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Un père admirable – Chapitre 5




Après les cours, Jessica, 17 ans, rentre chez elle accompagnée de son petit ami.

— Ça me stresse un peu que tu veuilles me présenter ton père, lança Nicolas.

— T’inquiète pas, ça va bien se passer, le rassurai-je.

— Comment tu peux le savoir si je suis le premier que tu lui présentes ?

— Parce que je le connais.

— D’accord, parles-moi de lui.

— Très bien, commençai-je, mon père a 36 ans. Il est éducateur spécialisé. Son sport favori c’est lAïkido, il est champion régional. Sa couleur préférée c’est bleu comme mes yeux. Son animal préféré c’est le loup. Il rêve d’aller vivre en Australie et il aimerait fêter ses 40 ans sur un bateau de croisière.

— Tu sais tout ça sur ton père ? demanda Nicolas surprit.

— Bien sûr et je sais pleins d’autres trucs aussi, lançai-je ravie de pouvoir parler de mon père. Par exemple il aime son café bien noir et sans sucre. Son repas préféré c’est la nourriture asiatique. Il préfère regarder le rugby que le foot. Mon père ne montre jamais quand il est triste ou contrarié. Il déteste la violence et est prêt à tout pour protéger les personnes qui lui sont chères. Mon père ne s’en rend pas toujours compte, mais il fait de grandes preuves d’amour au quotidien.

— Tu tiens vraiment à lui.

— Plus que tout au monde.

— Et moi, tu m’aimes ? demanda-t-il.

— Je l’aime plus que toi, répondis-je franchement. C’est trop tôt pour que je sois amoureuse de toi.

Nous entrâmes chez moi. Nicolas s’assit dans le canapé tandis que je lui apportai un verre de jus de fruits. Il complimenta la maison et la décoration.

— C’est ton père ? demanda-t-il alors que je m’asseyais à côté de lui.

Nicolas me montrait un cadre photo posé sur la bibliothèque.

— Oui, c’est lui, souris-je.

— Tu lui ressembles pas du tout, déclara-t-il, à part la bouche peut-être.

— Je sais.

Je n’arrivais pas à quitter la photo des yeux. Nicolas glissa sa main dans la mienne. Je tournai la tête vers lui et il m’embrassa. Mon petit ami fermait toujours les yeux à ces moments-là. Mes lèvres suivaient le rythme des siennes. Sa langue s’inséra doucement dans ma bouche et commença une danse endiablée avec la mienne. Elles s’emmêlaient, se caressaient, se titillaient et se tétaient. J’adorais les sensations que cela faisait monter en moi.

— Tu penses qu’on fera l’amour un jour ensemble ? demanda-il après plusieurs minutes.

— Si un jour on se marie, oui, répondis-je.

Je décidai de me servir des conseils de mon père pour lui répondre. Et le mariage était la meilleure excuse à un "non".

— Pourquoi attendre de te marier pour faire l’amour ?

— Pour être sûre de faire l’amour avec quelqu’un qui m’aime vraiment.

— C’est n’importe quoi, plus personne attend le mariage pour le faire. A 17 ans, tout le monde l’a déjà fait.

— Peut-être mais moi, je suis Jessica. Je ne m’appelle pas tout le monde et j’ai encore toute la vie devant moi pour faire l’amour.

— T’as jamais eu envie d’essayer ?

— Non, mentis-je. Tu avais quel âge quand tu l’as fait ?

— J’avais 13 ans et la fille en avait 17. Elle était canon comme toi sauf qu’elle était brune.

— Pourquoi tu l’as fait si tôt ?

— Les parents d’un cousin avaient beaucoup de films pornos. On les regardait ensemble dès que ses parents n’étaient pas là. Et on avait envie d’essayer. Sa sur était copine avec la fille. Quand elle nous l’a présentée, on est tous les deux tombés amoureux d’elle. Mais on était trop timide pour lui demander de sortir avec nous. J’étais le premier à dire à ma cousine que je voulais sortir avec elle et à lui demander de m’arranger un coup. Mon cousin lui a demandé pareil. Alors, elle lui a parlé de nous et la fille nous a donné un rendez-vous à mon cousin et moi. On a commencé à sortir avec elle ensemble.

— Comment vous faisiez ? demandai-je curieuse.

— On l’embrassait chacun notre tour et elle nous laissait la caresser partout.

— Elle avait déjà fait l’amour ?

— Oui… et elle a accepté de le faire avec nous deux ensemble aussi.

Son histoire me surprenait.

— Ça t’a pas gêné de le faire avec ton cousin à côté ?

— Non puisqu’on se branlait déjà ensemble devant des pornos. On a eu notre première fois ensemble, après ça nous a encore plus rapproché.

— Ben ne me demande jamais de faire un truc pareil, dis-je choquée.

Il se mit à rire.

