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La rencontre de ma vie – Chapitre 9




Ce n’est que trois jours plus tard que je reçus des nouvelles de Mindy : « Je suis prête à partir, dis-moi quand tu veux que je vienne » m’avait-elle écrit. Je lui avais simplement répondu : « Maintenant ? » et elle m’avait simplement écrit : « J’arrive ! »

N’ayant pas encore le permis, c’est son frère qui l’amena jusque chez moi en voiture. Ça ne faisait que trois jours que nous ne nous étions pas vus, mais j’étais vraiment heureux de la revoir. Je descendis de mon appartement à l’instant où je les vis arriver. Son frère se gara sur le petit parking au bas de chez moi, puis Mindy sortit de la voiture en trombe et se jeta dans mes bras. Au bout d’un petit moment dans cette position, je compris que quelque chose n’allait pas.

Mindy ; est-ce que ça va ? lui demandai-je.

Son frère s’était adossé contre la voiture, nous observait.

Je crois qu’elle est un peu stressée, me dit-il.

Fred ! rétorqua sa soeur en se retournant vers lui.

C’est la première fois qu’elle quitte la maison des parents, continua-t-il. Alors c’est un peu dur pour elle, tu comprends.

Je comprenais alors que je n’avais pas pensé que le fait d’aller vivre avec une autre personne pouvait être une source d’anxiété pour elle. En regardant son visage, je vis ses yeux légèrement humides. Derrière son enthousiasme, je n’avais pas remarqué qu’elle prenait tout de même des décisions difficiles, et que j’avais manqué de vigilance.

Mindy, lui dis-je d’une voix rassurante. Il est toujours temps de faire marche arrière, tu sais, rien ne t’oblige à continuer.

Non ça va, dit-elle en se reculant légèrement. C’est moi qui ai pris cette décision, alors on y va !

J’étais rassuré, c’est exactement ce que je m’attendais à entendre de sa part.

J’aime mieux ça. Bon, je vais t’aider à transporter tes affaires.

Fred ouvrit le coffre de la voiture et me tendit un grand sac et Mindy en prit un autre.

C’est tout ce qu’il y a ? demandais-je en voyant son frère refermer le coffre.

Oui, me répondit Mindy.

Bon, eh bien moi ; je vais y aller, lança Fred. Allez les amoureux, à plus !

Salut Fred ! cria Mindy.

Quant à moi, je me contentais de lui faire un signe d’un simple geste de la main. Alors que je voyais, la voiture repartait, je sentis mon ventre se serrer ; nous étions maintenant vraiment que tous les deux. Mindy m’adressa un regard.

On y va ? suggéra-t-elle.

On y va, confirmai-je en me mettant en route.

Une fois que nous sommes rentrés à l’intérieur et les sacs posés sur le sol, mon ventre se contractait encore plus. J’étais certes excité et heureux de vivre avec elle ; mais cela me faisait aussi terriblement peur.

Je suis désolé Mindy.

Hein, mais de quoi, me demanda-t-elle.

J’aurais dû m’apercevoir que cette décision te faisait peur, je n’ai pas fait attention et…

C’n’est pas grave, me coupa-t-elle. Ne t’en fais pas pour ça, vraiment. De toute manière maintenant c’est fait, alors n’en parlons plus.

Ouais, t’as raison… Bon, allons ranger tes affaires.

Mindy hocha la tête en guise de réponse. Nous entrâmes dans ma chambre, enfin notre chambre maintenant, et elle commença à ranger ses vêtements. Je ne pus m’empêcher de jeter un ? quand elle se mit à ranger ses petites culottes.

Ça va, je te dérange peut-être, s’intéressa-t-elle en me regardant de haut.

J’suis désolé, je…, bafouillais-je ; terriblement gêné.

Mindy éclata de rire.

Je rigole, je m’en fous t’inquiète pas, tu peux les regarder autant que tu veux.

Tu m’as fait peur, soupirai-je. Au fait, à propos de sous-vêtement, tu mets toujours des soutifs ; non ?

Heu… oui ? dit-elle interloquée.

Tu ne devrais plus en mettre.

Hein ? Mais pourquoi ; je sais bien que t’aimerais ça, mais… non en fait, je ne les mets pas que pour faire joli, tu sais.

Et bien justement, tu t’es déjà interrogée sur leur utilité ?

Mindy me regarda pensive.

Bon, où est-ce que tu veux en venir ? me demanda-t-elle.

Là où je veux en venir ? C’est que les soutifs seraient probablement plus dangereux que bénéfiques pour la poitrine. En fait, le fait de la soutenir rendrait la peau moins ferme, ça pourrait aussi bloquer la circulation sanguine sur certaines parties trop serrées. Puis je ne parle pas des frottements qui peuvent provoquer des irritations …

Quoi ! Mais où est-ce que tu vas chercher tout ça ?

