Chapitre 4 : La punition
Les jours suivants ont été les plus durs de ma vie car jai eu à affronter le regard innocent de mon petit mari et mes sentiments étaient partagés entre la honte due à ma trahison et lexcitation à la pensée de ma prochaine rencontre avec Monsieur.
Dès que Julien partait travailler, je me mettais nue et je chaussais les escarpins rouges. Ils me plaisaient et étaient étonnement confortables vu la hauteur des talons. Contrairement à ce que javais pensé au départ, jai donc appris rapidement à marcher avec. Je ne les enlevais que pour faire le ménage car ce nétait pas très pratique. Je me disais que Monsieur comprendrait Il marrivait de mouiller rien quà lidée de penser que jétais une cochonne qui attendait son amant à poil avec des chaussures de salope et quil pouvait arriver dun moment à lautre.
Ce jour la, jétais en train de passer la serpillère quand jai entendu la voix froide de Monsieur dans mon dos : « Soit tu as envie dêtre punie soit tu as des problèmes de mémoires petite conne » Je me suis retournée et en voyant son visage en colère je me suis mise à trembler et jai tenté de me justifier « Mais cest pas pratique » Une gifle ma interrompue et il ma dit froidement « Une bonne femelle doit toujours porter la tenue que son male lui ordonne de porter ! Vas mettre tes chaussures et rejoins moi au salon pour recevoir la correction que tu mérites ». Le visage en feu et retenant mes larmes, je suis allée me chausser et me suis rendue au salon où il mattendait. « Tu menlèves mes chaussure et mon pantalon puis tu débarrasses la table basse et tu te mets à 4 pattes dessus » Jai rapidement obéi et me suis retrouvée à 4 pattes en attente de la punition promise. « Ouille » Jai soudain reçu un coup de martinet sorti de je ne savais où. « Tu vas compter les coups petite chienne ! » « 1 ouille, 2 ouille, 3 ouille, 4ouille, 5 ouille » Là le me suis mise à pleurer car javais les fesses en feu et jai continué à compter en sanglotant jusquà 10. Il sest arrêté et a commencé à me caresser la chate en me massant lanus du pouce. Je ne men étais pas rendu compte mais je mouillais déjà car la chaleur de mes fesses sétait diffusée dans tout mon arrière train. Jai commencé à gémir doucement et son pouce a délaissé mon anus aussitôt remplacé par lindex de son autre main qui sest insinué lentement dans mon illet et a commencé à faire des vas et viens. La sensation ma paru bizarre mais pas franchement désagréable et, stimulée par la masturbation de ma chatte jai mouillé de plus belle. Lorsque mon anus a été bien dilaté par le branlage de son doigt, il a joint son majeur à son index « ouille » et a continué ses vas et viens et il ma alors dit goguenard « Tu penses que ta punition est terminée mais tu ne vas pas ten tirer à si bon compte » Et aussitôt jai pensé : Oh mon Dieu, il va menculer ! Il a posée une main sur ma hanche et a présenté son gland à lentrée de mon anus puis ma attrapée lautre hanche et a poussé lentement. Jai poussé un cri de douleur pensant quil était en train de me déchirer le cul mais lui, sans pitié a continué jusquà ce que ses couilles viennent buter contre ma chate trempée. « Javais prévu de te lubrifier lanus pour ta première sodomie mais comme tu nas pas été sage, je tencule à sec salope » Et il a commencé à aller et venir sans tenir compte de mes sanglots. Mon anus, que je croyais écartelé, a commencé à se dilater et la douleur est devenue plus diffuse. Il a alors accélérée la cadence pour me défoncer le cul tandis que je gémissais de douleur. Il a changé de tactique, sarrêtant pour me faire aller et venir sur sa queue en me tenant toujours par les hanches et mes cheveux coiffés en palmier ont commencé à se balancer tandis que mes seins ballotaient en cadence. La chaleur générée par la douleur a commencé peu à peu par devenir du plaisir et mes gémissements ont changé de nature. Pas dupe de mon changement dhumeur, il a demandé : « Tu aimes ça petite chienne ? » « Oui » Il ma pincé la fesse. « Oui qui ? » « Oui Monsieur » « Alors dis que tu aimes te faire enculer salope » « Jaime me faire enculer Monsieur » « Sois un peu plus expressive, dis cest bon ou oui » Et jai continué à mempaler sur son membre dur en poussant de soupirs et en ponctuant mes mouvements de : oui, humm, cest bon jusquà ce que lorgasme memporte et que je sente des jets brulants se répandre dans mon intestin.
Il a retiré sa bite de mon cul et tandis que je restais à quatre pattes, pantelante, jai senti du sperme sortir de mon trou du cul béant et couler sur une de mes cuisses. Il sest approché de mon visage et a demandé : « Tu sais ce que tu dois faire maintenant ? » « Euh non Monsieur » « Me nettoyer la queue pouffiasse » Comme je ne réagissais pas, surprise, il ma pincé un téton « aille » et a dit : « Tu préfères peut-être que je te punisse à nouveau ? » Jai ouvert la bouche et jai commencé à lécher sa bite un peu dégoûtée par son goût âcre. « A partir de maintenant, chaque fois que je te baiserai, peu importe dans quel trou, tu me nettoieras la queue pour me remercier compris ? » « Oui Monsieur ». Une fois que jai eu fini il ma dit : « Vas te nettoyer et reviens avec une bière ». Dans la salle de bain, je me suis épongée avec un gant de toilette et, sentant mon anus encore ouvert, je nai pas pu mempêcher dy mettre un doigt puis un deuxième qui sont rentrés facilement malgré la douleur. Je lui ai ensuite apporté sa bière. Il était assis dans le même fauteuil que la fois précédente et ma dit : « Mets toi en position dattente : mains sur la nuque et jambes écartées ! » Jai obéi et il a continué : « Maintenant, dis moi pourquoi tu ne portais pas les chaussures quand je suis arrivé ? » « Parce que cest dur de faire le ménage avec des talons aiguilles Monsieur » « Tu as raison, je te ferai livrer des chaussures plus confortables pour travailler, en attendant, je tai pris un rendez-vous demain chez une spécialiste du toilettage pour les petites chiennes de ton espèce. Tu ty rendras habillée de ta robe noire et des escarpins mais rien dautre cest compris ? » « Oui Monsieur » « Cest une amie alors tu as intérêt à mavoir obéi car elle me racontera tout et si tu nas pas été docile avec elle, tu seras punie » Ayant fini sa bière, il sest rhabillé et ma regardée toujours mains sur la nuque et jambes écartées et a dit « Tu es belle ainsi, cest le garde-à-vous de la femelle » Puis il a insérée un bout de carton rectangulaire entre mes grandes lèvres et il est parti.
Tremblante dappréhension, jai pris la carte de la toiletteuse et jai été à la fois soulagée et effrayée de voir que cétait la carte de visite dune esthéticienne.