3eme partie
Le reste de la journée se passa sans encombre, pas d’autres crises. Ce qui eut pour effet de nous remettre de nos émotions. Le soir nous discutâmes un peu.
— Tu as régulièrement des crises comme ça ?
— Généralement il y en a une par jour environ. Parfois tout se passe bien pendant deux ou trois jours d’affilés et parfois je peux en avoir plusieurs le même jour, ça varie. Mais en ce moment ça a tendance à diminuer.
— Bon ben maintenant en tout cas, je sais comment faire
— Et tu le fais très bien tonton. Tu as des gestes doux et les mains délicates, c’est très apaisant, même quand tu vas… enfin… dans mes parties intimes.
— J’essaie de rendre la chose la moins désagréable possible, si je peux faire en sorte que tu y prennes du plaisir. D’autant plus si je dois mettre mes mains dans les parties les plus sensibles de ton corps.
— Toi aussi je vois que tu y prends du plaisir…
— Là n’est pas le but ma chérie.
— Oui mais je le vois bien quand tu as ton zizi tout dur quand tu fais ma toilette.
— Pas forcément, balbutiais-je, c’est une réaction normale d’un homme devant le corps d’une jolie jeune fille, c’est pas très délicat, mais ça arrive.
— Mouais, et quand t’as mis tout ton jus sur moi, c’était quand même un peu du plaisir.
— Ok d’accord, j’avoue que te voir me caresser et pouvoir jouir sur ton petit minou m’a procuré énormément de plaisir. Voilà t’es contente ?
— Rhoo te vexe pas, tonton, ça ne me dérange pas. Allez je vais me coucher. Bonne nuit
— Bonne nuit ma grande.
Je pris le petit carnet de ses parents pour le feuilleter et ainsi pouvoir anticiper d’autres crises ou faire en sorte de mieux les gérer. Comme auparavant, je restai étonné de ce qui était marqué. Ca me donnait encore des idées plutôt malsaines, je dois dire.
Le lendemain, levés vers 10h, je prépare le petit déjeuner. Et de nouveau ce qui devait arriver arriva.
— Tonton tonton !
— Oui Lucie, qu’est ce qu’il y a, une autre crise ?
— Oui tonton, vite.
Elle faillit basculer lorsque je la rattrapais de justesse en arrière. Maladroitement, j’ai posé ma main sur sa poitrine en tentant de la relever. Un petit débardeur rose, un bas de pyjama qui mettait son fessier en valeur, tout ce qu’il fallait pour commencer à me faire avoir des envies.
— Attend je vais te poser sur le canapé
— Merci tonton.
— Toujours envie de faire pipi ?
— Oui.
— Je vais te déshabiller ici si ça te dérange pas et je vais t emmener à la salle de bain ensuite.
— Pas aux toilettes d’abord ?
— T’auras qu’à faire ça dans la douche.
— Ah bon, si tu veux.
Je commence à lui retirer son bas de pyjama. Etant un peu allongée, c’est plus facile de l’enlever. J’enlève ensuite son petit haut laissant découvrir ses deux magnifiques seins qui commençaient à pointer. Etait-ce la température ambiante ou une légère excitation, car on savait tout les deux vers quoi on se dirigeait ? Je finis par enlever sa petite culotte et en profita pour admirer son petit minou, rasé de la veille. Je n’avais qu’une envie…
— T’as rien oublié cette fois-ci tonton, bravo. Je suis toute nue.
— Oui ma chérie, je m’améliore tu vois !
Je la transporte comme je peux vers la salle de bain et l’assoie sur le rebord de la baignoire, et lui dit :
— J’ai pas envie de remouiller mon pantalon encore une fois. Est ce que ça te dérange si je… Enfin, si…
— Si quoi tonton ? Dis moi
— Si je me déshabille aussi
— Tu veux aller avec moi dans la baignoire ?
