Claude a beau être cool je reste scotché, je n’en peux plus. Trop de chaleur, trop de boisson, et surtout trop de sperme.. Je m’excuse, je traverse la cour déjà brûlante et trouve refuge à l’ombre dans la haute grange, celle où il y a la grande échelle, grimpée et descendue par les deux autres, c’était hier. Je m’affale sur des bottes de paille, ne pas fumer, tiens le clébard ne m’a pas suivi, ah oui, il est avec Brigitte..
Ça déraille dans ma caboche. Pas venu venir tout ça, et en si peu de temps toute une vie à deux bouleversée. Je revois Serge, si «bienveillant», son pote Richard, le pervers du parking, et du cinéma, son complice, les jeunes dans le square, et maintenant ce paysan, ce Claude, aussi sympa que cochon, le curé, les potes de Claude au bistro. Et le chien. Lui au moins il se tient, il ne réclame pas, mais se régale dès que.
Comment ai-je pu en arriver là ? Comment celle que j’aime accepte-t-elle tout ça ? Elle me témoigne toujours autant d’attention et d’affection, et moi, je me la pète en pensant que je ne suis pas cocu parce qu’elle ne demande rien et que c’est moi qui organise tout dans son dos. Sauf qu’avec Claude je me méfie pas mal, elle a vraiment l’air de l’apprécier, et pas que de la bite. Bon, ça va, je suis toujours jaloux ! Mais quand même, je suis devenu un petit vicelard, je n’en reviens pas. Va falloir que j’arrête ça, mais là c’est trop tard pour cette fois, on partira demain soir comme prévu. Et d’ici là..
Je somnole, un peu au frais, plutôt apaisé dans mes ruminations, c’est sa voix juvénile qui me réveille «Ben mon Marc ! Ça va pas ?» – «Si, si, mon cur.. Un p’tit coup de chaud». Elle me prend par la main pour me relever, si gentiment «On va quand même se baigner au lac cet après-midi ?» – «Bien sûr mon ange ! On déjeune avant avec Claude» – «Oui, oui, il nous attend». Je ne pige vraiment rien : comment peut-elle être aussi fraîche et pimpante après l’incroyable séance hard au bistro tout à l’heure, et les insultes et les crachats des vieilles ? Finalement, tant mieux, ça ne la marque pas. C’est peut-être comme jouer au docteur quand on est gamin ? J’en sais rien. Et je laisse tomber.
Claude a assuré, un déjeuner de salades composées, légères, et plutôt de la bière que de son petit pinard . Tranquilles, détendus. «Je suis prête ! C’est quand tu veux mon Marc !» – «Deux minutes, mon maillot, le short et on y va». Punaise, on va crever de chaleur sur la route, une demi-heure nous a dit Claude, et le lac nous attend, l’eau froide..
Belle campagne vallonnée à traverser, petite départementale, pas de bagnoles, c’est chouette. Tiens.. Un auto-stoppeur, un jeune, blond, en short, un petit sac avec lui. Nos regards se croisent avec Brigitte, elle a l’air amusée.., je m’arrête donc à la hauteur du jeune homme, toutes les vitres sont déjà grand ouvertes, «Vous allez vers où ?» – «Au lac..» – «Nous aussi ! Montez donc !». Il s’installe à l’arrière, au milieu, les coudes posés sur nos dossiers. Il est joyeux, envie de bavarder, j’incline un peu le rétro pour voir son visage. On blague tous les trois, Brigitte s’amuse, les yeux pétillants.
Et vlan ! Le démon me reprend.. Le vicieux qui sommeille en moi.. Je pose la main sur la cuisse nue de Brigitte, dont la petite jupe ne cachait pas grand chose, la glisse doucement vers le haut, à la limite de sa petite culotte. Elle ne moufte pas, du coup silencieuse, le regard fixe devant elle, comme en attente. Un coup d’il dans le rétro, le loustic regarde attentivement.. Je change de main sur le volant, avance la gauche et palpe son sein, de plus en plus fermement sur son t-shirt léger, sent l’érection du téton que je pince vite, brutalement. Elle tressaille, avec un petit cri. J’insiste, j’insiste. En roulant lentement.