— Ça m’a donné super envie en te parlant de ça, annonça-t-il

J’étais gênée par cet aveu, mais j’étais aussi intriguée. C’était l’occasion pour moi d’en découvrir un peu plus sur le corps de mon père, par son intermédiaire.

— Comment tu sais que tu as envie de faire l’amour ? demandai-je.

Nicolas me sourit apparemment content que je lui pose la question. Il se mit en arrière et me montra une grosse bosse sous son pantalon.

— Je bande quand j’ai envie, répondit-il. J’ai une érection, si tu préfères.

— C’est ça ? demandai-je

Il hocha la tête en souriant.

J’avais entendu mes copines en parler, mais n’en avais encore jamais vu. J’approchais timidement la main de cette grosse bosse. Je la caressais sur toute sa longueur par-dessus le tissu. Je la prenais entre mes doigts pour en juger la taille. Cela me ramena trois jours plus tôt, où j’avais serré mon père fortement contre moi. J’avais senti une grosse bosse très dure entre nous, contre mon ventre. Cela avait été rapide, car il s’était brusquement détaché de moi.

— Ça doit faire mal ?

— Non… Tu veux que je te montre ?

— Euh… oui, mais je veux voir quelque chose d’abord.

Nicolas me regarda surpris. Je lui demandais de se lever et je le serrais aussi fort que j’avais serré mon père contre moi. Malgré qu’il fasse une dizaine de centimètres de plus, je reconnu la même rigidité. J’avais la preuve que celui que j’aimais tant me désirait autant que moi. Cette découverte me rendit heureuse. Je me détachais de Nicolas en souriant.

— C’est bon, tu peux me montrer, déclarai-je. Je voulais juste savoir ce que ça fait.

— Ça t’a plu ? demanda-t-il en ouvrant son jean.

— Oui, dis-je en le regardant s’asseoir à mes côtés.

Nicolas sortit son sexe de son boxer bariolé. J’étais surprise par la taille imposante.

— Je comprends pourquoi mes copines m’ont dit que ça fait mal la première fois, dis-je sous le choc.

Il se mit à rire et commença à se caresser. J’observais attentivement sa main faire des va-et-vient sur son membre.

— Est-ce que tous les mecs ont le même sexe ? demandai-je.

— Non, le gland n’as pas toujours la même forme, dit-il en montrant l’intéressé. Y en a qui ont plus de veines qui sortent. Certains qui ont la queue tordue vers la gauche ou la droite. Y en a qui l’ont grosse et petite ou fine et longue. D’autres l’ont carrément grosse et grande.

— Et mon père, tu penses qu’il l’a comment ?

Nicolas fut surpris par ma question.

— Je sais pas… Mais comme il est plus vieux que moi, je dirai que sa queue doit être un peu plus grosse et sûrement plus longue.

J’étais un peu inquiète par la taille que cela représentait.

— Tu dois trouver mes questions stupides.

— Non, c’est cool, sourit-il. Tu veux toucher ?

Nicolas plaça sa main à la base de son sexe. Voir celui-ci dressé entre ses doigts m’excitait, mais je voulais que celui de mon père soit le premier que je toucherais.

— Non, merci. Continue j’adore regarder, l’encourageai-je. C’est mieux qu’en cours d’éducation sexuelle.

Il me sourit et sa main fit des va-et-vient plus rapides. Si rapides que je ne voyais presque plus son sexe, ce qui me déçut. Mais lui, il rougissait de plus en plus.

Je l’entendais respirer de plus en plus fort. Ça m’excitait de le voir prendre du plaisir.

— Tu aimes ? demandai-je bêtement.

— C’est super bon… mais c’est mieux quand c’est une fille qui le fait.

— Et est-ce que comme moi, il arrive un moment où c’est meilleur que tout ? demandai-je.

— Oui, je vais te faire un super feu d’artifice !

Nicolas mit sa deuxième main sur ses testicules et commença à les masser entre ses doigts.

Il ralentit ses va-et-vient.

— Regarde, je mouille, dit-il en me montrant son gland.

Il passa un doigt dessus pour que je voie bien la goutte qui perlait sur son il.

— C’est normal ?

— Oui, bien sûr, sourit-il. Regarde, je passe bien ma main sur mon gland pour étaler ma mouille sur mes doigts. Après, je recommence à branler… comme ça. Tu vois? Et ça glisse mieux.

— C’est meilleur, lançai-je en souriant.

— Tu sais de quoi tu parles, remarqua-t-il. Tu te doigtes souvent ?

— Presque tous les jours, avouai-je.

— Tu veux que je te le fasse ?

— Non, j’ai pas envie, dis-je brusquement.

— Dommage, j’adore faire jouir les filles.

