Corto mon amour!
Tu es rentré le temps d’un week-end mais tu vas repartir pour 10 longs jours minimun.
Alors toi et moi nous parlons, nous nous saoûlant l’un de l’autre.
Tu veux te remplir de mon visage, de mon sourire, de ma voix, de mes éclats de rire.
Moi je te kiffe quand tu es comme ça avec ton t-shirt de la marine passé par dessus la tête laissant apparaitre ton torse.
Il y a beaucoup de douceur dans nos échanges Corto, de plus en plus!
Pourtant l’intensité de nos pulsions est identique. Toujours cette magie, au détour d’un mot, au détour d’une phrase.
Nous parlions vacances et je t’expliquai que quand tu reviendras moi je prendrais un vol pour alger!
Je te parle de ma difficulté à aller là-bàs car il y a une vraie incompatibilité de mentalité.
Tu me dis que c’est important, qu’il faut que j’aille voir mes parents, pendant qu’ils sont encore là. Et je fonds quand tu me dis ça.
Nous rions, nous imaginons des scénarios complétement incongru dans mon petit village de kabylie.
Me cacher sur la terrasse pour t’appeler et me branler au grand air, il n’y a aucun vis à vis
Je t’ai expliqué et montré en vidéo comment je coinçais ma robe kabyle dans ma culotte pour ne pas être génée dans mes mouvements.
Tu ne pourras plus jamais voir une femme faire ce geste sans penser à moi, et sans bander.
De rire en rire tu me dis que je pourrais prendre mon vol depuis ta ville et non depuis Paris.
Que tu viendrais m’embrasser juste avant mon vol, et me voler ma culotte en souvenir.
Je vois ton sourire et mon imagination s’enflamme
Les couloirs de l’aéroport Mon vol dans une heure. Je porte une jupe et un petit haut trés frais avec cette chaleur.
J’ai mis une culotte en coton pour être à l’aise et des tropéziennes aux pieds.
Je t’ai donné les références de mon vol Corto, pour que tu viennes me dire au revoir et voler ma culotte.
J’ai enregistré mon bagage et je traîne au relay. Plongée dans la lecture des derniers potins je ne t’ai pas vu approcher.
La tête inclinée, je tente de lire les titres des romans de poches. Tes bras me prennent par la taille et tes lévres déposent un baiser sur ma nuque.
C’est déclicieux Corto!
Je me retourne, je te souris , tu m’embrasses comme dans les films devant tout le monde, on s’en fout! On s’aime!
Tu me glisses à l’oreille " Soraya, as tu pris une autre culotte dans ton petit sac?"
Comme une enfant je souris en te disant "ouiiiiiiiiiii"
Il ne me reste pas beaucoup de temps avant l’embarquement.
Nous avons envie de flirter comme des adolescents. alors nous quittons le Relay pour marcher dans les couloirs.
Un aéroport c’est finalement plein d’endroits cachés Nous trouvons un petit endroit sympa derrière un escalator.
La chaleur, le timing, la situation, nous sommes tous les deux très excités.
Je te glisse à l’oreille " Corto mon amour, fécondes moi avant mon départ, emplis moi le ventre de foutre, que je prenne ce vol avec le fruit de notre amour entre les jambes"
Je vois ton regard se durcir, tu ne souris plus. J’ai réveillé l’a****l.
Là, je sens que dans ce couloir, tu vas me prendre rapidement, violemment.
Effectivement tu me plaques face contre mur, tu soulèves ma jupe et enfonce ta queue, rendue dure à la simple évocation de cette éjaculation sous forme de souillure, dans mon sexe trempé.
Tu es déchainé ! J’adore!!
L’annonce pour l’embarquement de mon vol résonne au micro.
Curieusement cette urgence nous excite, je te sens vraiment a****l!!! Tout en m’embrassant la nuque tu me donnes de grands coups de queue.
Nous déchargeons tous les 2 en même temps.
Tu me retournes contre le mur pour m’embrasser et pour enlever ma culotte, je n’ai pas le temps d’enfiler l’autre, nous courons mains dans la main vers la porte d’embarquement.
Je sens ton foutre glisser le long de mes cuisses! Tout à l’heure dans l’avion je laisserai ton précieux liquide imprégner ma peau, pour garder ton odeur par delà la méditerranée.
Tu m’embrasses tendrement, je passe la porte d’embarquement et tu n’es plus là.
Je vole vers Alger. Entre mes jambes, le fruit de notre amour.