Je viens de passer l’après-midi chez mon beau-père où je me suis fait prendre par tous les trous par lui et ses amis. Il est 18h passé et je viens de rentrer dans notre immense demeure où mon fils m’attend dans le salon. Son regard est plein de reproches et je m’approche de lui en baissant la tête.
— Où étais-tu ? Je suis rentré depuis 13h car mon prof de l’après-midi n’était pas là et je t’attends depuis tout ce temps !! Me dit-il sur un ton sévère.
— J’étais en ville ! Réponds-je en osant à peine ouvrir la bouche et en gardant la tête baissée.
— Sarah m’a dit que tu étais parti en ville mais je trouve que tu y as passé beaucoup de temps !! Je suis sûr que tu ne me dis pas toute la vérité, Sève !! Approche et viens m’embrasser !!
— Oui, maître !! Dis-je en lui tendant mes lèvres.
Mon fils m’embrasse à pleine bouche et glisse une main sous ma jupe pour me caresser la chatte. Il s’aperçoit très vite que les lèvres de mon sexe sont encore toutes poisseuses suite à la partie de baise chez mon beau-père. Il interrompt vivement notre baiser et me dit :
— Sève, tu vas devoir me dire ce que tu as fait aujourd’hui !!
— Oui, maître !! Dis-je dans un souffle.
— Alors, je t’écoute et n’essaie pas de me mentir !! Me dit-il sur un ton encore plus sévère qu’à mon arrivée.
— Eh bien, ce matin je suis allée chez mon esthéticienne avant de me rendre chez votre grand-père Roger.
— Tu ne m’avais pas dit que tu devais aller le voir !!
— Je ne vous l’ai pas dit, maître, car ce que j’y ai fait n’est pas très avouable.
— Qu’as-tu fait chez mon grand-père, espèce de petite salope !! M’invective-t-il en présentant ce que j’allais lui annoncer.
— En fait… en fait…
— Oui, je t’écoute !! Me dit-il de plus en plus énervé.
— En fait, j’ai déjeuné avec lui et ensuite… je… je me… je me suis donnée à lui !! Dis-je dans un demi-sanglot.
— Tu as baisé avec mon grand-père sans même m’en avoir parlé!! J’imagine que tu sais ce que mérite ton impertinence ? Me dit-il en se levant d’un bond du canapé.
— Oui, maître !! Dis-je alors que mon fils me prend par les cheveux et m’entraîne vers le couloir qui mène à la salle de billard.
Il me place devant le panneau qui mène au sous-sol et actionne le mécanisme dans le coin de la pièce. Il se rapproche de moi et me saisit de nouveau par les cheveux pour me faire descendre l’escalier. Une fois arrivés dans la pièce, il retire ma jupe sans ménagement et m’arrache littéralement mon chemisier. Je me retrouve en bas et porte-jarretelles juchée sur mes talons hauts. Il me pousse vers une paire de chaînes qui pendent du plafond et m’emprisonne les poignets sur les menottes qui y sont accrochées. Consciente que j’ai mis en colère mon maître, je baisse la tête et le laisse s’occuper de moi dans l’espoir qu’il ne me donne pas une punition trop sévère. Il part fouiller dans le tiroir d’une commode mais je n’ose pas regarder ce qu’il fait de peur de ne le mettre encore plus en colère. Il revient vers moi et me tire par les cheveux afin de relever mon visage face au sien.
— Maintenant, ma petite soumise, tu vas me raconter ce qui s’est passé cet après-midi !! Me dit-il calmement en accrochant une pince à sein sur mon téton droit.
— Aie !! Oui maître !! Dis-je en serrant les dents car je ne suis pas habituée à ce genre de traitement.
— Allez, raconte, je veux tout savoir ! Me dit-il calmement en accrochant une deuxième pince sur mon sein gauche.
— Tout a commencé le jour où vous m’avez offerte dans ce club, maître. Vous avez excité mon imagination et vous avez organisé la visite de mes parents pour demain.
— Et… me dit-il en me prenant de nouveau par les cheveux.
