Finalement, je me levais et me dirigeais vers la salle de bain, laissant Pierre sur son canapé. Je l’ai entendu s’esclaffer en me regardant partir.

— Tu roules même du croupion sans t’en apercevoir.

je m’enfermais, légèrement rougissant, et un peu agacé. Moi qui me croyait quand même un peu viril, autant pour mes convictions.

Je pris place dans la douche, et je vis que Pierre avait tout prévu. Rasoir, crème épilatoire. Je fis couler l’eau et m’appliquais à faire disparaître tout mes poils. A un moment, Pierre est entré

— Je dépose les vêtements sur la commode. Le dîner arrive dans 10 minutes. Prends ton temps ma chérie.

Il m’énerve à m’appeler comme ça. Au bout d’un certain temps, je sors et m’essuie en regardant les vêtements qu’il m’avait apporté.

Mes yeux en sortent de ma tête. Un string, des bas, un porte-jarretelles, une guêpière, des escarpins à talons et une robe…

Ce mec me veut en nana… j’hésite plusieurs minutes, au début refusant, puis me disant que j’étais venu pour du plaisir. Si ça lui faisait plaisir, après tout, c’est comme un déguisement.

C’est en enfilant le string que je me suis dit que j’avais bien fait de rester. En sentant cette culotte me rentré dans la raie jusqu’à toucher mon petit trou, j’ai eu un frisson de plaisir et un début d’érection. J’ai mis le reste, galérant avec la guêpière et les attaches du porte-jarretelles, mais finalement, j’ai réussi. Je tanguais un peu sur les talons, mais ça allait. Je comprenais mieux pourquoi toutes ces questions en tchat sur moi. En prenant la robe, je découvrais même une perruque brune, mi-longs, et un nécessaire de maquillage. Ce mec est ouf! La robe n’allait très bien, cachant la guêpière, s’arrêtant à mi-cuisses… ouverte sur un coté… et s’ôtant très rapidement. Je finis de me préparer avec la perruque et un peu de maquillage, ne sachant pas trop comment faire, puis je sortis rejoindre Pierre. Les talons me faisait une démarche encore plus ondulante.

— Ouaaah, tu es superbe chérie. Le dîner est arrivé. J’espère que tes vêtements te plaisent?

— euh… oui.

Il tourna autour de moi puis posa une main sur mon cul que les talons me faisait cambrer. Son doigt poussa un peu jusqu’à sentir mon string, je ne me dérobais pas, je commençais à vraiment aimer ses caresses.

— t’ai vraiment bandante comme ça. allez viens, mangeons, remplissons nous l’estomac… après je te remplirais autre chose. dit-il en me fouillant le cul. C’était on ne peut plus clair, et ça me plaisait de faire bander un mec.

Le dîner fut agréable, arrosé de vin assez fort. Pierre voulait aussi me saouler. La discussion était tout autant plaisante. Plusieurs fois, il m’appela Laetitia.

— Mais pourquoi tu m’appelles comme ça?

— J’aime bien ce prénom et je trouve qu’il te va bien. Avec moi, tu seras Laetitia désormais. OK?

— D’accord. Tant que ce n’est qu’entre nous.

A la fin du repas, j’étais assez rond, encore que pas ivre. Il mit de la musique, nous servit un cognac qu’il me fit boire rapidement, puis m’invita à danser des slows. Je jouais à la femme, le laissant me guider, mes mains sur ses épaules. Rapidement les siennes empaumèrent mes fesses et il tenta de m’embrasser. Je me dérobais deux trois fois, mais ses mains qui me pelotait et m’écartait le cul, sa bosse contre mon ventre finirent d’abattre mes dernières barrières et il engouffra sa langue dans ma bouche, me pétrissant encore plus fort le cul, me fouillant la raie. Il frottait sa queue bien dure contre mon ventre, je sentais mon envie de le sucer revenir. Finalement, il mit fin à notre baiser et m’entraîna dans sa chambre. ouah, rapide le Pierre. Il me repris dans ses bras, sa main toujours me pelotant, l’autre dégrafant le zip de la robe. Il s’écarta pour la laisser glisser, j’apparus juste en sous-vêtements, ma queue sortait presque du string, le gland luisant. Puis il me fit asseoir sur son grand lit, se positionna devant moi, et se dessapa entièrement. Il était légèrement velu, le poil à peine grisonnant, sa queue raide presque à la verticale contre son ventre légèrement rond.

