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Mes premiers congés payés – Chapitre 3




Jeanine vint me réveiller 2 heures après, nous avions tous les deux les yeux gonflés davoir dormi aussi longtemps « rejoins moi sur la terrasse, tu vas mexpliquer ta phrase de tout à lheure à propos des sexes de femmes que tu aurais déjà vu, comment cest arrivé et depuis quand ». Jeanine avait changé de maillot de bain, celui quelle avait mis était encore plus ajusté que le noir quelle portait le matin et il était blanc et pratiquement transparent, assise comme elle létait sur le lit, je voyais à travers le bas la touffe de poils qui habillait son sexe, elle se leva et je lui dis « ton maillot est superbe, il te va très bien », elle se retourna en minaudant, me fit face et me répondit « je ne le mets que quand je suis seule, Bernard (son mari) me dit que jai lair dune salope avec ça et quen plus il est tellement transparent quon voit tout à travers », je souris et lui dis « je te confirme, on voit tout ».

Jeanine eut un sourire et quitta la chambre, je me levais et enfilais rapidement mon short, je restais torse nu, car il faisait très bon dehors, lorsque jarrivais sur la terrasse, Jeanine avait repris sa place dans la chaise longue, mais en position assise, de plus elle avait remonté ses pieds presque au niveau de ses fesses et la position fit quelle était cuisses, pratiquement, grandes ouvertes. Rien que le vue commença à me faire bander, elle me dit, faisant mine de ne pas sapercevoir de mon état « maintenant tu me racontes tout, je veux tout savoir, sinon jappelle ta mère et tu te casses dici ».

Du regard, je fis le tour du terrain, entouré dune haie dif de 4 à 5 mètres de haut, il était complètement occulté pour les voisins dont les plus proches, de toutes manières se trouvaient à une bonne centaine de mètres.

Je commençais donc à lui raconter ce qui était arrivé 5 ans plus tôt, et lui parlait de Pierre et de la première séance pendant laquelle il me mit de la crème solaire tout en en profitant pour me toucher,

Jeanine me coupa la parole « quel vieux salaud et il ta fait autre chose ? »

Moi : « oui, mais le jour même »,

Jeanine : « ah bon continues alors je verrais quand tu y seras »

Puis je parlais de Martine, de la séance avec Pierrot et je commençais à raconter la soirée lorsque jarrivais à la séance de rasage du sexe de Martine.

Jeanine me coupa, une nouvelle fois, la parole « elle était plus belle que moi ? »

Moi : « vous êtes différentes, elle était plus mince que toi mais toutes les deux dans votre style et votre physique vous êtes aussi belle lune que lautre »

Jeanine : « ah oui, cest gentil ça, avait-elle des seins aussi gros que les miens ? »

Moi : « non, ils étaient plutôt menus et puis je ne vois les tiens que sous ton maillot », javais dit ça pour voir comment elle allait réagir,

Jeanine : « ça te ferait plaisir de les voir ? »

Moi : « ben oui, bien sur »

Jeanine en sasseyant : « alors viens retirer mon maillot » je mapprochais et me plaçais derrière elle, je défis le nud qui était dans son cou, pris les deux morceaux de ficelle dans mes mains et les ramenais par devant, puis je baissais doucement les mains pour découvrir lentement ses seins, ses tétons avaient encore gonflés, une fois quil furent à lair libre Jeanine murmura « enlèves le », je défis lagrafe qui était au milieu du dos et enlevais complètement le haut du maillot, ses seins étaient superbes, volumineux, et la peau dun blanc laiteux, jeffleurais la pointe de ses tétons et elle réagit immédiatement en gémissant, puis se reprenant elle me dit « ça suffit retournes à ta place et continues ».

Je repris ma place en face delle, ses seins tendus vers moi, et alors que je reprenais mon histoire, dune main elle commença à se caresser les tétons et lautre était entre ses cuisses, sur son maillot à monter et descendre le long du dessin que faisait sa fente trempée, tellement trempée que le maillot en était encore plus transparent et que je distinguais encore mieux la toison de son sexe.

Alors que jen arrivais au départ de la colo avec Martine pour rentrer à notre studio, Jeanine saperçue que le jour tombait, elle me stoppa et dit « ça suffit pour aujourdhui, ta cousine ne va pas tarder et pas question quelle nous trouve dans cette tenue, et si jamais tu parles, je te promet une belle raclée, je vais prendre une douche, pendant ce temps tu nas quà rester ici et profiter des derniers rayons de soleil » puis elle se leva, ramassa son haut de maillot et me tournant le dos traversa la terrasse pour regagner la maison, javais une vue splendide sur son cul, il ballotait au rythme de ses pas et la cellulite de ses cuisses ballotait autant, la regarder séloigner me mit en transe et porta mon érection à son maximum, javais hâte dêtre au lendemain.

A peine ½ heure plus tard, ma cousine rentra du lycée, je ne lavais pas vu depuis plusieurs années, à lépoque elle était quelconque, je me rappelais dune voix nasillarde et dune petite fille blonde toujours dans les jupes de sa mère, lorsque je la vis, mon opinion changea du tout au tout, elle était un peu plus petite que moi et elle portait des lunettes, par contre plus rien de la petite fille, elle était devenue une jeune fille très mignonne et le sachant elle shabillait de manière à ce que cela se remarque, une minijupe écossaise, un tee-shirt hyper moulant qui mettait en évidence une poitrine qui promettait dêtre aussi belle que celle de sa mère, des petites socquettes blanches et des ballerines rouges.

Lorsquelle me vit, elle me rejoignis sur la terrasse, vint droit sur moi et, se mettant sur la pointe des pieds, elle membrassa « salut, ben dis donc tu as changé, je ne me rappelais plus que tu étais plus grand que moi », je lui rendis ses bises, mais un peu troublé, le fait quelle se soit mise sur la pointe des pieds, faisait quelle penchait un peu en avant et sa poitrine était de ce fait en contact avec mon torse nu, je trouvais le contact assez agréable, je lui dis que moi non plus je ne me rappelais plus trop delle et quelle était devenue une belle jeune fille, elle sempourpra et me dit « merci, cest sympa » puis se reculant un peu elle se décolla de moi et je pu voir avec un certain trouble que ses tétons commençaient à pointer à travers son tee-shirt, puis voyant que je regardais sa poitrine, elle sempourpra encore plus et fit un demi-tour tellement rapide que sa jupe se souleva et je pus voir quelle portait une petite culotte assortie à ses ballerines. Jétais ému de ce que je venais de voir, mais je me dis « arrêtes tes conneries cest ta cousine et elle na que 16 ans », je me rhabillais pour aller voir si Jeanine navait pas besoin daide. Je la trouvais dans la cuisine et elle me demanda de laider à préparer la table, aussi troublé lun que lautre cest en silence que nous attendîmes son mari.

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