— Ca sera plus pratique je pense. C’est toujours dans le but que ça soit plus agréable pour toi
— Ben si tu veux
Je commence à enlever mon t-shirt et déboutonner mon pantalon. Mon boxer ne cache rien de l’excitation qui m’habite et Lucie a le regard fixé sur mon entrejambe.
— Tu es sûr ça te dérange pas ?
— Nan nan tonton. Mais dépêche-toi, j’ai trop envie de faire pipi.
Je descends mon caleçon et laisse apparaître ma verge tout à côté du visage de ma nièce qui ne quitte pas du regard l’objet, qui avait légèrement durci depuis quelques minutes.
— Allez ma puce, dans la baignoire !
Je l’installe assise et me place derrière elle
— Ecarte un peu les genoux tu veux, je vais placer mes doigts sur ton sexe, comme hier, d’accord ?
— Oui tonton
J’écarte délicatement ses lèvres avec mon index et mon majeur pour lui permettre de se soulager.
— Vas y ma chérie, tu peux y aller
— Mmm, ahhhh, enfin ! Ça fait trop du bien
— Ca va mieux, lui dis je une fois son pipi terminé ?
— Oui merci, désolée, je crois que j’ai mis quelques gouttes sur tes doigts
— C’est pas grave.
— Tu m’essuies pas ?
— Je vais directement te rincer
Je pris donc le pommeau de douche et le dirigea vers son entrejambe. Une fois rincé en bas je lui passe l’eau sur tout le corps.
— C’est ton zizi que je sens dans mon dos ?
— Euh… Oui dis-je un peu gêné.
— Hihi, c’est marrant, j’ai l’impression qu’il bouge un peu
— Bon je vais te savonner maintenant, on reste concentrés.
J’essayai d’apporter un peu de sérieux dans tout ça, mais ça n’allait pas durer très longtemps. Je prends le gel douche normal et commence à l’étaler sur ses épaules et sur son dos. Puis je passe mes mains devant et commence à lui savonner la poitrine, j’insiste sur cette partie qui me fait bander comme c’est pas permis. Je masse tout doucement ses petits tétons, ce qui l’a fit gémir de suite.
— Mmm, c’est bon ça tonton, t’arrête surtout pas
Je continuais à lui malaxer les seins et la rapprocha de moi. Elle posa sa tête légèrement sur mon épaule et ferma les yeux. Ma queue, maintenant bien dure, était collée à son dos.
— Je vais te nettoyer en bas maintenant.
Je me rinçais les mains et pris le gel spécial.
— Tu es prête ? Tu peux écarter les cuisses un peu s’il te plait ?
— Non j’y arrive pas trop, fais-le pour moi
— Très bien, je m’en occupe. Comme ça ça sera plus facile pour moi de te laver, plus ton sexe est ouvert, mieux c’est.
J’applique un peu de gel directement sur son pubis, et commence à étaler le savon sur son clitoris puis sur sa vulve qui commençait à s’ouvrir tout doucement, jusqu’à passer mon doigt à l’entrée de son vagin. De ma main gauche, je continuais à lui caresser sa poitrine. Ses tétons avaient durci sous l’effet de mes caresses. La bouche ouverte, j’entendis sa respiration profonde. Lorsqu’elle rouvrit les yeux elle me fit en souriant :
— Je crois que le bout de mes seins est aussi dur que ton zizi, tonton
— Rho mais qu’est ce que tu racontes ?
— Boh rien, continue, j’aime bien ça.
Je massais son intimité et appuyait de temps en temps sur son clito. Elle arrivait à légèrement onduler son bassin, elle prenait vraiment du plaisir.
— Je vais insérer mon doigt à l’intérieur, maintenant
Je glissais mon majeur délicatement dans son vagin. C’est tout chaud, humide et accueillant. La vue de son intimité, ouverte, offerte à moi me rendit fou. Je commençais alors à insérer mon annulaire en même temps
— Mmm tonton, quest-ce que… ?
