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Une Australienne en France – Chapitre 1




LAUSTRALIENNE

Cest mon premier récit, alors essayez dêtre indulgent, lexercice nest pas aussi facile quil ny parait.

CONFIDENCES

Décembre, on approche des fêtes. Dans mon logement universitaire, je vois les autres se préparer à partir vers leur famille, moi, je reste ici. Je viens dAustralie pour faire mes études en France. Vu le prix du billet davion, cest clair, je ne peux revenir vers ma famille, que pendant les grandes vacances. Je suis une fille de 20 ans, je sais que je ne suis pas trop mal faite, cest ce que me répète tout le temps mon nouveau copain français. Il dit que je ressemble à miss Thaïlande et ça me fait rire. Avant le départ des autres amis universitaires, nous avons fait une fête ensemble. Cest lorsquil ma raccompagné que jai raconté à mon petit copain, les bêtises que jai faite pendant mes dernières vacances. On nétait pas encore ensemble alors il ne pouvait pas soffusquer. Cest certain, javais trop bu, car mamusé a raconté de telles choses, il ne me fallait pas que du courage.

Mon copain mavait raccompagné et je lui ai dit de rester. Il a bien compris que ce nétait pas pour jouer aux cartes. On a commencé tout de suite à profiter de notre isolement. Javais une chambre très petite mais suffisante pour faire ce genre de choses auxquels vous pensez, ma compagne de chambre étant déjà partie jen profitais. Normalement cest interdit damener des garçons la nuit mais jen avais trop envie. Avec quelques baisés langoureux, je me suis laissée emporté et très vite on était nus tous les deux. On a commença par bien rire comme des ados et puis lorsque les caresses sont devenues plus précises, jai sentis mon corps chauffer puis la sensation de mouiller est apparue. Ce moment là est toujours le plus chargé en émotion, ça me transporte, surtout lorsquon est en confiance avec quelquun quon aime, cest un délice de pouvoir en profiter longuement. Les hommes vont toujours trop vite à mon gout. Je lui ai mit moi-même le préservatif hummm comment dire cest un moment très particulier, il faut forcement prendre sa queue en main, la tenir, enfin cela grossit cette chose je suis bien forcé de glisser ma main tout le long pour appliquer le préservatif sur toute la longueur. Lui, il est plutôt timide en temps normal, mais il est craquant malgré un démarrage un peu lent dans lintimité extrême. Pendant que je mappliquais sur sa queue qui se raidissait, des souvenirs me revenait en tête et je me sentais encore plus excité, mais chut Puis, quel délice, je me laissais aller sur le lit. Je fermais les yeux lorsquil entra en moi Nos deux corps nus se chargeaient de sueur pendant quil me rendait folle avec ses va et vient lent en moi accompagnés de baisers sur mes bouts de sein. Je gémis, puis je bougeais les reins pour lencourager, et surtout le sentir bouger plus puis, il se décida a accéléré, me rendant toute chose, jusquau point de non retour. Je nai pas eu dorgasme, juste du plaisir, pas le temps, il a été trop vite, cest de ma faute. Ce nest pas la première fois que cela arrive avec lui, je men retrouve frustrée à chaque fois surtout depuis ce qui mest arrivé, enfin si cest vrai hi, hi… Jai commencé à faire ma petite mine. Pour être surprit, il le fut, cétait un coup dur pour sa virilité. Pourquoi je minaudais juste après lamour ?

Il fallait que je trouve quelque chose pour le stimuler, quil puisse recommencer encore, alors jai eu cette idée, sotte peut être vu que jtais un peu pompette, mais qui savéra très efficace. Jai commencé à lui raconté.

Moi.

— Tu me connais, je suis brune avec des cheveux long et fin, les yeux noisettes. Je nai pas de gros seins comme les Bimbos, mais je nen fiche quils sont plus modestes, ça nempêche pas quon les regarde tout de même quand jai un décolleté. Le reste de mon corps est bien proportionné, je sais que je suis très attirante depuis que je suis ados et ça ne me gène pas du tout, oui, on se retourne souvent sur mon passage pour regarder mes fesses, mais je ny prête plus attention.

On était lun contre lautre nu au lit, lorsque jai commencé a parler de moi et ses yeux brillaient.

Moi.

Bien je voilà comme tous les ans, cet été, je suis retournée voir ma famille pour les vacances, en Australie, mais cette année lorsque je suis arrivés mi-juillet

Je marrêtais un moment avant de reprendre, car je sentais un plaisir sinstallé entre mes cuisses, car il recommençait a me caresser les seins et jouait avec mes bout tout durs qui se rebellaient contre ses doigts. Excitée de plus en plus, je lui racontais.

