III

Inattendu

Dans la pièce sombre et malodorante, Noémie, brûlante, s’agrippait au petit établi encombré, le corps à l’équerre et les jambes bien écartées. Elle avait les yeux clos et gémissait fortement, la bouche grande ouverte, tandis qu’Eric la prenait violemment par derrière. Le gringalet était en sueur mais maintenait un rythme effréné. Sa bite tendue allait et venait dans la chatte dégoulinante de la jeune asiatique.

— « Putain, t’es trop bonne. »

Dans un coin, Jean-Jacques filmait la scène avec son téléphone.

Une semaine auparavant

Noémie avait totalement perdu le contrôle de sa sexualité. Pire, elle avait pris du plaisir en repensant aux humiliations qu’elle avait subies. Le dernier incident, euphémisme qu’elle avait choisi pour nommer ces événements, l’avait excitée au-delà de sa honte et de sa conscience. Elle décida de tout noter sur son ordinateur. Et de trouver la clé de cette histoire folle pour y mettre un terme.

Son premier constat fut qu’elle se donnait inexplicablement à des inconnus pour lesquels elle n’avait aucune attirance, bien au contraire. De plus, si elle ne  contrôlait plus son corps, elle gardait tout de même sa conscience. Elle décida de rechercher et lister toutes les drogues qui pouvaient aboutir à ce résultat. Et si elle était consciente, pouvait-elle reprendre le contrôle ? Et comment aurait-elle été droguée ? Beaucoup de questions se posaient. Mais elle était déterminée à retrouver sa vie et son corps.

Le plus urgent était ceux qui avaient profité d’elle sans vergogne. Si elle avait peu de risques de revoir Verdier et son ami, en revanche, les collègues d’Olivier… Surtout Jean-Jacques, qu’elle détestait car elle savait qu’il n’en resterait pas là avec elle. Elle devait trouver le moyen de ne pas devenir son jouet. Quant à Eric… Elle s’en méfiait aussi, mais nettement moins.

Elle était toujours assise devant son ordinateur, dans son salon, lorsque le téléphone sonna.

« Salut, c’est Aude »

« Salut…

« Ca va ? T’as la voix bizarre… »

« Ca va, t’inquiètes. »

« Ok, on a reçu une demande d’intervention pour mercredi. »

« Ok, attends, je prends un stylo. Donne-moi le nom et l’adresse. »

« René Géraldi, 16 rue Jean Moulin. »

« René ? »

« Oui, René. Apparemment, c’est un ami de Monsieur Verdier. »

« Tu peux pas le prendre toi ? Ca va être compliqué pour moi…

Elle était livide. Ce vieux salaud de René voulait remettre le couvert. Il savait qu’il pouvait faire ce qu’il voulait d’elle. Et Noémie savait qu’elle se soumettrait à tous ses caprices.

« Non, je peux pas, ma journée est pleine, mercredi prochain. Toi, il te reste un créneau à 16h. Ça lui va très bien. », répondit Aude.

Elle ne pouvait refuser sans risquer de compromettre son emploi et l’entreprise. Mais elle devait mettre au point une stratégie pour éviter tout « incident ».

Pour l’instant, elle attendait la venue des techniciens pour sa chaudière. Là aussi, elle devait absolument rester à l’écart des deux hommes. Ne pouvant les laisser seuls dans l’appartement, elle décida que dès qu’elle les aurait accueillis, elle partirait directement dans son salon, pour travailler sur son ordinateur. Isolée, elle ne risquerait rien.

La belle philippine attendit nerveusement l’arrivée des deux techniciens. Elle portait une veste en laine grise par dessus un t-shirt blanc et un jean noir. Chez elle, elle était souvent pieds nus. L’interphone sonna.

« Brandier, madame. »

« J’ouvre. »

Le moment fatidique était arrivé. Noémie ouvrit la porte et laissa entrer les deux hommes qui la regardèrent avec un air surpris.

« Bonjour, madame, Joël et lui, c’est Patrick, qui va m’assister et regarder comment je fais. »

« Bonjour, messieurs. Je vous montre la chaudière et je vous laisse travailler. »

Ils la suivirent, en regardant ses fesses se balancer tandis qu’elle marchait vers la cuisine. Elle sentait le regard des deux hommes sur elle. Elle avait ce qu’elle appelait maintenant « un trouble» qui montait lentement. Il fallait qu’elle résiste au maximum avant de pouvoir s’échapper dans son salon.