— Chhhhh, ne t’inquiète pas, ça va aller, j’ai juste mis deux doigts à l’intérieur. C’est pour mieux nettoyer
— Haaann, c’est bon, ça me fait tout drôle. J’aime bien aussi quand tu me masses mon petit bouton
— Tu veux que je te caresse le clito ?
— Oui tonton, s’il te plait !!
Ses gémissements s’accéléraient, je continuais de la doigter sans relâche.
— Han, han, han, haaannhaaanhannn.
Je sentais sa chatte mouiller sous mes mouvements de doigts. Je crois que la toilette intérieure était efficace.
Je relâche mon étreinte
— Je vais faire ta toilette de derrière maintenant.
— Oh oui, c’est bien ça aussi, mais vas-y doucement alors.
— Il y a apparemment une méthode qui est plus efficace que celle d’hier. Je l’ai lu dans le carnet de tes parents.
— Ah bon laquelle ?
— Je commence par te masser un peu les fesses d’abord et ensuite je t’explique
— D’accord, comment je me mets.
— Mets-toi à quatre pattes s’il te plait.
— Ben tu m’aides alors, je peux pas là.
Je la positionne, les cuisses légèrement écartées pour être plus stable, et j’admire sa belle raie et son petit trou tout lisse.
— Tu es vraiment très belle
— Bah tu vois mon cul là ! Mais je sais que tu l’aimes bien, c’est quoi qui te plait en fait ? C’est mes fesses ?
— C’est tes fesses, oui, et aussi ton petit anus.
— Tant mieux si ça te plait, parce que là t’as une vue rien que pour toi. Tu me masses les fesses alors ?
Je prends le savon dans mes mains et l’applique sur ses fesses, je les masse en les écartant, laissant son anus sous mes yeux absorbés. Je passe délicatement mon doigt sur son orifice et le caresse doucement. J’appuie dessus pour faire rentrer mon doigt qui, grâce au savon rentre quasiment sans effort à l’intérieur.
— Oups ma chérie, j’ai oublié de te prévenir que je rentrais.
— C’est pas grave, mmmm, c’est bon continue de nettoyer.
— Tu sais Lucie, j’ai donc relu le carnet de tes parents, lui dis-je en lui doigtant le cul. Et j’ai découvert des détails intéressants
— Ah bon, comme quoi ?
— Pour te nettoyer mieux à l’intérieur, il faut que la surface de contact soit la plus importante possible
— C’est pour ça que tu as mis deux doigts dans ma chatte tout à l’heure ?
— Oui c’est ça
— Et tu veux en insérer deux aussi dans mon derrière ?
— Ben en fait il paraît également que le sperme serait également bon pour ta guérison.
— Oui maman me l’a dit, mais papa n’a jamais voulu.
— C’est normal, c’est ton père, moi c’est pas pareil.
— Qu’est ce qu’on fait alors ?
— Ce que je te propose c’est de mettre du savon sur ma queue et de te nettoyer avec.
— Comme je te l’avais demandé hier ?
— Oui c’est ça
— Et du coup tu pourras mettre tout ton sperme dedans.
— Oui ma chérie
— Ok on essaye
— Si tu veux pour t’aider je vais aussi de caresser un peu si tu veux.
— Oh oui, entre les jambes j’aime bien.
Je pris le savon et badigeonnai généreusement ma verge. Je me caresse pour qu’elle soit la plus dure possible en lui caressant le minou avec l’autre main. Elle poussa quelques gémissements lorsque j’approchais ma queue de ses fesses. Je la fis glisser dans sa raie, histoire de m’exciter encore plus, et progressivement je posais mon gland à l’entrée de son petit trou en appuyant dessus un peu plus fort à chaque passage.