Le jeune a les yeux avides, je tends le bras, lui prend la main, et la pose sur le sein de ma fiancée. Elle reste passive, les yeux clos, la bouche entrouverte.. Il se fait de moins en moins timide, lui tripotant le sein sans ménagement, hmm, j’attrape la main gauche de Brigitte et la pose sur le short du garçon, la forçant à écarter les doigts pour saisir sa queue, et lui imprime un mouvement du poignet pour qu’elle le branle. Pas besoin d’insister, elle s’y active d’elle-même, passe sa main sous le short et en extirpe une sacrée belle bite qu’elle manipule avec douceur.
J’ai encore incliné le rétro pour voir en gros plan. Je bande comme un cerf. Jamais, jamais, elle ne m’avait branlé, et là.. Je me dis que c’est Serge qui lui a appris comment faire, le salaud. J’entends le gars commencer à gémir, merde, il va en mettre partout.. Mais elle est experte on dirait, elle tend l’autre main, juste à temps pour y recueillir les jets de foutre, puissants et abondants.. Le loustic s’affale sur la banquette, vidé, lessivé, Brigitte, sans me regarder, porte sa main à sa bouche, l’incline un peu, déverse lentement le sperme dans sa gorge en finissant de laper les restes plus visqueux. Et je n’ai pas loupé un seul virage, ah, nous voilà arrivés au lac. Un petit parking ombragé, deux voitures seulement, il est encore tôt ce dimanche, doivent ripailler en famille.
Sortis de la voiture, Brigitte nous regarde souriante, comme si de rien n’était. Le garçon, l’air un peu confus, nous remercie (mais de quoi donc ?..), elle s’avance et lui pose un petit baiser sur la joue, il rougit.. «Je reste par ici, j’attends des amis, mais si vous voulez, en marchant un peu plus loin, vers le petit bois, il n’y a jamais grand monde, c’est très tranquille». Ok, merci, le sentier est un peu ombragé, longeant le lac, magnifique, étendu, l’eau propre, j’en oublie le dernier épisode, contemplant ma jeune femme marchant d’un pas allègre devant moi, l’amour toujours l’amour..
Voilà le petit bois surplombant légèrement la rive du lac, c’est du sable assez grossier mais très propre, tout ça bien aménagé et entretenu. Brigitte installe les grandes serviettes de plage, et en un tour de main enlève t-shirt et jupette.. Ah.. C’est ça son nouveau maillot de bain ? Elle éclate de rire en prenant une pose aguichante -«T’en fais une tête ! Je te plais pas ?».. Tu parles d’un «maillot».. Des cordons tenant trois minuscules triangles de tissu qui «masquent» les aréoles de ses seins et le haut de son pubis.. Un véritable appel à l’insurrection.. Encore plus bandante que si elle était à poil. Réticent : «Si, si..» – «Je l’ai pris pour te faire plaisir mon Marc» – «Oui, oui, mais..» – «.. mais t’inquiète ! Regarde il n’y a personne ! Et puis si des gens viennent tu seras fier d’avoir la plus belle avec toi, non ?!».. Ouais.. Mais vu que je bande rien qu’à la voir comme ça, alors que c’est ma fiancée, des inconnus.. Je dis pas, l’émeute..
Bon.. Profitons du soleil avant d’aller nager. Mademoiselle est bien organisée, mots fléchés, bouteille d’eau, crème solaire, pas grasse précise-t-elle en s’en étalant sur le buste, le ventre et les cuisses, «Tu me fais le dos chéri ?», en s’allongeant à plat-ventre, la tête posée sur ses bras croisés, «Avec plaisir chérie..». Hmm.. Ses épaules, son dos, sa peau douce, encore légèrement hâlée du bel été dernier, le cordon de son «soutien-gorge» ne gêne pas.. Ses reins, le creux de ses reins un peu cambrés, ses fossettes qui me sourient.. Et ses fesses, ce cul ferme et joliment rond, ces cordons qui le rendent encore plus tentant, celui qui s’insinue dans le sillon.. s’inscrit le long de sa raie, marque la fente de sa vulve comme pour y attirer le regard.. Je prends mon temps, soigneusement, des deux mains, palpant ses deux globes glissant sous la crème.. Et je me souviens de son oncle Serge, les mains sur son cul, lui comprimant puis lui écartant largement les fesses, elle en avait mouillé, par deux fois..
