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Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. – Chapitre 9




Une heure plus tard on est de retour chez elle, on ouvre la porte que l’on avait pris soin de fermer à clé, et on s’approche sans bruit de la chambre. Elle dort profondément dans sa parfaite nudité, encore souillée de nos débauches. On s’éclipse doucement à la cuisine, et on trouve de quoi se faire un café. On discute d’elle, obligatoirement, de toutes les choses incroyables qu’elle a réalisées en notre compagnie, aussi cochonnes et perverses que celles qu’elle écrit. On se refait notre soirée, notre nuit, et on a du mal à réaliser notre chance de l’avoir comme copine.

L’heure tourne, il est midi, et elle dort toujours. On décide de sortir, d’aller manger dans un resto, et on lui laisse un petit mot des plus gentils pour l’informer et surtout lui dire que l’on revient.

On s’est restauré, on revient, elle n’est plus dans son lit et on entend la douche couler. On se refait un café, maintenant que l’on connait la maison, et on s’installe au salon.

Elle nous rejoint vite après, toute guillerette. Elle est légèrement vêtue, un long t-shirt sans rien dessous, et nous salue d’un tendre baiser sur la bouche. Elle a un petit creux et nous abandonne pour aller grignoter à la cuisine. Elle nous retrouve quelques instants après:

— Je suis crevée, je vais me reposer, vous venez?

— Bonne idée, on n’est pas très en forme nous non plus.

On la suit à la chambre et elle s’allonge au milieu du lit, nous confirmant son envie de nous avoir avec elle. On se met à l’aise avec mon beauf, moi en slip, lui en caleçon, et on s’allonge de chaque côté de son corps superbe. Ses mains se posent entre nos cuisses, nous massent quelques secondes à travers les tissus, avant de glisser sous nos dessous. C’est agréable, mais inattendu:

— Je croyais que tu étais crevée! Tu veux baiser?

— Non, je veux juste un petit câlin. C’est bon de vous caresser la bite et les couilles! Ça me détend.

— Tu as le mot pour rire, si ça te détend, nous ça risque être l’inverse.

— J’espère bien, c’est bon de caresser des queues bien raides!

— Salope, on va te caresser nous aussi, déshabille toi.

Elle enlève son t-shirt, son seul vêtement, et on en profite pour enlever le notre. On se retrouve à poil tous les trois, allongés dans son lit, et on se tourne vers elle. Elle s’empare aussitôt de nos sexes, et on sent ses douces mains coulisser sur nos manches ou peloter nos boules. Je veux lui masser la vulve, mais mon beauf m’a pris de vitesse; je me rabats sur ses seins.

Je caresse sa poitrine, un 85c d’une tenue exemplaire, bien ferme, bien dressée, bien bandée. Je lèche son téton, le suce, jusqu’à voir mon beauf caresser l’autre de sa main dégoulinante de mouille. Il recouvre sa mamelle de ce liquide puis lèche son sein pointé comme un obus.

Je devine alors que sa chatte est libre et m’empresse d’y glisser ma main. Elle dégouline cette putain, j’ai les doigts trempes de son jus, et j’imite mon beauf; je caresse le sein qui est de mon côté, le recouvre de sa crème, puis le lèche, le suce. Ma main revient entre ses cuisses, se heurte à celle de mon beauf; et on la fouille à deux en même temps que l’on tête ses boites à lolos malheureusement improductives. Elle gémit, miaule, je la sens chaude:

— C’est bon comme tu mouilles, tu veux baiser?

— Non, je suis crevée, mais j’aime comme on se caresse. Et vous ça vous plait?

— Oui, bien sûr, mais si tu continues à nous branler comme tu fais, tu vas nous faire jouir. Ce serait dommage de gaspiller notre sperme!

— Pas de soucis les mecs, je vais vous faire gicler, puis je vais vous nettoyer.

Jamais un homme ne m’a laissé le branler à fonds, ils ont toujours voulu me dominer, alors si vous voulez me laisser vous faire gicler, je serais trop heureuse de voir vos bites éjaculer sous mes yeux.

