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Le club – Chapitre 1




********************CHAPITRE 1********************

Amandine Blenon raccrocha son téléphone en tremblant. Elle venait de passer presque une heure à s’entretenir avec son avocat et ce qu’il lui avait révélé l’avait terrassée. En seulement quelques jours, c’était l’ensemble de la vie de cette belle jeune femme de 37 ans qui semblait s’effondrer. Mariée au propriétaire d’une des chaînes de restaurants les plus en vogue de la région avec lequel elle avait eu deux filles, elle se pensait à l’abri de tout problème financier ; elle savait maintenant qu’elle se berçait d’illusions. Son époux s’était visiblement associé avec un escroc dans une obscure affaire qui, le pensait il, devait lui rapporter une fortune mais qui, en réalité, avait englouti la totalité de leurs actifs. Pire, il se retrouvait accusé de détournements de fonds et d’abus de confiance auprès de plusieurs de ses amis qu’il avait visiblement arnaqué pour tenter de se renflouer. Il ne lui avait rien avoué et le pire était qu’il était maintenant en fuite, la laissant seule pour affronter les créanciers qui menaçaient de saisir tous leurs biens incluant les restaurants mais aussi la belle maison dans laquelle ils vivaient et qu’ils partageaient avec la famille de sa sur qui venait tout juste davoir un enfant.

Amandine se servit un verre de vodka bien tassée afin de digérer toutes les informations qu’on venait de lui asséner et elle le but en contemplant la crique qui s’étendait en bas de sa résidence. Ils vivaient dans un endroit reculé à quelques kilomètres de la ville au bord de la mer et cet endroit valait plus de deux millions. Elle ne comprenait pas comment Jérôme, son mari, avait pu se laisser embringuer dans une telle affaire alors qu’ils n’avaient pas besoin d’argent.

Une sonnerie la tira alors de ses idées noires. Il s’agissait de l’interphone de l’entrée de la propriété. Quelqu’un voulait entrer. Elle appuya sur le bouton et le visage d’un homme blond qu’elle ne connaissait pas apparut alors.

— Oui, fit elle. Que voulez vous ?

— Je me nomme David Angel, répondit l’homme en souriant. J’étais associé à votre mari et …

— Je ne sais pas où il se trouve, lui rétorqua – t elle, et si vous insistez j’appellerais la sécurité.

Elle avait désormais l’habitude d’être harcelée par les gens qui avaient été arnaqués par Jérôme et son ami escroc. Ils l’appelaient au téléphone pour réclamer l’argent qu’ils avaient perdu, pour l’insulter ou même les menacer et certains avaient poussé l’audace jusqu’à venir jusqu’ici mais heureusement lentrée de la propriété était protégée par un grand portail métallique et elle pouvait contacter la sécurité privée qui intervenait en moins de 10 minutes.

Elle voulut couper la communication mais l’homme ne renonça pas.

— Vous vous méprenez, je ne suis pas une victime de votre mari même si je suis au courant de vos problèmes. En fait, je vous apporte la solution.

Elle resta immobile le doigt à quelques minimètres du bouton de l’interphone, cherchant à percer l’expression de cet inconnu qui se contentait de sourire. Elle ne le connaissait pas mais elle se souvenait que Jérôme lui avait déjà parlé d’un certain Angel avec qui il s’était associé dans un projet récent, il ne lui en avait dit que du bien. Selon lui, il était très riche. Peut – être que Jérôme se servait de lui pour lui transmettre un message. Elle voulait croire que son mari ne les avait pas totalement abandonnées, ses filles et elle. Elle voulut prendre le risque et lui ouvrit.

Angel arriva à la maison 5 minutes plus tard. Amandine lui ouvrit et il en parut surpris.

— J’ai donné son congé à tous le personnel à cause de nos… ennuis, expliqua – t – elle en réponse à sa question muette.

– Je comprends. Et votre famille ?