— Et j’ai voulu tester un homme mûr avant larrivée de mes parents.
— Et, bien sûr, c’est ton beau-père que tu as choisi !!
— Maître, je sais que votre grand-père a envie de moi depuis longtemps et j’ai voulu en avoir le cur net.
— Tu es vraiment une belle salope et je vais te punir pour ça !! Que dirais-tu d’un petit coup de martinet ?
— Je… je…
— Tu, rien !! Tu n’as pas le choix !! Je vais te donner du martinet pour ton impertinence, ma petite pute !!
Mon fils se déplace dans la pièce et va se saisir d’un martinet qui pend à un râtelier. Il revient vers moi et fait glisser les fines lanières de cuir sur mon corps. Le martinet passe sur mes seins puis descend lentement vers mon ventre et mon pubis. Je redoute ce qui va suivre mais le frottement des lanières de cuir sur ma peau me procure des sensations nouvelles. Je sens ma chatte s’humidifier à mesure que l’objet de torture glisse sur ma peau. La fessée que m’a prodiguée mon beau-père a éveillé une partie de moi que je ne connaissais pas et mon corps demande un châtiment. Je me tortille sous la caresse de ces lanières en cuir et ne pense qu’au moment où elles vont me cingler la peau. Antoine vient de passer derrière moi et fait glisser les lanières sur mon dos jusqu’à mes fesses. Je ferme les yeux en attendant la punition libératrice, mais rien ne vient. Mon fils veut savoir ce que j’ai fait de mon après-midi et il commence à me poser des questions.
— Dis-moi comment tu as provoqué grand-père pour qu’il te saute Sève !! Et le premier coup cingle sur mes fesses.
— Aie !! Il est venu me rejoindre dans la cuisine pendant que je débarrassais et je l’ai attiré vers moi, maître !!
— Tu las provoqué, espèce de petite pute !! Tu voulais qu’il te prenne comme une chienne !! Le martinet me cingle de nouveau les fesses par deux fois.
— Hahh, humm !! Oui, maître, j’en avais envie mais votre grand-père m’a très vite fait comprendre qu’il souhaitait que je sois à lui.
— Tu voulais sa queue, Sève ?
— Oui mais il m’a demandé pourquoi je m’offrais ainsi, maintenant.
— Et que lui as-tu répondu ? Me demande mon fils alors que le martinet cingle une nouvelle fois mes fesses.
— Hummm, plus fort, maître !! Je lui ai dit que je n’avais jamais osé à cause de votre grand-mère, maître.
— Et qu’a-t-il dit ? Me demande mon fils en me cinglant plus fort les fesses.
— Il a dit qu’il allait me punir de ne pas en avoir parlé plus tôt alors que votre grand-mère en rêvait depuis le jour où elle m’a rencontrée.
— Et qu’a-t-il fait ? Les coups pleuvent de plus en plus fort sur mes fesses et mes hanches se tortillent, plus par l’excitation que par la douleur.
— Hummm, c’est bon maître !! Faites-moi mal !! Votre grand-père m’a donné une fessée et il en a profité pour me faire des révélations.
— Quelles révélations ? Me demande mon fils en me cinglant de plus en plus fort le cul.
— Aie, oh oui… c’est bon, maître !! Il m’a dit que ma mère était devenue sa soumise et que votre grand-mère profitait de ce fait. Il m’a aussi dit qu’il aimerait me voir soumettre ma génitrice devant lui. Sous les coups que me prodigue mon fils, je sens ma petite chatte se liquéfier et j’ai très envie d’une bonne grosse queue.
— Tu aimerais soumettre ta mère, Sève ? Et les lanières du martinet viennent mordre encore plus fort mes fesses.
— Hummm, ouiiii !!
— Tu veux vraiment la soumettre ? Me demande mon fils en me prenant par les cheveux avant de m’embrasser à pleine bouche.
— Oui, maître !! J’aimerais lui faire payer toutes ces fessées qu’elle m’a données dans ma jeunesse sous prétexte que je ne suivais pas les préceptes de l’église. Dis-je après le profond baiser que vient de me donner Antoine.