Mes parents ont du partir soccuper de mon grand père qui vit à assez loin, je ne sais pas si tu connaissais le continent Australien ?

Guillaume.

Heu, non

Maintenant il me léchait les bouts javais du mal a parler tant il me perturbait.

Moi.

Houuuuu.. hummmmMes mes parents font de lélevage et mont demandé de rester à la ferme pour soccuper des animaux, les nourrir, leau et tout ça quoi hummmm ahhhh cest cest une ferme qui ressemble a un ranch, elle est située à deux cent kilomètres de la ville la plus proche, elle est isolée dans le bush. Tu sais cest désertique autour. On y accède par un chemin de terre qui est relié à une grande route qui traverse la région. Cet été, pendant 45 jours, je suis donc restée toute seule à la ferme. Hummm tu mécoute ?

Guillaume.

Oui oui

Moi.

Ils. Ils sont arrivés sur le chemin, bruyamment, dans un nuage de poussière qui accompagnait leurs camions, moi, jétais seule depuis plusieurs jours, je revenais de labreuvoir local, derrière la grange, lorsque je les vis dans la cours quest ce que tu fais

Guillaume.

Rien, continu, toccupe pas de moi

Sa langue avait quitter mes seins pour arrivé sur le bas de mon ventre.

Moi.

je je reconnais ce jour là je nétais pas très bien habillée oupse non pas la langue là stp pas tout de suite et puis il faisait si chaud, plus de trente de degrés, cest bête mais jétais tellement habituée à ne voir personne que je ne faisais pas attention à ma tenue, je lavais un peu négligée Au début, jai pensé quils venaient parce quils avaient un problème mécanique mais très vite, ils ont commencé à poser des questions, cherchant à savoir si jétais seule, depuis quand, etc puis quand ils ont comprit que cette jolie jeune fille presque nue quils avaient devant leurs yeux, bien sexy, était isolée seule, avec aucun moyen de senfuir, tu te doutes cela sest passé très vite, ils mont emmené dans la maison, Lun deux ma pris par le bras et ma forcé a monter a létage. Il ma poussée dans la première chambre, cétait la mienne, je navais même pas fait le lit, le drap était juste déposé au pied du lit. Les autres sont entré aussi et là jai cru un instant que jallais mévanouir quand jai vu quils se déshabillaient une fois nus, ils mont attrapé on commencé à me peloter par-dessus ma robe, javais tellement peur, que jétais tétanisée, je narrivais pas a réagir. Que pouvais-je faire contre ces gars, javais juste une petite culotte de coton, sous cette robe boutonnée devant qui avait malheureusement pour moi trop de bouton manquant. Cétait clair je voyais bien ou ils regardaient puisse que je ne pouvais pas refermer le haut de la robe. Javais les bras maintenue lorsque, celui juste devant moi passa sa main dans léchancrure de ma robe pour me caresser les seins quils entrevoyaient, ce contact direct ma bien sur fait réagir, mais ils me tenaient avec horreur, me sentant impuissante, jai du le laisser continuer à me caresser les seins et les quelques boutons restant senlevait tout seul sous la pression de sa main. Mes narines se dilataient sous lémotion ressentit, mes jambes tremblaient lorsque jai sentis ma culotte glisser sur mes hanches, le long de mes cuisses, pour atterrir sur le sol. Tout se passait trop vite, je navais pas le temps de comprendre ce qui se passait à par que tout se focalisait sur moi. Une pression sur mes épaules me fit comprendre que je devais plier les genoux et je me retrouvais accroupie devant ce gars. Devant mes yeux, il attrapa son sexe, le tritura un instant entre ses doigts, puis quand il fut assez gros me le colla sur le visage, il essayait de forcer mes lèvres. Je tournais la tête à chaque fois quil insistait. Les deux autres me tenaient déjà fermement par les bras mais cela ne les a pas empêché de mattraper aussi par les cheveux et me bloquer la tête devant cette queue que je voyais se transformer en matraque. Ils me disaient.

«  Allez, suce tu ne va ma me dire quà ton âge tu ne la jamais fait à un homme » Je refusais, je secouais la tête.

Moi.