On lui donne notre accord, et ses mains s’activent sur nos colonnes de plus en plus érigées. Je suis le premier à sentir la sauce monter, et la préviens. Sa main se déchaîne sur ma trique, elle me l’astique sauvagement, et me fait décharger. J’éjacule plusieurs fois, de bonnes giclées, les premières montent en l’air et retombent sur mon torse et sur mon ventre, les suivantes moins puissantes dégoulinent sur ses doigts. Elle attend que ma queue se calme, puis la prend toute en bouche. Elle la pompe pour récupérer mon fonds de cuve, puis la libère. Elle a ses doigts recouverts de foutre, les essuie sur ma queue encore bandée, puis les suce avant de reprendre mon sexe en bouche. Je suis bien nettoyé, à part mes éjaculations sur mon corps. Elle me fixe dans les yeux, se lèche les babines, puis dévore, engloutit, toute ma production de mâle. A chaque récupération elle se plait à me montrer sa langue chargée, puis nette prouvant qu’elle a tout avalé.

Je suis comblé, ravi, et devine son envie de s’occuper de mon beauf. Je me lève pour lui laisser la place, et laisser sa queue à main droite de notre salope, alors que sans changer de place elle l’aurait eue de la gauche, moins efficace. Elle le branle sauvagement, et le fait juter lui aussi. Il en met partout, sur son corps, sur sa queue, sur la main de notre branleuse, et comme pour moi elle nettoie tout, avale tout.

Elle semble à nouveau satisfaite d’elle, mais on reste sur notre faim:

— Tu nous a bien eu salope, mais tu ne vas pas t’en sortir comme cela. Attend que l’on se remette et crois nous que tu vas prendre.

— Mais j’espère bien mes vieux cochons, si je vous ai fait rester c’est bien pour ça.

— Salope, elles te plaisent nos queues, on va te les planter toutes les deux dans le cul pour bien les sentir.

— Oh non, pas aujourd’hui, j’ai mon derrière en compote, il ne peut plus rien prendre.

— Tu veux dire qu’une autre fois ce sera possible!

— Je ne sais pas, c’est énorme deux bites dans un petit trou.

— Mais non, j’ai vu un film d’une star de vidéo, une jeune et jolie blonde comme toi, qui se prend deux blacks à la fois dans le fion.

— N’importe quoi, tu as rêvé!

Je lui jure que non, et lui demande si elle a internet pour le lui prouver. On va au salon et elle allume son ordinateur portable. Je lui indique le nom de cette actrice du X, réputée pour ses envies illimitées de sexe hard. On la voit se faire enculer par deux noirs très bien montés, et s’adresser rageusement à eux , en américain. Je n’y comprends rien mais Vanessa semble tout saisir, et nous confirme les commentaires sur elle: elle insulte ses partenaires, leur ordonne de la prendre encore plus fort, de la défoncer. Notre copine n’en revient, et on la devine intéressée par cette séance des plus chaudes.

La vidéo est terminée, et tant qu’elle à son ordi allumé, elle nous demande une fois encore de refaire le décompte de ses partenaires de la soirée et de la nuit passées. Elle ouvre un fichier pour tout noter, et préparer ainsi l’histoire vraie qu’elle veut écrire. On décompte toujours le même nombre de queues différentes, et en plus on décompte un minimum de quarante vidages de couilles. Elle est toute heureuse de ses prouesses et met un titre provisoire: "Vingt-six queues pour lui tout seul; la fête à mon cul".

Elle range tout, on se lave, on s’habille, et on sort s’aérer. On prend un verre en terrasse, on se fait un restaurant, puis on revient chez elle, avec l’intention de baiser.

On est dans sa chambre et je lui broute le minou tandis que mon beauf lui donne sa queue à sucer. Puis elle se met en position pour que je la baise en levrette, et qu’elle continue à sucer. Je la lime un bon moment, puis Christian vient me remplacer entre ses cuisses, tandis qu’elle m’offre une superbe fellation. Elle me prend en gorge profonde et parvient en prime à gober mes couilles toutes recouvertes de sa mouille.

Je reviens dans sa chatte libérée par mon complice, et suis tellement excité que je lui propose de la prendre par derrière, même si je sais que son cul n’en peut plus pour aujourd’hui. J’ai effectivement une fin de non recevoir, et mon beauf encore plus lorsqu’il lui dit qu’il espérait une double sodomie. On est déçu, on respecte sa décision, et pour nous consoler elle nous propose une double vaginale. On accepte sans hésiter et on la double emplafonne sans retenue, chacun son tour une fois enfoncé dessous elle et se laissant faire, ou une fois dessus et la matraquant jusqu’à bout de forces. On la domine chacun son tour, et on défonce son huître déjà remplie de la bite de l’autre.