Bah, en lisant des études que j’ai trouvées sur Internet.

Bon… je veux bien essayer alors… mais si ça ne me plaît pas, je pense que je les remettrais tout de suite !

Je ne pus m’empêcher de sourire de satisfaction, bien que je pensais à sa santé en parlant de ça, l’idée m’excitait aussi.

T’es vraiment un pervers en fait, me lança-t-elle.

Je haussais les épaules, en réalité, j’en étais déjà bien conscient, et bien que je préférais ne pas trop lui montrer pour l’instant, elle commençait déjà à s’en rendre compte petit à petit.

Mindy déballa son deuxième sac, dans celui-ci se trouvait des affaires de toilette, beaucoup de livres, et de quoi travailler. Elle rangea tout ça en quelques minutes puis me rejoignit.

Voilà, j’ai terminé de tout ranger, on fait quoi maintenant ?

Après l’avoir vu se pencher maintes fois et après lui avoir parlé de sous-vêtements, je n’avais plus qu’une seule envie. Elle ne l’avait pas remarqué, mais ma queue était déjà bien tendue dans mon pantalon. Je me levais et m’approchais d’elle en lui attrapant les mains. Nos bouches se rencontrèrent pour s’adonner à un long baiser.

T’es si pressé que ça ? me demanda-t-elle.

Pourquoi ? Ça ne te plaît pas peut-être, lui dis-je en lui soulevant sa robe.

Humm… au contraire, c’est ce que j’avais l’intention de faire si tu ne t’étais pas décidé.

Mindy recula jusqu’au mur, s’y adossa tout en m’adressant un regard langoureux, puis elle m’invita à la rejoindre. Alors je m’approchai d’elle, lui pris la main et souleva sa robe de l’autre pour rejoindre son fruit tant désiré. Mindy m’attrapa par le cou et me tira vers elle, en me forçant à l’embrasser, je sentis immédiatement sa langue entrer dans ma bouche et me caresser la langue. Un afflux de salive émergea au moment où ma main entra en contact avec sa culotte. C’était comme si elle s’était mise à baver, et malgré le filet de salive qui lui coulait le long du menton, elle continua à m’embrasser de plus belle.

Je commençai alors à la caresser à travers sa culotte déjà humide en faisant lentement glisser mes deux doigts le long de sa fente. Et alors que mes doigts couraient de haut en bas, sa culotte mouillait de plus en plus. Elle arrêta de m’embrasser, écarta son visage alors que de la salive coulait encore de sa bouche. D’un geste habile, elle ôta sa robe, la jeta au sol, et plongea sa main dans mon pantalon pour en sortir mon membre qu’elle caressa au même rythme que celui que j’imprimais sur sa fente.

Ce petit jeu dura quelques minutes, elle ne tenait plus en place et sa culotte était complètement trempée ; de la cyprine coulait le long des jambes. Submergée par le plaisir, elle arrêta de m’embrasser, de me caresser. Son visage en disait long, elle respirait bouche grande ouverte et plissait les yeux à intervalle régulier. Mais je continuais inlassablement mes caresses en gardant le même rythme.

Ah… ! Arrête, je t’en supplie… Humm ; j’en peux plus… Ah… me supplia-t-elle.

Je me demande encore combien de temps tu vas pouvoir tenir debout, la provoquais-je.

Hann… tu me… ahhh… me… sous-eti… Ah… !

Un cri de plaisir coupa sa phrase. Elle se tendit comme un arc, je sentis ma main se faire asperger de liquide. Puis elle se décontracta, et me tomba dessus. Je la portais alors jusqu’à la chambre où elle s’écrasa sur le lit. Elle avait encore la bouche pleine de bave, et sa culotte complètement trempée.

Alors ça t’a plu ?

C’était… ahhh… intense.

J’avais encore envie d’elle, et à en voir son sourire, elle aussi avait envie de moi, je défis mon pantalon, ma chemise et enlevais mon caleçon pendant qu’elle reprenait encore son souffle. Quand elle me vit à quatre pattes au-dessus d’elle, elle prit instinctivement ma queue dans sa main pour me masturber. Puis une fois bien remise, elle se releva, nous étions assis l’un en face de l’autre. Elle mit ses mains derrière son dos afin d’ôter son soutif, puis sa culotte. Petit spectacle pendant lequel je ne pus m’empêcher de me caresser.

Mindy se rapprocha de moi pour m’embrasser à nouveau, je sentis sa main caresser mes boules. J’avais encore envie de lui donner du plaisir, mais elle prit les devants. Elle s’allongea sur le ventre devant moi en me regardant avec un grand sourire, et commença à me lécher les boules, les prenant même dans sa bouche par moments. Elle ne m’avait jusqu’alors jamais fait ça, et je dois dire que c’était une expérience plutôt agréable. Bientôt, mes boules se retrouvèrent recouvertes de sa chaude salive, Mindy remonta alors en faisant glisser sa langue le long de mon pénis avant d’engloutir mon gland dans sa bouche. Elle avait, quand elle faisait ça, cette expression adorable, même la bouche occupée, je pouvais discerner son sourire avec ses yeux fermés. Elle remarqua d’ailleurs bien vite mon sourire béat.