Je reportai mon attention sur son sexe qu’il branlait toujours. Il mouillait régulièrement dans sa main. Ça me donnait très envie de me caresser en même temps. Je me sentais mouiller moi aussi.

— Tu penses que tous les mecs se branlent ? demandai-je.

— Bien sûr, sourit-il. Hier soir, mes vieux se sont engueulés parce que ma mère a surpris mon père en train de se branler devant un porno.

J’aurais donné n’importe quoi pour surprendre mon père en train de se donner du plaisir. Je l’aurais épié et je me serais caressée en même temps. Ça serait mieux encore s’il me surprenait et que tout excité, il se caressait devant moi.

Cette idée me fit baver involontairement. Je m’en léchais les lèvres.

— J’adore quand tu regardes ma queue comme ça, lança soudainement Nicolas.

Je le regardai surprise.

— Ne soit pas gênée, dit-il en souriant. Tu veux l’embrasser ?

Je fus encore plus surprise.

— Tu peux aussi lui faire juste un petit bisou sur la tête, proposa-t-il en parlant de son gland.

Le voir briller de mouille ne me donnait vraiment pas envie de l’embrasser.

— Non, merci.

— Dommage, j’adore ça, déclara-t-il. J’aurais jouis plus vite.

Je fis "non" de la tête. Il haussa les épaules et continua en me regardant.

Après plusieurs minutes, je commençais à m’ennuyer. Je jetais discrètement un coup dil à ma montre.

— Il met longtemps à venir ton feu d’artifice, mon père va quitter son boulot dans 5 minutes.

— T’as pas un film porno ? demanda-t-il.

— Non.

— Ton père en a sûrement dans sa chambre.

— Je sais pas, j’ai jamais fouillé… Bon, allez ! Dépêche-toi ! ordonnai-je.

— T’es drôle, toi ! Ça vient pas comme ça !

— Quoi ? Moi, j’aurai déjà fini depuis longtemps !

— Ah ouais ? Ben vas-y commence ! On fait un concours.

— J’ai pas envie de faire ça devant toi.

— Montre-moi tes seins ça va m’exciter, dit-il après un court silence.

— D’accord, mais 5 minutes, pas plus, acceptai-je. Si après, t’as pas fini, tant pis pour toi. Tu seras obligé d’arrêter. Je voudrais pas voir mon père te surprendre. Sinon, il va te tuer… c’est sûr.

— OK, 5 minutes.

J’ouvris les boutons de ma tunique et mon soutien-gorge en dentelle noire. Le nud bleu turquoise cachait une accroche située devant. J’avais trouvé ça super sexy.

— Hééééééé ! Trop bien ton soutif ! s’exclama Nicolas en me regardant faire. Putain ! T’as la plus belle paire de seins que j’ai jamais vue !

J’étais surprise par son compliment. Nicolas les regardait comme s’il venait de découvrir un trésor. Mon père les avait fixé ainsi quelques instants lui aussi, le matin même. Soudain, je me rappelai son texto : "Je t’ai trouvé très jolie…". Je souris de plaisir.

— Caresse-les ! ordonna Nicolas.

Je pris mes seins à pleine main et commençait à les caresser et les masser comme j’adorai. Je les pressai l’un contre l’autre. Je caressais délicatement mes tétons qui se dressèrent très vite. Mes yeux furent attirés par la photo de mon père, dans la bibliothèque. Son sourire m’encouragea à m’appliquer davantage. Je me caressais les seins avec plus de douceur et de sensualité. Mes soupirs de plaisir m’excitaient. Je faisais des ronds avec mes seins en les massant. Je caressais mes tétons en les faisant rouler entre mes doigts.

— Oh ! Oui, vas-y tu m’excites ! lança Nicolas.

Je ne le voyais plus. Il n’y avait plus que mon père et moi. Je me caressais pour lui. Je pris mes seins en coupe et les portai à mes lèvres. Je léchais et tétais mes tétons. Je trouvais cela très agréable et super excitant.

— Oh ! Là tu vas l’avoir ton feu d’artifice ! s’exclama Nicolas.

Il se plaça devant moi, cachant mon père. J’en levais les yeux de surprise.

Soudain, je vis des grands jets de liquide blanc sortir de son gland. Ils zébraient mes seins que je tenais toujours en coupe. Nicolas avait le visage rougit et crispé. Aucun son ne sortait de sa bouche. Je me demandai même s’il respirait. Lorsque mon petit ami eut fini de jouir, il ouvrit les yeux et me sourit.

— C’était super ! lança-t-il en se rhabillant.

Je ne savais comment réagir devant ce sperme qui tapissait mes seins.

Soudain, je reconnus le bruit de moteur de la voiture qui se garait devant la maison.

— Merde, c’est mon père ! m’écriai-je.

Je me rhabillai en hâte. Nicolas passa ses mains dans mes cheveux pour les arranger.