— Ma sur et mon beau frère ont emmené mes filles en promenade pour la journée pour me laisser plus d’aisance pour discuter avec les avocats.

— Nous sommes donc seuls, comprit il. C’est parfait pour ce dont nous avons à parler.

— Vous avez des informations sur mon époux, s’enquit Amandine anxieuse.

— Pas exactement, pourrions nous en discuter dans un endroit plus adéquat?

Elle conduisit dans le salon. Il s’installa sur le canapé trois places alors qu’elle se posait sur le sofa une place en face de lui. Une petite table basse en verre les séparait.

— Je vous écoute. De quoi vouliez vous me parler ?

— Comme je vous l’ai dit, je suis au courant de la situation cruelle dans laquelle votre mari vous a laissée. La liste des gens qui vous réclame de l’argent est impressionnante.

— Ils le réclament à mon mari.

— Peut – être mais vous êtes mariés sous le régime de la communauté donc ses dettes sont aussi les vôtres.

— Je sais cela. Si vous êtes venu pour me le rappeler c’était inutile. Mon avocat et mon banquier sont là pour ça.

— En fait, ils n’ont pas dû vous dire que quelqu’un avait racheté toutes vos dettes.

— Et qui serait cette personne ?

— Moi.

— Vous ? Mais cela représente une somme énorme.

— Si on compte les sommes que j’ai dû payer pour calmer les gens qui voulaient vous poursuivre en justice cela représente pas moins de 12 millions mais vos dettes elles ne représentent que 6. Donc, si je résume, vous me devez 8 millions et j’ai fait estimer l’ensemble de vos biens et on est loin du compte.

Amandine restait silencieuse devant cet homme qui venait tout simplement de donner corps à tous ses problèmes.

— Rassurez vous, reprit il devant son silence. Je ne suis pas aussi désespéré que les pauvres gens que vos mari a escroqué pour tenter d’éponger ses dettes. Mais je suis exigeant cependant et je peux vous offrir une porte de sortie qui pourrait sauver votre famille.

— Une porte de sortie ? demanda t elle à la fois curieuse et anxieuse.

— Je sais que votre mari vous a parlé de moi, il a dû vous dire que je suis amateur d’art puisque nous nous sommes rencontré lors d’une exposition. En fait, j’aime toutes les belles choses y compris les belles femmes et vous êtes une très belle femme madame Blenon. Je serais prêt à oublier toutes vos dettes si de votre côté vous acceptiez de m’obéir.

Outrée, Amandine se leva alors de son siège et hurla.

— Vous vous moquez de moi, espèce d’ordure. Vous me prenez pour une prostituée de bas étage. Et d’ailleurs qu’est qui me prouve que ce qui me dit n’est pas un tissu de mensonge.

Un sourire cynique se dessina alors sur le visage d’Angel qui saisit alors la mallette qu’il avait apporté avec lui.

— Je pensais bien que vous douteriez de mes dires, fit il en ouvrant sa mallette. Voici tous les actes de cessation de dettes qui prouvent que je suis devenu votre seul créancier. Et vu votre réaction, je veux aussi vous montrer ceci, je l’ai découvert alors que je recherchais toutes les victimes de votre mari.

La rage d’Amandine s’était éteinte devant impassibilité d’Angel. Elle se rassit et prit les documents qu’il avait posés sur la table. Elle n’était pas une experte et comptait bien les montrer à son avocat afin de s’assurer de leur authenticité mais ils ne laissaient aucun doute. La seconde pile de documents était différente, il s’agissait d’actes notariés et elle remarqua qu’ils étaient signés de la main de tous les membres de sa famille, ses parents, sa sur, son beau frère et bien entendu, elle même.

— Je peux vous expliquer si vous voulez. Dans le cadre de son « activité », votre mari a eu besoin d’assistance, en fait des prête-noms mais pour la loi ce sont des complices qui sont tous autant coupables devant la loi. Ces complices sont les gens qui ont signé ces documents.

