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Les bisous dans le cou – Chapitre 3




Le voyage en bus passe comme un songe. On s’embrasse tellement qu’on trouve à peine le temps de s’arrêter pour respirer. Nos mains audacieuses se promènent partout. On arrive à se retenir juste assez pour ne pas se faire jeter.

Quand on a franchi le pas de la porte de notre appartement, mon top est déjà par terre. Je ne sais pas si c’est elle ou moi qui l’a retiré. On est comme folles, alternant baisers profonds, caresses et rires nerveux. La fixant dans les yeux, émue, je m’entends lui dire:

"J’ai envie de faire l’amour avec toi"

Elle rit: "Oui, ça se voit un peu"

J’entaille ma lèvre avec les dents et je me jette sur Faustine pour la débarrasser vite fait de sa petite robe. J’ai déjà vu ma meilleure amie à poil très souvent mais jamais avec ces yeux. Elle est ouah. Jamais je n’avais remarqué à quel point elle est sexy.

Je la pousse jusqu’à sa chambre avant de la jeter sur son lit (il est plus grand que le mien). En chemin, dans un rire nerveux, elle a retiré son soutien-gorge et dès qu’elle atterrit sur le matelas je lui arrache son shorty. Elle est étendue, entièrement nue, offerte, et me jette un regard émerveillé que je ne lui connais pas

Enfin couchée sur elle, je l’embrasse et je commence à lui faire tout ce dont j’ai envie depuis tout à l’heure. Je couvre sa gorge de baisers alors que ma bouche part à la découverte de ses beaux seins, que je caresse tendrement avant d’en gober les pointes qui durcissent sous mes dents en lui arrachant des soupirs de ravissement.

Après la fièvre de tout à l’heure j’ai retrouvé plus de sérénité, ce qui ne tempère en rien ma faim de Faustine mais me fait prendre conscience que nous sommes, elle et moi, en train de vivre un tournant, un moment qui va bouleverser nos existences.

Elle me tire de mes rêveries en me balançant sur le matelas dans un mouvement de catch. Désormais c’est elle qui est en-dessus, et avec un sourire de chipie, elle tire de toutes ses forces sur mes leggings pour m’en débarrasser, avant de m’enlever mon soutien-gorge et mon string.

Ça y est: nous sommes nues toutes les deux et nous pouvons faire l’amour.

Enfin, dans l’intimité de notre appartement, nous pouvons écouter nos désirs, enfin nous pouvons caresser nos corps, les explorer, les découvrir sans avoir à nous retenir ou nous cacher. Enfin sentir sa peau de fille contre ma peau de fille, étreindre sa taille fine, l’embrasser, peloter ses jolis seins, l’embrasser encore, caresser son beau petit cul, l’embrasser toujours, pendant qu’elle me fait exactement la même chose, rires, soupirs et gémissements mêlés.

Après l’avoir connue gamine, avoir grandi avec elle, avoir été son amie et rien que son amie pendant si longtemps, ça devrait être bizarre de baiser Faustine, ça devrait être étrange de toucher une fille, de sentir ses mains partout sur mon corps, de faire avec elle une première expérience d’une étreinte homosexuelle alors que j’aurais pu jurer que je n’avais pas ce genre de désirs. Mais non. Le plus bouleversant, c’est à quel point tout cela me semble naturel, à quel point le fait que ma meilleure amie soit en train de devenir ma maîtresse me paraît normal.

C’est moi qui franchis la barrière suivante. J’ai trop hâte.

Sur le flanc, je me love contre mon amante, mon corps épousant le sien, mes seins taquinant ses seins, et, téméraire, je glisse un doigt dans son sexe. Je le trouve doux, tiède et très mouillé. Rougissant, elle pousse un petit cri de surprise avant de me sourire.

Ça y est je suis en elle: mes doigts sont à l’intérieur de Faustine et viennent déjà en explorer les replis intimes, chercher à localiser les zones les plus sensibles, presque aussi naturellement que si j’avais déjà caressé une fille. Je suis émue de voir le plaisir sur son visage, ses sourcils froncés et sa bouche ouverte:

"Oh Yamina" soupire-t-elle.