— Sève, si c’est ton souhait, je veux m’assurer que tu vas être à la hauteur.
— Que voulez-vous dire, maître ? Dis-je avec un tremblement dans la voix.
— Tu vas devenir ma maîtresse pour ce soir et tu vas imaginer que je suis ta mère !!
— Non, maître, je ne peux pas !!
— Si, tu le peux !! Et nous allons commencer maintenant, maîtresse !! Me dit-il en me libérant de mon emprise.
— Je ne sais pas si je vais pouvoir le faire, maître !! Dis-je dans un souffle.
— Vous allez pouvoir le faire, maîtresse !! Répond mon fils avant de m’embrasser tendrement.
Rapidement, je me prends au jeu et je demande à mon fils de se dévêtir. Il s’exécute en se soumettant à mes désirs sans rien dire. Très vite, je passe de la femme soumise à la femme dominante tant mon excitation est grande. Mon fils se retrouve rapidement nu et je peux constater que la situation lui fait de l’effet. Il arbore une magnifique érection et son sexe se dresse sur son ventre. Je viens d’avoir une idée et je demande à Antoine de se mettre à genoux, les mains sur la tête en attendant mon retour. Il s’exécute sans prononcer un mot et j’en profite pour monter dans mon dressing. Je choisis rapidement un porte-jarretelles et une paire de bas avant de redescendre le rejoindre. Lorsque je rentre dans la pièce, il est toujours dans la position que je lui ai assignée. Je lui tends les sous-vêtements en lui disant :
— Enfile ça, petite salope !! Je veux te voir en pute !!
— Oui, maîtresse !! Dit-il en saisissant les sous-vêtements que je lui tends.
Antoine fait du cyclisme et, par bonheur, ses jambes sont épilées. Il est très maladroit mais il finit par enfiler les bas sans trop de problèmes. Je l’aide à ceindre le porte-jarretelles et à y accrocher les bas. Sa queue est extrêmement tendue et j’ai peur qu’il n’explose à tout moment. Je me concentre pour ne pas me jeter sur sa bite et la prendre en bouche. Je le pousse vers le banc et le fais allonger sur le ventre avant de lui lier chevilles et poignets avec les lanières de cuir qui équipent le banc. Mon fils ne dit mot et se laisse manipuler comme une bonne soumise. Une fois solidement attaché, je pars dans la pièce en quête d’un objet pour le punir. Je m’arrête auprès d’un râtelier et choisis d’en décrocher une cravache. Je reviens vers mon fils et, sans prévenir, je lui cingle les fesses avec ce joli petit objet de torture. Il pousse un gémissement mais n’ouvre pas la bouche pour protester. Je lui donne encore deux ou trois coups avant de lui demander :
— Alors, tu aimes ça, petite salope ?
— Non, mais je suis à vous, maîtresse !! Me répond-il en serrant les dents.
— Mauvaise réponse !! Dis-je en lui donnant un coup de cravache plus appuyé.
— Hummm, oui !! C’est bon maîtresse… encore !!
— Voilà qui est mieux !! Dis-moi que tu veux que je te fasse mal, petite salope !!
— Hummm, ouiii !! Faites-moi mal, maîtresse !!
Je redouble mes coups et, soudain, j’ai très envie de lui caresser les fesses. Antoine a le cul bien tendu et je souhaite lui caresser l’anus. Je lâche donc ma cravache et je glisse ma main sur ses fesses. Il est dans l’impossibilité de bouger et ne peut que se plier à mon bon vouloir. Il se met à gémir lorsque ma main glisse entre ses fesses et que mon majeur vient se perdre sur sa rondelle. Il faut que mon doigt soit lubrifié et je le place sur les lèvres de mon fils. Il ouvre la bouche et le suce avec enthousiasme en le couvrant amplement de sa salive. Lorsque je juge mon doigt suffisamment lubrifié, je le retire de sa bouche et le présente de nouveau entre ses fesses. Lentement, je le fais tournoyer sur sa petite rondelle qui s’assouplit peu à peu. J’exerce une pression et ma première phalange entre dans son rectum. Il pousse un léger gémissement qui m’encourage à aller plus loin. J’augmente la pression et très rapidement mon majeur disparaît dans son cul. Je m’applique à faire de lents va-et-vient dans son conduit anal et mon fils ne tarde pas à gémir de plaisir.
