HISTOIRE INTERACTIVE.
Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.
Vous êtes lecteurs de cette histoire mais si vous le voulez, vous pouvez aussi en être un des protagonistes. Il vous suffit de vous identifier à une des personnes présentes ou d’en créez une que je rajouterai dans le récit. A vous de voir si votre personnage vivra une histoire indépendante ou avec l’un des 2 protagonistes
A vos claviers !!! En cherchant un peu vous trouverez mon mail sur ce site.
LE GITE NATURISTE
Chapitre 10
Je suis assez contente de notre invité, le nouveau venu dans nos joutes a l’air d’être l’oiseau rare que je recherche depuis si longtemps et n’a pas l’air gêné par la présence de mon mari.
Patrick s’agenouille alors devant moi, une main sur chaque cuisse, et plonge sa tête sur mon abricot bombé, plaquant sa bouche contre mes lèvres intimes.
Sa langue s’insinue entre elles et cherche mon clitoris qu’il se met à sucer pendant que Léo continue de me caresser un sein en m’embrassant. Je suis au Nirvana et ne résiste que quelques minutes à ce traitement de choc avant d’’exploser dans la bouche de Patrick.
Un orgasme me transperce d’une rare violence et d’une terrible puissance.
Tous les campeurs du gîte on dû entendre mes hurlements mais tant pis. Il me faut quelques minutes pour redescendre sur terre et reprendre mon souffle.
Sa langue déclenche la tempête entre mes lèvres, venant se fixer comme une sangsue sur mon clito.
-Léchez-moi partout, J’ai deux hommes rien que pour moi et je veux en profiter à en crever !
Léo rigole et me fait remarquer :
-Deux bouches et quatre mains rien que pour toi !
Je lui rétorque :
-Tu oublies l’essentiel Deux belles bites ! Je veux jouir comme une dingue avec vos queues ! Si ce n’est pas trop difficile pour vous, il va falloir assurer, les mecs !
Ils ne se le font pas dire deux fois. Pendant que Patrick me bouffe la chatte, Léo m’embrasse dans le cou et s’occupe de mes gros nichons dont les tétons pointent comme des crayons.
Patrick farfouille dans mon berlingot. Je suis dans un état second et mouille malgré moi, me cambrant au maximum, lui présentant maintenant mon petit trou.
Il ne se fait pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales.
Il m’écarte les fesses et me lèche déjà le petit trou tout en me doigtant la foufoune avant de faire pénétrer sans effort un doigt, puis un deuxième entre mes fesses. Je sens que je ne vais plus tarder à connaître d’autres plaisirs.
Patrick crache entre mes fesses et ses doigts s’activent, dilatant mon anus, je ne vais plus échapper longtemps à la sodomie. Il remonte en passant sur le périnée, léchant chacune de mes lèvres bombées, les écartant et reprenant son travail interrompu sur mon clito.
Il glisse un doigt dans ma chatte, puis un deuxième. Après quelques petits va-et-vient, le pouce s’introduit dans mon petit trou. Je sens ses doigts prendre en pince la fine paroi séparatrice pendant ses va-et-vient. C’est divin
Dans le même temps, je penche le buste et recommence à pomper la verge de mon époux qui a repris de la vigueur, je lui donne de petits coups de langues sur le gland
Quand je la trouve à mon goût, je repousse Patrick et me positionne, présentant à Léo mon trou du cul si bien lubrifié par les coups de langue de Patrick. Il vaut mieux que j’alèse le passage des artistes avec le camion de Léo avant d’essayer avec le convoi exceptionnel de Patrick.
Sa queue est dure à souhait, il la tient à la verticale, le gland violacé de désir. Il me demande de venir m’empaler sur lui. Je m’exécutée sans rechigner. Il attend qu’il soit introduit en douceur au plus profond de mon cul, puis commence à me pistonner avec vigueur.
Patrick se masturbe en nous regardant et sa verge retrouve rapidement sa raideur.
J’ai envie de me prendre une double pénétration. Je lui propose de s’occuper de ma chatte esseulée, il est évidemment d’accord.
Patrick prend une position acrobatique et m’empale sur son pieu érigé.
Il entre avec beaucoup de douceur dans mon intimité. Léo prend le rythme dans mon anus en feu
Patrick synchronise ses mouvements sur ceux de mon mari puis après ils varient les pénétrations, une queue entre au plus profond dans mon vagin pendant que l’autre se retire de mon cul. Je sens poindre un formidable orgasme, un pied énorme. Quel bonheur, j’hurle de plaisir, ne pouvant me retenir, tant les vagues sont violentes. Plusieurs orgasmes s’enchaînent à la suite, je suis sur un petit nuage…
Léo ne tarde pas à jouir en moi vidant dans mes intestins une bonne dose de sperme. Mais il ne peut « déculer » car Patrick me travaille toujours. Il l’interpelle :
-Eh ! Je voudrais bien pouvoir retrouver ma liberté si tu n’y vois pas d’inconvénient Patrick !!!