— T’inquiète pas ma chérie, au début c’est un peu dur mais après ça va mieux, je rentre mon zizi maintenant
Avec le savon l’entrée était moins pénible pour Lucie, elle arrache tout de même quelques cris de douleur au début.
— Chhhhut, je rentre doucement, voilà, c’est tout…
— Han, c’est dur tonton
— C’est normal ma puce
Je continue à pousser très lentement et me retrouve jusqu’à la garde, tout au fond de son cul.
— Voilà ma chérie, tu vois, le plus dur est fait
— Oui tonton, ça va mieux. Heureusement que tu es doux avec moi
Je commençais mes allers retours pas trop vite, elle commençait à prendre son pied. Ses petits cris m’excitaient terriblement, et je sentais que j’allais partir vite.
— Oh ma chérie, on est bien dans ton cul
— Continue tonton, c’est que pour toi.
J’accélérais mes vas et viens de temps, je sentais le corps de ma nièce s’habituer à l’effort. J’avais l’impression que son anus acceptait la présence de ma queue à l’intérieur. C’était tout chaud, serré et très agréable. Le cul de Lucie était tout simplement magique. Je voulais que ce moment dure jusqu’à n’en plus finir. Mais ma queue ne pouvait tout simplement pas résister éternellement à ce fourreau. Et dans un ultime élan :
— Oh Lucie, c’est tellement bon. J’adore te pénétrer ton petit derrière, tu sais. Je vais jouir dans pas longtemps.
— Oh oui tonton, tu peux éjaculer dans mes fesses, donne-moi ton jus, mets-en partout dans mon cul.
A entendre ses mots je me déchargeais dans son postérieur comme pas permis.
— Rhhhhaaaaa, ahhh, aaaaaahhhhh.
J’ai explosé dans son cul comme jamais. Quelle excitation ! Quelle pénétration !
— Je me suis vidé en toi ma chérie, j’ai tout mis
— Mmmm, je crois que je sens ton sperme tout chaud à l’intérieur.
Je me retirais doucement de son orifice, elle poussa un ultime gémissement. Ma queue était encore une fois bien raide. Je me relevais doucement et aida ma petite nièce à s’asseoir sur le bord de la baignoire.
— Ca va ma puce ? Je vais te sécher un peu.
— Je veux bien tonton, j’ai un petit peu froid maintenant
— Ca va mieux sinon ? Je ne t’ai pas fait trop mal au moins ?
— Un petit peu au début mais après ça allait, j’avais l’impression que tu me remplissais totalement le corps, c’était bizarre. Mais ça va mieux maintenant, je pense que ça m’a fait du bien.
— Tant mieux ma chérie.
Je pris une serviette et commença à la sécher, puis l’emmitoufla dedans.
— Tu veux que je te ramène au chaud dans ma chambre ? Lui fis-je
— Je veux bien tonton, j’ai pas encore retrouvé toutes mes forces.
Je la soulève et la prends dans mes bras comme une mariée, elle mit ses bras autour de mon cou et me demanda :
— Dis tonton, je me demandais si tu pouvais continuer à me soigner.
— Ben… oui bien sûr, je ferais tout ce qui pourra t’aider.
— Mais en fait, je pense à maintenant.
— C’est à dire ?
— Tu pourrais pas me soigner comme tu viens de le faire mais … pour le devant ?
— Si tu en as besoin, évidemment ma chérie
— J’en ai surtout envie…
— Tu as envie ?
— Oui, j’aimerais bien que tu remettes du savon autour de ton sexe et que tu me nettoies l’intérieur de mon minou s’il te plait. Enfin si ça te dérange pas, bien sûr.
J’étais quand même un peu étonné de sa demande mais comme je l’avais déjà pénétrée la veille, je me suis dit que ça a dû lui plaire vraiment. Bref je la dépose sur ses deux pieds à côté de mon lit et la sèche avec la serviette, me laissant la vue sur son magnifique corps. J’avoue, j’en profite beaucoup. Je ne me lasse pas d’admirer ses petits seins qui pointent et son pubis tout lisse, ça me donne envie de glisser mon nez entre ses cuisses et de sentir son intimité au plus près. Ca me donne envie de respirer son minou et de gouter à son jus.