— Tu aimes mon doigt dans ton cul, petite salope ?
— Humm, oui maîtresse !! J’aime votre doigt en moi !! Me répond mon fils dans un souffle.
— Je suis sûre que tu en veux plus, ma petite chienne !!
— Hummm, oui !! Donnez-moi vos doigts maîtresse !!
Je ressors mon doigt de son cul et pars vers la commode où je sais avoir vu un tube de lubrifiant. Je reviens vers mon fils tout en m’enduisant les doigts de lubrifiant. Avant de m’occuper de sa rondelle, je lui donne une violente gifle sur les fesses lui arrachant un gémissement que je ne sais interpréter. Prise par ce nouveau jeu, je me mets à lui administrer une bonne fessée en le traitant de tous les noms. Je me surprends à aimer ce petit pouvoir de domination et ma chatte se lubrifie comme jamais. Lentement, je m’aperçois que j’aime autant dominer que de me sentir asservie. Les gémissements de plus en plus forts d’Antoine me transcendent et mes coups redoublent sur ses fesses. Je me vois déjà en train de donner ce même châtiment à ma mère et je traite mon fils comme si c’était elle que j’avais sous la main.
— Tu aimes ça, espèce de vieille pute !! Tu aimes la fessée, ma vieille salope de mère !!
— Hummm, ouiii !! Fais-moi mal ma fille !! Me dit mon fils qui vient d’entrer dans mon jeu sans problème.
— Je ne suis plus ta fille, maintenant je suis ta maîtresse !! Tu vas être ma chienne et je vais te traiter comme une pute !! Les mots sortent de ma bouche et je n’en reviens pas de ce que je suis en train de dire.
— Hummm, ouiiii !! Je suis votre petite pute, maîtresse !! Faites-moi mal !!
Sans répondre, je cesse ma fessée et je plonge mon majeur dans son cul, sans ménagement. Mon doigt est bien lubrifié et il entre sans difficulté. Je le fais aller et venir lentement arrachant à mon fils de doux gémissements. Il se tortille sur le banc et je le soupçonne de frotter sa queue qui doit être tendue au maximum. Il est terriblement excité et j’en profite pour lui glisser un deuxième doigt dans le rectum. Il gémit de plus en plus fort lorsque je bouge mes doigts pour lui élargir la rondelle. Manifestement, mon fils a l’air d’aimer ce traitement et je regarde son cul se trémousser en imaginant voir celui de ma mère. Cette vieille pute mérite un gros chibre entre ses fesses.
— Tu as l’air d’aimer ça, vieille pute bourgeoise !! Je suis sûre que tu as envie d’une bonne queue !
— Oui, maîtresse, je veux sentir une queue bouger dans mon cul !! me répond mon fils en tortillant du bassin sous l’action de mes doigts.
— Je vais te donner ce que tu veux mais il y a une condition.
— Oui maîtresse, tout ce que vous voulez !!
— Je t’interdis de jouir tant que je ne t’en aurais pas donné l’ordre. Compris, vieille salope ? Dis-je en le tirant par les cheveux.
— Oui, maîtresse, je ferai tout ce que vous voulez !!
Je lui lâche les cheveux et retire mes doigts de son cul. Je le laisse le cul en l’air et toujours lié au banc avant de remonter vers ma chambre où je sais trouver le gode-ceinture de Sarah qui l’a laissé là pour pouvoir profiter de moi quand elle en a envie. L’objet a, bien sûr, été soigneusement dissimulé pour qu’il ne soit pas découvert par les mâles de la maison. Dans ma chambre, je prends largement le temps de mettre en place le phallus factice avant de redescendre rejoindre mon fils au sous-sol. J’entre dans la pièce et je me dirige vers mon fils toujours attaché sur le banc. Je me place devant lui et l’attrape par les cheveux pour placer sa bouche à la hauteur de mon gode.