« C’est ici, la chaudière est au fond là-bas. »

« Ok, merci, madame. On en aura pour trente minutes environ. »

Elle regarda les deux hommes. Le dénommé Joël était un homme trapu et enrobé d’environ cinquante ans, extrêmement poilu, au vu de la toison qui dépassait de son t-shirt. Il portait un pantalon gris avec des bandes bleues où était inscrit « Brandier ». Son visage était rond, il était mal rasé, et ses cheveux étaient courts et gris. Deux yeux noirs qui lui donnait un air blasé et légèrement menaçant, surplombaient un nez écrasé et des lèvres épaisses. Patrick était vêtu de la même manière mais était très mince, les joues creusées et les cheveux rasés. Ses yeux marrons étaient perçants mais pas agressifs. Il avait de nombreux trous d’acné sur son visage et des oreilles décollées. Joël posa sa sacoche sur le plan de travail. Noémie repartit vers le salon.

Installée en tailleur sur son canapé, le portable sur ses genoux, elle consultait les sites spécialisées en drogues diverses. Elle ne trouvait pour l’instant aucune correspondance.

Joël et Patrick revinrent la voir au bout de cinq minutes.

« On a oublié un truc », dit, légèrement agacé, Joël.

« Ah ? Et vous repartez alors ? »

« Non, juste Patrick, il va aller le chercher. »,

« C’es quoi que vous avez oublié ? J’en ai peut-être ici. »

« Non, c’est un appareil de mesure, mais Patrick l’a oublié au local. »

« Ok, ben, allez-y, alors. »

Patrick sortit. Joël fixait la jolie jeune femme, qui avait repris sa place.

« Ca vous dérange si j’attends là, madame ? »

« N-non, non… »

« Vous avez l’air nerveux, tout va bien ? Faut arrêter de travailler trop, madame », dit-il en souriant.

« Vous avez raison », dit-elle, en reposant le portable sur la table.

« Vous êtes très jolie, madame ».

« Merci… ».

« Pas trop chaud avec cette veste ? On a monté un peu la chaudière pour tester ».

Noémie fit glisser lentement sa veste derrière elle. Elle respirait rapidement et fixait Joël. Ce dernier, sentant qu’il se passait quelque chose, la fixa encore plus intensément.

« Vous allez bien ? ».

« Oui, oui… »

Le regard de Noémie  descendit soudain et s’arrêta sur l’entre-jambe de Joël et n’en décrocha plus. Sa poitrine se soulevait à un rythme rapide. Elle passa sa langue sur ses lèvres, machinalement. Ce petit manège commença à faire de l’effet au technicien, qui plaça sa main droite sur son aine, à proximité d’une bosse naissante sous son pantalon de travail. Le regard de la jeune femme revint vers les yeux de Joël. Elle changea de position et s’assit sur le canapé, droite. L’homme s’avança vers elle en quelques secondes qui lui parurent une éternité. Il se planta devant les jambes fermées de la belle asiatique et la força à les écarter en faisant pression de son poids sur ses mollets. La belle écarta doucement et Joël progressa jusqu’à avoir son bassin à quelques centimètres du visage de la jeune femme. A ce moment-là, Noémie n’arrivait plus à penser, sa part de conscient était supplantée par le désir fou qu’elle ressentait. Elle voulait ce qu’il allait se passer et plus encore. Mais elle s’obligea, par un effort fantastique, à revenir à un niveau de contrôle d’une infime partie de son esprit, afin d’analyser et mieux comprendre ce qu’il lui arrivait. Imprimer dans sa mémoire les « déclencheurs » qui faisaient basculer une situation banale en une débauche sexuelle.

Joël caressait la bosse sous son pantalon et la faisait grossir à vue d’il. Noémie, ses beaux yeux noirs rivés sur le vêtement déformé par l’érection, humecta ses lèvres épaisses, sa langue rose contrastant avec la couleur rouge sombre de sa bouche. Le technicien ouvrit son pantalon extrêmement lentement, bouton par bouton, comme s’il voulait faire monter encore plus la pression. Son visage avait un air grave. Noémie, dans un état second, mouillait énormément. Elle n’avait qu’une hâte : pouvoir mettre quelque chose dans sa chatte qui puisse la soulager. Elle avait perdu toute volonté et tout esprit, seul comptait ce qui allait jaillir de ce pantalon. Son corps entier frémissait, ses mains étaient posées sur ses jambes largement écartées et elle n’attendait plus que Joël.