Quand celui de droite me fit mal en me tordant le bras, je compris que je navais pas le choix, je. je jai ouvert la bouche et je reçu tout de suite son machin à lintérieur. Il prit ma tête et me la fit bouger pour que sa queue raide glisse le long de ma langue et plonge au fond de ma gorge. Je gardais la bouche ouverte pendant que cela se passait, pour pouvoir respirer mais jétais comme pétrifiée, ne sachant plus quoi faire, puis une main me pris le menton pour me fermer la bouche sur la queue en me disant. « Tu as intérêt a vite apprendre si tu ne veux pas quil tarrive encore dautres choses moins délicate » oui, il a dis moins délicate. Jai pris peur alors jai commencé des mouvements de lèvres et jai, avec dégout aspiré et sucer son gland. Son truc a commencé à grossir un peu plus entre mon palais et ma langue. Le type a dit « oui, comme ça continu. ». Jai continué assez longtemps à mon grand regret, car jai sentis un liquide sucré se rependre sur ma langue, puis juste après des jets rapides de sperme chaud et gluant. Il sest retiré de ma bouche, en me félicitant alors que jétais honteuse davoir fait ça. Comme une conne je suis resté devant lui la bouche ouverte ne sachant pas quoi faire de sa semence. Ce fut bref mais direct, deux mains me basculèrent la tête en arrière en me refermant la bouche et en me pinçant le nez. Je remuais sur place, prisonnière de ces hommes et comme une oie quon gave, jai du avaler pour la première fois de ma vie. Jétais terrorisée mais en colère. Il me dit en se moquant de moi. « Tu vois quand tu veux» Puis les deux autres ont voulut être sucé. Ils ne mont pas laissé le choix, jai du le faire jusquau bout et avaler comme avec le premier et jentends encore ce quils disaient de moi. « La vache, elle apprend vite » Le lai fait, mais jespérais de tout cur, quaprès ça, ils allaient se calmer, mais jaurais voulut être mille pied sous terre, tellement javais honte davoir fait une chose pareille, je te jure que cest vrai, dailleurs jai jamais fait des trucs pareilles avec toi

Je ne sais pas depuis combien de temps ils avaient envie de faire ça avec une fille, mais ils avaient plutôt lair dêtre en manque, en tout cas, jai bien vu quaprès ça ils devenaient encore plus excité. Pourquoi ils nen sont pas restés là, je ne sais pas. Ils ne mont pas laissé tranquille. Mais quest ce que jai fais pour mériter un traitement pareil Cest bête, mais, jai pensé un instant, quils auraient été satisfait si je faisais ce quils demandaient, je me suis trompé, cela ne les calma pas pour autan, ils étaient satisfait mais pas reput le dernier mattrapa le coup, mimmobilisa la tête pour membrasser sur la bouche avec la langue, et impuissante, je sentis que pendant ce temps, on me retirait la robe qui était restée tout ce temps entrouverte sur mon corps nu. Quelle conne jai été dêtre habillée comme une souillon, ce ne serait peut être pas arrivé si je ne montrais pas ma poitrine ou si enfin, ces homme, tous des bêtes.

Guillaume.

Je suis désolé pour toi, mais pourquoi sont ils arrivés chez toi ?

Moi.

Je ne sais pas, le hasard peut être.

Guillaume

Tu me fais marché, cest ça tu cherches a me faire bander pour quon remette ça ?