— C’est bon tu es parfaite, dit-il en embrassant mes lèvres.

— On s’embrasse pas devant mon père, le mis-je en garde.

Je le vis hocher la tête et partis à la rencontre de celui-ci. Il m’accueillit avec un baiser sur le front.

— Toi, tu sors du frigo, lança-t-il. Tu as du lait ici.

Il me souriait en me montrant mon décolleté d’un signe de tête.

— Oh ! Désolée ! m’excusai-je en me rendant dans la cuisine pour me nettoyer.

— T’excuses pa, je sais très bien que tu bois toujours un grand verre de lait frais avec un sandwich de Nutella quand tu rentres des cours.

Je pouvais entendre un sourire dans sa voix si douce. J’avais beaucoup aimé me caresser les seins devant sa photo. C’était la première fois pour moi. Mais, j’en voulais à mon petit ami d’avoir joui sur moi. Heureusement que mon père ne s’est douté de rien.

— Bonjour, je suis Nicolas, se présenta celui-ci.

— Bonjour, Adam.

Je les vis se jauger l’un l’autre. Nicolas baissa la tête ne sachant pas quoi dire. Mon père l’invita au salon. Je lui portai une bière bien fraîche.

— Merci, ma chérie, sourit-il en m’invitant à m’asseoir à ses côtés.

Mon petit ami parut surpris. Je m’assis à place que mon père m’avait gardée. Il entama la conversation en s’intéressant à ses loisirs et ses ambitions. Voyant qu’ils n’allaient pas s’entre-tuer, je décidai de les laisser pour préparer le dîner.

Nicolas s’apprêtait à partir lorsque mon père le menaça :

— J’espère pour toi que tu n’as pas l’intention de faire souffrir ma fille. Si j’apprends que tu l’as faite pleurer tu auras à faire à moi.

— Euh… oui, m’sieur, déglua-t-il en baissant les yeux.

J’allais dire au revoir à mon petit ami sur le pas de la porte. Mais mon père me proposa de l’accompagner jusqu’à notre portillon.

— Ça me fait drôle de vous voir si proches tous les deux, lança-t-il, je ne sais rien sur mes parents. C’est comme si on vivait dans deux mondes différents… A lundi.

Nicolas tenta de m’embrasser sur les lèvres. J’esquivai de justesse et lui tendis la joue.

— Tu es fou ! Mon père pourrait nous voir.

— Et alors puisqu’il est au courant qu’on sort ensemble ?

— J’aime pas c’est tout, dis-je fermement. A lundi.

Je me retournai pour rentrer chez moi. Je croisai le regard de mon père derrière la fenêtre de la cuisine. Je me sentis fière de ne pas avoir embrassé mon petit ami. Je le laissais pour rejoindre celui que j’aimais plus que tout.

****************

Chapitre 6

Jessica est seule dans sa chambre.

Après avoir pris une bonne douche et enveloppé mon corps de lait parfumé, j’ai mis ma tenue de nuit. Il s’agissait d’un ensemble top et shorty en tulle rouge. Je trouvais que la matière douce et transparente était très agréable à porter. Un fin ruban de dentelle noir bordait le décolleté et se croisait entre mes seins. Le même ornait la ceinture du shorty. J’admirai la nudité de mon corps à travers ma lingerie dans le miroir, quelques instants.

J’entrouvris la porte de ma chambre d’une vingtaine de centimètres pour encourager mon père à entrer lorsqu’il viendrait me souhaiter bonne nuit. Je l’avais trouvé très pensif pendant le dîner. Nous étions donc restés silencieux. Puis, il s’était enfermé dans son bureau pour téléphoner.

Je m’allongeais sur mon lit avec un roman fantastique. J’étais prise dans ma lecture lorsque j’ai entendu l’eau de la douche couler. Je l’ai imaginé nu, en train de se savonner. La vision de l’eau coulant à flots sur sa peau bronzée troubla ma lecture. Je sentis le désir monter en moi.

Quelques minutes plus tard, mon père frappait à la porte de ma chambre. Je relevai la tête et croisai ses yeux. Son regard était semblable à celui de Nicolas, lorsque je m’étais caressée les seins devant lui. Sa tête était passée dans l’entrebâillement de la porte.

— Je suis venu te dire bonne nuit, sourit-il.

— Entre.

Je posais mon roman sur le sol et enlevait un des oreillers de derrière mon dos pour le placer à mes côtés.

— Viens t’asseoir à côté de moi, lui proposai-je en tapotant le lit…

Mon père entra en souriant. Il était uniquement vêtu d’un pantalon de survêtement. Je ne pus empêcher mes yeux d’épouser le contour de chaque muscle de son torse. Je suivis son merveilleux corps du regard, l’observant prendre place à mes côtés.

— On va être un peu serré dans ton lit une place, tu ne trouves pas ?

