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Exotisme d'Érythrée – Chapitre 1




Les rayons sautillants de la lune scintillaient avec les ombres de la vêprée. Un couple, enseveli dans une profonde nuit, se réveilla à la sonnerie du réveille-matin. Il était six heures et l’homme devait se rendre au boulot comme d’habitude. Sa femme, au contraire, ne travaillait pas. Il était donc le pilier de cette petite famille qui allait s’agrandir. La jeune femme était enceinte de sept mois et ils attendaient avec impatience l’arrivée de l’enfant.

Le jeune homme s’appelait Léon Artois et était Français.

La jeune femme s’appelait Jamila Artois et était Érythréenne.

Jamila entendit Léon se lever et se préparer pour aller travailler. Après une quinzaine de minutes, il quitta le domicile, laissant sa femme seule dans la chambre à coucher.

L’Africaine aux sourcils noirs et aux seins ébène se mit sur le flanc et regarda par la fenêtre. L’aurore chassait déjà la nuit de la voûte azurée en cette saison estivale. L’astre du matin venait éveiller les désirs de l’Érythréenne qui dégaina son téléphone.

*

Un homme toqua et Jamila lui ouvrit la porte. C’était son amant, celui qui pouvait combler ses désirs, celui qui était là pour satisfaire sa soif de sexe, en tout temps.

L’amant s’appelait Edward Agostini.

Merci d’être venu ! Viens ! dit-elle avec un joli sourire.

Edward referma la porte et lui caressa le ventre rond, puis les mamelles bien loties, engorgées de lait. Des formes potelées pour une ravissante femme enceinte qui savait garder une certaine coquetterie. Le charme qui l’entourait était envoûtant.

Tu es vraiment ravissante.

Arrête ! rit-elle.

Les femmes enceintes m’excitent trop.

Alors tu as de la chance !

Jamila avait ces lorgneries, ces rires agréables, ces agaceries que les demoiselles employaient pour séduire les mâles. Elle était de celles qui vendaient le doux nom d’amour. Edward avait un cur d’airain amolli par les charmes et les séductions de cette femme enchanteresse.

La beauté exotique s’agenouilla et sortit le sexe de son amant pour le sucer longuement avec une expérience acquise par les années. Un membre épais qui ne demandait qu’à se gorger de sang. Un membre qu’elle avait l’habitude de pomper pour exciter ce beau mâle.

Une fois qu’Edward fut pris d’une folle érection, elle se leva et lui prit la main pour aller dans la chambre. Elle se coucha sur le lit et lui fit une illade en signe d’invitation. L’homme se mit à califourchon et frotta sa queue sur le ventre bombé. Quel plaisir était-ce de se taper une Noire enceinte ! Une peau ébène, des seins bien remplis, un ventre proéminent et une libido insatiable.

Edward lui saisit les chevilles et posa ses pieds de fée sur ses épaules larges. Elle écarta sournoisement les cuisses pour mieux exhiber le fruit de tous ses désirs. Une chaleur épaisse, une ivresse lourde empâtaient la chair de Jamila, comme chaque fois qu’elle s’offrait à Edward.

Ça te plaît ?

C’était un sexe lippu, rasé et fendu d’un profond sillon rose. Le clitoris était déjà sorti de son capuchon et, à bien voir, la brillance qui émanait de la vulve trahissait l’excitation certaine de la jeune femme.

Je ne demande pas mieux !

Il commença à pénétrer cette chatte déjà bien humide et elle soupira de bonheur. Elle était large, mais son membre l’était tout autant, alors il faisait aller et venir lentement son membre dans le fourreau de chair qui s’ouvrait et s’offrait au mâle dominant.

Elle avait davantage l’habitude de se faire ramoner par son amant que par son mari. Elle n’était pas satisfaite par Léon qui était mal membré ; elle ne ressentait rien. Absolument rien. Alors oui, l’adultère était mal, mais elle le faisait par nécessité. Elle ne pouvait s’empêcher de goûter au vice de l’adultère. C’était pour son bien aussi. Elle avait tout le même le droit de se faire tringler par n’importe qui ! Même avec sa bague au doigt, ce n’était pas une excuse, elle était libre d’avoir un amant si elle le désirait. Jamila n’était pas esclave de son mari.

Cependant, elle était dingue de ce membre épais qui lui remplissait totalement le vagin. C’en faisait presque mal ! Peu importe ce que pouvait penser Léon, tout ce qui comptait, c’était son appétit sexuel. Se faire embrocher, se faire caresser le ventre, palper les seins, frotter le petit bouton dur qui était drôlement gonflé…

Jamila étala sa jolie chevelure bouclée. Cette belle femme, allongée sur le lit et les jambes écartées, se faisait pénétrer la chatte depuis dix bonnes minutes. À chaque gémissement, le pénis devenait toujours plus rigide. Elle était dans un autre monde, se délectant du plaisir qu’elle recevait de l’étalon Blanc. La pensée de cet homme qui l’embrochait la transformait en adolescente écervelée. Jamais elle ne l’avait été avec son époux. La belle voulait sauter sur cette bite monstrueuse et jouir, encore, et encore ! Elle voulait atteindre des degrés de plaisir qu’elle ne pouvait jamais rêver d’atteindre avec son mari… quitte à être une « salope » !

Jamila ne perdit pas de temps et se remit à genoux devant Edward. Elle remit la bite dans sa bouche et suça le gland tout en faisant coulisser ses mains le long de la base du pénis. Elle eut besoin des deux mains pour accomplir cela, et il y avait encore de la place pour une de plus.

Je dois m’arrêter ? demanda Jamila.

Haha ! Ma belle, tu vas être choquée. Je ne vais pas juste jouir une fois. Continue.

