeur me complimente sur mon choix, ce qui me ravit, et me conseille une paire de chaussures à talons vertigineux. Il me les fait essayer et jai lair dune gourde quand jessaye de marcher avec, mais je dois reconnaître que visuellement, lensemble est parfait, je ressemble un peu a une pute, mais c’est excitant. Nous discutons avec le vendeur, et je lui explique que jai envie de faire plaisir à mon Maître (je suis toute fière en prononçant ce mot). Il me regarde dun air entendu, et me demande si je ne veux pas des boules de geisha en prime ?
Je dois avoir lair dune débile, alors, il mexplique succinctement le mode demploi et leffet obtenu. Je me dis quarriver à mon prochain rendez vous déjà prête à lemploi sera plus excitant encore. Devant le prix modique, je cède. Je demande si je peux garder sur moi les vêtements ce quil accepte tout de suite. Je retourne en cabine pour me contempler à nouveau, et en profite pour glisser dans mon intimité les boules de geisha, jai envie de faire une surprise à Monsieur.
Je rentre chez moi ainsi habillée cependant, je navais pas compté avec les effets des boules de geisha en prenant le métro, les vibrations de celui-ci mont déclenché un orgasme auquel je ne mattendais pas, jai juste eu le temps de descendre de la rame pour crier, tellement cétait intense.
Une fois arrivée à la maison, je décide de les retirer, et de les placer dans mon sac à main, je les mettrai un peu avant le dernier cours.
Re-poudrage de la frimousse, retouches de maquillage, brossage des cheveux, 3 pschitt de mon parfum préféré, et je suis prête pour laprès midi à la fac, et aujourdhui, jai envie darriver en avance histoire de papoter à droite et à gauche. Bien évidemment, je porte le collier offert.
Je prends le métro, et il est bondé malgré lheure. Nous sommes serrés comme des sardines et je sens une main saventurer sur mes fesses, ce qui en temps normal maurait fait réagir, mais là, je laisse faire, ça mamuse.
A mon arrivée, je croise une copine avec laquelle on bosse parfois. Elle me demande ce qui se passe et pourquoi un tel changement ?
Je la regarde droit dans les yeux et lui dit : « mon Maître a décidé que je serai comme ça !». Elle me dévisage stupéfaite, et me demande si je vais bien, ce qui me fait éclater de rire.
La discussion tourne autour de la soumission, et de ce que jy trouvais, ce qui la rend perplexe.
Avec elle, ça va faire une traînée de poudre dans le Campus
Les cours reprennent, et là il est question dêtre studieuse, du moins jessaye, car je suis de plus en plus dissipée.
Je ne fais même plus attention, à serrer mes jambes, et je vois bien, que le prof regarde souvent dans ma direction, ce qui me ravit. Du coup, je croise et décroise mes jambes.
Ouf ce cours qui nen finissait pas se termine enfin, nous sommes libérés. Comme cétait le seul cours de laprès midi, il est tôt. Je file aux toilettes mettre en place mes boules de geisha.
Devant la sortie, je vois tout de suite la voiture de Monsieur, jessaye de courir, mais avec mes talons hauts, jai lair dune dinde mais je men fou, jai hâte dêtre avec lui.
Je grimpe dans la voiture, et minstalle, hmm le contact de ce cuir me fait décidemment de leffet.
Je vois que tu as fait du shopping,
Oui Monsieur,
Cest pas mal, tu es une bonne chienne docile, et jaime ça
Je deviens rouge pivoine du compliment.
La voiture démarre, mais prends une autre route que celle habituelle.
Nous allons acheter quelques jouets pour ma chienne, et ensuite, nous avons une soirée spéciale.
Décidemment, cest shopping day. Jadore.
Nous nous rendons dans un des plus grands magasin de SM et là jécarquille les yeux, je ne sais pas ou poser mon regard, il y a tant de choses, la plupart dont je ne connais ni lexistence ni à quoi ils servent.
Nous nous dirigeons vers un stand rempli de cravaches et de fouets, il y en a de toutes les sortes.
Choisi la cravache qui servira ce soir
Hmm, jai déjà gouté du martinet, le fait de me faire choisir la cravache qui va servir à sabattre sur moi est terrible, elle ne doit être ni trop douce, ni trop dure, je suis trop douillette. Hmmm quel choix difficile. Jopte pour celle que je trouve la plus jolie, elle est rouge.