— Maintenant, tu vas me sucer avant que je te défonce le cul, vieille pute !
Sans dire un mot, Antoine ouvre grand la bouche et commence à sucer mon phallus factice avec envie. Ses lèvres vont et viennent sur le mandrin et je saisis ses cheveux des deux mains pour imprimer le rythme de la fellation. Mon fils semble prendre goût à cette pratique et sa bouche engloutit de plus en plus profond le gode que je lui présente. La vision de mon fils en train de sucer une bonne queue ravive mon excitation et ma main droite se perd rapidement entre mes cuisses. Je me caresse le clitoris en le regardant me pomper la queue et je l’imagine faire la même chose avec la queue de mon beau-père.
— Tu l’aimes la grosse bite de Roger dans ta bouche, vieille salope !!
— Hummm, hummmm !! Me répond mon fils la bouche emplie de mon énorme gode.
Antoine a l’air de prendre goût à cette fellation et j’en viens à me demander s’il ne l’a pas déjà pratiqué. Il faut que j’en aie le cur net. Ma main droite reste bien calée entre mes cuisses et, de la gauche, je le tire vivement par les cheveux pour qu’il arrête de sucer le gros membre qu’il a en bouche.
— Dis-moi, petite salope !! Tu as l’air d’aimer avoir une bonne queue en bouche !!
— Oui, maîtresse, j’aime beaucoup sucer une bonne bite !! Me répond mon fils en me regardant droit dans les yeux.
— Tu as déjà sucé une vraie queue, ma petite salope ?
— Oui, maîtresse ! Avec un couple d’amis !
— Un couple homo ? Dis-je, interloquée.
— Non, un couple que j’ai rencontré au club, maîtresse. L’homme m’a offert sa femme et il m’a donné sa queue à sucer pendant que je la baisais. Il m’a demandé de la sodomiser et il est passé derrière moi pour me prendre le cul. Je n’ai jamais autant joui, maîtresse !!
— Et tu as aimé ça, petite chienne ?
— Oh, oui maîtresse et je les revois régulièrement pour baiser avec eux !!
— Tu veux que je te prenne le cul ?
— Hummm, avec plaisir, maîtresse !!
— Je vais te prendre le cul mais je t’interdis de jouir, ma petite salope !! Tout ton jus sera pour ma petite chatte !! Compris ?? Lui dis-je en le tirant fortement par les cheveux.
— Oui, maîtresse !! Me répond mon fils au comble de l’excitation.
De peur de lui faire mal, j’enduis le phallus de gel avant de lui masser la rondelle qui se détend sous ma caresse. Puis, de ma main gauche, je tiens la hanche de mon fils et de l’autre main je dirige le gode vers sa rondelle qui palpite d’excitation. De mes reins, je produis une lente poussée et je vois le gros gland de mon gode disparaître dans son cul. Je dois me rendre à l’évidence, mon fils n’en est pas à sa première sodomie. Des deux mains, je saisis ses hanches et je pousse sur mes reins de manière continue jusqu’à voir disparaître la totalité du membre dans son cul. Mon fils pousse un profond gémissement en me sentant tout au fond de lui et se met à remuer du bassin pour m’encourager à le sodomiser. Je me mets donc à faire des va-et-vient de plus en plus rapides dans son cul lui arrachant des gémissements de plus en plus forts. Je le besogne maintenant vigoureusement et je sens que sa jouissance est proche. Sans prévenir, j’interromps la sodomie et le détache rapidement. Je veux qu’il me prenne et me remplisse de sa grosse queue. J’ai envie que nos jouissances soient conjuguées.
— Viens prendre maman, mon chéri !! J’ai envie que tu te vides en moi !! Lui dis-je en me mettant à quatre pattes près du banc où je l’avais attaché.
