Fascinante Claudia,
Je sonne à la porte de ma maîtresse qui m’accueille vêtue d’un corset en satin rouge.
Il met en valeur ses seins sublimes et la magnifique cambrure de ses reins.
Huit jarretelles ont pour mission de maintenir aligné les coutures de ses bas en nylon noir.
Perchée sur ses cuissardes, elle me fait entrer dans son royaume en me dévisageant longuement.
Elle est grande et son regard volontaire témoigne d’un caractère bien trempé.
Très féminine, elle a les traits fins, les yeux en amande et une longue chevelure blonde retombe en cascade sur ses épaules.
La trentaine affirmée, elle est très séduisante.
Sans perdre de temps, ma troublante amazone m’entraîne dans son donjon.
Elle me déshabille en me gratifiant de subtiles et savantes caresses pour me détendre avant la séance.
Puis, elle m’allonge totalement nu sur sa table médicale.
— Mets-toi à l’aise, me dit-t-elle en souriant.
— Depuis combien de temps n’as-tu pas fait l’amour, poursuit-t-elle d’une voix douce.
— Deux semaines, lui dis-je timidement.
— C’est parfait, tu as des réserves et ton plaisir n’en sera que plus grand.
— Comme tu le sais, je pratique l’électrostimulation.
— Mon point fort, c’est de pouvoir donner de nombreux orgasmes avec ou sans éjaculation.
— Tu vas découvrir des plaisirs intenses que tu n’imagines même pas.
— Je vais t’attacher pour ne pas que tu bouges pendant la séance, me dit-t-elle.
Elle immobilise mon torse et mes bras avec des sangles en bloquant mes jambes dans des étriers.
Pour préserver mon anonymat, elle me pose un masque sur les yeux en me montrant du doigt les deux caméras chargées d’enregistrer la séance.
L’une est installée au plafond et l’autre fixée au mur face à moi.
A l’aide d’un écran et d’un boîtier qu’elle tient en main, Claudia peut à tout moment cadrer les scènes au grand angle ou zoomer entre mes cuisses.
— Je revends mes productions à mes clients, à des particuliers ou à des magazines érotiques, me confie-t-elle en démarrant les prises de vues.
Puis, Claudia commence la séance en m’écartant les cuisses d’une manière obscène pour s’ouvrir l’accès à mes fesses.
Dans cette position indécente, je suis totalement livré aux pulsions dominatrices de ma Maîtresse.
— Je vois que tu aimes te faire enfiler, me dit-t-elle en explorant d’un doigt les renflements caractéristiques de ma rosette causés par mes nombreuses pénétrations anales.
C’est donc sans scrupule que Claudia lubrifie mon fourreau et m’enfonce d’emblée ses quatre doigts dans les fesses.
Sans me quitter des yeux, elle rentre ensuite son pouce, puis sa main qu’elle enfonce jusqu’au coude.
A son regard brûlant, je m’aperçois qu’elle éprouve un vrai plaisir à me violer de la sorte…
— Je n’ai pas souvent la chance de recevoir des initiés tel que toi, me dit-t-elle.
Je pousse des gémissements de douleur lorsqu’elle me fiste avec son poing pour achever de me dilater l’anus.
Puis, elle saisit sur une étagère un plug métallique torsadé de gros diamètre qu’elle lubrifie avec un gel conducteur.
En me fixant de ses yeux de braise, elle l’enfonce profondément dans ma grotte pour que le courant électrique puissent m’irradier le ventre.
Son attention se porte maintenant sur ma queue qu’elle recouvre entièrement d’un gel conducteur.
Elle poursuit en me posant un cockring à électrodes qui enveloppe mes bourses en entourant la base de ma verge.
Enfin, elle glisse autour de mon gland un anneau en silicone recouvert du même gel.
Claudia n’a plus qu’à brancher les différents fils de cuivre à sa télécommande.
Une décharge électrique douce et bienfaisante se propage dans mon ventre quand elle actionne son boîtier.