Ah ça te plaît, hein ? plaisanta-t-elle en caressant mon membre lubrifié par sa salive.

Je voulais lui répondre, mais le plaisir m’empêchait de parler, seul un gémissement sortit de ma bouche. Mindy se redressa, et partagea avec moi le goût de mon pénis en m’embrassant. Puis elle replongea entre mes jambes, mais cette fois en me branlant bien plus vite et en me caressant le frein avec sa langue. Au bout de mes limites, je ne retins pas l’orgasme que je sentis arriver, Mindy ouvrit grand la bouche pour me laisser admirer les giclées de sperme la lui remplir. Quand j’eus terminé, elle me poussa en arrière m’obligeant à me coucher sur le dos, elle s’allongea alors sur moi et me regarda dans les yeux. J’acceptai avec enthousiasme son baiser, elle déversa alors en moi un mélange de salive et de sperme qui se retrouva entremêlé entre nos deux langues et nos lèvres collées. Ce sont nos bouches remplies de sperme et de salive que ce baiser se termina.

Mindy se redressa, assise sur moi, elle se caressa lentement l’entrejambe.

On ne va quand même pas s’arrêter là, hein … me souffla-t-elle.

Bien que je souhaitais continuer, mon organisme m’en empêchait, mais je sentais l’excitation peu à peu revenir en moi.

Laisse-moi une ou deux minutes, lui dis-je.

Comme tu veux, répondit-elle.

Elle se pencha et se mit à me lécher les tétons et à se caresser la vulve ; au bout de quelques minutes, ce petit jeu me remit d’attaque. Cette fois, c’est moi qui la bousculais en arrière pour qu’elle soit sur le dos. Ainsi, je pus lui enfoncer mon membre dans son vagin, elle poussa un petit cri de plaisir et de surprise quand mon pénis la pénétra.

Oh oui, vas-y, ah, c’est trop bon ! s’exclama-t-elle.

Ah t’aimes ça hein ! lui retournai-je.

Cette fois-ci, je n’essayais pas d’être rapide, bien au contraire, j’adoptai un rythme très lent, mais en l’empalant de toute ma force avec de grands coups secs. À chaque fois que mon pénis s’enfonçait en elle, elle gémissait de plaisir.

Plus fort, plus fort ! m’encourageait-elle.

J’y allais tellement fort qu’elle arrêta de se caresser le clitoris, et ramena ses jambes sur elle en les tenant avec ses mains. Cela me laissa plus de place, et me permit d’entrer encore plus profondément en elle. Je n’entendais plus que ses cris de plaisirs et le son de mes testicules claquer contre ses petites fesses à chaque va-et-vient. Pendant un long moment, je gardais ce rythme, je m’enfonçais et sortais de son vagin à intervalle régulier, me régalant à chaque mouvement, et d’admirer son visage se déformer par le plaisir. Chaque poussée faisait bouger le lit entier. Puis tout à coup, je vis son corps commencer à se contracter sous le plaisir, je m’enfonçai alors une dernière fois de toute la longueur de mon pénis. Mindy leva les yeux au ciel tout en poussant un cri de soulagement, c’est alors que sa chatte se mit à gicler dans tous les sens, nous aspergeant tous les deux de liquide. Je sortis rapidement mon pénis, et lui aspergeai le ventre de ma semence.

Mindy laissa retomber ses jambes sur le matelas, et me regarda bizarrement.

À cause de cette situation, nous ne pouvions pas nous empêcher d’éclater de rire ; tout en appréciant ce moment d’intimité et de plaisir partagé. Je m’allongeai alors à ses côtés, elle me regarda dans les yeux avec son sourire craquant, puis m’embrassa encore une fois ; nous étions si heureux d’être ensemble.

Nous sommes restés un long moment l’un contre l’autre à nous regarder puis je décidais de me lever et d’aller préparer le dîner. Nous sommes restés nus pour manger, épuisés par nos galipettes, et pour une fois, nous n’avions même pas joué avec nos pieds. Fatigués, nous sommes allés nous coucher nus directement.

C’est ainsi que se déroula ma première soirée de cette nouvelle vie qui s’annonçait pleine de bons moments incroyables. Bien que cette appréhension pour le futur ne m’eût pas quitté, j’avais déjà hâte de pouvoir partager ma vie avec elle, mon ordinateur, mes jeux vidéo, mes animés. Je me voyais déjà tout lui montrer. Mais le sommeil m’emporta dans des rêves des plus érotiques.

[À suivre]

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