Il s’était allongé et avait passé un bras autour de mon cou, ainsi qu’une main sur mon ventre, pour se mettre à l’aise. J’ai cru faire une crise cardiaque en sentant sa peau douce et encore humide contre moi.

— Est-ce que ça va ? demanda mon père.

Je fis "oui" de la tête, les lèvres entrouvertes. Mais en fait, non ça n’allait pas du tout. J’étais incapable de parler et de bouger. Ma gorge était sèche. Mon cur battait si fort dans ma poitrine que je pouvais l’entendre. Je désirais presser mon corps contre le sien. Je voulais le caresser et l’embrasser, mimprégner de sa douceur et de chaque détail. Je sentais mon bouton gonfler de désir dans mon shorty. Tandis qu’un filet de mouille caressa mes lèvres et l’humidifia.

— Tu sais que c’est ton père que tu regardes comme ça ?

Je levais mes yeux vers les siens. Ils me souriaient. Ses lèvres pulpeuses et sensuelles étaient étirées sur des dents blanches et parfaitement alignées. Sa bouche était si près de mon visage que je pouvais sentir son haleine mentholée le caresser. J’avais envie de l’embrasser tendrement et délicatement. Je passais ma langue sur mes lèvres sans pouvoir quitter les siennes des yeux.

Je l’entendis rire. Mon père prit mon visage dans sa main et déposa un baiser vif et bruyant sur ma joue.

— Je t’adore, ma chérie ! s’exclama-t-il. Puisque tu ne veux pas me parler, alors je te souhaite de passer une bonne nuit.

Il se relevait déjà. J’attrapais sa main.

— Non, ne pars pas !… Pas tout de suite.

Mon ton suppliant me surprit. Mon père me sourit et revint s’allonger à mes côtés. Je me blottis contre lui. Nos visages étaient côte à côte et nos yeux à la même hauteur. Je respirais l’odeur agréable de sa peau et de son haleine. Il posa sa main sur mon ventre. Nous restâmes quelques instants ainsi, en silence. Ne plus voir son corps, mais juste en sentir le contact me troublait moins.

— Qu’est-ce que tu penses de Nicolas ? finis-je par demander.

— Il confirme mes craintes… Il veut juste coucher avec toi. Je suis vraiment désolé.

Mon père connaissait les jeunes par cur à force de les côtoyer dans son métier. Je savais qu’il aurait un jugement juste et c’est pour cela que j’ai tenu à le lui présenter.

— Ce n’est pas grave, je ne suis pas amoureuse de lui et il me quittera.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Parce que cet après-midi je lui ai fait peur en lui disant que je ferai l’amour que le jour où je me marierai.

Mon père sourit un bref instant.

— Il t’a donc déjà fait des propositions, dit-il gravement. Je ne veux pas te voir souffrir.

— Tant que je serais avec toi, je serais super heureuse.

Un autre sourire, mais son regard se modifia. Je pus y lire l’envie de m’embrasser. Au lieu de cela, il déposa délicatement ses lèvres sur mon épaule. Je le regardais faire en souriant. Le contact sur ma peau était très agréable. Sa main sur mon ventre vint caresser mon bras, de mon biceps au poignet. Il embrassait délicatement mon épaule en me regardant dans les yeux. Le souffle coupé, j’en frissonnais de plaisir. J’étais hypnotisée par ses prunelles, d’un caramel chaud, brûlantes et lumineuses.

— Tu te souviens de mon premier amoureux que j’ai eu ? demandai-je.

— Oui, tu étais en maternelle et tu en as pleuré pendant deux jours lorsqu’il a cessé de t’aimer, dit-il contre ma peau.

— Tu m’as dit quelque chose qui m’a beaucoup touchée et qui m’a tout de suite consolée.

— Ah oui ? demanda-t-il en fronçant les sourcils.

Mon père continuait de m’embrasser l’épaule en me caressant le bras pendant que nous discutions.

— Oui, tu m’as dit que ce n’était pas grave s’il ne m’aimait plus parce que toi, tu m’aimeras toujours.

13 ans après, cette phrase m’émouvait toujours autant. Je sentais les larmes me monter aux yeux. Mon père, s’apprêtant à déposer un nouveau baiser sur ma peau, arrêta son geste. Ses yeux surpris fixaient les miens.

— Tu t’en souviens ?

— Oui, bien sûr. De même quand tu disais que j’étais ta princesse et que tu me faisais des bisous de prince charmant quand tu me lisais mes livres de contes de fée.

Soudain, mon père nicha son visage dans mon cou et me serra contre lui.

— Tu es ma fille, mon unique raison de vivre. Je ne veux pas te faire de mal ni te perdre.

Je pris sa tête entre mes mains et enfonçai tendrement mes doigts dans ses cheveux si doux.