À genoux à côté d’elle, je reproduis la manuvre, hmm .. je bande, je bande, je la sens frémir, sous l’intense caresse sous le soleil.. Plongé dans ma vision, je sens une gêne inconnue, je relève la tête.. ah zut ! un type est là, un peu plus bas au bord de l’eau, planté à une petite dizaine de mètres. Quadra musclé bronzé, en short, il nous observe, impavide.. depuis combien de temps ? Tant pis ! (tant mieux?..). Je continue, vaillamment, elle, elle n’a pas vu le type, innocente jeune femme dont le plaisir est en train de monter.. Mes mains descendent, les plis fessiers, j’adore, ses cuisses, mais elles sont serrées, il me faut les écarter un peu pour enduire leur intérieur, le bout des doigts effleurent les bords de sa vulve, oui.. elle mouille la belle.. ah.. le type s’est rapproché, trois, quatre mètres, sans un mot, toujours aussi impassible, il se contente de mater.
Non, je n’irai pas plus loin. Je ne vais pas la doigter, ce serait un appel sûrement entendu par le voyeur. Passe encore qu’elle ait branlé le jeune en venant, là c’est moi qui la désire et je n’ai pas envie que ce soit un autre qui la prenne, point final. Je descends rapidement sur les creux de ses genoux, ses mollets si finement galbés, et me rallonge sur le ventre, le sportif s’éloigne, Brigitte me sourit, câline, une petite moue quand même, pour l’avoir laissée «en route», petit bisou amoureux sur les lèvres, ah.. quelle bouche elle a.. si sensuelle.. Allez ! Je m’allume une clope, elle sort ses mots fléchés, peinards. Enfin peinards.
Ouais.. Le sportif réapparaît, devant nous, pas loin du petit bois, s’installe, sans nous prêter attention. Brigitte, toute à ses mots fléchés, a juste levé la tête un instant, «Tu me passes une cigarette chéri ?», elle ne fume que de temps en temps, le paquet, le briquet, tire deux bouffées. Je regarde vers le type.. Il est assis sur sa serviette, à poil, et nous regarde cette fois avec insistance.. Punaise.. Ce qu’il a entre les jambes.. Une de ces queues.. Il fixe mon regard.. Il commence à bander.. Il se lève, son gros braquemard à l’horizontale, s’avance lentement vers nous, Brigitte ne le voit qu’au dernier moment.. Il s’agenouille devant elle, une cigarette à la main «Vous auriez du feu ?».. Sa bite est juste à la hauteur du visage de Brigitte.. Elle ne dit rien, les yeux rivés sur l’engin à une vingtaine de centimètres.. «Oui, vous auriez du feu ?».. elle réagit, baisse la tête pour choper le briquet, la relève pour le lui tendre, il s’est encore rapproché.. au point que d’un léger mouvement de ses reins son gland encore encapuchonné vienne effleurer ses lèvres.. de nouveaux gestes circulaires.. il caresse sa bouche du bout de sa bite.. il insiste un peu en avant.. puis plus fort.. elle cède, fascinée.. elle entrouvre ses lèvres.. il pousse encore.. elle ouvre un peu plus la bouche.. encore plus.. la bite pénètre lentement.. je la vois se décalotter petit à petit.. le gros gland est presque entré en entier.. et il continue à pousser, pousser.. je bande, je bande, je me redresse, je suis perdu d’excitation et de honte, je ne supporte plus le gros plan.. ils s’en foutent pas mal.. il est attentif ce salaud.. il se doute bien que tout ne rentrera pas, alors il se contente de se branler sans l’étouffer ni la faire vomir.. il entre, il sort, elle se laisse emboucher.. il se raidit, il râle sourdement, se retire brusquement, lâche de grands jets de foutre, inonde son visage, se rapproche à nouveau, la prend par la nuque, la pénètre de toute sa bite, se branle encore un peu en bouche, pour qu’elle ne perde rien..