— Tonton, tu peux regarder s’il te plait, j’ai l’impression qu’il y a quelque chose qui coule.
— Ou ça ma puce,
— Ben là, derrière
Je me pose derrière et elle et vois effectivement ma semence ressurgir de ses fesses dégouliner lentement sur sa cuisse.
— C’est grave tonton ?
— Mais non ma chérie, ne t’inquiète pas, c’est juste que j’étais vraiment excité et que je t’ai sans doute beaucoup remplie. Je vais t’essuyer
J’allonge Lucie sur mon lit et la mets sur le côté, un genou relevé. Je prends une lingette et écarte délicatement une fesse, faisant apparaître son petit trou. Celui-ci est encore légèrement ouvert et continue de laisser couler mon jus. J’essuie son anus et en profite pour nettoyer toute sa raie. Une autre érection arrive, décidément il est impossible pour mon corps de se calmer devant cette créature sublime qu’est ma nièce.
Celle-ci me grille totalement à la vue de mon sexe grandissant
— Ah bas alors tonton, c’est moi qui te fais ça encore ? Dit-elle en souriant d’un air pas peu fière.
— Oui ma chérie, mais c’est pour mieux te soigner, évidemment.
— Mouais, allez, on va dire que cest ça
Je la replace sur le dos et commence un petit massage et de petites caresses sur son entrejambe.
— Qu’est ce que tu fais tonton ?
— Si je dois de nouveau pénétrer à l’intérieur, c’est mieux si ton vagin est lubrifié naturellement, même si je mets du savon. Ca sera plus agréable pour toi.
— Vas-y alors, continue, j’aime bien ça quand tu me masses ici. Tu peux insister sur mon petit bouton si tu veux, je crois que c’est ça qui fait mouiller mon minou.
J’insiste sur son clito et constate qu’elle avait raison, ma nièce commence à mouiller rapidement. Je continue un peu car je la vois, les yeux fermés, profiter de mes caresses. Après avoir repris ses esprits suite à la sodomie dans la baignoire, je vois ma nièce tout doucement retourner dans un état de bien-être.
Moi j’ai trop envie de rentrer en elle, ma queue est dure comme tout à l’heure quand je baladais ma bite dans la raie de Lucie, avant la pénétration anale.
— Allez ma chérie, je vais mettre le savon
Je me badigeonne le pénis allègrement.
— Vas y tonton, tu peux y aller quand tu veux veux. Mets ton zizi dans ma chatte, elle n’attend que ça. Regarde, on dirait qu’elle est tout ouverte. Je crois qu’elle veut que tu la soignes bien.
Encore une fois, ses paroles ne faisaient qu’augmenter mon excitation.
— Ok ma puce, j’arrive.
J’approche mon gland de sa vulve, la caresse avec le bout de ma queue et commence à la pénétrer lentement
— Hann, mmmm, fait-elle. Vas y tonton, enfonce-toi bien Mmmmm, haaan
Je continue ma pénétration avec de légers vas et viens, sans rentrer complètement
— Ouii, c’est trop bon, vas y plus profond, j’ai envie de te sentir au fond de ma chatte, tonton.
Je m’introduis encore un peu plus loin et petit à petit arrive à buter au fond de son vagin, ce qui lui provoqua un petit cri de plaisir
— Haaaaan, ouiiiii, j’aime bien tonton. Continue de me nettoyer l’intérieur, tu fais ça bien. J’ai l’impression de mouiller comme jamais.
J’accélère mes mouvements et sens ma queue comprimée à l’intérieur de ce vagin tout serré. Malgré la quantité de cyprine qui s’écoule, j’ai l’impression que ma verge est totalement prisonnière de ce fourreau chaud et doux. Je continue de pilonner ma nièce et de temps en temps insiste au plus profond de son trou.