Patrick réalise la situation et se relève, la flamberge toujours dressée mais pour lui, ce n’est pas encore la délivrance, il me regarde et m’ordonne :
-mets-toi à quatre pattes !
Je sors la bite de Léo de mon cul pour obéir à cet étalon inépuisable. Il se place derrière moi pour m’enculer.
-Oh oui, c’est bon, vas-y, encule-moi bien, Je suis ta petite salope, défonce-moi, fais-moi jouir encore !
Il écarte mes cuisses et place son énorme défonce-cul à l’entrée de mon anus. Je lui donne mes fesses, le dos bien cambré.
Heureusement que Léo a déjà élargi le passage étroit de mon petit cul.
Je remercie Patrick des précautions qu’il prend car malgré le fait que sa verge soit enduite de ma mouille, l’introduction vue la taille de son rostre est un peu douloureuse. Il y va avec une extrême lenteur.
Le long membre disparaît entièrement dans mon joli petit trou qui doit se dilater au-delà de ses expériences antérieures pour absorber l’épaisseur inusité de l’outil.
Il bouge à peine en moi me laissant récupérer un instant et laisser s’atténuer la douleur bienheureuse.
Patrick commence alors délicatement à me pistonner, puis le travail de sape s’accélère, Il passe du pas au trop puis au galop.
Il m’encule maintenant avec vigueur. Jamais je n’ai connu autant d’orgasmes dans si peu de temps.
Je marmonne des mots sans suite entre des petits cris.
Après 5 mn de ce traitement de rêve, il décide de varier de position. Il redresse mon buste de ses bras forts, me dit de m’accrocher comme je peux puis passe ses mains sous mes cuisses.
Il plie les genoux et d’un effort surhumain, se relève m’entraînant dans le mouvement.
Je me retrouve en l’air, mon dos collé contre son torse, uniquement retenue par ses mains et l’énorme cheville qui me fore le cul. C’est une première pour moi.
Ses bras musclés me font monter et descendre, mon dos coulisse contre lui et mon cul accueille à chaque descente jusqu’au dernier centimètre de son manche de pioche.
Il m’a trop relevée et sa verge s’échappe comme une lame de ressort, je demande gentiment à Léo qui n’en loupe pas une miette:
-Mon amour, peux-tu remettre ce gros oiseau dans son petit nid ?
Il ne se fait pas prier, en profitant au passage pour branler la bite de Patrick avant de la ficher à nouveau dans mon anus.
La position est très scabreuse et extrêmement fatigante pour lui. Il me repose au sol et me demande de me coucher à nouveau sur la table.
Il attrape mes jambes et pose mes chevilles sur ses épaules. Mes fesses sont justes à la position voulues et sans même s’aider d’une main, son défonce-cul trouve tout seul le chemin du trou du même nom.
En une sarabande effrénée, il passe maintenant de mon anus à mon con et inversement.
Il a l’éjaculation paresseuse après les précédents épisodes et je dois dire que j’apprécie chaque minute, enfin un homme, un vrai !
Mais ça ne peut pas durer éternellement, il me jette :
-Que préfères-tu ?… Je t’inonde la chatte ou le cul ?…
-Dans le cul, je veux que tous mes trous goûtent à ton sperme !
Je suis dévastée par un nouvel orgasme d’une intensité incroyable quand il se colle à mes fesses pour déverser à longs jets au plus profond de mon être sa semence brûlante.
Quand il se retire, les contractions sporadiques de mon sphincter font ressortir sa laitance abondante qui souille la table.
Nous marquons une longue pose, je suis fourbue et je crois que mes hommes ont besoin d’un bon moment pour recharger leurs batteries (enfin, vous voyez ce que je veux dire).
Je dois avouer que j’ai un gros coup de pompe après ce que Patrick vient de me faire subir.
Nous allons faire un petit tour à la piscine, la douche nous fait le plus grand bien avant de plonger dans l’eau. Les regards des 3 personnes présentes me questionnent.
Se doutent-elles de ce qui vient de se passer ? Il faut dire que nous n’avons pas été des plus discrets. Nous regagnons ensuite notre logis pour un en-cas copieux. Le cul, ça creuse et ça donne soif !
