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Amant de mes fantasmes. – Chapitre 1




Veuillez excuser ma fougue… Je crois être dans un autre monde ! Mon corps surchauffe, s’échauffe, s’enhardit, se frotte, la douceur des draps contre ma peau, la chaleur entre mes cuisses, le souffle du vent sur mes seins, les frissons contre mes lèvres… Ma nuit s’annonce douce et sensuelle. Cette nuit, je décide de partir au pays des fantasmes de mon quotidien. Cette nuit, mon fantasme s’attarde lui… Sur toi. Bel amant de mes sombres désirs. Tu l’ignores sûrement, ou peut-être pas, mais ce soir, tu seras la source de mon plaisir.

J’imagine ton regard s’attarder sur moi. Je t’imagine embrasser les courbes de mon corps de tes beaux yeux. Je te vois dévorer mon corps avec tes mains subitement, subtilement, sensuellement, amoureusement, langoureusement…

Je sens presque ton corps frôler le mien, je te sens de plus en plus proche, de plus en plus tendu, de plus en plus affamé. Tu m’enlaces, tu m’embrasses doucement, tes lèvres se font douces contre les miennes, la chaleur de ton corps me fait frémir, le passage de tes mains contre mes fesses me fait faillir. Ensuite, ta langue se fait plus experte, je la sens contre mes lèvres, voulant entrouvrir une brèche dans mes lèvres criardes. Je te libère un passage et nos langues se rencontrent enfin. Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. Je sens cette présence contre mon ventre, ton sexe cherchant le mien secrètement. Ta bouche descend dans mon cou, je frissonne sous tes baisers experts. Tes mains se font maintenant plus présentes encore contre mes fesses, elles les massent, les attirent plus près. Je sens ton corps se coller au mien, tu me regardes, je vois alors combien le désir en toi est grand.

Tes yeux brûlent d’une envie irrépressible de sentir le contact de chaque parcelle de nos corps nus l’un contre l’autre. Mon envie de toucher ton sexe bandé et coincé étroitement dans ton pantalon est insoutenable. La soirée s’annonce torride…

Je déboutonne ton pantalon, suffisamment doucement pour te faire brûler encore un peu plus, mais assez vite pour ne pas t’impatienter ! J’attends enfin ta peau, je te sens frémir au contact de mes doigts. Je m’immisce un peu plus dans ton vêtement jusqu’à atteindre la naissance de tes poils. Je m’enhardis et continue mon trajet avec impatiente, presque gourmande. Je touche le bout de ton sexe, chaud, presque brûlant. Tu m’embrasses à nouveau. Je m’aventure plus loin, je te déshabille habilement et te prends à pleine main. Je commence à te masturber doucement, fermement. Tu ne restes pas à rien faire, tu déboutonnes aussitôt ma chemise légère, presque transparente, peut-être même provocatrice. Tu me déshabilles tel un expert et te baisses pour embrasser mes seins pointant fièrement vers toi, comme réclamant leur dû. Je gémis silencieusement lorsque je sens ta langue contre mes tétons. Tu en profites encore pour faire glisser mon pantalon.

Tu en fais sortir mes fesses que tu empoignes aussitôt, juste avant de le laisser tomber à mes pieds. Je n’y tiens plus non plus, je t’enlève directement ton pull que tu jettes de l’autre côté de la pièce dans un geste animal. Nous finissons de nous déshabiller mutuellement, et pouvons enfin nous admirer l’un l’autre. Je désire ton corps autant que tu désires le mien. Ça se voit ces choses-là, je crois. Tu te recolles à moi et me prends dans tes bras. Je sens ton sexe chaud contre mes fesses, à la limite de mon intimité. Tu me portes jusqu’à ton bureau, je vois les documents sur lesquels tu travaillais voler dans les airs dans ta hâte de débarrasser cet objet qui nous servirait à assouvir nos pulsions. Tu me déposes sur le bureau, m’embrasse la bouche, puis le cou, les seins, le ventre, les hanches, les cuisses, l’intérieur des cuisses. Tu te rapproches de plus en plus de mon mont de Vénus. Je sens ton souffle contre mes lèvres, je sens ta langue titiller mon clitoris.