Elle gémit la salope, elle aime ça, elle mord dans les draps pour ne pas gueuler.

On finit par jouir tous les deux dans son délicieux con que l’on remplit de foutre. On se déboîte, elle se fouille la fente pour récupérer et bouffer notre don de sperme, puis elle nous nettoie le sexe. On est épuisé et on se prépare à s’en aller, et la laisser se reposer.

On est dimanche, je m’en vais mardi, et il ne nous reste qu’une soirée à passer ensemble. On lui donne rendez-vous et lui demande son envie pour le lendemain: métro, cinéma X, blacks, animaux. Tout lui plait mais elle opte pour un autre choix: juste nous trois, chez elle. On lui demande si elle compte nous offrir son cul et la réponse est oui; pour une double pénétration et la réponse est peut-être, on verra.

Lundi dix-huit heures trente, on est chez elle. On démarre aussitôt une séance sportive au cours de laquelle on peut disposer de ses trois orifices chacun son tour, mais pas en double. On s’offre sa chatte et son cul à volonté, sa bouche aussi et c’est dans elle que l’on se libère pour lui faire avaler notre sauce. Vingt heures, on sort pour dîner. On reparle de notre plan anal tant espéré, et elle est d’accord pour essayer. Elle pose toutefois une condition, elle veut que ce soit chez Christian, dans sa maison isolée, et où elle pourra hurler tant qu’elle veut pour exprimer son plaisir; alors que chez elle c’est impossible à cause des voisins.

On est chez mon beauf, et comme toujours on se fout à poil sans perdre de temps. On l’a baisée il n’y a pas longtemps et on va être en capacité de s’occuper d’elle pendant au moins deux heures avant de jouir à nouveau. Elle est à quatre pattes au bord du lit et on lui bourre le postérieur à tour de rôle, cinq minutes chacun, à plusieurs reprises. Son trou est bien préparé, chaud, ouvert, mouillé, et elle se dit prête pour nous recevoir en même temps.

Elle a amené du gel, dont elle se sert pour se goder le fion, et elle se badigeonne la raie, l’illet, l’entrée de sa rondelle. Elle remet du gel dans sa main et nous nappe les queues en abondance. On est tous les trois bien graissés, et tout devrait bien se passer, surtout connaissant les possibilités d’accueil de son trou à bites.

Mon beauf s’allonge sur le dos et elle vient s’asseoir sur lui, lui faisant face. Elle se saisit de son manche tendu et se le plante dans le cul. Elle descend pour le prendre tout entier, puis se penche en avant, les reins cambrés, pour s’offrir à moi. Je suis derrière elle, et me positionne pour enfiler son trou déjà bien occupé. J’ajuste mon gland au bon endroit, je pousse sans retenue, et à ma grande surprise mon sexe s’enfonce sans presque aucune résistance, sinon des petits cris qui n’implorent en rien de stopper mon assaut. Je me mets en mouvement, et la lime de mon mieux, ma queue se frottant entre sa paroi et la queue bien raide de Christian.

Elle gémit, pousse des "ouiiiiiiiiiiii" des "ohhhh" puis disjoncte complet, nous insulte, nous harangue, hurle:

— Allez-y mauviettes, vous êtes des nuls, juste bons à émouvoir une minette mais pas à faire jouir une vraie femme. Vous n’avez rien dans le pantalon, espèces de bites molles, montrez moi que vous avez des couilles. Défoncez moi enculés, éclatez moi le cul, bande d’impuissants…….

J’ai compris qu’il ne faut pas prendre ses mots au sérieux, qu’elle joue le rôle de la star du x que je lui ai fait voir en vidéo, mais mon beauf n’a pas saisi. Il est piqué au vif, et veut se défendre. Il s’adresse à moi:

— Laisse la moi cette putain, que je lui casse le cul; je vais lui montrer si on est impuissant!

Je me retire et m’allonge à côté de lui. Il lui met alors une énorme claque sur les fesses:

— Dégage salope, et empale toi sur lui que je te prenne, que je te monte comme un chien monte une chienne.