Pense ce que tu veux mais laisse-moi raconter

Bien

Je te rassure, tout va bien maintenant, je tai dans ma vie, et cest rassurant. Par contre lorsque cest arrivé, je ressentais de la peur, de la honte, une émotion si grande que je narrivais pas à parler, ni crier. Mais, ensuite cela a été terrible, cest au moment où on menlevait les bottes de caoutchouc que jai sentir la panique menvahir. Je nai pas lhabitude de me mettre nue, sauf sous la bouche, tu le sais bien, alors quand je me suis sentie démunie de tout devant ces hommes, du bout de nez au petit orteil, jai sentis quelque chose en moi. Quelque chose me procurait de frissons entre les reins, cétait absurde, je te le concède, jai refusé ça de toute mes forces. Puis le gars le plus costaud ma prit les hanches et ma soulever de terre. Cest en serrant les cuisses que jai immédiatement sentis que je mouillais, cétait étrange, mais mon corps me trahissait. Jétais tellement tétanisée et apeurée que je ne métais pas rendu compte que je mouillais abonnement. Déposée sur le lit, ces types mont tenue pendant un instant pour que lun deux se prépare au mieux, je me suis débattu mais, je navais pas assez de force pour lutter contre deux hommes. Quand je me suis retrouver les cuisses serrées la tête sur le drap du lit et les fesses relevées, tellement maintenue serrée que javais du mal à respirer, je perdais presque connaissance au moment ou jai sentis la queue du type me longer la fente pour lécarter en sesclaffant « purée, la salope, elle mouille déjà », je fermais les yeux très fort pensant dérouiller un max. A ma grande surprise, la pénétration se fit très rapidement, une glissade virile mais sans douleur. Je poussais juste un ha de surprise quand sa queue raide toucha le fond de mon vagin réalisant que je me faisais bien mettre a fond. Ensuite, il commença des va et vient, me tenant aux hanches, ne me lâchant pas dune seconde pour ne pas que je puisse me reprendre. Je me suis retrouvée vite submergée par des sensations bizarres, pourtant je refusais ce rapport sexuel mais au bout dun moment, je ne savais plus ou jen étais et de guerre lasse, je ne me suis plus débattue et jai laissée faire. Jai sentis quen réponse, on me tenait moins fort et je respirais mieux, jen avais besoin, car ma respiration saccélérait toute seule, je commençais a ressentir le plaisir arriver. Je les entendais parler de moi, avec horreur, de ce quils voulaient me faire et jen étais stressée en imaginant que jallais être limée pendant un bon moment. Tu imagines, un type me fourrait et les autres parlaient de faire encore mieux que lui comme si je nétais pas là. Puis, mon esprit cest révolté, surtout quand jai sentis quil navait pas lintention de se retirer avant déjaculer, il mavait pris a cru, sans rien. Jai voulut réagir en remuant le corps pour faire tout me même une tentative de refus, tout en leur criant sil vous plait please mais ceux qui me tenait, eux, voyait les réactions jouissives de leur copain et on vite comprit pourquoi et se sont mit à rire en me tenant plus fort, bien tenu, cambrée sur le lit et jai presque perdu connaissance quand jai sentis les jets chauds de spermes en moi.

Moi

Le salop me remplissait comme une pute. Me faire ça là, chez moi sur on lit, dans ma propre chambre

Guillaume.

Moi je crois toujours que cest faux, mais tu as bien réussis ton coup, tu me fais bien bander, je crois quon va refaire un tour de manège.

Moi.

Hééé, lache moi laisse moi finir, après je ne dis pas non Ou jen étais, ha oui et bien je me sentais souillée, après ça, javais limpression que plus rien navait dimportance. Je ne résistais plus vraiment, cela ne servait plus a rien, du coup, ils ont compris que je les laisserais continuer. Ils en ont profité largement. Jai été un jouet entre leur mains pendant un long moment, à trois sur moi, ils mont complètement démontée, lessivée. Je ne sais plus combien de temps cela a duré, javais plus de notion de temps. Là je me suis rendu compte que javais jouis tout le temps, je ne sais pas comment cest arrivé, mais ces types mont déclenchés des orgasmes à répétitions !… je suis désolé de te dire ça mais moi aussi, jai encore du mal à imaginé que cela soit possible

Guillaume.

Et après cest tout ?

Moi.

Ils sont repartit très vite et mon laissée sur le lit, bien juteuse, pleine de sperme, il y en avait partout sur moi et sur les draps, jétais complètement anéantie. Je suis restée une heure sous la douche pour enlever les traces de leur passage.

Guillaume.

Houuuuu, je crois que là cest trop bon, viens pas ici que je vois ce que je peux faire avec un corps si chaud.

Sans autres paroles, il fondit sur moi pour me caresser jusqua ce que je déclare forfait en jouissant, cette fois javais un orgasme. Il me pénétra dans la foulée et je le serrais contre moi, lentourant de mes bras et mes jambes, en haletant et miaulant, tant ses coups de reins me faisaient jouir.

Mon histoire pouvait aussi me servir de fantasme pour mieux jouir en faisant lamour, cest ce que je me rendis compte. En plus, cette fois, il faisait durer plus longtemps ce qui me permit davoir un orgasme presque en même temps que lui, je me tortillais de bonheur sur sa queue planté en moi. Jétais sur mon petit nuage et je navais plus envi de parler, je dégustais. Cest lui au bout dun moment qui me réclama une suite. Je ne savais pas si je devais encore continuer, je sentais que mencourager à entrer dans ce rôle de conteuse porno, le rendait immaitrisable, le faisant bander ferme, très, très, vite. Mais il insista.

Bientôt la suite.

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