HENRI
Le modèle préféré des peintres, surtout des dames.
SOPHIE
Je m’appelle Sophie, artiste peintre, et une cliente m’a passé une commande assez spéciale, elle veut que je lui fasse une toile de nu masculin pour rendre jaloux son mari.
Mais ses exigences vont être difficiles à trouver, elle veut que le modèle soit bien membré et que je le peigne en érection.
J’ai déjà eu des commandes bizarres, mais là c’est le pompon, comment je vais pouvoir dégoter un tel oiseau rare pour me servir de modèle?
J’ai entendu parler d’un nouveau sur le circuit qui fera peut-être l’affaire, un certain Henri.
En quelques coups de téléphone, j’arrive à le contacter et rendez-vous est pris pour vendredi prochain.
Le jour est venu, on sonne à ma porte, c’est Henri mon modèle. Je le fais entrer et l’amène à mon atelier ou j’ai poussé le chauffage en prévision de la séance de pose.
Après quelques mots de présentation nous entrons dans le vif du sujet.
Il me demande.
— Comment fait-on?
— Déshabillez-vous dans la pièce à côté, j’ai posé un peignoir sur la chaise.
Il revient dans l’atelier drapé dans le peignoir, Il mesure dans les 1m80, les cheveux noirs, de beaux yeux bleus, bien foutu pour un homme de 35 ans.
— Je me mets où ?
— Mettez vous sur le podium, je vais commencer par une série de photos, je vais prendre quelques clichés en tournant simplement autour de vous. Vous pouvez enlever le peignoir.
Je suis derrière lui et mitraille, il a des cuisses musclées et de très belles fesses, des épaules larges.
Je tourne autour de lui le prenant sous toutes les coutures.
— Ne souriez pas à l’objectif. Je vous prends de face, mais tournez la tête pour qu’elle reste de profil.
— Vous avez une musculature parfaite, tout à fait digne d’une statue grecque sauf pour ce qui est de vos attributs. Vous n’avez jamais remarqué que le sexe masculin des statues grecques est toujours représenté de petite taille? C’est loin d’être votre cas. Vous êtes drôlement bien doté de ce coté là mais c’est bien pour cela que je vous ai choisi.
— Pour être honnête avec vous et ce n’était pas précisé sur l’annonce pour ne pas faire fuir les candidats, je dois à la demande de ma cliente peindre une verge en érection. Je ne suis pas encore parvenue à trouver un homme qui corresponde à mon attente et qui accepte le challenge.
-Je ne suis pas suffisamment connue pour laisser passer ce genre de proposition. Voilà pourquoi j’ai besoin de vous.
-Si vous parvenez à surmonter votre réticence, que je comprends bien, à être en érection devant moi, ce travail est pour vous. Il va falloir être patient et garder la pose assez longtemps sans bouger.
-Vous commencerez le matin à huit heures, jusqu’à vingt heures. Il faudra déjeuner assez rapidement, mais je vous offre les repas. Quant à votre salaire, ce sera celui qui se pratique habituellement pour ce travail avec en plus une prime offerte par la cliente. Qu’en dites-vous ?
— C’est entendu. J’accepte.
— À la bonne heure. Comme je vous l’ai dit, nous n’avons pas de temps à perdre, aussi je propose que nous commencions immédiatement.
Le travail commence. D’abord, le silence et la concentration.
Ainsi, petit à petit, l’ouvrage avance dans la chaleur de l’atelier. Je suis satisfaite de mon travail commençant par une esquisse au fusain. Mon maître serait fier de moi
A midi, nous déjeunons ensemble rapidement. Il est très cool et ne se rhabille même pas pour manger, restant nu du matin au soir. L’envie de ce corps en permanence nu devant moi monte doucement en moi.
— Vous avez une femme ?
— Non mais j’ai connu beaucoup de partenaires!
Petit à petit nous apprenons à mieux nous connaitre, je découvre qu’il a une vie sexuelle assez débridée, ayant même tourné dans des films pornos.
— Bien, il est temps de s’y remettre!
Le tableau avance bien est arrive le moment tant redouté.
— Il faudrait maintenant que vous soyez en érection au moins quelques minutes, j’en profiterai pour prendre des photos et me mettre en tête les proportions.
Il me rétorque.
— Il me faudrait quelques stimuli, un peu d’aide de votre part?
— Non, je ne souhaite pas avoir une relation sexuelle avec mon modèle.
Ensuite, je vous regarderais d’une manière différente et je ne serais plus capable d’effectuer mon travail correctement. Vous comprenez, ce n’est pas possible de changer maintenant la nature de nos relations strictement professionnelles.
— Rassurez-vous, je ne vous demande que de défaire quelques boutons de votre chemisier pour me montrer votre poitrine merveilleuse et de remonter un peu votre jupe. Vous verrez que ça suffira!
Comme l’exigence pour que j’obtienne ce que je veux reste honnête, je m’exécute étant déjà vêtue légèrement en prévision du chauffage poussé à fond.
Pourtant, je dois dire qu’il me trouble avec sa demande.
Sans même y toucher, je vois sa verge qui enfle, oui, je ne rêve pas, sa bite gonfle et décolle un peu de ses bourse, elle faisait dans les 17 cm au repos mais je suis en train de la voir grandir centimètre par centimètre.
J’ai repris mon appareil photo et mitraille à tout va, penchée pour faire des gros plans.
Elle continue à se redresser, je fais la blasée mais ce spectacle est merveilleux, son gland sort alors de son prépuce, il est bien rond, très gros….
Je le regarde furtivement, il me sourit face à la situation, il a une vue plongeante sur mes seins dans l’échancrure de mon haut
Sa verge continue à grandir dépassant les 20cm puis les 22cm, jusqu’ou va-t-elle croître?
Elle se redresse à mesure qu’elle grandit, arrive à l’horizontale et continue son ascension.
Son énorme sexe grossit encore, il est maintenant presque à la verticale et lui effleure le ventre.
Il doit bien faire maintenant dans les 24/25cm.
Sa grosse queue bande à mort devant mes yeux ébahis mais elle est devenue si épaisse, elle est d’une grosseur monstrueuse. Sous le choc d’une telle vision, j’en oublie de prendre des photos, quel Etalon! Il me regarde et avoue.
— Je suis un être humain, et je réagis lorsque je vois une jolie femme aussi bien roulée.
Je me remets de mes émotions et retourne derrière ma toile pour profiter de son érection avant qu’il ne commence à débander.
Sa verge est dure depuis un moment et ne faiblit pas. Peu d’hommes sont capables de cela.
Il doit me désirer très fort.
Je lui lance.
— Je vous remercie du compliment et je suis encore stupéfiée de vous avoir vue atteindre une telle érection sans même toucher votre engin, je me dépêche de saisir sur la toile ce magnifique phallus avant qu’il ne baisse la tête.
Les minutes passent et je me rends compte que la verge de mon modèle est toujours aussi dure et regarde vers le plafond.
— Prenez votre temps, m’assure t’il. Vous êtes si belle, c’est un plaisir de bander pour vous. Vous ne voulez pas qu’on tire un coup, vite fait, dans votre atelier ? Cela me ferait du bien, et à vous aussi, sans doute.
Ces compliments m’ont touchée mais je ne veux pas céder à la tentation.
— Non, et ça suffira pour aujourd’hui, vous pouvez vous rhabiller, je vous attends demain pour huit heures.
Il se rhabille un peu déçu et me dit à demain.
A suivre.