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Business Meeting – Chapitre 5




Mon histoire avec Gladys gagnait en intensité au fur et à mesure que les semaines avançaient. La surprise de Noël m’avait laissé un goût bizarre dans la bouche. J’étais à la fois encore terriblement excité à la simple évocation de cette soirée torride, mais j’étais également très dubitatif sur ce que Gladys voulait réellement. Mon tempérament possessif revenait parfois à la surface, dans ces moments où elle me demandait un peu d’air et où je savais qu’il s’agissait, pour elle, de varier les partenaires pour ne pas se lasser du même. J’aurais sans doute pu en faire de même, mais je n’y arrivais pas. Même draguer, je n’y arrivais plus.

Sentiment étrange, tout de même, que de vouloir revivre une soirée aussi chaude que celle qu’elle m’avait offerte, tout en étant déçu de ne pas avoir plus de place dans son cur. Et pourtant, à chaque déception, à chaque fois que je retournais chez moi, triste de ne pas être « l’élu », Gladys arrivait à se faire pardonner et j’oubliais tout sous ses gestes. Seule (modeste) consolation, je savais que j’étais son amant le plus régulier. Et peut-être donc le plus méritant.

Régulièrement, Gladys amenait de nouvelles choses dans nos petits jeux. De l’accessoire à la position, de l’endroit à la pratique, elle m’avait confié ne pas vouloir se terrer dans une routine dans une chambre. Il était impossible, avec elle, de savoir exactement ce qu’elle voulait au moment de franchir le pas de sa porte. C’était excitant mais très déstabilisant. Mon expérience sexuelle se construisait autour de ses caprices, pas des miens. Cela étant, elle se construisait vite. Peut-être un peu trop vite à mon goût. J’étais pris dans une sorte de fuite en avant. Je freinais mais les freins lâchaient vite en la revoyant.

Le début de l’année fut marqué par mes premiers examens. Une étape stressante, quoiquon en dise. L’investissement financier de la plupart des parents ajoutait à cette pression. Nous nous détendions parfois rapidement avec Gladys, mais nous avions de commun accord mis de côté nos longues nuits à deux. Du moins durant cette période. Elle ne voulait pas rater, sa mère avait été claire quant aux conséquences. J’approuvais ce rythme, d’autant que ses objectifs étaient en partie communs aux miens ; si Gladys réussissait, elle conservait son pied-à-terre près de l’université. Et moi mon petit refuge dans son intimité.

Les résultats furent au-delà de ses espérances. Les miens, un peu moins bons. Elle avait réussi à mettre de côté pas mal de matières, une chance pour les examens de fin d’année.

Son anniversaire suivait de près la fin de la session. Après une sortie entre amis, j’avais décidé de lui réserver une petite surprise, rien que pour elle. J’avais une envie, sans doute un peu présomptueuse, de lui faire perdre totalement la tête en lui donnant à ce point du plaisir qu’elle en oublierait toute notion de la réalité. Un genre d’orgasme cosmique, comme dirait l’autre. Et pour cela, je comptais bien à ce qu’elle se laisse entièrement guider par moi, cette fois.

— C’était chouette, cette soirée, me dit Gladys. Ça fait du bien de décompresser un peu.

— Oui, c’est clair, lui dis-je, pensif.

— Tu n’as pas eu l’air de beaucoup en profiter. Tu penses à quoi ?

— Boh rien, juste que je me suis loupé dans des grosses matières, ça me fait chier.

— Il te reste juin.

— Oui, avec la matière de la deuxième partie de l’année en plus. Je m’en serais bien passé. Si j’ai une seconde session, je vais me faire tuer.

Nous rentrâmes dans son immeuble et montâmes dans son studio.

— On prend un verre ? me demande-t-elle.

— Je suis fatigué, je t’avoue. Tu sais ce que j’aimerais, c’est de m’endormir juste une fois tout contre toi.

— Sans rien faire ? Tu tiendras pas. T’es sûr pour le verre ? Moi j’en prends un.

— Non, vraiment. Eh oui, sans rien faire. Je tiendrai, bien sûr.

— Ça je veux voir, sourit-elle.