Il achète également un très joli harnais en cuir, dans lequel je me vois déjà dedans. Je sens quune grande soirée se prépare jaurais bien aimé lessayer, mais Monsieur semble un peu pressé, je nose lui demander cette faveur.
Il règle les achats et nous voilà repartis.
Sur le chemin, il mexplique quil donne une réception et quil attend de moi que je sois à la hauteur.
En arrivant, nous descendons à la cave, il me dit de passer le harnais, que jassurerais le service de ses invités, ainsi vêtue. Je mexécute et en profite pour retirer mes boules de geisha et il est temps.
Je passe avec plaisir le harnais, je lajuste pour quil soit serré ce qu’il faut, des lanières entourent mes seins, passent également autour de mon sexe lisse, je me regarde dans la glace, et me trouve très belle ainsi. Je mets mes chaussures à talons hauts, me recoiffe et me voilà prête.
Une grande table a été dressée, je vois quil va y avoir une bonne dizaine de personnes, et jappréhende un peu de faire le service, je nai jamais été très douée pour ça. La décoration est sommaire et va bien avec le style gothique de cette cave. La vaisselle étincelle. Il y a en plus des couverts, un martinet posé à la droite de chaque assiette, le ton est donné.
Avant que les invités arrivent, Monsieur me dit de rester à la cuisine, et je découvre derrière une épaisse porte en bois, une pièce que je navais encore jamais vue, moderne, une véritable cuisine. Il y a là une cuisinière et ça sent bon.
La cuisinière me dit bonjour dun rapide hochement de tête et retourne vaquer à ses occupations.
Jentends du bruit dans la salle principale, il semble que les invités arrivent.
Une petite sonnette retentit, et le service peut commencer. Un large chariot est prêt avec les entrées, bien disposées et jentre dans la salle. Je baisse la tête et ne peut encore voir les invités. Jai eu le temps dapercevoir quil y avait des femmes, aussi, je me dirige vers celle qui est en bout de table face à mon maître et commence le service.
Je fais de mon mieux jusquau moment ou la personne que je sers, nest autre que le prof de la fac avec lequel jai joué à écarter les cuisses.
Il me regarde amusé et me lance :
Tiens tiens, comme le monde est petit, je vois que cette petite salope nofficie pas uniquement quà la fac, vous avez bon goût très cher !
Je ne sais pas où me mettre, je n’avais pas envisagé rencontrer des gens que je connaissais. Il en profite pour me pincer les fesses, et je tâche de continuer mon service du mieux que je peux. Chaque personne ira de sa claque sur les fesses ou simple caresse. Seule une femme ira droit à mon intimité pincer mon clitoris avec ses ongles, ce qui provoque un mouvement de recul de ma part que je regrette aussitôt.
Mon maître prend la parole devant ses invités, et lance,
— mes amis, je vous présente ma nouvelle acquisition, la soumise qui vient de faire le service m’appartient depuis peu, et c’est la première fois qu’elle sert, alors je compte sur vous pour lui inculquer les bonnes manières. Ce soir, vous allez pouvoir vous amuser avec pour mon plus grand plaisir.
Les applaudissements fusent, et je me sens toute chose, d’un côté ravie qu’on s’occupe de moi, de l’autre la boule au ventre, de peur de décevoir et de ce qui m’attend que je ne connais pas.
Nous allons l’attacher, et vous pourrez l’utiliser comme bon vous semble, qui veut commencer ?
Je suis immobilisée les mains en l’air accrochées à une corde qui passe dans une poulie, les pieds sont écartés grâce à une barre et des menottes aux chevilles. La corde est tirée de sorte que je suis sur la pointe des pieds en équilibre instable.
Le manège commence, je suis livrée aux invités telle une bête dans une foire aux bestiaux. Je suis palpée sur les fesses et les seins, les fessées commencent, de plus en plus fort, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Mon fessier chauffe et toute la douleur est concentrée dessus
La femme se plante face à moi, accroche des poids à mes seins, ce qui provoque une douleur insupportable, je tente de me courber pour atténuer la douleur mais rien a faire. La femme me secoue pour que les poids s’agitent, je dois me concentrer sur mes seins pour ne pas crier.
La femme met sa main entre mes cuisses, remonte, et me pince le clitoris. Je ne sais plus quelle douleur est la plus vive. Tout d’un coup, elle entre en moi avec sa main comme dans du beurre. Je réalise que je suis en train de jouir.
Mais la salope, elle aime ça ! Elle met sa main dans ma bouche pour que je suce mon jus, elle tire sur les pinces pour les retirer de mes seins. Je ne peux retenir un cri qui m’attire une gifle de sa part.
