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Moi et ma mère – Chapitre 1




Voici ma propre vie. (Joël et ma mère)

Elle était veuve depuis deux ans et je vivais seul avec elle à la campagne.

Notre intimité était très proche car nous n’avions pas de voiture et à cinq kilomètres de la ville. Le matin nous nous levions très tôt pour prendre le car, moi pour aller à l’école, elle au travail. Je rentrai toujours avant elle, je faisais mes devoirs, après je rangeais la maison et préparais le repas. Maman rentrait fatiguée, on mangeait puis la douche et au lit devant la télé. Sa chambre était très grande, séparée dans un coin par un rideau où se trouvait mon lit. Je n’avais pas de chambre à part.

Un jour que je devais ranger le linge sec dans l’armoire j’ai découvert des dessous sexys dans un carton. Il y avait une guêpière noire seins nus, des bas résilles, des porte-jarretelles, deux culottes fendues, une rouge et noir et une violette avec leurs soutiens-gorge assortis. Maman est très coquette mais je ne m’imaginais pas qu’elle portait de tels dessous.

Enveloppé dans du papier de soie je tombai sur un vibromasseur. J’en avais vu dans la page de catalogue de la Redoute mais jamais en vrai.

Rien qu’à penser que maman se servait de cela je me mis à bander. Je me postai devant la glace, baissai mon pantalon sortit ma bite de mon slip et tout en évoquant ma mère vêtue d’une culotte fendue, d’un soutien-gorge d’où ses gros seins sortaient et comme dans les revues cochonnes que m’avait un jour prêtées un copain de classe, je l’imaginai couchée sur lit les jambes grandes ouvertes et se bourrant le con à deux mains. Je sentis ma bite frémir et vite je pris une culotte et jouis dedans. Après m’être essuyé avec, je courus à la salle de bain pour la laver et la cachai derrière mon lit pour la faire sécher et la remettre après à sa place.

Maman rentra comme d’habitude et je la regardai avec d’autres pensées après ma découverte. J’avais pris une petite glace que je planquai sur la chaise à côté de moi sous un magazine et pendant le repas je l’inclinais pour voir entre ses cuisses et voir comment était sa culotte. J’aperçus après plusieurs tentatives une petite culotte blanche transparente et la tache de sa toison à travers. Je remis à bander. Le repas fini on débarrassa la table et pendant que je faisais la vaisselle elle alla prendre sa douche.

Dès que j’entendis la porte se fermer je courus sur la pointe des pieds coller mon il au trou de la serrure pour la regarder se déshabiller ! Elle enleva son pull et apparut en soutien-gorge blanc très fin comme sa culotte. Ses mains passèrent dans son dos pour l’ouvrir, elle tira sur les bretelles et deux gros seins sortirent. Ils avaient une large aréole foncée autour avec deux gros bouts. Elle prit ses seins à deux mains les soupesa en se regardant dans la glace et eu un léger sourire. Maman était fière de ses seins. Elle ouvrit la fermeture sur le côté de sa jupe l’a fit glisser tout en levant les jambes l’une après l’autre pour la quitter. Je voyais bien sa fente et ses poils à travers sa culotte. Elle tourna le dos, se pencha en avant et fit glisser sa culotte sur ses jambes. Ses fesses bien rondes surgirent et je vis ses poils qui dépassaient entre ses cuisses et son trou derrière foncé qui dessinait comme une étoile avec beaucoup de branches. Elle disparut de mon regard en j’entendais seul le bruit de l’eau qui coule.

Je retournai à la cuisine finir en vitesse la vaisselle en bandant très fort. Elle arriva avec une chemise de nuit courte et un peignoir et me dit d’aller prendre ma douche. Je filai vite me déshabiller et sous l’eau je me masturbai en pensant à tout ce que j’avais vu, ses seins, sa fente, son cul avec son étoile. Je voulais sucer ses seins mettre mes doigts dans sa fente et son étoile. Mon sperme jaillit plusieurs fois. Je suis allé me coucher tout de suite après prétextant la fatigue.