— Je sais que je peux te faire confiance à 100%, tu ne me feras jamais de mal, le rassurai-je d’une voix douce.

Je savourais cet instant délicieux. La douceur de sa peau contre la mienne aiguisait mon désir. Je m’abandonnais dans la force de ses bras qui me serraient délicatement.

Mon père releva doucement la tête. Je lui souris et remis en place la petite mèche de cheveux qui tombait sur son front. Je caressais délicatement sa joue.

— Tu penses ça sans savoir, sans connaître mes désirs les plus profonds.

Une lueur triste passa dans ses yeux. Il reprit sa place. Mais son visage fixait le plafond. Je pris sa main dans la mienne et le regardais en silence. Celui-ci restait immobile quelques instants, puis se tourna contre moi.

Mon père me sourit.

— Qu’est-ce que je sens ? demanda-t-il en humant l’oreiller. C’est mon parfum…

— Euh… Oui, j’adore ton odeur et… je voulais t’avoir près de moi, même la nuit.

Il se mit à rire.

— Quand tu étais bébé, tu avais déjà besoin de sentir mon odeur pour t’endormir. Je devais garder ton doudou contre moi pendant des heures avant de te le rendre. On a dû en acheter deux identiques pour que tu en aies toujours un avec toi. Je suis même parfois parti avec au boulot.

Il sourit à ce souvenir, puis son sourire se mua en rire. Je pouvais voir ses yeux briller de bonheur.

— Je suis un vilain, très vilain Papa, finit-il par dire d’un ton sérieux.

Il posa sa tête dans mon cou.

— C’est vraiment très joli ce que tu portes, murmura-t-il en caressant la bordure en dentelle de mon top.

Je sentais ses doigts frôler ma poitrine. Ma peau se hérissait et le désir me parcourait de frissons.

— Quoi que peut-être un peu trop transparent, reprit mon père sans cesser ses caresses.

— Non, je trouve pas, souris-je.

Sa façon de regarder mes seins me procurait beaucoup de plaisir.

— Est-ce que tu as besoin que je te donne plus d’argent de poche ? demanda-t-il.

Je fus surprise.

— Non, répondis-je. Tu m’en donnes assez pour payer mon portable, m’acheter un livre ou deux et faire des sorties avec des copines. J’arrive même à en mettre de côté pour payer mon permis, plus tard.

— Ton permis ? C’est hors de question… C’est moi, qui te le payerai. Peut-être y a-t-il un cadeau que tu voudrais que je t’offre ?

— Euh… Là, non je ne vois pas, répondis-je prise au dépourvu. Pourquoi ces questions ?

— Oh ! Comme ça…

Mais au son de sa voix, je voyais bien que quelque chose le préoccupait. Mon père posa son menton sur mon épaule et me regardait. Il avait passé une main sous mon top et me caressait tendrement le ventre. J’embrassai doucement son front en caressant ses cheveux.

— J’ai beaucoup aimé ton texto ce matin, murmurai-je.

— Je pensais à toi… Tu m’as énormément manqué aujourd’hui.

— Moi aussi, je pense beaucoup à toi la journée.

— Tu vas sans doute trouver ça étrange, commença-t-il. Je sais bien que c’est le premier petit ami que tu me présentes, pourtant j’en suis très jaloux.

— Ah bon ? Pourquoi ? demandai-je surprise.

— Parce que j’ai peur que tu l’aimes plus que moi. Mais aussi parce que j’ai peur qu’il s’y prenne mal et te manque de respect le jour où il fera de toi une femme. Et aussi parce qu’il passe plus de temps avec toi que moi.

— Papa, je ne pourrais jamais aimer quelqu’un plus fort que toi. Tu voudrais que j’aie ma première fois avec un garçon qui m’aime vraiment, mais penses-tu que j’en trouverai un qui m’aimera plus que toi ?

— Oh ! Non, ça c’est impossible, murmura-t-il contre ma poitrine.

Ses doigts faisaient des cercles sur mon ventre. Ses caresses étaient très douces et très sensuelles. Elles tenaient en éveil un désir brûlant qui me consumait toute entière de l’intérieur. J’essayais de ne pas montrer comme celles-ci me troublaient

Je caressais ses cheveux de mes deux mains à la recherche d’une solution pour qu’on passe plus de temps ensemble tandis qu’il me regardait dans les yeux.

— Il faudrait que tu puisses prendre des vacances en même temps que les miennes.

— On pourrait en profiter pour faire un petit voyage. Je pourrai louer quelque chose en montagne ou à la mer.

— Ça serait des supers vacances, dis-je excitée de passer plusieurs jours avec lui.

Je le voulais tout à moi sans cours ni boulot pour nous séparer. On passerait d’autres bons moments comme celui-ci ensemble. Et peut-être qu’il me fera enfin l’amour avant la fin de nos vacances. Cette idée humidifia encore plus mon entrejambe.