Mon prof de fac prend le relais, et lance
Cher ami, seriez vous d’accord pour qu’on lui rase la tête ?
Un cri sort de ma gorge « oh non pas ça, s’il vous plait ! » des larmes coulent sur mes joues, mes cheveux c’est sacré pour moi.
J’ai à peine eu le temps de dire ces quelques mots, que je reçois une décharge électrique.
Qui t’as autorisée à parler ?, me lance mon tortionnaire, et son air n’a rien de jovial.
Très bonne idée, faites donc, cher ami, ce soir elle est entièrement à votre service !
je regarde mon maître d’un air implorant, mais il retourne s’asseoir assister à la scène.
Je suis non pas détachée, mais la corde a du leste, on m’apporte une chaise, sur laquelle on me ficelle tel le rôti que fait ma mère. Une glace est installée face à moi pour que je puisse voir le travail.
Tout cela est fait en un tour de main, je vois la tondeuse s’approcher de moi, elle reste près de mon oreille pour que j’en mémorise le bruit, et la tonte commence. Lentement. Je vois mes cheveux tomber par terre. Je n’arrive pas à arrêter mes larmes ni mes convulsions.
Voilà qui va être mieux, on va pouvoir jouir sur sa jolie petite figure, il sort son sexe dur de son pantalon, et me l’offre pour que je le suce, ce que je fais avec application et plaisir, il jouit au fond de ma gorge par jets puissants, que j’avale directement. Mes larmes ne sont plus qu’un souvenir, l’excitation est revenue.
Puis, je suis installée à quatre pattes, avec ordre de ne pas en bouger, ce qui me serait difficile vu la façon dont je suis liée.
Les pantalons tombent, je ne sais pas pourquoi, je remarque que peu portent de sous-vêtements.
Pendant ce temps, les deux femmes s’installent derrière moi. J’ai bien vu que l’une des deux tenait dans sa main la cravache que j’avais choisi.
De voir ces sexes à mon intention me redonne envie de satisfaire le plaisir de mon maître. Je mapprête donc à recevoir ces hommes dans ma bouche. J’aurais aimé avoir les mains libres pour tenir dans ma main et actionner tous ses beaux organes.
Je les vois se préparer et un à un, ils viennent délivrer leur semence, soit en jet puissant sur ma figure, soit dans le fond de ma gorge pour être sûr que je ne le recrache pas, ce qui n’est pas dans mon intention. J’aime le goût salé et chaud. Ma figure dégouline du liquide visqueux, je suis fière de moi. Je me vois dans la glace sans toutefois vraiment me reconnaître.
Pendant ce temps, mon arrière train n’est pas en reste, puisque je reçois entre chaque homme, une volée de coups de la cravache que j’ai choisie, qui à chaque fois me font sursauter car ils arrivent sans crier gare.
Je sais que je mouille car mon liquide coule sur mes cuisses.
Je sens également, qu’on introduit quelque chose dans mon anus qui fait rire l’assistance.
Une fois que c’est en place, on me dit que j’ai une belle queue de cheval et que j’allais faire une très belle Pony girl. je vois effectivement dans la glace, une queue de cheval plantée dans mon arrière train.
Mon maître vient se placer derrière moi, et me prend sauvagement. Je sens ses coups de reins qui en plus du plug a queue de cheval que j’ai me font jouir rapidement. Il continue à assouvir son plaisir tout en me déclenchant des orgasmes de plus en plus fort. Jusqu’au moment ou un râle puissant sorte de sa gorge. Je sens son sexe secoué des spasmes de sa jouissance, puis il se retire aussi rapidement qu’il est entré en moi.
hum c’est bon de te saillir, salope.
Je le regarde discrètement, je suis contente qu’il ait aimé, je suis amoureuse de lui.
Les invités s’éclipsent, la soirée est terminée, je m’admire dans la glace, après tout, le crâne rasé me donne une autre allure. Bon d’accord, je n’ai pas encore eu le temps de me débarbouiller, mais je vois bien que je suis une autre personne. Je jette un il à mes fesses qui sont rougies et qui se rappellent à mon souvenir par leur chaleur, mais je suis bien.
Tu as 5 minutes pour te préparer que je te ramène.
Je file me rincer la figure, enfiler à la hâte mes vêtements, je suis exténuée, j’ai envie de me coucher et de dormir.
Je somnole une grande partie du trajet du retour. Mon seul regret, le black qui m’avais prise n’était pas là.