Son cul engloutit mon manche, et je sens aussitôt quelque chose de très dur qui m’écrase la queue. C’est mon beauf qui s’est enfoncé comme un bourrin, et il la matraque à grands coups de reins. Le traitement semble la ravir, elle gueule, elle hurle, elle l’encourage, le félicite, et en redemande, plus fort, plus vite, plus loin. Il se déchaîne et je sens les saccades de son sexe en même temps qu’un liquide chaud et abondant qui me recouvre le gland. Il jouit à volonté et la petite l’encourage:

— Oui, oui, remplit moi, inonde moi, je veux du sperme plein le cul, vide tes couilles, donne moi tout, ne garde rien…

Il n’en finit pas de décharger, de longues giclées bien fournies. Il se retire et s’effondre à côté d’elle, épuisé. Elle reçoit à nouveau une bonne gifle sur ses miches, de ma part cette fois:

— Sors de là salope, que je te farcisse à mon tour, putain de sac à foutre.

Elle se dégage et mon beauf la tire vers lui pour aller plus vite. Elle le chevauche et il glisse son sexe qui n’a pas encore débandé dans son fion grand ouvert. Je suis en place derrière elle et je l’embroche sauvagement. Je ne veux pas en faire moins que mon partenaire et je vais moi aussi lui démolir le cul. Elle gueule à nouveau, balance des obscénités, et je lui déclenche un nouveau et violent orgasme lorsque je me vidange dans son garage à bites. Je me retire et m’allonge sur le lit.

Elle reste quelques instants sur mon beauf, le temps de récupérer, puis se relève pour nous offrir un spectacle bien hard. Elle se tourne, nous offre la vue de son cul, puis se fouille pour récupérer nos offrandes liquides. Elle en a plein les doigts, nous fait face, et lèche tout, suce tout, dévore tout. On est scotché, interdit, devant son orgie, elle au contraire affiche un sourire des plus malicieux, et recommence sa prestation:

— On en a vu des salopes, mais tu es la pire de toutes, une sacrée putain de chienne.

— C’est pour vous que je le fais, vous êtes des gros et vieux vicieux pervers qui pensaient que toutes les femmes sont des vicieuses. Et si en plus elles sont jeunes, c’est la cerise sur le gâteau!

— Oui, ou le clitoris sur la vulve, petite traînée.

Elle ne peut nous répondre. Elle a en effet terminé de se torcher pour vider son trou de nos sauces, et s’applique maintenant à nettoyer nos queues de sa bouche douce et experte. Elle a terminé et vient s’allonger entre nous:

— Ca va ma puce, ça t’a plu?

— Oh oui, ce que j’ai pris, c’était aussi bon que pour ma première fois.

— Avec l’épicier, comme dans tes récits?

— Non, ça c’était pour rire. C’était avec mon grand-père, pour mes dix-huit ans.

— Il t’a forcée?

Elle nous explique que non. C’est elle qui allumait son grand-père, et elle voyait qu’il ne restait pas insensible, et il lui disait régulièrement d’arrêter son petit jeu, que ça allait mal finir. A ses dix-huit ans elle s’est pointée toute nue devant lui et l’a supplié de lui faire l’amour; il n’a pas résisté. Il l’a aimé, mais ne pouvait jouir dans sa chatte, vu qu’elle ne prenait pas encore la pilule. Il lui a alors proposé de l’enculer pour lui offrir son sperme, et elle a accepté sans hésiter. C’était sa première sodomie, et elle n’a jamais connu autant de plaisir jusqu’à nous deux ce soir.

A propos de son grand-père elle a failli oublier un message de sa part. Il compte organiser une partie dont il a le secret, le week-end prochain, et il souhaite notre participation. J’avais prévu de repartir chez moi le lendemain, mardi, mais du coup je vais prolonger mon séjour à la demande insistante de Vanessa.

On la ramène chez elle, on lui roule une pelle passionnée, et on se dit à demain.

On va se retrouver tous les soirs de la semaine, uniquement tous les trois, pour de bonnes baises et surtout pour des doubles, vaginales, anales et même buccales. Elle tient à ce que cela reste entre nous, que l’on soit les seuls acteurs de ses pénétrations extrêmes, pour éviter que ses orifices soient trop souvent élargis et qu’elle ne sente plus rien si elle n’a qu’une queue pour essayer de la satisfaire

On passe quatre soirées torrides, et enfin arrive le samedi.

A suivre…

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