Quelques temps plus tard, durant la nuit je fus réveillé par un gémissement provenant de la chambre de maman. Sans bruit je quittai mon lit et entrebâillant le rideau je vis dans la lumière de la petite lampe maman sa chemise de nuit retroussée jusqu’au menton, les jambes toutes écartées et pliées aux genoux. Un miroir était incliné entre ses jambes et elle tenait à deux mains une bouteille qu’elle entrait et sortait de sa chatte. Le goulot luisait d’un liquide crème et visqueux et à chaque sortie les bords de sa chatte faisaient un bruit de succion et je voyais son étoile jaillir à chaque entrée. Je ne pouvais le croire, maman indécente se fourrant cette bouteille dans le con son regard sur le miroir, totalement écartelée.

Elle lâchait une main la bouteille pour se pincer les bouts de ses seins qui tressautaient au rythme de la bouteille ou bien cette main après l’avoir mouillée caressait le gros bouton au-dessus de sa fente distendue par la bouteille ou enfonçait ses doigts dans son étoile. De voir cela me fit bander. Je pris ma queue et le souffle court, je lui infligeai une vive masturbation. Très vite je crachais mon foutre sur le rideau suivit par la jouissance de maman. Elle se cambra, ses cuisses se refermant autour de la bouteille et le miroir bascula. Elle resta un long moment sans bouger seule sa poitrine se soulevait encore rapidement. Je restai là planqué à la regarder et elle retira la bouteille la mit sous le lit et éteint la lumière.

Plusieurs nuits s’étaient passées sans rien et un beau soir je fus de nouveau réveillé par ses gémissements. Je quittai mon lit sans bruit, entrouvris le rideau et je mis maman entièrement nue dans la même position que l’autre nuit. Elle avait remplacé la bouteille par un gros concombre qui mesurait bien 30 cm et large du quart qu’elle enfonçait très au fond de sa chatte. Sa tête virevoltait et ses seins sautaient en cadence les bouts bien droits. Je sortis ma bite et l’agitais comme un fou. Maman mouilla ses doigts et se caressa le trou du cul puis elle enleva le concombre de sa chatte et il disparut entre ses fesses pendant que sa main s’enfonça toute entière dans sa chatte remplaçant le concombre. Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier. Je crachai dans le rideau lorsque je fis du bruit en cognant contre le mur. Elle tourna la tête et me vit.

"Approches petit vicieux". Je sortis de ma cachette et la bite pendante je vins vers elle en tremblant. Elle avait toujours le concombre enfoncé dans ses fesses, cuisses grandes ouvertes, la chatte béante qui palpitait.

"Ne soit pas choqué par ce que je fais, mais depuis que ton père est mort je n’ai pas fait l’amour, je suis encore jeune et j’ai comme toi des envies. Je sais que tu te caresses aussi car je trouve souvent des taches sur tes draps ou ailleurs."

Elle s’assit sur le lit retirant le concombre luisant de son foutre en le posant à côté d’elle.

Je voulus rentrer ma bite mais elle me dit :

" Non laisses-moi la voir, elle est belle, je ne pensais pas qu’elle soit aussi grosse". Elle posa une main dessus et sa bouche déposa un baiser dessus.

"Est-ce que ta petite copine te l’a déjà touchée?".

"Non on s’est juste embrassé sur la bouche avec la langue et une fois j’ai touché ses seins".

"Pauvre chéri, il est grand temps que tu découvres la vie, allonges toi à côté de moi tu vas connaître la femme".

Je me couche sur le lit, maman m’embrasse sur la bouche et sa langue s’enroule autour de la mienne. Sa main me prend doucement la bite, ses doigts l’entourent et avec douceur elle me décalotte. Avec l’autre elle me caresse les couilles tout en me branlant lentement en tirant bien sur ma peau et marquant un temps d’arrêt entre chaque mouvement. Elle me tend un sein et me dit :

" Têtes le bout comme quand tu étais petit"… Je pose mes lèvres sur le mamelon et aspire goulûment.

"Non pas comme cela, fais ce que je te dis, avec ta langue tu vas me le lécher doucement pour bien le faire durcir et tu vas le mordiller doucement avec tes dents tout en tirant dessus". Je suis ses consignes et m’applique à faire ce qu’elle me dit. Je sens son bout bien dur grossir dans ma bouche. Elle se cambre pour mieux le donner et continue à me branler doucement.

" Tu prends mes seins avec tes mains par-dessous et tu fais la même chose à chacun deux".

Sa voix est radieuse, ses yeux brillent et ses seins se gonflent avec sa respiration. Elle écarte ses genoux et je vois sa chatte bien ouverte et coulant de son jus qui mouille le drap.