Je te sens dévorer mon intimité avec une envie presque animale, tes caresses restant pourtant sensuelles, tendres contre mon ventre et mes hanches. Tu me fais gémir, frémir, sourire, rougir, jouir, mourir de plaisir. Ta langue parcourt chaque zone érogène de mon vagin. Tu me fais me sentir tellement vivante et ivre d’amour ! Tu remontes avec ta bouche en repassant par le précédent chemin : tu remontes sur mes hanches, tu passes par mon ventre, tu enchaînes sur mes seins, sans oublier mon cou, et tu termines ton épopée sur mes lèvres. Je t’embrasse et tu m’embrasses en retour. C’est fou, c’est beau, c’est interdit. Trois mots pour décrire ce que nous sommes, ce que nous faisons, ce que nous voulons. Tu enfiles le préservatif que je te tends. Tu es maintenant sûr de mes intentions, plus de doute en toi. Tu te cales entre mes cuisses, je sens ton pénis à l’entrée de mon vagin.

Tu me jettes un regard comme pour vérifier si je le veux toujours, je prends ta tête dans mes mains et t’embrasse comme une lionne pour te prouver l’ampleur de mon envie de te sentir tout en moi. Tu me fais comprendre que tu as compris en me pénétrant doucement, amoureusement. Je te sens m’envahir, je te sens de plus en plus fort en moi. Je suis en extase, et je crois sentir que toi aussi. Tes mouvements s’intensifient, deviennent plus sûrs. Après quelques mouvements mesurément doux, je te sens accélérer, n’en pouvant plus d’attendre l’animosité. Je serre mes cuisses autour de tes hanches. Je colle ma poitrine à la tienne. Tu accélères encore, tu grognes de plaisir. Tu me prends fort, mais mesurément, comme par peur de me casser. Ta tendresse me fait fondre, je t’embrasse de plus belle, n’osant réaliser à quel point ce moment est magnifique. Tu me pénètres doucement, sortant presque totalement avant de rentrer entièrement en moi à nouveau. Tu m’attires à toi, me serrant encore un peu plus fort.

Nous faisons l’amour. C’est ça qu’il se passe maintenant. C’est beau, c’est tendre, c’est amoureux. C’est ce que nous sommes : amoureux. C’est beau ça l’amour. Je t’ai si souvent désiré, savourant ces moments où nos regards se croisaient discrètement, comme timide. Ces discussions entre deux lieux. Et pourtant, jamais nous ne rations une occasion de nous croiser, de nous frôler, de nous parler. Dans nos deux esprits est né ce désir, cet amour pourtant interdit, inavouable. Je t’ai tant désiré, si souvent, si fort. Mes jambes au creux de tes reins, mes mains servant maintenant de griffes dans ton dos couvert de sillons ensanglantés. Nous sommes deux animaux cédant à la beauté de l’amour, du sexe, de la passion. Tes mouvements se précipitent, je glisse une main contre mon clitoris, le simple fait de le caresser me fait monter encore un peu plus. Je continue à me masturber tandis que tu me prends toujours à la folie !

Nos corps tremblent, nos muscles se crispent, je te sens jouir, ton corps tremblant contre le mien. Je jouis en un soupir, je me sens comme mourir une fraction de seconde. Tu m’embrasses, je t’embrasse. On est beau, c’est con, c’est fou, c’est l’amour, c’est nous…

Tu me murmures un "Je t’aime " à l’oreille. Je ronronne de plaisir de sentir cet homme s’abandonner à moi pendant ce doux moment. Je te rends tes mots, te serre contre moi, t’enlace…

Mon récit fut une agréable délivrance pour moi. Merci à toi d’avoir été la source de mon plaisir, je n’oublierai pas ces images si poétiques et érotiques. Peut-être liras-tu ces mots écrits de ma main.

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