Amandine pris ces documents et notamment ceux qui portaient sa signature personnelle. Elle ne se souvenait même pas où et quand elle les avait signé mais elle faisait tellement confiance à son mari qu’elle avait parfaitement pu le faire.

— Cela veut dire que, si ces documents parviennent à la justice, vous et toute votre famille serez poursuivis pour abus de bien sociaux. Vous réussirez peut être à prouver votre bonne foi, ce qui est loin d’être certain compte tenu du fait que vous avez tous profité des revenus des escroqueries de votre mari, mais vous devrez assumer les conséquences dun procès coûteux. Pensez à vos enfants. Votre aînée, Laura a 18 ans et ne risque rien mais la plus jeune Maria et ses 11 ans est encore bien fragile surtout si elle se retrouve placée dans un foyer de l’assistance. Elle n’est pas habituée et puis il y a la petite fille de votre sur, elle n’a que quelques mois et elle pourrait n’avoir aucun souvenir de ses parents, ce serait triste.

— Salaud!!! S’emporta cette fois Amandine. SORTEZ D’ICI. JE NE VEUX PLUS JAMAIS VOUS VOIR!!!

Toujours aussi calme, Angel se leva. Il posa une petite carte sur la table en verre.

— Très bien, je vous laisse réfléchir. Voici ma carte de visite ; contactez moi si vous changez d’avis.

— SORTEZ!!!!!!

Angel sortit sans se départir de son sourire.

********************CHAPITRE 2********************

Les jours qui suivirent furent autant d’enfer. Son avocat et un notaire authentifièrent les documents d’Angel et confirmèrent la réalité du danger de poursuites judiciaires qui pesait désormais sur elle et sa famille. Pire, deux jours après la visite de cette pourriture, elle fut la victime d’une perquisition de police et d’une convocation chez le juge qui instruisait l’affaire de son mari qui lui apprit que plusieurs des victimes avaient décidées de porter plainte contre elle afin d’obtenir réparation. Son avocat la rassura en affirmant qu’en l’état actuel de l’instruction, elle ne risquait rien mais il ne lui cacha pas que si jamais les documents qu’elle lui avait montré la veille arrivaient sur le bureau du juge, c’était la garde à vue immédiate.

Elle comprit alors qu’Angel lui tendait un piège et qu’elle se retrouvait prise dedans. Il allait la dépouiller sans pitié et ensuite provoquer la ruine de toute sa famille. Cette petite journée n’était qu’un avertissement.

Elle passa une nuit horrible, sans oser avouer à personne le drame qu’elle vivait. Au matin, elle comprit qu’elle n’avait pas le choix et elle prit la carte d’Angel.

— Madame Blenon, fit Angel dans le téléphone. Heureux de vous entendre. J’ai appris vos nouvelles mésaventures, j’en suis désolé.

Cette réplique confirma les doutes d’Amandine mais il était trop tard, elle était piégée.

— J’ai réfléchi à votre proposition. Je l’accepte à condition que…

— Ce n’est pas aussi simple, la coupa Angel. Si vous aviez accepté tout de suite, nous aurions pu négocier des conditions mais là vous m’avez fait attendre et je déteste attendre alors je veux plus pour sauver votre famille. Je veux Laura en plus.

Amandine fut foudroyée par l’outrecuidance de cet homme et elle lui raccrocha au nez mais immédiatement son téléphone sonna et elle sut que c’était lui. Comme un robot, elle décrocha.

— Ne refaites plus jamais ça, fit il sur un ton impérieux, ou dans la journée toute votre famille se retrouvera en garde à vue. Je n’ai plus le temps de jouer à ce petit jeu du chat et la souris. Voilà le marché : Vous allez me vendre votre maison et vous et votre fille y resterez à mon service le plus total. En échange, je m’engage à offrir un point de chute à votre sur et sa famille et à ce que votre fille la plus jeune puisse aller vivre chez ses grands-parents. Tous retrouveront la vie qu’ils avaient avant cette triste affaire. Si vous le refusez, toutes les victimes de l’escroquerie de votre mari se réveilleront de leur léthargie et le juge recevra les documents que j’ai en ma possession. Il n’y a pas réfléchir, je veux une réponse maintenant.