La braguette ouverte laissa encore apparaître un slip gris. Le contenu cherchait à sortir de son cocon et des poils noirs et drus ressortaient par le haut. Joël ne voulait pas baisser son pantalon. Il se contenta de faire descendre doucement son slip. Sa verge apparût à moitié, gonflée, veinée et sombre. Noémie écarquilla les yeux et repassa encore un coup de langue sur ses lèvres. Sa bouche pulpeuse était un de ses atouts de charme qui faisait mouche à tous les coups. Joël finit par extraire sa bite tendue qui alla effleurer le nez de la belle philippine. Elle se saisit rapidement de la verge pour la lécher sur toute la longueur en plantant son regard dans celui du technicien. Celui-ci glissa ses mains dans les poches et regarda la jeune asiatique commencer à lui lécher le gland et avaler sa bite. Elle creusait les joues au fur et mesure que le membre entrait dans sa jolie bouche. Elle aspirait et passait sa langue rose sur le gland et le frein. Joël fouilla dans sa poche arrière et sortit un portable. D’une main, il chercha un numéro et appela. De l’autre, il caressa la tête de la jeune asiatique qui suçait avec douceur sa bite dure.

« Allô ? Patron ? Oui, c’est Joël… Oui, voilà, on va avoir du retard, y a du boulot ici, plus qu’on croyait… Noémie Conseira, oui… Du renfort ? Non, y a Patrick, ça devrait être suffisant. Ce qu’il y a ? Ben des fuites en fait, des petits trous qu’il faut combler, pour faire monter la pression… Oui, voilà… Ben je sais pas pour combien de temps on en a…. »

Noémie écoutait la conversation tout en continuant de sucer. Ce petit dialogue à double sens l’avait encore plus excitée et elle pompait maintenant un peu plus vite en poussant de tous petits gémissements… Joël s’en rendit compte et d’un coup de rein, enfonça la bite un peu plus profond dans la gorge de la jeune femme, à sa grande surprise. Son regard enfiévré fixa le technicien qui termina son coup de fil.

« Ok, patron, on essaie de faire au plus vite avec Patrick. La cliente est là toute l’après-midi et ça lui pose pas de problème qu’on s’attarde sur son cas un peu plus. Au contraire, elle veut qu’on bouche tous ces trous avant de partir, comme ça ; ça sera fait. Oui, voilà.. Bon, à plus tard, faut que je m’y remette. »

Il raccrocha, jeta le portable sur le canapé.

« Vire ton t-shirt et ton futal. »

Noémie obéit et se retrouva en sous-vêtements devant Joël. Un soutien-gorge et une culotte gris foncé, bordés de dentelle blanche. Elle était debout, face à l’homme, et se caressait les seins.à travers le tissu.

« On va attendre Patrick, hein ? »

Noémie ne répondit pas et resta dans cette position. Joël la fit se mettre juste devant la porte. Il la maintenait sous pression en mettant une main dans sa culotte, et en caressant lentement sa chatte humide. Noémie était en feu, et transpirait. Elle savait que quand elle ouvrirait la porte, elle subirait les assauts des deux hommes en même temps. Et ça l’excitait à l’extrême. Quand, au bout d’une petite dizaine de minutes …

..

« C’est quoi ce bordel ? »

« Oh ben merde alors ! »

« Putain, le patron… », fit Joël.

Patrick était revenu, mais pas seul. Lorsque Noémie  ouvrit la porte, elle vit les regards interloqués de Brandier et de Patrick. Joël s’arrêta net de caresser la jeune femme.

« C’est ça que vous foutez depuis tout-à-l’heure ? », hurla Brandier.

« Ben, euh… »

« Ben euh quoi, putain ! Vous êtes des branleurs ! Allez faire votre putain de boulot ! »

« Oui, patron », firent en chur les deux techniciens.

« Moi, je vais m’occuper de l’autre chaudière », dit-il en baissant la voix, un sourire lubrique aux lèvres

Les deux hommes disparurent dans la cuisine. Brandier s’approcha de Noémie et se planta devant elle. La jeune femme était pétrifiée, surexcitée et totalement soumise à cet homme gras, le visage rouge et bouffi, et le haut du crâne dégarni. Ses rares cheveux sur les côtés étaient noirs. Deux yeux marrons luisaient au-dessus d’un nez énorme, rouge et grêlé avec un grain de beauté sur la narine droite. Une moustache broussailleuse noire surmontait une bouche aux lèvres fines. Son sourire vicieux faisait apparaître des dents tâchées et très jaunes. Il portait une chemisette blanche et un pantalon gris avec des bretelles noires.