— Ça a l’air de beaucoup te plaire, sourit-il.

Je bougeais ma jambe près de lui afin de me mettre plus à l’aise. Ma cuisse frotta involontairement contre quelque chose de rigide sous son pantalon. Vu son érection, je devinais que mon père était aussi excité que moi.

— Oh ! Oui ! Beaucoup, lançai-je d’une voix involontairement très sensuelle.

Mon père parut surpris, puis je vis une lueur espiègle illuminer ses yeux lorsqu’il me sourit.

— Tu te souviens quand je t’embrassais le ventre quand tu étais petite ?

— Oui, j’adorais ça, ris-je en me rappelant nos jeux innocents.

— Est-ce que je peux le faire encore ?

Je fis "oui" de la tête en souriant. J’avais envie de l’embrasser. Mon père déposa un baiser sur ma poitrine, juste sous la bordure en dentelle de mon top en le relevant jusque sous mes seins. Il enfouit son visage dans ma peau tendre, puis se mit à souffler. Cela provoqua un son non flatteur qui nous fit rire tous les deux. Mon père recommença plusieurs fois, me rappelant mes bons souvenirs d’enfance.

Puis, il déposait des baisers caressants sur mon ventre. Ses lèvres si douces conquéraient ma peau mise à nue. Je trouvais cela très agréable. Je me sentais toute frissonnante de plaisir. Le désir avait dressé mes petits tétons roses. Je m’abandonnais à cette sensualité en caressant ses cheveux d’une main. Tandis que l’autre caressait ses bras musclés, ses épaules carrées et son dos. Mon père cherchait souvent mes yeux du regard. Le même désir brûlant dans nos prunelles.

Soudain, une petite langue rose et fine sortit des lèvres qui m’embrassaient. Je la regardais effleurer ma peau en traçant un cur autour de mon nombril. Mon père me sourit en déposant un baiser très tendre sur celui-ci.

— Je t’aime, murmura-t-il passionnément.

— Je t’aime aussi, répondis-je du même ton en caressant tendrement sa joue.

Mon père embrassa le creux de ma main, puis de nouveau mon nombril. Ses lèvres descendirent en suivant une ligne imaginaire jusqu’à la bordure de mon shorty.

Soudain, il s’arrêta et releva la tête pour mieux le regarder. Puis, il me lança un regard surpris.

— Tu t’épiles ? demanda-t-il hypnotisé.

— Oui, je trouve que c’est plus joli à regarder et plus doux à caresser.

— Euh… c’est vrai, hésita-t-il. Mais pourquoi et depuis quand ?

— En fait, toutes les filles de la classe sont épilées. Un jour, dans les vestiaires, après le sport, on en a vu une épilée. Quelques jours plus tard, y en avait plusieurs. Avec mes copines ont trouvait ça joli et sexy, alors on a décidé de le faire avant de se retrouver les seules poilues de la classe.

— C’est un effet de mode, sourit-il.

— Ça je sais pas, mais du coup je peux me mêler à elles tout en étant la seule vierge sans que personne n’en sache rien.

— Perdre sa virginité ne devrait pas être un effet de mode, en tout cas, dit-il d’un ton réprobateur.

— Je suis tout à fait d’accord, dis-je en lui caressant la joue. L’important est que ce soit avec beaucoup d’amour, au bon moment et avec la personne qu’on aime plus que tout.

Nous échangeâmes un sourire, mais son regard était hésitant. Je continuais de caresser sa joue.

Mon père ferma les yeux et déposa un baiser… sur le tulle fin et transparent qui couvrait mon pubis. Cet effleurement aussi léger soit-il nous surprit tous les deux par son intimité. Il chercha aussitôt mon regard. Je traçais le contour de son oreille du bout des doigts en lui souriant.

— Tu es très beau, murmurai-je.

— C’est ce que tu penses de moi quand j’ai la tête entre tes jambes ? lança-t-il.

Mon père posa sa joue sur mon pubis pour rire ouvertement. Son hilarité provoquait des vibrations dans mon vagin et mon utérus. Je trouvais cette sensation étrange.

J’eus soudainement peur qu’il s’aperçoive que j’étais mouillée. Preuve vitale que je le désirais en moi. Bien que son érection contre mon genou prouvait qu’il me désirait autant. Mon père déposa un nouveau baiser, au même endroit. Puis, il y appuya son front, ses narines reposaient contre la naissance de mes lèvres. Je sentis ses poumons, contre ma cuisse, se remplir d’air. Gênée qu’il puisse sentir mon odeur intime, je lui caressais l’arrière de la tête pour lui faire changer de position.

— Tu sens l’envie, sourit-il en me regardant.

Je ne compris pas le sens de sa phrase.