— Je ne peux pas prendre de décision pour ma fille, elle est…

— A vous de la convaincre, pensez bien qu’il s’agit de toute votre famille et sachez qu’en affaire je suis sans pitié.

Amandine comprit alors qu’elle était vaincue. Elle comprit qu’elle devait accepter le diktat de ce monstre.

— J’accepte.

— Parfait. J’ai conscience qu’il va vous falloir un peu de temps pour convaincre Laura mais si elle est aussi censée que vous vous n’aurez pas trop de mal non plus. Je vous donne trois jours au maximum. Si vous y arrivez avant, convenons d’un signal. Je veux que vous étendiez deux petites culottes, une vous appartenant et une autre appartenant à Laura, devant votre porte. Vous vous arrangerez ensuite pour être seules la soirée et je passerais vous voir afin que nous scellions définitivement notre arrangement.

Il raccrocha laissant Amandine seule avec son désespoir.

********************CHAPITRE 3********************

Convaincre Laura fut le moment le plus terrible de la vie d’Amandine. Laura était une jeune femme de 18 ans qui devait passer son bac dans quelques mois et physiquement tout le contraire de sa mère. Brune alors que sa mère était blonde, elle possédait des formes très arrondies, pour ne pas dire provocantes, au contraire d’Amandine dont la taille mannequin rendait folle les autres mères de familles qu’elle fréquentait. Laura avait conscience, bien plus que Maria heureusement, de la situation désastreuse dans laquelle leur famille se trouvait mais elle n’avait jamais rencontré Angel et ne comprenait pas le danger qu’il faisait planer sur elles trois. Au terrible désarroi de sa mère, l’argument qui fit pencher la balance fut quand elle comprit que bientôt elle risquait de se retrouver dans le plus total dénuement.

— Il ne peut pas être aussi terrible que tu le dis, lâcha Laura. Nous pouvons peut — être discuter avec lui après tout.

Amandine comprit alors que sa fille était en train de s’imaginer qu’elle pourrait séduire cet homme afin de conserver tout ce qu’elles possédaient à ses dépends. A sa grande honte, elle se garda bien de doucher ses illusions ; elle avait trop besoin de son soutien. Elle devait la sacrifier pour sauver tous les autres.

Bien qu’elle avait réussit à convaincre Laura dès le second jour, Amandine s’accorda tous le répit qu’Angel lui avait offert. Et le matin du troisième jour, elle demanda à Laura une de ses culottes et l’étendit avec l’une des siennes devant la porte de la villa. Paul, son beau-frère, passa alors et la regarda surpris mais ne dit rien.

Elle venait tout juste de terminer qu’un message arriva sur son portable.

« Ce soir ! 21h ! Soyez seules ! Laisse les culottes où elles sont ! »

Et elle comprit qu’Angel ne cessait jamais de les épier.

Faire partir le reste de la famille ne fut pas chose facile mais elle y arriva finalement. Amandine avait prétexté que Laura se sentait mal à cause des problèmes de son père qu’elle voulait en parler seule à seule avec elle.

A 21H, on tapa à la porte. Angel avait même réussi à se procurer le code de la grille de la propriété, réalisa Amandine, terrorisée. Comme une automate, elle se dirigea vers l’entrée pour lui ouvrir.

En réalité, il était beau ce salaud et elle ne comprenait pas pourquoi un tel homme utilisait de tels moyens pour arriver à ses fins.

— Laura est là ? demanda t il sans même dire bonsoir.

— Elle attend dans le salon, répondit elle comme dans un cauchemar.