Jamila n’attendit pas plus longtemps et remit la bite d’Edward dans sa bouche pour le sucer. L’Érythréenne se demanda où il allait éjaculer. Elle avait l’habitude de le voir jouir sur ses seins, ou s’il la pénétrait, sur son joli ventre.

Prépare-toi…

Cela fit accélérer Jamila quand elle sentit la bite se contracter. Il grogna de plaisir et elle sentit une giclée de sperme arriver sur sa langue. Elle l’avala et une autre giclée frappa le fond de sa gorge. Des vagues de foutre se succédèrent et elle avait presque du mal à tout avaler ; mais elle le fit. Après qu’il ait fini de jouir, une goutte coula le long de sa lèvre inférieure, et elle le lécha avec délice. Elle pompa les dernières gouttes du bout de la queue de l’amant.

Brave fille… Tu as été bien éduquée.

Je ferais tout pour toi !

Edward se mit sur le dos et Jamila se mit sur lui et il frotta le gland contre ses lèvres vaginales pour lubrifier davantage son vagin. Les grandes lèvres de sa chatte se faisaient séparer par la queue d’Edward. En vérité, Jamila avait du mal à prendre la bite d’Edward. Non pas parce qu’elle n’était pas assez mouillée, mais simplement parce qu’elle avait toujours du mal à chevaucher quelque chose d’aussi gros. Elle parvint à accueillir le gland dans sa chatte. Elle remua d’avant en arrière pour que la bite disparaisse en elle, centimètre par centimètre. Le membre n’était entré qu’à moitié que Jamila eut enfin son premier orgasme. Edward sentit les parois vaginales se contracter autour de sa queue ; il attrapa alors sa taille et poussa le reste de sa bite à l’intérieur de la beauté ébène. Ce geste inattendu surprit Jamila et ne fit qu’augmenter la durée et l’intensité de sa jouissance.

À qui appartient cette chatte ? demanda Edward.

À toi, Edward, rien qu’à toi ! Ma chatte est pour ta queue !

Est-elle meilleure que celle de ton mari ?

OH MON DIEU ! OUI ! BIEN MEILLEURE ! Elle est plus longue, plus large, plus dure ! La sentir me remplir est un véritable bonheur !

Est-ce que tu prendras encore sa petite bite ?

Ça n’aurait aucun intérêt. Je ne la sens même pas ! rit-elle. Je ne sens jamais rien quand il me baise. Quel ennui ! Je dois toujours simuler pour le faire plaisir ; mais moi, je ne suis jamais comblée.

Ne t’inquiète pas, avec moi, tu seras toujours bien bourrée comme il faut. Je ne veux pas que tu sois en manque. Jamais !

Edward donna ses derniers coups de reins et éjacula à gros bouillons dans la chatte de Jamila. Elle pouvait sentir sa bite pulser et cela la fit jouir une fois de plus.

L’Érythréenne se coucha sur le dos, adossé contre le dossier du lit, et posa délicatement sa main sur la tête de son amant pour le guider vers sa chatte.

Tu veux bien t’en occuper, s’il te plaît ?

C’est si gentiment demandé…

Edward se mit entre les cuisses de la belle et lécha la vulve fraîchement baisée. Jamila gémit en sentant la caresse de la langue. Cela contrastait avec la massue qu’elle venait de se taper ; elle savait qu’elle pouvait encore jouir. Il n’hésitait pas à lui masser le ventre pour satisfaire son fantasme. Un ventre bien rond et très ferme qui donnait à cette femme des airs de chienne en chaleur. Il était vrai qu’au cours de sa grossesse, elle avait davantage envie de sentir une queue en elle, et c’était tout à fait louable.

En caressant ses cheveux, les yeux fermés, elle se mit à lui raconter à quel point elle aimait ce qu’il lui faisait, combien d’orgasmes elle avait eus depuis son arrivée et quelle quantité de sperme il avait déversée en elle.

Au moment où elle était enfin propre, elle jouit une dernière fois. C’était difficile de dire à quel point ses orgasmes étaient forts. Souvent, elle éclatait en pleurs, la tête dans les nuages, la sueur qui coulait, les membres engourdis, les muscles tendus, l’odeur du sexe qui l’entourait, la libido qui explosait…

Merci mille fois de faire tout ça pour moi, souffla-t-elle. Je ne savais pas que le sexe pouvait être aussi bon. Je t’aime… Je t’aime tellement ! Il faut vraiment être un homme en or pour admettre qu’une femme ne peut pas être satisfaite par un seul mâle. Mon mari ne peut pas me satisfaire comme je le mérite !

Je sais, Jamila, c’est pour ça que je suis là. Je serai toujours là. Je propose que nous fassions une pause avant de continuer. Tu m’as complètement vidé, ma chérie. On a du temps devant nous ?

Elle acquiesça et leurs ébats continuèrent de longues heures…

*

Lorsque Léon revint du travail, en fin d’après-midi, il entendit sa femme revenir dans la chambre avec une petite serviette enroulée autour de sa taille. Elle lui entourait ses seins, épousait la forme de son ventre, et s’arrêtait juste au-dessus des mamelons. Elle n’était pas assez longue pour couvrir son cul sexy et Léon sut qu’il avait de la chance d’avoir une femme aussi belle.

Jamila se saisit de la serviette et frotta ses cheveux qui n’étaient pas encore secs après sa douche. Léon sourit puis s’approcha pour toucher son corps et l’embrasser.

Comment vas-tu, ma douce ?

L’Érythréenne lui répondit simplement :

Je suis tellement heureuse !

Léon était ravi de le savoir, sans comprendre qu’il n’y était pour rien. Loin de là ! Jamila rit doucement avec un sourire malicieux en voyant la naïveté de son partenaire. L’enfant dans son ventre n’était évidemment pas celui de Léon…

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