— Allez, maintenant, suce moi Laetitia chéri. voilaaaa ouiiii, ta bouche est chaude mmmmh.

Cette fois j’avalais sa queue avec gourmandise, je m’entendais même gémir, en me traitant intérieurement de salope. J’allais gober ses couilles bien dures, pleines de jus, lui m’encourageait. Je le pompais 5-10 minutes jusqu’à ce qu’il me fasse lâcher ma friandise

— Fout toi à 4 pattes, chérie, je vais te régaler.

J’obéis, excité, mais un peu anxieux car lui me semblait super chaud.

— cambre toi bien, voilaaa, encore, fais moi ressortir ton petit cul de femelle.

Ces paroles m’excitèrent un peu plus, et je me cambrais plus fort, posant même la tête et les épaules sur le lit. Ses mains me pelotais le baigneur, m’écartait les fesses lorsque je sentis sa langue passer le long de ma raie, puis, ses doigts ecarter le string. Il écarta mes globes

— mmmmmhh t’es toute lisse maintenant ma salope. il me mit un doigt dans le cul. tu mouilles presque même.

Puis il repartit à l’assaut de ma raie et ma rondelle avec la langue. Passant autour, la rentrant dans mon anneau, bavant sur ma raie. Je me suis mis à gémir de plus en plus, à chaque passage de sa langue ou de ses doigts dans mon fondement.

— tu aimes ça ma cochonne, hein?

— ouiiii, c’est boon

— Ca te plaira encore plus quand je vais t’enculer, tu vas miauler de plaisir

— aaaah

je bandais comme un fou, mais lui s’en désintéressai, je sentais uniquement sa langue, ses doigts qui m’ouvraient le cul, ses mains sur mes jambes gainées de bas. Je me sentais de plus en plus femelle dans ces dessous. Puis il s’est positionné à genoux derrière moi, me crachant sur la rondelle et j’ai senti son gland glisser dans ma raie plusieurs fois, mmmmhh, pour se positionner sur mon anneau. Ces doigts m’avait rendu fou, je voulais sa queue dans mes entrailles. Il me tint aux hanches et commença à forcer, m’ouvrant lentement le cul, passant mon anneau. Le reste fut presque aspiré à moitié. aaaaaahhh. je sentais quand même une douleur à cette intrusion, il attendit quelques instants en me caressant le dos, les épaules, les fesses, puis se retirant un peu, il reprit sa progression jusqu’au bout.

— Ca y est, je te l’ai mise jusqu’au bout ma salope, tu devrais voir le tableau. T’es belle comme ça, avec tes dessous et une bite dans le fion.

Il attendit de nouveau puis se mit en mouvement. Mon anus irradiait, sa queue faisait de court mouvement dans mon boyau, il était toujours au fond, puis lentement, il prit plus d’ampleur, ressortant sa queue à moitié et revenant. Mon cul me chauffait, et pourtant à chaque aller, je poussais un gémissement. Il me tenait aux hanches et me baisait comme un métronome, mais coulissant à chaque fois plus facilement dans ma rondelle que je sentais de moins en moins me brûler. Jusqu’à plus du tout, et là ce ne fut plus que du bonheur, sa queue me faisais juste jouir, je gémissais continuellement.

— Putain ma salope, tu prends ton pied, tu devrais t’écouter

— aaaahhh ouiiii mmmmh

— Écoute toi, tu pousses de vrais cris de femelle

Effectivement, mes couinements étaient aigus, proches de ceux d’une femme. Sa queue allait plus vite, plus fort, je sentais que j’allais jouir sans même me toucher

— Alors c’est bon ma salope, tu t’en prends plein le cul hein?

— ouiiiii ahhhh, elle est bonne ta queue, aaaahhh encore, baise moi

— t’inquiète pas ma pute, je vais te défoncer le cul

— ouiiii aaaahhh

Il est ressorti entièrement de mon cul, et a replongé d’un coup au fond, ce qui m’a fait jouir, souillant le string et la couette, il a recommencé plusieurs fois ce qui me faisait lâcher un nouveau jet et me faisait couiner plus fort. Il s’est remis profondément dans mon cul pour m’emmancher plus fort, me tenant les fesses et les écartant. Je n’étais plus qu’un cul qui prenait sa dose de plaisir. Il continua à me limer puis se retira, s’allongea à coté de moi

— Monte sur ma bite, viens t’enculer toi-même.

