LES AVENTURES DE PATRICK
Abusé par mes 2 équipes de natation synchronisée.
Suite.
Résumé des épisodes précédents.
Les filles se sont liguées ensemble pour savoir si la légende qui courre sur leur coach est vrai.
Elles le piègent et découvrent que la réalité est au-delà de leurs espérances mais elles lui ont fait prendre un stimulant sexuel si puissant qu’il n’arrive plus à débander.
Mais vu qu’il a quatorze filles à contenter, il lui faudra aller au-delà de ses limites.
Récit d’Emeline.
Patrick est très musclé, ses pectoraux jaillissent, ses abdominaux sont à eux-seuls un véritable moment de plaisir.
Je lèche cette musculature rêvée et m’agenouille devant sa verge tendue, voyant devant mon visage l’imposant gourdin. Sa verge est épaisse, coiffée d’un gland violacé peu courant. Il est incroyablement bien monté.
J’ai un moment d’hésitation puis me lance. Je prends sa verge dans ma bouche et commence à la sucer.
Patrick a un gémissement rauque d’étonnement. Il s’attendait à ce que je sois moins rapide après mon 1er essai raté.
Je me transforme en une prédatrice sexuelle redoutable, prête à tout pour étancher ma soif de sexe. Avalant goulûment sa verge gonflée, déterminée à lui faire une fellation inoubliable. Je l’implore ensuite, m’asseyant sur le bord du lit, les coudes en appui sur le matelas.
— Par pitié, prends-moi Patrick
Il vient alors se placer entre mes cuisses bien écartées et accueillantes, il positionne sa belle bite à l’entrée de ma jeune et étroite minette.
Je regarde avec une certaine appréhension cet énorme bâton de chair qui se dirige vers ma petite moule. Patrick est en pleine érection, son gland est trempé, je passe les doigts le long de sa queue et lui caresse les couilles, puis très lentement remonte le long de la grosse tige, et commence une lente masturbation.
Patrick s’est penché sur ma poitrine et titille mes seins pendant qu’il se fraye un passage en écartant les lèvres et progresse lentement dans mes chairs intimes et luisantes de plaisir. Je suis trempée, il m’empale lentement sur sa verge et s’immobilise lorsque le gland est entré en moi.
— C’est agréable de sentir ton gland dans ma fente, j’ai l’impression d’être trempée. Vas y, main…te…nant, baise-moi avec ta grooooosse queue, dépucelle-moi!
Il ne se le fait pas dire deux fois et donne un formidable coup de reins s’enfonçant dans ma fente trempée d’une seule poussée, m’arrachant un cri de gorge, je me mets tout de suite à gémir et à crier :
— Ouiiiiiiiiiiiiiii, saa…laud, tu me fais du… u bien…, ouiiiiiiiiii, en……core, plus fort, plus au fond, aaaaaaah ta gro… osse biii……iite me faii…it du…u bien… !
Puis il reprend la pénétration. Bientôt, toute la longueur de la bite est dans ma chatte, il commence à faire des va-et-vient très lents puis de plus en plus rapides.
Patrick gémit en me ramonant comme un fou un bon bout de temps avant de se retirer et d’appeler les suppliciées suivantes.
— Alice et Flora, c’est votre tour!
Il se relève et approche d’elles et pendant plusieurs minutes introduit simultanément dans leurs chattes plusieurs de ses doigts animés d’une vie propre qui les fait hurler de plaisir tachant ses doigts de cyprine.
Il se saisit soudain de Flora en mettant les mains sous ses fesses et la soulève dans les airs, elle s’accroche à ses épaules pour ne pas tomber.
Il la laisse redescendre présentant son vagin sur la verge dressée et lentement la laisse s’empaler par son propre poids jusqu’aux couilles sur sa monstrueuse queue la déflorant au passage.
Elle hurle de douleur sous l’assaut mais ses cris se transforment en râles de plaisir.
Il continue à lui faire l’amour debout. La position est incroyablement fatigante pour lui et il décide de caler Flora contre la porte pour continuer à la faire aller et venir sur son pénis bandé.
Elle hurle, étonnée des ressources et de la force de Patrick.
Fatigué de cet effort physique intense, il revient vers le lit et se retire, s’assoit au bord et appelle Alice.
— A toi Alice, viens vers moi et mets-toi dos à moi, pose tes pieds sur mes cuisses et tes mains sur mes épaules et laisse-toi descendre sur mon dard!