— Hann, oui, Mmmmm, ouiiiii.
— Oh ma chérie, si tu savais ce que tu me fais comme effet…
— Haaaaan tonton, je t’excite c’est ça ? Dis-le !
— Tu m’excites beaucoup Lucie, mmmm, rhhaaa.
— T’as envie de jouir tonton ?
— Ooooh ouiiii.
— Tu sais où tu dois te lâcher pour que je puisse guérir plus vite ?
— Où ça ? Mmmm
— Tu dois éjaculer à l’intérieur tonton.
— Dans ton sexe ?
— Oui tonton, tu peux te vider encore à l’intérieur de moi. J’ai envie que tu mettes tout ton sperme dans ma petite chatte. Jouis bien fort au plus profond tonton. C’est rien que pour toi.
J’en pouvais plus, j’accélérais mes mouvements insistais au plus profond pour la faire jouir avec moi. La sauce montait et je ne pus me retenir plus longtemps. Je sentais ma queue taper au fond de son trou
— Vas-y tonton, vide-toi en moi, donne-moi ton jus, j’ai envie de te sentir jouir.
— Hannn Luciiiie, je vieeenns.
— Han, han, haaan, ouiii, je viens aussi, c’est bon
Lucie cria son orgasme tandis que je sentais mon sperme sortir de ma queue pour se coller à l’intérieur de son vagin. J’ai lâché plusieurs jets en elle, jusqu’au dernier qui atterrissait sur ses petites lèvres dilatées, alors que je me retirais de son con.
Une fois retiré, Lucie était littéralement assommée de cette épreuve. La tête sur le côté, les yeux clos, en train de reprendre sa respiration. De nouveau j’observais sans gêne ma nièce, les genoux relevés et les cuisses écartées, une petite ligne de mon jus mélangé au sien coulait lentement de son vagin qui était encore bien ouvert, preuve de nos ébats sexuels frénétiques.
Lucie étant toujours un peu dans les vapes, j’en profite pour m’approcher d’elle. Plus précisément j’approche mon sexe de son visage :
— Tiens ma chérie, tu veux bien essuyer tonton ?
— Hein, fit-elle en remettant de ses émotions ?
— J’ai un peu de sperme au bout de mon gland, tu veux bien le lécher s’il te plait ?
— Oui tonton, je vais t’enlever le jus qui reste
Elle prit ma queue de sa main droite, et les yeux toujours à moitié clos, ouvrit sa bouche pour absorber mon gland. Je sentais une nouvelle fois sa langue récupérer tout mon jus.
— Ca à un peu le goût du savon encore, beurk.
— Oups. Désolé ma chérie j’avais oublié. C’était très agréable. Tu aimes ça aussi ?
— Ben j’ai juste gouté un peu, y’en a pas beaucoup. Faut dire que t’as tout mis dans mes deux trous, je peux pas savoir vraiment.
— Effectivement, mais si ça te plaisait de gouter un peu plus, c’est possible tu sais.
— Je veux bien, et comment ?
— On pourra faire comme hier. Si tu me caresses un peu et que ça m’excite, à la fin je jouis. Et à ce moment-là, tu n’auras qu’à ouvrir la bouche et tu pourras en avoir en plus grande quantité.
— Je veux bien alors. J’ai envie de savoir quel goût tu as tonton, me fit-elle en me faisant un clin d’il. On va attendre juste que je reprenne mes forces
— Et moi aussi je dois reprendre mes forces. J’ai plus rien à proposer, je t’ai tout donné
— J’ai hâte de pouvoir le faire, tonton. J’ai tellement envie de revoir ta queue toute dure et de pouvoir la sentir entre mes lèvres.
— T’inquiète pas ma chérie, tu vas pouvoir avoir tout ça.