Nous continuâmes à discuter de tout et de rien pendant qu’elle sirotait son Martini. Je me suis toujours demandé comment elle pouvait boire ça en revenant de soirée. Son estomac restait un mystère pour moi, et sans doute aussi pour la médecine moderne. Tout en parlant, Gladys se mit à l’aise, comme d’habitude. Elle ôta ses chaussures et ses chaussettes pour laisser ses pieds respirer. J’aimais ses petits orteils et ses ongles brillants. La peau de ses pieds était toujours douce et chaude, j’aimais glisser mes doigts dans les minces espaces qui séparent ses orteils, même si elle ne tenait pas très longtemps sous cette torture sensuelle. J’aimais quand elle commençait à rigoler parce que je la chatouillais. Elle enleva son gros pull en laine et je découvris dessous un petit top noir satiné, bordé de fine dentelle sur le décolleté. Son pantalon ne tarda pas à subir le même sort que les autres vêtements. Elle avait mis cette petite culotte que j’aimais tant. Un boxer noir satiné devant et dont la dentelle, derrière, venait mettre en évidence le galbe de ses fesses rebondies.

— Tu vois que tu ne sauras pas te retenir, me dit-elle en soutenant mon regard.

— Tu es une provocatrice, Miss Gladys !

— C’est justement pour ça que je sais que tu ne sauras pas te retenir, me répondit-elle en riant.

Comme pour me prouver définitivement sa théorie, elle siffla d’un trait la fin de son verre et vint s’asseoir à mes côtés. Elle posa un baiser dans mon cou puis sur ma bouche. Je l’enlaçai, caressai son dos à travers le fin tissu satiné de sa culotte puis remontai vers sa nuque. Mes doigts se nouèrent dans ses cheveux pendant que nos baisers se firent plus appuyés. Nos langues se mêlèrent, lentement, nos bouches étaient comme collées l’une à l’autre. Je sentais le souffle de ses narines caresser mes joues. Un souffle qui devenait graduellement plus court. Gladys se rapprocha encore de moi, sa cuisse nue contre mon jean. Je sentais la chaleur irradier de son corps.

Ma main glissa sous son body, mes doigts remontèrent lentement en suivant le chemin tracé par sa colonne vertébrale.

Elle caressa ma cuisse, m’invita à écarter légèrement les jambes et plongea vers ma braguette. Elle devait certainement sentir que mon sexe entamait une érection sous mon jean.

— On irait pas au lit ? me demanda-t-elle doucement.

— Je te suis.

Le lit était resté grand ouvert du matin, il faisait chaud dans sa chambre. Elle se coucha lascivement sur le matelas et m’attira vers elle.

— Tu ne vas quand même pas venir coucher tout habillé.

— Non, dis-je en lui souriant.

Je me déshabillai rapidement et jetai mes vêtements au pied du lit. Elle profita de l’instant pour enlever son petit top noir. A la seule lumière de la pièce voisine restée éclairée, son corps prenait des reflets clairs-obscurs. Les ombres rendaient ses seins encore plus volumineux. Elle se coucha, je me retournai sur elle. Mon sexe tendait le tissu de mon caleçon.

— Je pense qu’on peut tout retirer, non ? me demanda-t-elle en dirigeant ses mains vers sa culotte.

— Attends, lui dis-je en retenant son geste. Retourne-toi sur le ventre.

Gladys s’exécuta. Je commençai à masser son dos, une main sur chaque épaule. Mes pouces formaient des cercles concentriques vers sa colonne vertébrale. Je massais ses muscles en profondeur, je sentais son corps se détendre peu à peu. Abandonnant momentanément ses épaules, mes mains descendirent lentement sur son dos, mes pouces massant toujours ses muscles. J’arrivai sur ses hanches, puis au niveau de ses reins. Je massai délicatement le haut de ses fesses, à la limite de son slip. Puis je remontai à nouveau vers ses épaules, en empruntant le chemin inverse. Cette fois, me mains montèrent jusqu’à sa nuque, puis jusqu’à la base de son crâne. Avant de repartir encore vers le bas de son dos.

Je tirai légèrement sur son slip pour découvrir davantage ses deux fesses. Je voyais sa raie offerte à moi, elle cambra légèrement son bassin pour que je puisse l’admirer davantage. Elle savait que j’aimais la regarder.

— Tu peux me masser comme ça pendant des jours entiers, me dit-elle en soupirant.

— C’est bien mon objectif, lui répondis-je. Tu aimes ?

— Oh oui, beaucoup.

