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La bourgeoise et le plombier – Chapitre 1




J’avais été appelé pour une fuite d’eau chez des particuliers et j’eu le souffle coupé quand j’arrivais devant la superbe villa. Les propriétaires avaient les moyens visiblement. L’homme qui m’ouvrit la porte avait la soixantaine bien tassé. Il était petit, bedonnant, les cheveux blancs impeccablement coiffés. Il respirait le luxe.Il me désigna la salle de bains à l’étage sans m’accompagner.

— Ma femme est en haut, elle se prépare, nous avons un diner ce soir, si vous pouviez vous dépêcher du reste.

Je lui assurais que j’allais faire le maximum.

Je grimpais les escaliers et cherchais la salle de bains.J’aperçu une porte entr’ouverte et m’avançais. Je vis une silhouette et je compris qu’il devait s’agir de l’épouse. J’allais signaler ma présence quand je réalisais qu’elle était à moitié nu..Elle déambulait dans sa chambre uniquement vêtu d’un soutien-gorge qui contenait avec peine une volumineuse poitrine. Elle devait avoir dans les 55/60 ans mais avait encore une belle silhouette. Son string moulait ses fesses de façon indécente. J’eu aussitôt une trique d’enfer et ne pus m’empêcher de continuer à jouer les voyeurs. La bourgeoise avait un air très distinguée, très XVIème.Elle était blonde, les lèvres mince, les yeux clairs. Elle fixa autour de sa taille une ceinture porte-jarretelles.Elle s’assit sur son lit et commença à enfiler avec grâce une paire de bas qu’elle fixa au porte-jarretelles ; Je ne salive pas mais presque. J’ai la bouche sèche.Je pose ma main sur mon sexe dur comme l’acier coincé dans mon pantalon.La femme se relève et s’observe un instant dans la glace puis elle enfile une paire de hauts talons. Elle disparut soudain de ma vue et je fus déçu. Je continuais à chercher la salle de bains que je trouvais finalement au bout du couloir. Je posais ma sacoche a terre et commençait à sortir mes outils. Encore perturbé par ce que je venais de voir.

A genoux sous le lavabo, je reparais la fuite quand une exclamation me fit me retourner. C’était l’épouse qui me regardait un peu surprise.

— Mais.Qui êtes vous ?

Etant donné que j’étais à genoux sous le lavabo, je trouvais la question un peu bête mais enfin.Je lui sortis mon sourire le plus charmeur et lui dis que j’étais le plombier et que je n’avais pas osé la déranger.

— Oh.Vous auriez pu.Me lança t’elle.

Si j’avais su.

Elle était superbe. Elle avait des jambes encore fines malgré son âge. Gainées de bas noirs, elles émergeaient d’une jupe droite en satin. Elle n’était pas très grande malgré la hauteur de ses talons aiguilles.

Elle me demanda si elle pouvait se maquiller et je lui assurais que oui. Je retournais sous mon lavabo pendant qu’elle se positionnait juste a coté de moi.Un vrai supplice de Tantale. Du coin de l’oil, j’apercevais ses jambes.En me penchant, je pouvais même voire sous sa jupe. Allonger à terre pour être plus à l’aise, je la mate sans vergogne. Elle fit tomber son rouge à lèvres et s’accroupit juste sous mon nez pour le ramasser.me donnant l’occasion, (involontaire ou pas ?) de mater sous sa jupe.J’aperçus la peau blanche au dessus des bas et de nouveau j’eu une érection. Mon sexe est tendue à me faire mal.Elle se relève et se pencha pour attraper je ne sais quoi m’enjambant, ce qui me donna de nouveau l’occasion de mater sous sa jupe.N’en pouvant plus, Je me relevais soudain la dévisageant. Elle me regarda une lueur interrogative dans les yeux.

— Qui a-t-il ?

Sans rien dire, je lui plaquais mes mains sur ses fesses et la collait à moi.

— Mais enfin ! Jeune homme ! protesta-t-elle…

Je lui malaxais son cul à travers sa jupe que je relevais dévoilant le porte-jarretelles.Je la retournais la courbant sur le lavabo. Elle poussa un petit cri mais ne hurla pas pour prévenir son mari qui est en bas. Ce qui m’encouragea à continuer. J’écartais la fragile étoffe du string et lui léchais la vulve avec ma langue.Elle poussa un gémissement.Soufflant comme un bouf, je sortis mon sexe épais et m’enfonçais directement dans son ventre.Elle sursauta et balbutia :

— Non.Non.Mon mari va.