Mon père déposa un baiser à la naissance de mes lèvres. Je pouvais sentir sa bouche tout près de mon bouton. Je sentis un filet de mouille important s’échapper de mon vagin. J’ai eu honte.

— Tu sais ce qu’elles veulent dire tes caresses dans mes cheveux là ? demanda-t-il.

— Non, répondis-je timidement.

Il sourit, puis s’arrêta net en regardant mon entrejambe.

— Eh bien… Mademoiselle ! lança-t-il en levant ses yeux surprit.

J’ai rougi de honte en comprenant qu’il avait découvert que j’étais toute mouillée. Mon père ne se permit aucun autre commentaire. Je voyais le désir brûler dans ses yeux.

Il inspira de nouveau à pleins poumons en fermant les yeux.

— J’adore ton odeur, chuchota-t-il contre ma peau.

Son souffle effleura mon bouton gonflé d’envie d’être caressé.

Mon père rouvrit les yeux. Il regarda de nouveau mon sexe en passant lentement sa langue sur ses lèvres. J’ai trouvé cela terriblement sexy. J’avais envie de l’embrasser, d’insérer ma langue dans sa bouche pour caresser la sienne. Cette envie crispa mes doigts dans ses cheveux. Ses yeux croisèrent les miens. Je le vis hésiter un instant avant de déposer un long et doux baiser sur mon pubis.

Son visage revint vers le mien, très lentement. Sa bouche caressait ma peau, tantôt avec ses lèvres, tantôt avec sa langue. Son corps glissait contre le mien. Mes mains suivaient son mouvement en le serrant encore plus. Je sentais son sexe en érection contre ma jambe se déplacer de mon genou à ma hanche. Je désirai sentir mon père plus près de moi encore. Je le voulais en moi, qu’il se fonde en moi, qu’on ne fasse qu’un.

Il prit délicatement mon visage dans une main et m’embrassa dans le cou. Le contact de ses lèvres et de sa langue sur ma peau me fit gémir de plaisir, brisant le silence de ma chambre. Je fis glisser ma main dans son dos sur ses fesses pour presser son sexe contre ma hanche. Mon père prit cette main dans la sienne et releva son visage vers le mien. Son regard brûlant me regardait. Sa respiration courte me caressait. Ses lèvres étaient très proches des miennes. L’envie si forte de les embrasser me coupa le souffle. Je pouvais sentir nos curs battre très fort l’un contre l’autre. Nous étions animés par le même désir. Il embrassa délicatement mon épaule et reprit sa place à mes côtés. Son visage était tout près du mien et ses yeux fixaient les miens en silence.

J’ai serré sa main dans la mienne en lui souriant.

— Tu rencontres des jolies femmes quand tu sors avec mon parrain ? demandai-je.

Il s’agissait de son meilleur ami, Luc. Mon père hésita avant de répondre :

— Eh bien, oui il y en a des jolies, mais quand je discute avec elles, je me rends compte que celles-ci ne m’intéressent pas assez pour envisager un avenir ensemble. En tout cas, il n’y en a aucune qui ait mérité que je te la présente jusqu’à maintenant. Je hochais la tête.

Mon père déposa un nouveau baiser sur mon épaule.

— Je dois t’avouer que je ne vaux pas mieux que ton Nicolas, reprit-il d’un ton grave. Quand ces femmes s’intéressent vraiment à moi, je me sers d’elles pour assouvir mon besoin d’affection. Mais au fond de moi, je me sens vraiment très seul.

— Tu ne seras jamais seul Papa, dis-je d’une voix douce et rassurante. Je t’aime et je resterai toujours avec toi.

Je vis les yeux se remplir d’émoi. Je le trouvai si attendrissant que j’embrassai impulsivement ses lèvres. Celui-ci répondit à mon doux baiser avant de se retirer brusquement de moi en se relevant sur un coude. Il me fixait d’un regard interloqué.

— Je suis vraiment désolée, m’excusai-je sincèrement.

— Je devrais partir avant que l’on fasse des bêtises qu’on pourrait tous les deux regretter, dit-il d’une voix hésitante.

Mon père se leva tandis que je m’agenouillai rapidement en lui attrapant la main. Il me regarda, puis il me serra très fort contre lui. Son corps épousait parfaitement le mien. J’enfouis mon visage dans son cou que j’embrassai aussi sensuellement qu’il me l’avait fait précédemment.

— Je t’aime, ma belle, chuchota-t-il à mon oreille. Bonne nuit.

— Merci à toi aussi, répondis-je tandis qu’il se détachait déjà de moi.

Mon père me sourit en serrant mes mains dans les siennes. Ses yeux déshabillaient mon corps d’un regard appréciateur. J’en profitais pour faire de même avec le sien. Je trouvais son érection très attirante. J’avais envie de passer ma main dans son pantalon pour caresser son sexe bien dur.

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