Mes mains s’attardèrent sur ses fesses rebondies. Je les caressai puis les massai doucement. Un doigt suivit la ligne qui menait à son entrejambe. Je retirai délicatement son boxer en le faisant glisser le long de ses jambes encore fermées.

Je recommençai mes caresses et mes massages dans son dos. Je sentais qu’elle voulait que j’aille au but, mais j’avais décidé de faire durer le plaisir. Et l’attente.

— Mmmh, là tu joues avec, me dit-elle dans un souffle.

— Non, je te caresse, tu viens de me dire que tu aimais ça.

— Oui, c’est clair. Mais j’ai envie que tu me prennes aussi.

En guise de réponse, je suivis à nouveau lentement le chemin entre ses épaules et ses fesses. Elle tenta de cambrer son dos plus encore, comme pour m’inviter à poursuivre mes caresses plus loin. J’entrepris, avec un doigt, de suivre la raie de ses fesses et de continuer jusqu’à son entrejambe. Elle ouvrit ses cuisses. Je vins me positionner entre elles, face à ses fesses et à sa vulve offertes à moi. Mon doigt effleura ses grandes lèvres sans y pénétrer, la peau de son sexe rasé était brûlante et douce.

Je plaquai doucement ma main sur sa fente pour en ressentir toute la chaleur. Elle sursauta, ses nerfs étaient à fleur de peau. Je me penchai et posai un baiser dans le bas de son dos, puis remontai avec ma langue vers son cou, laissant un sillage de salive sur sa peau. Je l’embrassai dans le cou, ses cheveux recouvrant mon visage. Mon dos collé au sien, nos peaux se touchant, elle sentait mon sexe tendu à travers mon slip frotter contre sa peau.

Je redescendis non sans poser des centaines de bisous dans son dos, jusqu’à arriver à la naissance de ses fesses que mes mains empoignèrent. Ma bouche les embrassa, mes dents les mordillèrent. Cet endroit de son corps me rend fou. Comme mes doigts auparavant, ma langue suivit elle aussi le chemin tracé par sa raie. J’étais maintenant à plat ventre sur le lit, entre ses cuisses écartées. Ma langue à l’entrée de son vagin. Mon visage entre ses fesses.

— Viens, me dit-elle en m’invitant à me relever. Viens dans ma bouche.

— Attends encore, lui dis-je, couche-toi sur le dos.

Gladys s’exécuta sans tarder, son ventre et ses seins tous chauds d’avoir été contre le matelas durant mes massages. Je remontai vers sa bouche pour l’embrasser tendrement. Mon sexe contre le sien, mais toujours protégé par le tissu de mon caleçon.

— Viens en moi, maintenant, me glissa-t-elle à l’oreille. Je te sens tout dur.

— Attends encore, lui dis-je avec un sourire. Laisse-toi faire.

Mes baisers couvrirent sa bouche, ses joues, son cou. Mes mains effleurèrent ses seins, mes doigts jouèrent avec ses tétons. Ma langue vint ensuite les titiller avant que mes dents ne les mordent. Mon autre main atteint le ventre de Gladys, mon index redessina les contours de son nombril., bientôt rejoint par ma langue qui s’enfonça dans la cavité de son petit nombril avant de se diriger vers son pubis. Puis vers le haut de sa vulve. Puis son clitoris. Elle poussa un soupir au moment où ma langue toucha son petit bouton déjà bien gonflé pour la première fois.

Mes doigts vinrent délicatement écarter son sexe. Il était déjà tout ouvert, ma langue s’y inséra. D’abord doucement, elle remonta de l’entrée de son vagin jusqu’à son clitoris. Puis de plus en plus rapidement, et de plus en plus fort. Mes mouvements étaient maintenant plus appuyés et plus rapides. Gladys semblait avoir une décharge électrique à chacun des coups de langue sur son clitoris.

— Mmmh, oui, vas-y, cria-t-elle. C’est bon ce que tu me fais.

Un doigt pénétra sa vulve. Son vagin n’attendait que ça. Mon index glissa lentement en elle, ma langue continuant de titiller son clitoris gonflé. Mon majeur rejoignit mon index. Je les rentrais puis les sortais en mouvements lents. Je pliais légèrement mes doigts à l’intérieur d’elle, pour sentir les parois de son sexe au bout de mes doigts.

— Va plus vite, souffla-t-elle.