Il se relève, ah.. il bande encore le salaud.., prend Brigitte par le poignet et l’entraîne sans mot dire vers le petit bois.. elle ne proteste pas, ne résiste pas.. Je suis confondu, surtout très con.. Incapable de m’interposer, ce type va baiser ma fiancée, et, merde !, sûrement la faire jouir. Pour le coup, même si elle n’est pas séduite, je me vois là cocufié dans les grandes longueurs (comme sa bite..). Je les suis tout de même. Au milieu du petit bois un espace aménagé pour les pique-nique (ouais, ouais..), quelques tables et des bancs. Le type tire Brigitte jusqu’à une table où il la bascule à plat ventre, les pieds au sol. Il lui écarte largement les jambes, je me suis approché, pas trop, il se tourne vers moi : «Tu l’as déjà enculée ta gonzesse ?», je fais non de la tête, incapable d’articuler un mot. «Nickel ! Un beau p’tit cul comme ça ! Je vais lui expliquer..». Et vlan ! Une claque magistrale sur les fesses, elle crie, puis une autre, et encore et encore, une fessée à la volée, sa peau marque vite, elle a le cul rouge, et elle crie sans désemparer. Pourvu qu’on ne l’entende pas à la ronde.. L’autre salaud me fait remarquer qu’elle mouille «Une belle salope ta gonzesse ! Elle est facile, tu devrais la mettre sur le trottoir, tu serais riche..».
«Bon ! Au boulot ma pute ! T’aimes la bite, je vais te soigner !». Il s’approche la bite toujours tendue, écarte les lèvres de sa vulve de deux doigts, présente son gland, et la pénètre d’un seul coup de reins «Ouiiiii !» – «Allez ! Jouis petite femelle ! Garage à bites ! Vide-couilles !».. Les insultes traditionnelles pleuvent, accompagnées de grandes claques sur ses fesses, et des cris d’orgasmes qu’elle enchaîne sans interruption.. Je suis fasciné.. Presque plus envie de bander.. Pendant qu’il lui lime et fouille le con, il lui a enfoncé le majeur, puis le pouce, puis les deux, dans le cul.. Je débande, c’est pas mon truc. Que des mecs aiment ça entre eux, ou avec leurs compagnes, je m’en fiche pas mal, ils font ce qu’ils, et elles, veulent. Moi, le trou de balle ça sert à autre chose, la bouche aussi. La nature a prévu un logement naturel et parfait pour ma bite, je trouve ça impec.
Et l’autre qui lui besogne l’anus avec ses doigts.. Je me rapproche pour voir le visage de Brigitte, la tête inclinée posée sur la table de service, couverte du sperme séchant de la fellation forcée, elle a les yeux clos, son doux visage grimaçant, elle accepte peut-être pour être une femme «accomplie», mais quand le sportif bien pourvu commence à lui introduire dans le cul, ses râles ne sont pas ceux de l’orgasme, mais de la douleur. Je préfère m’éloigner un peu. Un peu de profil je vois bien qu’il l’a pénétrée plus loin qu’en bouche, normal, y’a plus de longueur disponible. C’est trash de chez trash. Il en rajoute dans les insultes, mais je me dis que c’est à lui qu’il parle, ce porc qui s’imagine la posséder parce qu’il la dépucelle du cul.. Encore un niais. Une femme, ça ne se possède pas. Ça s’aime, et ça sème, aussi.
Bref, il ne tarde pas à lui remplir le ventre de sa semence, il a l’air satisfait de son office, une dernière claque sur les fesses, une dernière insulte, et il s’éloigne, se pavanant (sur ce coup, il a fini par débander, ah bon). Je m’approche doucement de Brigitte, la prend par la taille, au creux de mon épaule et l’accompagne jusqu’à l’eau fraîche du lac. Je m’assois sur la berge, chopé une clope au passage à nos serviettes, la fume en la contemplant (Brigitte bien sûr), reprenant ses esprits, se lavant, nageant, s’ébrouant.. Elle me fait signe, joyeuse, de la rejoindre, non, non, je suis encore un peu à l’ouest. Elle revient s’étendre au soleil, le visage enfin détendu. Mais ses fesses sont encore bien rouges..
L’après-midi s’avance, somnolant, on va se rentrer au gîte, c’est bon. En s’installant dans la voiture Brigitte grimace un peu en s’asseyant.. nos regards, elle rigole.. elle avait peut-être «le feu au cul», maintenant il y est pour de bon..