Je me positionnais au-dessus de lui, face à lui.

— Non, pas de face, dos à moi.

Je me retournais donc, et accroupi, je descendis sur son dard tendu vers le plafond, je le tenais d’une main et le positionnais de l’autre sur mon oeillet ouvert. En sentant son gland sur mon fion ouvert, je me suis presque assis dessus, sa queue me remplissant de nouveau, me faisant pousser un nouveau long gémissement. Je tortillais du valseur une fois bien enculé, il mis ses mains sur ma poitrine et m’attira à lui, les mouvements étaient moins ample, ses doigts me pinçaient les tétons, j’avais la tête dans son cou. Il ’m embrassa dans le cou, me suca un lobe en me chuchotant dans l’oreille

— Tu sens maintenant que tu es une femelle au fond de toi?

— ouiiii ahhh

— Relève tes jambes ma salope chérie

Je lui obéissais encore une fois, il me les prit entre ses mains fortes, sous les genoux pour encore me les remonter et reprendre un tempo d’enculage plus énergique. Je me faisais tirer comme dans un film de cul, en n’étant plus qu’une poupée dans les bras de cet homme. Son mandrin me massait la prostate a chaque coup de queue, mes couinements reprirent de plus belle. Mon enculade était repartie sur un nouveau rythme, métronomique, puissant, dévastateur, jouissif, mon cul me chauffait, une boule de plaisir grossissait entre mes reins et dans mon ventre. Il me baisa pendant quelques minutes à différentes vitesses, toujours me tenant les jambes, et m’encourageant à exprimer mon plaisir, puis il se mit sur le coté et décula. Je sentais un grand vide dans mon cul, j’avais envie de sa queue encore en moi.

— Allonge toi sur le dos, je vais te baiser comme une femme.

— ouiii. je m’allongeais et relevais mes jambes que je retenais avec mes mains, totalement offert.

— Voilaa, tu t’offres comme une bonne salope. T’as encore envie de te faire enculer hein?

— ouiiii

-Supplie moi.

— Encule moi stp…

— Mieux que ça!!

— Encule moiii! baise moi fort aaah, je veux ta queue, mets moi ta bite et fais moi couiner comme une salope

— Voila, c’est mieux. il mit juste son gland à l’entrée de ma rosette ouverte

— Ouiiii fourre moi ,baise ta salope, je te veux dans mon cul

Il me planta d’un coup sa pine jusqu’au fond de ma grotte, ressortit complètement et recommença, encore et encore. Il me soulevait le bassin à chacune de ses pénétrations, m’arrachant à chaque fois un couinement plus fort. je pouvais même voir sa mantule aller et venir entre mes fesses, mon sexe coulait tout seul sur mon ventre tellement je prenais de plaisir.

— Putain, regarde toi, tu jouis sans te toucher ma pute, t’en es vraiment une qui s’ignorait.

— ouiiiii aaaahhh encore, ouiii

— Peut-etre même qu’avec un peu de travail, tu jouiras du cul bientôt, comme les vrais salopes.

Il reprit sur un rythme acharné, il me cassait le cul, plongeant le plus loin possible, ma boule de plaisir n’allait pas tarder à exploser, je commencais à presque voir des étoiles

— Putain, ton petit trou me serre la bite

— aaaaahhh ouiiii c’est booon, encore

Il me pliait presque en 2, je sentais les spasmes de mon oeillet autour de son manche que je sentais palpitais

— Aaaah, je vais te remplir le cul ma truie, ouiiiii aaaaahhh

Planté au fond de mon cul, je le sentais jouir et sa crème tapisser mes intestins, plusieurs jets m’inondant et calmant le feu qui me tenaillait, dans une demi-conscience, je me rendis compte l’oubli de preservatif, mais il était trop tard pour pleurer. Ou alors de plaisir. Il sorti son mandrin et me le presenta à nettoyer, goût de sa queue, son jus et mon cul. Je lui nettoyais jusqu’a ce qu’elle ramollisse. Il me mit sur le ventre, et me fis un peu cambré. J’entendis un clic, et il me montra mon cul sur son numérique.

— regardes comme tu es belle avec ton trou ouvert. J’avais la rondelle bien ouverte, un peu de sperme sur les bords.

Il me caressais les fesses doucement, me retira mon string, me caressa le visage et me dit de m’endormir si je le sentais… ce que je fis.

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