Je m’exécutai immédiatement, mes doigts accélérèrent la cadence, toujours accompagnés de mes coups de langue. Je sentis ses hanches bouger au rythme de mes pénétrations. À chaque pénétration, je massai l’intérieur de son vagin mouillé plus fort encore. Je sentais son plaisir monter. J’arrêtai quelques secondes de lécher son clitoris.

— Non, n’arrête pas, continue, me dit-elle, plaintive.

Je repris mon souffle et replongeai ma bouche vers son entrejambe. Tendrement, je me saisis de l’une de ses mains et l’invitai à être le témoin de mes caresses et de mes baisers. Elle comprit immédiatement mon geste et écarta délicatement ses grandes lèvres, comme pour s’offrir encore plus à moi. Son sexe m’accueillait.

— Viens en moi, viens sur moi, je veux ta queue. Maintenant, me dit-elle comme un ordre.

Pour toute réponse, j’intensifiai les mouvements de ma langue sur son clitoris et de mes doigts dans son vagin brûlant. Le moindre contact, le moindre de mes mouvements, tendait immédiatement le corps de Gladys. Elle ne pouvait plus se contrôler.

— Oh… oh… je vais jouir, cria-t-elle.

Je le devinais. Pour lui laisser un peu de répit, je retirai mes doigts et déposai ma langue de toute sa surface sur son sexe béant et suintant. Je léchai Gladys depuis son anus jusqu’au pubis de plusieurs coups de langue brûlante.

— Oh… oui… oui…

Elle était au bord de l’orgasme. Ses doigts écartèrent ses grandes lèvres au maximum, comme pour dilater encore leur ouverture. Je repris mes coups de langue sur son clitoris et mes doigts la pénétrèrent à nouveau, gluants de son liquide vaginal.

— Oooh… ouiiii… ouiiiiii

Elle jouit par vagues successives. Dès la première, je sentis que son vagin s’humidifia comme jamais, un liquide chaud coula le long de ma main, provenant de sa vulve. Son corps se tendit, se cabra. Ses jambes tremblaient, ses mains agrippaient mes cheveux et mon crâne, ses jambes écartées et relevées pour m’accueillir auprès de son sexe.

Je caressai doucement l’extérieur de son sexe, sorti mes doigts et les promenai dans la plissure de ses cuisses. Je posai un léger baiser sur son clitoris devenu trop sensible.

— Ouf… me dit-elle dans un dernier râle de plaisir. J’ai la tête qui tourne.

Je m’appuyai sur mes bras et remontai vers son visage. Ma bouche était barbouillée, collante, remplie de l’odeur de son sexe. Elle m’enlaça et m’embrassa furieusement.

— Tu me laisses récupérer quelques secondes là ? me demanda-t-elle visiblement à bout de forces.

— Tu as toute la nuit pour récupérer, lui dis-je.

— Et je ne peux pas m’occuper de toi, alors ? me dit-elle en sentant mon sexe encore gonflé dans mon slip, touchant à nouveau sa vulve à travers le tissu. Et ne me dis pas que tu n’as pas envie.

— Si mais je voulais, juste une fois, te donner sans pour autant recevoir. Toi, tu l’as déjà fait plein de fois.

— C’est pas la même chose, quand je le fais, c’est parce que j’en ai envie mais qu’on ne sait pas vraiment faire quelque chose tous les deux.

— J’en avais vraiment envie, lui dis-je doucement dans l’oreille. Et je peux même recommencer quand tu veux. Tout de suite, même.

— Non, quand toi tu veux. Moi je voudrais toujours. Mais là tout de suite, je suis juste trop sensible.

— On ne dormirait pas ?

— Donc tu ne blaguais pas quand tu me disais "pas ce soir".

— Non, mais j’ai toujours envie de m’endormir contre toi.

— OK, mais sans slip, me dit-elle en me regardant de ses grands yeux. Ne t’inquiète pas, je n’essayerai pas, même si j’en crève d’envie et que ta queue a visiblement le même avis que moi.

— OK

J’enlevai mon slip qui alla rejoindre mes vêtements au pied du lit et me blottis contre son dos. Mon sexe était encore dur, il vint se ranger exactement dans la raie brûlante de ses fesses. Elle bougea pour le sentir le mieux possible. Nous nous endormîmes tous les deux, l’un contre l’autre, presque emboîtés, j’entendis son souffle ralentir au moment où le sommeil m’envahit.

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