Nous nous reposons dans le divan, je suis blottie entre mes 2 hommes, une main sur leur cuisse.
Sans même m’en rendre compte, mes mains cherchent et trouvent leur cible et commencent à coulisser sur leur sexe, mais c’est assez laborieux.
J’alterne avec ma bouche et mes doigts sur chacun de mes partenaires. J’arrive à un résultat avec Patrick mais Léo a abdiqué :
-Désolé ma chérie, mais tu sais que 3 fois pour moi, c’est déjà un exploit.
Je me rabats sur Patrick et après quelques minutes, obtiens de nouveau une érection.
On voit qu’il a une longue pratique de telles joutes (et beaucoup d’expérience).
Mes doigt ont quitté la verge de Léo et je les immisce entre ses fesses, il écarte légèrement les cuisses pour me laisser plus de latitude.
Je titille son trou du bout du doigt. J’enfonce mon majeur millimètre par millimètre pour en tester la résistance. Je sens son corps se contracter de plus en plus.
Tout d’un coup, j’enfonce intégralement mon doigt dans son cul avant de revenir masser ses couilles, je sais qu’il adore ça.
Mais je voudrais maintenant qu’il m’aide à moccuper de la tige de l’amant de passage. Je fais étendre Patrick pour sucer avec délectation sa queue faisant un signe à mon mari pour qu’il approche son visage.
Je veux qu’il voit de près cet énorme sucre d’orge dont je me régale pour le tenter. Progressivement mon chéri approche son visage et ouvre la bouche, je sais qu’il ne va pas se faire prier pour y goûter. Surtout après l’expérience du hammam.
Je constate même l’excitation évidente qu’il ressent à ce moment par un frémissement de sa verge.
Patrick ne s’offusque pas et présente son sexe à la bouche de Léo qui entreprend de lui tailler une pipe royale. Je suis excitée par ce que je vois, il s’acharne consciencieusement sur ce nud d’exception, réussissant même à prendre en bouche la totalité de sa queue.
Mais il a beau s’acharner, la lance de Patrick, toujours aussi raide, toujours aussi dure, est devenue fainéante et refuse de cracher son venin.
Je ne peux plus me retenir et viens seconder mon mari mais c’est peine perdue. Je décide donc d’utiliser son gourdin d’une autre façon.
Je laisse tomber sa matraque et lui présente le coté verso de mon anatomie.
Comprenant mon désir, Léo prend le sexe de Patrick et le présente à l’entrée de mon anus. Doucement, je me laisse descendre au contact de son gland que je sens glisser en moi très lentement, la main de mon mari se retire au fur et à mesure de la progression dans mes intestins de ce défonce-cul si gros.
Je me défoule maintenant comme une malade sur ce gode de chair qui décidément ne veut plus éjaculer.
Léo profite de mon con esseulé pour l’investir de ses doigts puis de me lécher le clito de sa langue en l’introduisant le plus loin possible.
Mais j’en veux encore plus, il rebande enfin et je l’invite à venir s’occuper de ma chatte en feu. Il s’allonge sur moi, cuisses bien écartées, et enfile sa queue bien au chaud au fond de ma féminité trempée.
Il me lime doucement, je sens ces deux belles bites aller et venir dans ma moule et mon cul, séparées uniquement par les parois de mon vagin.
Je suis déchaînée, le corps couvert de sueur pris en sandwich entre ces deux mâles, pilonnée en rythme par leurs dards qui me remplissent alternativement la chatte et le cul.
Malgré ces précédentes jouissances, Léo ne résiste pas longtemps avant de se vider dans ma chatte, déclenchant en moi un nouvel orgasme.
Pour lui, je crois que je ne pourrai plus rien en tirer mais je voudrais l’amener ce soir à jouer mon rôle et à devenir pour une fois la personne qui subit le mâle dominant. Va-t-il se laisser aller à ce genre d’expérience ?
Il m’a dit tout-à l’heure qu’il fantasmait sur l’organe de Patrick depuis que nous l’avons sucé ensemble au hammam. Cet amant extraordinaire peut le convaincre de tenter l’expérience car j’ai constaté l’excitation qu’il ressentait quand il s’occupait de la virilité de Patrick.
Je lui pose la question :
-Je commence à fatiguer, Léo, veux-tu me relayer sur la poutre de Patrick et connaître les plaisirs de la sodomie ?
Pendant un instant, rien ne se passe à part l’interrogation muette de ses yeux qui passent alternativement de moi à Patrick avant de se fixer sur sa teub.
-Euh Tu me prends de court Il faut dire qu’il a un sacré manche Oh et puis zut, si ça doit m’arriver un jour, autant que ça soit avec un tel étalon, il est increvable ce mec !
