Enfin, la bite du chien dégonfle, le maître parle à lanimal, obéissant, celui-ci se retire du cul de ma fille.
Un filet blanchâtre sécoule du cul resté ouvert. Moi, jai la queue raide comme un morceau de bois, je descends rapidement des gradins, et plante ma queue dans le cul visqueux de ma fille qui gardait encore la pose. Je la pilonne violemment, mes assauts brutaux font reprendre à Cloé ses râles de chienne en rut. Ma bite, luisante de sperme animal, coulisse aisément dans le fondement de ma fille, elle geint de plus en plus fort.
Elle agite sa croupe en grognant. Je me cabre et envoie tout ce que jai dans les couilles au plus profond de ses entrailles. Je me retire du puits débordant de semence mêlée. Le maître me sourit, et me demande de regagner ma place. Il caresse lanus ouvert de Cloé et enfonce sa main, ma fille pousse un grognement, elle serre les dents pendant que le maître la fouille profondément. Heureusement, elle adore le fist et le pratique souvent avec Linda et Roger. Ma fille jouit deux fois coup sur coup.
Certains spectateurs applaudissent, dautres se défoncent à grands coups de reins dans les gradins Les gémissements sont terribles et deviennent de plus en plus bruyants. Une vieille est fistée à même le sol, pendant quun autre type lui donne sa bite à sucer. Un autre couple en position tête-bêche se fait un bien immense, les langues sagitent sur les organes génitaux, rapidement la jouissance arrive Les deux protagonistes ne laissent pas froid un homme qui se masturbe à grande vitesse, et décharge sur les corps allongés. Le maître pose sur le sol un gode ventouse énorme, et demande à ma fille de sapprocher.
Il frappe dans ses mains, deux hommes entrent dans la salle, ils saisissent ma fille sous les cuisses et sous les aisselles, la portent au-dessus de lengin. Le maître dirige le monstre vers le cul qui regorge de sperme. Les deux hommes descendent lentement ma fille sur lénormité, lengin en forme dogive (pas trop gros au début, puis très large ensuite) écarte lentement lanus et senfonce lentement. Lengin reste bloqué, tellement il est gros. Le maître appuie de tout son poids sur les épaules de ma fille, elle pousse un hurlement terrible lorsque lengin senfonce davantage en elle. Elle retient sa respiration puis souffle fortement.
Une deuxième poussée plus puissante enfonce lengin au trois quarts. Ma fille est empalée, comme plantée sur un poing géant, elle a lair de souffrir.
Ses yeux sont hagards, sa bouche est grande ouverte. Le maître lui caresse la vulve, il sactive sur le clito qui na pas dégonflé, il le triture, puis le branle comme une bite. Ma fille commence à geindre, de sa main libre, le pro roule entre ses doigts les mamelons qui ne cessent de grossir. La chatte de ma fille est vivement écartée par un assistant, doù nous sommes, nous ne perdons rien du spectacle, nous voyons très bien le clito qui a triplé de volume et les doigts noueux du maître qui le branle, lintérieur des grandes lèvres et le conduit sont bien rouges.
De temps en temps, lhomme presse doucement le bouton damour.
Ma fille tente dagiter sa croupe, ce nest quaprès plusieurs tentatives et aidée par les deux hommes que son corps monte et descende sur le pal, rapidement la vitesse augmente. Lhomme la branle énergiquement, de temps en temps il presse doucement les mamelons, cela a pour effet de faire grogner ma fille. Le branlage saccélère, les mamelons deviennent très sensibles, voire douloureux. Ma fille se cambre et gicle comme un geyser, un des hommes appuie fortement sur ses épaules pour que lempalement soit total.
Linda a les yeux écarquillés, elle branle la queue de Roger son mari, sans détourner son regard de ma fille.
Mon Dieu quest quelle prend notre Cloé, ils vont nous la casser les cochons !
Sur un siège, une femme, jupe relevée, est assise sur son partenaire, et le chevauche comme une damnée. Le voisin, la bite à lair, sapproche et frotte son gland contre la rosette brune. Instinctivement, la femme se plaque contre le torse de son partenaire. Cela facilite la sodomie, elle se cambre lorsque lhomme senfonce en elle jusquaux couilles. Les deux la démontent comme de beaux diables, la femme couine comme une truie, elle saccroche à son partenaire et gicle comme une fontaine.
Elle noie les cuisses de son partenaire avec son abondante cyprine. Les deux sacharnent sur leur proie, à tour de rôle, il déverse un flot de sperme gluant au plus profond des entrailles de la femme ; Le maître demande à ma fille de fermer les yeux et lui demande de placer son doigt sur une liste de noms.
Ouah ! Bravo ! Vous avez choisi Sultan !
Le public applaudit à tout rompre (il sait pourquoi).
Qui cest Sultan ? demande ma fille.
Cest un poney, avec lui cest lextase assurée !
Un poney, le chien, maintenant le poney, cest pas un peu beaucoup ça ?
Mais non, cest la suite logique !
Papa tu en penses quoi ?
Tu sais ma chérie, avec ce que tu viens de prendre, plus rien ne métonne à présent !
Bon OK, je veux bien essayer !
On installe ma fille sur le siège de gynécologie, jambes largement écartées. Juste au-dessus delle, une sorte de trapèze pour que le poney puisse mettre ses pattes avant sans blesser Cloé. On fait entrer lanimal, la foule présente explose, des cris et des applaudissements fusent de toutes parts. Lanimal connaît bien son devoir, de lui-même il pose ses pattes avant sur le trapèze. Cloé anxieuse sattend au pire scénario.
Elle cherche mon regard, je lui fais un signe comme pour dire que tout irait bien. Un assistant met en condition le poney, il lui caresse les bourses, rapidement la queue se tend, elle fait au moins 10 centimètres de diamètre, et 35 centimètres de long, le gland plat est impressionnant.