Elle me prend la main et la pose sur son gros bouton.

"Laisse moi faire et suit mes mouvements". Elle me prend l’index qu’elle mouille en le portant à ses lèvres et guidé par sa main je tourne autour de son bouton à sa vitesse. Elle prend mon pouce et en fait une pince avec mon index. Sa main me fait saisir le bouton entre mes doigts et tire dessus.

Sentant que je vais jouir, elle me serre violemment la queue à sa base pour bloquer mon foutre et me relâche la bite.

"Attends encore un peu je commence à peine à t’apprendre. Voilà tu sais maintenant comment on caresse le clitoris d’une femme, toujours de la douceur, la violence de tes gestes doit être progressive. Je vais à présent te faire savoir comment lécher ma chatte. Tu vas t’agenouiller entre mes cuisses, je vais m’allonger, tu vas avec tes doigts écarter en grand les lèvres qui entourent ma fente et avec ta bouche tu vas faire comme avec le bout de mes seins sur mon clitoris".

Je prends position et ouvre sa chatte tout en le suçant le clitoris. Il grossit et sort de son étui. Je le suce, le mord, le caresse, maman gémit sans retenue cette fois.

"Ouii, tu me lèches bien, tu apprends vite …C’est bon …Continue plus vite.". Elle se met à jouir et mon menton est inondé par son jus. Je vais aussi jouir et quelques gouttes sortent du bout de ma queue. Maman le sent m’attrape par les hanches et pose ma bite entre ses seins. Elle les prend de chaque main, les serre autour de ma bite et me branle avec. Quelques secondes après je l’arrose et mon foutre couvre son cou et ses seins. Elle l’essuie avec ses doigts qu’elle porte à ses lèvres et elle lèche mon liquide.

Elle m’embrasse sur la bouche, un léger goût acre m’envahit.

"Bon nous allons dormir maintenant, je continuerai les cours demain soir"!..

Ma journée de cours fut un vrai désastre, j’avais la tête et la bite bien ailleurs.

Maman à peine entrée à la maison m’embrasse sur la bouche tout en me caressant la queue à travers mon jean.

"Tu vas voir mon chéri, humm tu bandes déjà, attends je vais me changer, mets la table en attendant". Elle revient juste avec un peignoir en dentelle noir tenu par une fine ceinture. A chaque pas je vois ses seins ou sa chatte. Pendant le repas je lui avoue avoir trouvé ses dessous dans le carton. Elle hoche la tête et sa langue passe sur ses lèvres.

"On prendra notre douche séparément car je vais te faire une surprise, tu passeras en premier".

Le repas est vite avalé, je cours à la douche et ressort lavé et en pyjama.

"Enlèves le et attend moi sur le lit ! ".Sa douche prise, maman arrive. Ses lèvres sont couvertes d’un rouge violet, ses yeux très maquillés et elle ne porte que la guêpière noire avec des bas résilles et une culotte fendue rouge et noir qui laisse voir par l’ouverture sa chatte encore mouillée.

Elle s’arrête près du lit, se cambre et tourne lentement sur elle-même. De dos je vois ses fesses libres par la fente de la culotte, marquant un temps d’arrêt elle écarte de ses deux mains ses fesses pour bien ouvrir son étoile.

"Alors je te plais?"

"Oh! Oui maman, je t’aime".

"Tu sais si je suis habillée ainsi c’est pour ressembler aux filles qui sont souvent les premières à vous dépuceler".

"Tu es très belle comme ça, maman et excitante".

"Tu le penses vraiment?".

"Oh! Oui".

Elle s’assoit sur le bord du lit et sa main s’empare de ma queue déjà au garde à vous. Elle s’arrête et regarde ma queue qui heurte mon ventre.

"Tu vas reprendre depuis le début ce que je t’ai appris hier, commences par mes seins." Elle se couche à côté de moi et écarte bien les cuisses. Je me penche et entreprends de lui sucer les seins dont les pointes se dressent sous ma bouche. Je lui caresse le clitoris et soudain elle jouit.

"Ah! Oui, continues, suces bien ma chatte. Je me glisse entre ses cuisses lui écarte des mains sa fente et la lèche avec plaisir. Tous en se caressant les seins, elle plie une jambe et son pied me tripote la bite. Le contact soyeux du bas me fait jouir et je mouille les bas et le drap.

" Continues, n’arrêtes pas, aspires bien mon clito, enfonces tes doigts dans ma fente".