Je sens sa main remonter entre mes cuisses. Avant d’entrer, elle me regarde profondément dans les yeux, pour être sûre de ne rien manquer de ce moment. Il est merveilleux. Je frémis quand les doigts de Faustine pénètrent à l’intérieur de mon vagin. On se sourit tendrement

Et voilà. Ma meilleure amie commence à me masturber. Elle tâtonne, explore et finit par trouver les gestes qui me font grimper au plafond.

Elle me branle et je la branle, alors que nos corps chauds sont plaqués l’un contre l’autre et que nous nous mangeons des yeux, la fièvre grimpant et transformant nos respirations en râles. C’est beau de la voir s’abandonner au plaisir que je lui donne; c’est bon d’en recevoir. Entre elle et moi, il n’y a plus aucune barrière.

Peu à peu, tous mes nerfs sont en effervescence, le plaisir grimpe, grimpe, grimpe et je sens qu’une explosion se prépare entre mes jambes. A voir Faustine qui halète et plisse les yeux, elle est dans le même état que moi. Elle accélère le mouvement de ses doigts dans mon sexe et j’adopte le même rythme qu’elle. Je serre les dents pour me retenir de crier

Puis je lâche tout.

Mon corps est balayé par une onde de plaisir inouï, insoupçonné, incontrôlable. Ma vue se trouble, mes poils se hérissent, ma chatte est animée de petits big bangs.

Faustine part à son tour: je sens les muscles de ses cuisses se crisper. Son ventre se cabre contre le mien. Elle pousse un gémissement émouvant.

Ravies et anéanties, nous nous effondrons chacune de son côté, essoufflées comme après un cent mètres.

"Je t’aime Yamina" dit-elle dans un soupir.

Son aveu m’électrise, me fait prendre conscience de ce que je veux, me donne envie de lui montrer à quel point moi aussi je suis amoureuse d’elle.

"Oh je t’aime" dis-je en fonçant entre ses jambes.

Je m’approche de son sexe comme un squale de sa proie. J’ai faim d’elle. Au passage je dépose des dizaines de bisous à l’intérieur de ses cuisses. Puis j’ose un baiser sur sa chatte entrouverte. Elle est magnifique.

Je suis un peu intimidée: malgré tout ce qu’on vient de se faire, à l’idée de lécher ma copine j’ai l’impression de vraiment basculer dans le monde des lesbiennes. Mais j’ai trop envie et je suis trop curieuse pour que ça me retienne longtemps.

De ma langue, j’ouvre le sexe humide de Faustine et j’en explore les replis intimes. Sous l’effet du plaisir, son corps se cambre, s’arqueboute en direction de ma bouche. Elle me fait entendre sans fausse pudeur son contentement en une succession de petits cris adorables.

J’adore ce que je lui fais: j’ai toujours aimé donner du plaisir aux garçons avec la bouche mais là, pénétrer ainsi en elle me paraît encore bien plus intime. Je suis amoureuse de sa chatte: j’aime le goût de son jus de fille, j’aime son odeur quand elle est excitée, j’aime les spasmes qui courent dans ses muscles quand je la lèche. C’est si bon de lui faire du bien, exactement comme j’aime qu’on me le fasse. J’enroule ma langue autour de son clitoris, je le ravis, je l’agace, je le mordille, je le suce entre mes lèvres.

"Oh Yamina Oui C’est bon" dit-elle.

Je peux sentir sa fièvre qui monte. A chaque lapement elle tremble de plus en plus, ses respirations deviennent des gémissements, puis des cris, elle agrippe le matelas, elle le frappe, elle secoue la tête.

"Oui Oui Oui"

Devinant que son orgasme est tout proche, j’accélère le rythme, encore et encore, d’une langue dure et déterminée, jusqu’à l’emmener au bord du précipice sublime et de la lâcher, dans un cri silencieux, tout au fond de l’océan du plaisir.

Elle se fige. Puis elle pousse un cri merveilleux, un cri d’extase, avant de retomber sur le matelas, pantelante, rayonnante.

Je regarde ma meilleure amie, mon amante, mon amoureuse, fière d’avoir été à l’origine d’un si bel orgasme.

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