-Et toi Patrick, tu es partant ? On ne te choque pas trop de la demande ?
Il nous regarde tour à tour en rigolant :
-Avec vous, je ne suis plus étonné de rien Et s’il veut tenter l’expérience, ma bite est à son service !
Nous changeons de position nous mettant les 2 à quatre pattes pour que je puisse préparer mon mari à l’outrage ultime pendant que Patrick entretien sa virilité en continuant à me défoncer le cul. Nous formons un petit train dont je suis le second wagon,.
Ma langue titille son petit trou, je promène un doigt autour de la zone anale de mon mari et lubrifie abondamment son anus pour en faciliter l’intromission avant que mon index rejoigne mon majeur qui est entré comme dans du beurre.
Patrick décule de mes fesses et vient pointer son dard qui décidément ne veut pas jouir entre les fesses de Léo. Il lui demande :
— Que préfères-tu ? La méthode lente et douce ou bien une bonne ruade ?
Léo lui répond qu’il lui laisse les commandes du « manche ».
Patrick, les mains sur les hanches de Léo, colle son gland contre le sphincter serré et donne un coup de rein mais mon mari est si contracté que la pine se courbe sous l’effort et n’arrive pas à s’introduire. Je viens jouer l’entremetteuse et pose mes 2 mains sur la hampe épaisse pour la guider.
D’un nouveau coup de rein, le gland cramoisi se déforme avant de disparaître enfin dans l’anus de Léo qui hurle comme un beau diable :
-Nom de Dieu, mais ça fait mal, fais-gaffe quand même !
Patrick surenchérit :
-Une vrai porte de prison son cul, je sens mon gland qui regonfle dans son cul, il m’étrangle la bite, elle est coincée à l’entrée !
Et s’en avertir Léo de la suite, il le tire violemment à lui en projetant son bassin au devant des fesses musclées de mon mari. Je dois retirer précipitamment mes mains de son pieu qui disparaît en entier dans les intestins de mon jules.
-Aaaahhh, bordel ! Steph ! Mais comment tu peux ressentir du plaisir avec ça dans le cul ???
Je le vois qui grimace stoïquement, ne voulant pas me montrer qu’il souffre surtout que Patrick ne l’a pas ménagé.
Notre « amant » reprend avec mon mari ce qu’il avait interrompu avec moi et rue sans complexe à grand coup de queue dans le fondement de Léo. Il ne le ménage pas le pauvre et le « travaille » pendant une dizaine de minutes avant d’enfin nous avertir :
-Je vais décharger Léo, tu vas ma faire jouir mon salaud, qu’est que tu préfères ?
J’entends Léo murmurer :
-Je veux boire ton jus.
Patrick se retire et lui présente son rostre gonflé.
Ce n’est plus mon mari que j’ai en face de moi, mais une vraie pute qui en redemande, avide de cette belle queue. Patrick lui enfourne sa teub dans la bouche aussi loin qu’il le peut et au moment de jouir, lui maintient la tête pour qu’il n’en perde pas une goutte en crachant une dose conséquente de foutre malgré ses éjaculations précédentes au fond de la gorge.
-Avale, et ne t’avise pas d’en cracher une goutte !
-Montre que tu as tout avalé, oui c’est bien, et lui montrant sa bite, nettoie-là !
Léo lèche chaque recoin de son gourdin toujours tendu jusqu’à ce qu’il ne reste plus une trace de sperme (ou d’autre chose).
La soirée de débauche se termine enfin. J’embrasse Patrick à pleine bouche, une main sur son nud qui pend entre ses cuisses, toujours aussi gonflé. Je suis sûre qu’avec un peu de volonté, j’arriverais à le faire bander encore une fois.
Il quitte notre mobil-home pour rejoindre sa caravane, Léo vient me prendre dans ses bras et commente nos ébats entre ses baisers :
-Un sacré bandeur ce Patrick, on peut lui décerner un « gode d’or ». Il a une bite de cheval et il sait s’en servir. Putain que j’ai mal au cul !!!
Je surenchéris :
-Oui, des amants comme lui, nous n’en avons jamais connu, malgré son âge il tient la distance, et tu as remarqué, il ne débande pratiquement pas. Et on n’est pas les seuls du gîte qui sommes passé à la casserole
Nous l’avons revu le lendemain et l’avons félicité pour ses performances.
Et c’est là qu’il a commencé à nous parler de lui et de sa vie sexuelle débridée et vraiment pas commune qui a commencé très jeune.
Mais là, c’est une autre histoire qu’il vous contera sûrement sur ce site.