Elle quitte sa culotte, me prend la main et me la guide vers sa fente ouverte. Ses lèvres pendent de chaque côté. Je glisse un doigt.

"Attends, je vais te dire comment tu dois caresser une femme, tu laisses ton index et le majeur droit, tu plies sur ta paume les autres doigts. Tu enfonces tes deux doigts et tu les rentres et sors en allant de plus en plus vite". Je fais ce que maman me dit et vite j’entends des floc floc dans sa chatte, mes doigts sont tout mouillés. Elle pousse des cris. Ne tenant plus je jouis et l’arrose de mon foutre.

"Continues mon chéri, je vais te refaire bander bientôt". Elle me tient la main et me guide dans la vitesse pour la branler. Dans un souffle elle me dit :

"Replies tes doigts en crochet dans ma chatte et grattes moi la paroi qui est contre mon ventre, ton père me branlait comme ça". Je la gratte comme elle me dit et tout à coup ma main est inondée comme si maman me pissait dessus. Elle hurle de plaisir et ses cuisses se ferment et bloquent ma main. Elle se calme et se redresse. Ses jambes sont de chaque côté de moi.

" Lèves-toi sur le lit et approches de ma figure, je vais te faire une pipe, je pense que tu ne t’as jamais fait sucer non plus". Elle prend ma bite et me caresse tout en me touchant les couilles, je redeviens dur. Tout en continuant à me caresser les couilles sa langue caresse le bout de ma queue. Elle tourne autour et descend le long de ma bite jusqu’aux couilles.

Soudain sa bouche s’ouvre et elle m’avale d’un coup en m’aspirant. Sa bouche avance et recule et ma bite grossit de plus en plus. Chaque fois que je ressors sa main tire fort en tournant sur la peau de ma tige. Je baisse les yeux et fixe sa chatte qui coule sur le drap, le clito est gros et brille de son jus. Maman accélère sa succion et j’ai envie de jouir dans sa bouche. Le sentant, elle me presse les couilles et mon sperme jaillit par jets au fond de sa gorge. Elle avale mon foutre en même temps que je l’envoie.

"Hummm, tu as bon goût! , à ton tour de me lécher".

Elle se met à quatre pattes sur le lit cambre ses fesses et me dit "Tu vas me faire un pétale de rose".

"C’est quoi maman?"

"Avec ta langue tu vas caresser mon petit trou et la mettre dedans".

Elle écarte au maximum de ses mains ses fesses et son étoile s’agrandit, j’approche ma langue et doucement je lèche autour du trou. Ma salive rentre dans son puits, je roule ma langue comme un dard et fouille l’entrée de son étoile. Maman tord ses fesses et crie :

"Enlèves ta langue et défonces-moi avec tes doigts". Je glisse un doigt, le trou s’élargit puis deux comme elle me l’a dit pour sa chatte. Elle crie et mord l’oreiller.

"Plus fort, plus vite, mets plus de doigts". J’hésite de peur de lui faire mal. Je sers mes doigts les uns contre les autres et la force de quatre doigts. Son étoile va éclater, ma main a presque tout disparu dans son trou, je tourne mon poignet pour bien la faire jouir.

"Ah! Mon salaud, tu m’éclates bien la rondelle, tu es vraiment doué, vivement que tu me baises". De la voir aussi déchaînée et vulgaire, ces paroles me refont bander. Je profite pour lui caresser le clitoris. Maman se tortille et hurle :

"Enfonces ta main dans me chatte, déchires-la moi". Ma main rentre avec facilité tant elle est mouillée. "Encore, encore mets la tout entière". Ma main est déjà aux trois-quarts dedans, je force encore, elle disparaît jusqu’au poignet et je remue à l’intérieur pliant et dépliant les doigts pendant que je continue à lui défoncer le cul. Il est vrai que lorsqu’elle se servait du concombre elle l’avalait facilement dans ses deux trous.

Après cinq minutes de ce traitement elle est complètement épuisée.

"Vas me chercher une cigarette" me demande t’elle dans un souffle.

"Mais tu bandes encore, tu as encore envie de moi, je te plais tant que ça?"

"Oui maman, je veux remplacer papa dans ton lit et faire avec toi tout ce que tu faisais avec lui".

