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Maitre-Chienne – Chapitre 1




Comme tout les week-ends, je prends ma vacation de 20H à 6H du matin. C’est une belle nuit d’été qui s’annonce. Je travaille comme maître-chien depuis maintenant deux ans.

Mon chien, Antarès, un magnifique beauceron de 3 ans et 65 kg, est couché dans le poste de garde mais reste vigilant.

La nuit s’annonce plutôt calme et chaude. Je pars effectuer ma ronde de fermeture.

45 minutes plus tard, je suis de retour au poste. Tout est calme et aucune alarme ne viens me déranger quand j’entends un bruit venant de la clôture d’entrée.

Antarès se relève et commence à grogner, je le calme tout en essayant de voir ce qui provoque ce bruit.

Quand j’aperçois un chien se faufilant entre le grillage. Il y a une petite ouverture cachée dans les feuillages et le chien l’a découverte. Il est maintenant sur le parking et me regarde. Antarès pouvant être agressif avec les autres chiens, je décide d’aller seul à la rencontre de ce nouveau venu.

Le chien s’approche de moi en balançant la queue sans aucune agressivité, je m’approche donc et découvre qu’il s’agit en faite d’une chienne.

A première vue, je dirais que c’est un croisé dalmatien-labrador, toute fine, élégante. Une très jolie chienne. Je commence à la caresser en cherchant un collier, un tatouage, quelque chose qui pourrait m’indiquer où joindre sa famille qui doit s’inquiéter de son absence. Rien. Aucune indication.

En passant ma main sur son poitrail, je constate que ses mamelles sont un peu enflées. C’est alors qu’Antarès me rappelle qu’il est là en aboyant.

Il me viens alors une idée: Et si je faisais les présentations?

J’ai toujours eu des attirances envers la sexualité des chiens et je me dis que, ce soir, c’est peut-être l’occasion d’avoir une première expérience.

Je fais entrer la chienne dans le poste de garde et Antarès se dirige vers elle. Les deux chiens se reniflent en balançant la queue mais sans plus. Elle n’est peut-être pas encore réceptive et je vais devoir accélérer les choses.

En pensant à ce que je peux faire avec ces deux chiens, l’excitation monte en moi. Et je porte mon désir sur cette jolie chienne. Antarès lui est couché, attendant son heure.

Je tente une approche de la chienne. Je m’accroupis et commence à la caresser, son dos, ses reins, sa tête. Elle est totalement en confiance. Ma main se dirige alors vers son arrière-train et je commence à lui caresser le sexe. Sa réaction me laisse sans voix. Elle écarte les pattes arrières, mets sa queue de côté et sa cambre comme si elle voulait être montée.

Mon érection se fait de plus en plus intense. J’ouvre ma braguette et lui présente mon sexe. La chienne commence par le renifler puis se met à le lécher. Elle lèche de plus en plus vite mais sans aucune violence. La sensation est énorme. Elle est très douée et fais grimper l’excitation d’un cran supplémentaire. Je continus de lui caresser son sexe et je sens qu’il commence à se dilater. J’entre un doigt puis deux, il est déjà bien humide et agité de petits spasmes qui le fait se contracté sur mes doigts.

Après 10 bonnes minutes de léchage et de doigtâte, elle se sent prête et me présente son bassin. Je n’en reviens pas, elle a jeter son dévolu sur moi et veut que je la prenne

L’excitation est trop grande, je me place derrière elle. Elle est exactement à la bonne hauteur. Je passe mes mains de chaque coté de son bassin et pour apprécier sa réaction,

je commence à me frotter contre elle. Mon sexe fait des va et viens juste en dessous du sien, entre ses pattes arrières. Elle ne bouge pas, se cambre même, impatiente d’être pénétrée.

Je sens son sexe se dilaté au maximum et, sans aucune aide de ma main, je fini par la pénétrer. Je suis maintenant en elle. Je ne peux résister et commence à la pilonner comme un mâle fougueux le ferait. Elle halète de plaisir, ce qui augmente mon excitation. Je me penche sur elle, je suis appuyé sur son dos, elle écarte les pattes pour soutenir mon poids.

Je sens son sexe humide se contracter sous mes coups de bassin. Ses mamelles, gonflés par les chaleurs, remuent au rythme de mes coups de reins. Je ne peux m’arrêter de pilonner. Antarès nous regarde et doit se douter que je lui prépare le terrain. Une chienne comme elle peut encaisser deux saillies coups sur coups.

A ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Effectivement, je sens la "sève" montée. Je ne tente pas de me contrôler, je m’immobilise et commence à jouir en elle. Mon sperme gicle au plus profond de son sexe. C’est à ce moment que je sens son sexe se contracter sur le mien. Elle tente de me verrouiller comme elle le ferait avec un mâle. Malheureusement, mon sexe ne comporte pas de nud et malgré la contraction, je sens que je peux me retirer facilement mais je n’en fais rien. Je reste en elle comme un chien le ferait, soudé a sa partenaire, la fécondant.

Pour faire durer le plaisir, je reste immobile, contractant mon sexe pour simuler une longue éjaculation. Elle halète toujours, je sais qu’elle apprécie.

Je n’ai pas l’endurance d’un chien et je ne tarde pas à débander. Mon sexe diminue de taille alors qu’il est encore en elle puis finis par se retirer de lui-même.

Je libère la chienne qui se retourne en viens me le lécher comme pour prolonger mon plaisir.

Antarès se relève, il sais que son heure est arrivée

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