— Parfait, je te suis.

Il avait abandonné le vouvoiement. Après tout, comprit elle, elle avait accepté de devenir sa chose alors elle pouvait accepter cela. Elle sentait son regard qui se promenait sur elle alors qu’ils se dirigeaient vers le salon et elle eut envie de vomir. Laura était assise sur l’un des divans une place. Amandine toujours sous le choc de cette situation horrible s’assit sur l’autre divan à côté de sa fille pendant qu’Angel se posait tranquillement au milieu du divan trois places en face d’elles.

— Je suis heureux de te revoir Laura. Nous nous sommes déjà rencontré voici quelques temps, c’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai rencontré ton père. Tu ne dois pas t’en souvenir tellement tu t’étais amusée à papillonner durant toute la soirée.

— Mais si Monsieur Angel, commença alors Laura dans son jeu de séduction qui marchait si bien sur les jeunes de son âge.

— Maitre, la coupa alors Angel sur un ton brusque et froid.

— Pardon ? Chevrota alors la jeune femme.

— Désormais tu m’appelleras Maître, reprit il toujours aussi froid. Est ce clair ?

Les yeux exorbités, Laura dévisagea alors Angel. Celui – ci plongea son regard froid et dur dans le sien. Il ne fallut que quelques secondes pour la volonté de la jeune fille ne se brise comme du verre.

— Oui, maître, répondit Laura et le sang d’Amandine se glaça dans ses veines devant la reddition de sa fille.

********************CHAPITRE 4********************

Angel goûtait à cette victoire si facile. Laura Blenon avait visiblement cru qu’il était un de ses gamins puceaux que ses petites minauderies allaient attendrir. Il lui avait suffi de lui montrer la totale futilité de sa tactique pour l’écraser. Briser la mère avait bien sûr demandé plus de travail et il comptait maintenant en profiter pleinement en commençant par les amuse gueules.

— Heureux que tu aies compris où était ta place, reprit il en profitant de la mine déconfite de cette jeune adulte. Lève toi !

Son ton était si directif qu’elle se leva comme par réflexe. Du coin de l’il, il savourait également lexpression de désarroi de la mère qui découvrait à quel point sa fille était faible.

— Tu es belle Laura pas de doute mais je veux en voir plus. Enlève donc ce chemisier.

Cette fois elle hésita mais de nouveau, il plongea son regard dans le sien. Le duel ne dura qu’un instant et les mains de la jeune fille commencèrent à dégrafer les boutons du vêtement qu’elle fit glisser le long de son dos. En dessous elle portait un simple soutien gorge blanc qui cachait à peine son imposante poitrine.

— Ils doivent se sentir prisonnier là dedans, non? reprit il en souriant. Une poitrine doit respirer.

A sa grande surprise, Laura n’attendit même pas son ordre et retira immédiatement son soutien gorge. Décidément la volonté de cette jeune fille laissait vraiment à désirer. Il siffla quand même devant ces deux imposantes mamelles.

— Ils sont vraiment très beaux. Combien dis moi ?

— 85D, répondit elle.

— Parfait, approche donc.

Docile, la jeune fille enjamba la table basse pour se retrouver en face de lui. D’un geste du doigt, il lui intima de se mettre à genoux. Ce qu’elle fit et il commença à lui tâter les seins.

— Et parfaitement naturels en plus, apprécia t il très fort pour s’assurer que sa mère ne manque rien de ce petit jeu.

Car le but de tout cela était bien entendu d’humilier au maximum Amandine. Du coin de l’il, il la voyait qui s’enfonçait dans son divan au fur et à mesure qu’il avilissait sa fille sous ses yeux.

— Je ne t’oublie pas Amandine, rassure toi, lui lança t il. Ne crois pas que je sois un fanatique des poitrines imposantes. Je sais que les petites ont aussi leur charme, justement, si tu nous faisais admirer la tienne.

A Suivre…

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