Je lui apporte sa cigarette, un briquet et un cendrier. Tout en fumant, elle me caresse la poitrine, me pince les tétons qui durcissent. Sa main arrive à ma bite qu’elle branle doucement puis elle s’insinue dans mes fesses et en caresse l’entrée. Je me crispe par peur.

"Détends-toi" et doucement force mon petit trou sans trop enfoncer son doigt. J’ai du plaisir à son geste et ma queue devient plus dure. Elle frotte ses mamelons contre mon torse tout en bougeant les épaules.

Sa cigarette finie elle me dit :

" A présent tu vas me faire le plus beau des cadeaux, je vais être la première à te faire l’amour, laisses-moi faire".

Mes copains à l’école m’ont dit que ça fait mal la première fois, j’ai peur mais j’ai confiance en ma mère et je l’aime comme un fou. Elle m’allonge sur le dos et prend position et s’accroupit sur moi. Lançant sa main droite entre nos deux corps, elle saisit adroitement ma bite gonflée, et le maintenant fermement, elle en dirige le gland arrondi entre les grandes lèvres de sa chatte ruisselante :

"Vas-y, enfonces bien ta queue dans ma chatte". De sa main elle guide ma queue dans sa chatte et s’empale d’un seul coup. Elle monte et descend le long de ma bite. Mes mains caressent ses seins. Je lui triture les bouts entre mes doigts. Son jus inonde mon ventre. Dans un furieux coup de reins j’enfonce ma bite dans sa chatte, éprouvant une joie immense de sentir sa chatte enserrer ma queue. Surprise par la brutalité avec laquelle je suis rentré, maman pousse un petit cri.

" Oui, défonces-moi ! Ramones-moi bien la chatte avec ton gros bout !".

Surexcité, planant sur un merveilleux nuage je me laisse emporter par des rêves trop longtemps refoulés. Agitant vivement mes hanches j’enfonce ma bite aussi dure qu’une barre d’acier.

Elle retire ma queue sans que j’aie jouit. Je suis déçu. Mais bientôt elle abaisse à nouveau ses fesses vers moi… Elle avance un peu le ventre pour diriger mon bout droit vers son étoile. Elle écarte un peu plus les cuisses pour mieux s’offrir à la pénétration. Elle baisse encore les fesses et mon gland force son cul. Le jus dont il a été recouvert facilite le passage.

Elle s’enfonce d’un coup de reins autour de ma bite humide. Ses fesses touchent mes couilles et je ne perds pas une miette du spectacle. Je lorgne sur sa chatte écartelée de qui s’ouvre tout entière tandis que je vois ma bite complètement enfouie dans son cul. De la main gauche je pénètre la chatte de maman qui monte et descend sur ma queue. Le plaisir ne tarde pas à r venir et c’est au même moment que nous jouissons. Nous restons un bon moment sans bouger. J’ai les doigts dans la chatte trempé de maman qui, le corps rejeté en arrière est toujours empalée sur ma bite encore ferme. Elle reprend enfin conscience, et le regard dans le vide, elle enlève doucement mes doigts et se relève lentement, libérant ma queue de son cul. De son cul libéré, un flot de sperme s’échappe aussitôt, l’obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement.

"Et bien mon cochon, qu’est-ce que tu mas mis. C’était bon ? Tu as aimé ?

Moi tu sais, tu m’as vraiment fait jouir. Tu as envie que l’on recommence, une autre fois ? ".

"Oh oui ! Maman".

"On verra, mais maintenant, il va falloir penser à se laver".

D’une démarche de somnambule, elle se dirige vers la salle de bain où elle reprend lentement conscience de la réalité. Je ne tarde pas à la rejoindre sous le jet tiède, et ensemble, nous lavons mutuellement nos corps assouvis, s’arrêtant tendrement sur nos sexes respectifs sur lesquels, chacun dépose un baiser plein de tendresse.

" Vas te coucher, j’ai besoin de réfléchir".

Le matin au petit déjeuner, maman me regarde droit dans les yeux et me demande.

"Veux-tu remplacer ton père et faire tout ce qu’il me demandait de faire?".

"Oh oui, maman je t’aime tant !".

"Bon, cela va être progressif, tu seras mon petit homme et moi ta maman cochonne"…

Joël

Bientôt la suite

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1 Commentaire

michel le deunf 2023-10-11 at 16h49

belle histoire le fils à beaucoup de chance de faire l’amour avec sa mère, je connais cela, c’a m’est déjà arrivé

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