Il se relève lentement et vient se placer derrière moi alors que je tends mes fesses comme une bonne chienne en chaleur. Sans dire un mot, il me saisit par les hanches et plonge son gros sexe dans ma chatte. Je suis tellement lubrifiée que sa grosse queue entre sans difficulté et il se met très vite à me limer le con. Je sens le plaisir monter en moi et je ne peux me retenir :
— Ouiii, prends-moi la chatte mon chéri !! Défonce bien ta petite maman !!
— Oui Sève, je vais te défoncer la chatte et le cul et je vais me vider les couilles dans ta bouche de salope !! Me répond mon fils qui vient de reprendre les commandes.
— Hummmm, ouiii, Maître !! Prenez-moi comme votre chienne !! Dis-je en me pliant à mon contrat dès le moment où je viens d’entendre le mot "Sève".
Il me prend sauvagement la chatte, m’arrachant des cris de bonheur avant de sortir sa queue de ma chatte et de me la planter dans le cul. J’ai tellement envie de le sentir me dominer que ma rondelle s’ouvre d’elle-même sous ses assauts. Il me lime le cul comme jamais en se cramponnant à mes hanches que je remue comme une pute en chaleur. J’ai envie qu’il explose en moi et je fais tout pour qu’il ressente un maximum de plaisir. Il en a décidé autrement et il me laboure le cul à grands coups de hanches, maîtrisant parfaitement sa jouissance. Je sens l’orgasme monter et je le supplie de se vider en moi. A l’instant même où je vais jouir, il se retire de mes entrailles, me laissant sur un immense sentiment de frustration. Mon fils vient se placer devant mon visage et, me prenant par les cheveux, il place sa queue au niveau de ma bouche. Je sais ce qu’il veut et j’ouvre grand la bouche pour accueillir sa grosse queue. Il me saisit par les cheveux et me baise la bouche comme il ne l’a jamais fait. Sa queue s’enfonce très loin et passe rapidement ma glotte. J’ai un bref haut-le-cur et j’accueille avec bonheur cette bonne bite en gorge profonde. Il me prend la bouche comme s’il prenait ma chatte ou mon cul et, pris par l’excitation du moment, il sort sa queue de ma bouche pour me jouir sur le visage. De ses doigts, il récupère sa semence et me les tend pour que je les lèche. Avec avidité, j’ouvre la bouche et savoure l’offrande que me fait mon fils. Alors que je lèche ses doigts pleins de son sperme, Antoine prend la parole.
— Sève, je crois que tu es prête pour demain ! Je souhaite que tu domines ta mère comme tu l’as fait ce soir avec moi.
— J’ai fait ce que vous m’avez demandé, maître !!
— Tu as très bien joué ton rôle, ma petite salope de mère en j’entends que tu le joues avec ta mère demain !!
— Cela vous a plu, maître ?
— Oui et nous allons nous préparer pour recevoir tes parents demain.
— Que souhaitez-vous que je fasse, maître ?
— Je souhaite que tu donnes l’illusion de tout dominer dans cette maison, y compris moi. Nous allons leur offrir un bon repas et ensuite tu proposeras de prendre le dessert au salon.
— Et ensuite, maître ?
— Tu me demanderas de projeter la vidéo que je t’ai montrée et je te laisse gérer le reste de la soirée.
— Je ne sais pas si je vais pouvoir gérer la situation, maître !! Dis-je d’une voix tremblante.
— Vu ce que tu m’as montré ce soir, je suis sûr que tu vas très bien t’en sortir, Sève !! Me répond mon fils avec assurance.
— Je ferai de mon mieux, maître !! Je ne demande qu’à vous plaire.
— Tu pourras disposer de chacun d’entre nous à ta guise mais je serai là pour te guider en cas de besoin, Sève.
— Bien, maître ! Mais je compte sur votre soutien.
Pour toute réponse, il m’entraîne vers l’étage supérieur en me disant de ne pas m’inquiéter. Nous prenons un rapide dîner avant de nous retrouver dans ma chambre où mon fils me prend une bonne partie de la nuit après avoir élaboré la stratégie du lendemain. Je m’endors avec une multitude d’idées en tête et peine à trouver le sommeil en pensant au lendemain.
A suivre