Elle poussa un petit cri.Les mains crispées sur ses hanches, je la pilonne avec vigueur…Mon ventre va claquer contre ses fesses.Les yeux hagard, elle me regarde à travers la glace.Je fais des allers-retours dans son con, la besognant comme un fou.Elle halète la bouche ouverte.Ses mains sont crispées sur le lavabo.Elle se mord les lèvres.Je sortais mon sexe luisant et obligeant cette si distinguée bourgeoise à s’agenouiller à mes pieds, je lui présentais ma bite devant sa bouche.Elle se recula, secouant la tête.

— Non.

Je lui agrippais les cheveux et m’enfonçait dans sa bouche.Elle eut un hoquet et commença à me sucer la queue.Sa tête faisant des va et vient.Je regarde, triomphant, ma bite coulisser entre ses lèvres.J’appuie plus fermement sur sa tête pour bien m’enfoncer dans cette bouche si accueillante et elle poussa un gémissement. Elle recula cherchant à reprendre sa respiration et je lui agrippais de nouveau les cheveux la forçant à me reprendre dans sa bouche.

— Chérie, mais qu’est ce que tu fabriques.On va finir par être en retard.

Le mari s’impatiente.Elle voulut se relever, affolée, une lueur de panique dans le regard.

Pervers, je lui pris le bras et l’entrainais malgré ses protestations chuchotées dans le couloir. Je la courbais sur la rambarde de l’escalier qui menait au salon.on entend la télévision, les infos ont commencé et d’où je suis, j’aperçois les pieds du mari cocu sans doute assis dans le canapé. Elle tente de se dégager et je lui donne un petite claque sur les fesses. Je m’enfonce de toute ma longueur en elle. Les mains posées sur la rambarde, elle répond à mes coups de reins en ondulant. Elle pousse des gémissements. Je suis complètement excité par cette situation. De savoir que le mari peut nous surprendre à tout moments.Je la bourre frénétiquement, la défonçant.

— Petite salope, tu n’attendais que ca…lui lançais-je voulant l’insulter.

Elle se retourna, haletante.

— Oui.Oui.Je vous ai vu quand vous m’observiez.

J’accélérais mes coups de reins, faisant tressauter ses fesses.Elle ouvrit la bouche sur un cri muet…

— Vas-y.Baise moi salaud ! Défonce-moi.

— Qu’est ce que tu dis ma chérie ?

La pistonnant toujours, je lui ordonne de répondre à son époux.

Elle bafouilla, légèrement essoufflée :

— Je suis bientôt prête mon amour.J’arrive.

De nouveau, je l’entrainais ailleurs.Dans sa chambre. Je l’allongeais sur le lit et lui relevais les jambes à la verticale, je la pénétrais de nouveau. Ma queue s’enfonce dans son ventre. Elle secoue la tête de droite à gauche, gémissant. Un orgasme la fit crier et elle mordit sa main pour étouffer ses cris. Je n’en avais pas encore fini avec elle.J’avais envie d’humilier cette superbe bourgeoise salope. Je la positionnais à quatre pattes sur la moquette de sa chambre.Je dégageais ses seins de son soutien-gorge, les malaxant au passage. et pointais mon sexe contre l’ouverture de ses reins. Elle se retourna le regard affolée :

— Non…Non…me supplia t’elle, je ne l’ai jamais fait.

Cet aveu m’excita encore plus. Je m’introduisis dans son anus et elle poussa un cri que j’étouffais en la bâillonnant avec ma main. Je commençais à m’agiter dans ses reins tout doucement pour lui permettre de s’habituer puis de plus en plus rapidement. Ses seins ballottent dans tout les sens, j’accélère la cadence. Mon sexe s’enfonce dans le cul de cette bourgeoise, à quatre pattes par terre, prise comme une chienne. A quelques mètres de son mari.Elle gémit sans discontinuer.N’arrivant plus à me retenir, je dégage mon sexe et éjacule sur le dos de la blonde qui s’affale à terre, respirant lourdement. Elle se releva voulant se diriger vers la salle de bains pour se nettoyer mais je lui interdis de le faire.

— Non ! Tu vas aller comme ca à ta soirée, avec mon foutre sur ton cul. Tu sentiras le sperme.

Elle rougit violemment mais ne dis rien.

— Je reviendrai demain…Invente un truc pour ton mari et tache de l’éloigner.J’emmènerais des potes.Avec une salope comme toi, y faut des renforts.

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