Elle s’exécute et approche son con du bélier que Patrick tient dressé d’une main.
Son sexe pénètre un peu la vulve bien lubrifiée écartelant les chairs mais elle sent son gland buter contre son hymen et gémit :
— Oh… Patrick je sens ta grosse queue… c’est boooonnnn…. tu écartèles ma chatte, je sens ton pieu partout.
Elle ressort la bite au ras de ses grandes lèvres, et s’empale d’un seul coup absorbant en totalité son gros chibre.
Récit d’Alice.
Cela explose dans mon ventre, quelle sensation… La douleur est fulgurante et irradie dans tout mon corps. Je hurle comme une folle.
— Oooh! Grimace Patrick. Je ne croyais pas que tu t’empalerais d’un seul coup. Ma bite est si grosse que tu as du salement souffrir.
Sous la douleur, j’expulse son membre de ma chatte mais le maintenant contre ma fente.
— Ouaaaaaaaaah tu es tellement gros, je n’aurais jamais crû que ça me fasse un tel effet !
Patrick me prend par la taille et pousse lentement. Ma fente s’écarte petit à petit et mon vagin avale doucement ce malabar.
Patrick s’exclame;
— Putain tu es hyper serrée!!!
Je lui murmure:
– Doucement, doucement Patrick!!
Flora me rassure.
-Elle est à moitié en toi, encore un petit effort ma grande !
Je deviens folle, ressors de quelques cm son mandrin et replonge brusquement. J’hurle de triomphe et de douleur.
— Noooooon aiiiiiiiie !!! Ca y est je suis à fond, je sens sa queue tout au fond de moi. Putain de bite, elle me remplit entièrement.
Je tremble de tout mon corps sur sa formidable queue profondément ancrée en moi, je défaille et un gémissement s’échappe de mes lèvres.
— Je te sens si bien en moi. Ton vit exceptionnel distant mon vagin au maximum de ses possibilités. Oh mon Dieu, je me suis presque évanouie quand ton bélier a déchiré mon hymen et est venu buter au plus profond de moi.
Je l’embrasse tout en commençant à remuer des hanches. – Ooooooohh, c’est encore douloureux, je sens bien ton sexe. C’est booooonnnn….Oh..Oooohhhh Patrick…
Il me relâche légèrement et son entrejambe est inondé de ma cyprine et d’un peu de sang qui s’écoulent de ma chatte en feu.
Je tourne la tête et l’embrasse furieusement avant de me rassoir sur son pénis et de marteler sauvagement ma chatte. Il me contraint à monter et descendre lentement sur son phallus palpitant toujours en complète érection.
Je vais et viens sur cet axe en acier et je sens de nouveau mes chairs internes malmenées par son engin.
Soudain il met ses mains sous mes cuisses et se lève, je suis suspendue comme Flora à sa bite enfoncée jusqu’à la garde dans ma chatte, il me fait monter et descendre sur son pal de chair de ses bras puissants pendant de longues minutes.
Comme je suis dos à lui, il se déplace pour que je sois face aux copines complètement estomaquées de la manière dont Patrick me baise, au premier plan pour voir ce piston s’engouffrer sans discontinuer dans ma grotte d’amour. Je sens sa queue gonfler et se raidir dans ma chatte dilatée à l’extrême.
Cinq fabuleux jets de sperme giclent profondément à l’intérieur de mon vconduit, avec une telle force qu’il remplit ma grotte de son foutre. Mon vagin compresse au maximum sa merveilleuse bite.
— Aahhhh… ouiiiii…je te sens bien….ouii… donne-moi tout….huuuummm que c’est bon… encore…. ouiiiii… continue…
Je peux sentir son sperme qui m’inonde et sous la pression d’un nouveau coup de queue s’écoule le long de sa bite quand il me soulève et coule même sur ses couilles qui continuent d’envoyer la sauce.
Il continue malgré tout à me défoncer encore de nombreuses minutes. Je me sens vidée quand il sort enfin son boutefeu de mon fourreau – Oh putain…qu’est que tu m’as mis ! C’était…c’était…irréel, formidable, incroyable… j’aime ta bite géante!
— Brigitte, Juliette, Cécile et Amandine, à vous maintenant ! Déclare Patrick, son colosse de chair toujours dilaté au maximum.
-Je vais me coucher sur le dos et à tour de rôle j’en veux une empalée sur ma queue et une qui me donne à lécher sa moule, vous changer de place quand vous voulez!
A suivre