Traversés par le courant, mes sphincters se contractent en permanence indépendamment de ma volonté.
Ces contractions gagnent la racine de mon sexe qui se met à battre la cadence.
Ma Maîtresse affine ses réglages.
Je vois ma queue en gros plan sur l’écran tressauter sous les impulsions électriques.
Puis, Claudia m’enfonce le plug torsadé dans le ventre en explorant les moindres recoins de ma grotte.
Guidée par mes gémissements, elle repère mes points sensibles sur lesquels elles s’attardent longuement.
Le courant traverse mon point G et mon périnée en me donnant de troublantes sensations.
Puis, l’anneau qui entoure mon gland électrise mon frein en me déclenchant une forte érection.
Mon regard se pose sur mes bourses emprisonnées dans le cockring qui se contractent en permanence sous les fortes stimulations.
Pour éviter une éjaculation précoce, ma maîtresse programme avec beaucoup de soin ma montée en régime.
Au gré de mes réactions, elle change constamment le rythme, l’intensité et la durée des impulsions.
Des ondes électriques bienfaisantes et de plus en plus fortes se succèdent entre deux pauses.
Ces interruptions sont très agréables car elles me donnent une sensation de plénitude érotique.
Claudia m’observe attentivement en pianotant sans cesse sur son clavier pour majorer mon plaisir.
Elle augmente ainsi la durée et l’amplitude des ondes qui se propagent à la fois dans mes testicules, mon gland et mon anus.
— Ton plaisir va saccroître par la capacité de ton cerveau à transformer les sensations électriques en signaux érotiques, m’affirme-t-elle les yeux rivés sur la goutte translucide qui vient d’apparaître à la surface de mon gland.
Peu de temps après, mon corps se tend sous la vague déferlante qui va m’emporter.
Je vois en gros plan sur l’écran une épaisse coulée blanchâtre sortir de ma verge en érection et glisser lentement le long de ma hampe.
Le flot est continu et ne semble pas devoir s’arrêter.
Ce spectacle est aussi excitant pour moi que pour ma belle amazone.
Tout en gardant le contrôle sur moi, elle regarde fascinée mon sexe tendu à l’extrême se vider sans fin devant ses yeux.
D’un doigt, elle recueille la semence qui recouvre mon gland en le portant à ses lèvres.
— J’aime goûter le sperme de mes soumis, me dit-t-elle d’un regard trouble en voyant ma source de vie se tarir peu à peu.
Je reste étonné par la quantité de sève qui m’inonde le ventre et qui est bien supérieure à une éjaculation classique.
— C’est normal me dit-t-elle, le volume de sperme est toujours plus important lors d’une électrostimulation.
Sans me quitter du regard, Claudia prolonge mon plaisir en modifiant subtilement ses réglages.
Il y a maintenant une véritable complicité qui s’établit entre nous.
Attentive à mes réactions, elle m’arrache des gémissements de plaisir.
Longtemps après avoir coupé le courant, Claudia regarde fixement mon illet qui se contracte toujours devant ses yeux.
— L’avantage avec l’électrostimulation, c’est que je peux continuer à te donner des orgasmes secs, m’assure-t-elle.
Après une courte pause, Claudia me le prouve en réactivant le courant dans la sonde anale.
En stimulant uniquement mon point G, elle me déclenche des orgasmes à répétitions sans éjaculation.
Comme une femme, je jouis plusieurs fois de suite.
Le corps tendu en arc de cercle, j’ai de nombreux orgasmes avant de m’effondrer épuisé de fatigue.
— La prochaine fois, j’utiliserai un vacuum pour te faire bander davantage en t’enfonçant un plug dans l’urètre afin que le courant puisse t’irradier la queue.
— Cela va te faire grimper au rideau, m’affirme-t-elle dans un rire de gorge évocateur.
La séance finit par sachever et je quitte ma Maîtresse en me promettant de la revoir très vite.