« T’es une bonne petite salope, toi, hein ? »

Noémie ne répondit pas. Elle se tenait face à Brandier, en sous-vêtements,  les mains dans le dos. Elle s’offrait totalement. Il la regarda de haut en bas,

« T’as pas beaucoup de nichons, mais t’as une belle bouche à pipe. Et un bon cul. »

 Il lui mit une claque sur les fesses qui la fit frissonner.

« Enlèves ta culotte . »

Elle s’exécuta et fit glisser le vêtement sur ses longues jambes dorées. Brandier mit aussitôt sa main sur sa chatte, comme pour vérifier ce qu’il savait pertinemment.

« Putain, t’es inondée, ma pauvre fille ! »

Noémie eut un petit sursaut et gémit fortement. Son esprit était totalement envahi par ce désir lubrique, cette envie de soumission à cet homme immonde. Plus elle le regardait, détaillait ses défauts physiques, plus elle sentait son odeur et plus elle était excitée.

« Viens, on va surveiller les deux crétins. Et on va s’amuser tous les deux. »

Elle le suivit, ne portant plus que son soutien-gorge, dans la cuisine. Les deux techniciens s’affairaient sur la chaudière. Ils s’arrêtèrent pour regarder entrer le duo insolite. Dans la pièce, jouxtant la gazinière sur la gauche, à côté du frigo et l’évier, à droite, près de la fameuse chaudière située tout au fond à côté de la fenêtre, se trouvait une table plutôt longue en formica rouge, héritée de la famille du côte d’Olivier.

« Allonges-toi là, toi. Et vous, continuez votre boulot, putain de feignasses ! »

Chacun obéit sans broncher. La jeune philippine s’allongea sur le dos, ses jambes pendant dans le vide. Son bassin était au bord de la table. Brandier saisit ses deux jambes et les releva, jointes. Il les plaça légèrement sur sa gauche et d’une main les maintint en l’air, les poussant vers la jeune femme qui respirait rapidement. Avec son autre main, il introduisit deux doigts dans la chatte détrempée et gonflée de Noémie. Il la branla violemment et la belle asiatique ondula du bassin comme pour tenter d’atténuer la soudaine douleur. Puis son mouvement finit par accompagner cette pénétration violente et le visage de la jeune philippine, déformée auparavant par la douleur, montra peu à peu une expression de plaisir intense. Elle avait les yeux vers le plafond et la bouche largement ouverte. Brandier lui infligea ce traitement pendant deux ou trois minutes à un rythme fou, puis se retira. Toujours avec la même main, il déboutonna son pantalon et fit glisser les deux bretelles ce qui eut pour effet de faire chuter lourdement le vêtement et son slip au sol. Sa bite était tendue vers le haut, énorme et longue, ses couilles très poilues pendaient lourdement. Noémie ne voyait rien, ayant ses jambes maintenues devant son champ de vision. Brandier les enlaça de son bras gauche fermement et avec son autre main, tapota la chatte de la jeune femme avec son sexe. Il tira les jambes un peu vers le haut pour mieux voir, écarta les lèvres en appuyant avec sa bite et l’enfonça d’un coup de rein puissant et violent dans le trou de la jeune femme. La belle ne retint pas son cri de surprise. Il la défonça littéralement, la limant à une vitesse folle et le plus profondément qu’il le pouvait. Son ventre tapait contre les cuisses de la jeune femme en faisant des bruits secs, tandis qu’un bruit plus humide accompagnait la pénétration sauvage.

« Ça se baise comme ça, ce genre d’engin ! », fit-il à l’attention des deux techniciens qui essayaient tant bien que mal de finir leur boulot.

Son bassin allait d’arrière en avant très rapidement. La table, ainsi malmenée, faisait un bruit strident de frottement contre le carrelage et avançait au fur et à mesure. Noémie s’accrochait aux côtés du meuble, la tête posée sur le formica.

« Allez, salope, accroches-toi, je vais te démonter. Putain, t’es serrée, j’adore ça. Les mecs, quand vous aurez fini, vous pourrez vous faire sucer, c’est la maison qui régale. »

Il grogna et continua de limer la jeune asiatique. Son énorme sexe luisant entrait avec violence dans la chatte de la jeune femme qui haletait et gémissait sans retenue. On entendait dans la cuisine le bruit de la table qui frottait, le choc des deux peaux l’une contre l’autre et les cris de jouissances de la jeune philippine.

« On a fini, patron. », lança timidement Joël.

« Ben maintenant, on s’occupe de celle-là. »

Les deux hommes, excités, ne se firent pas prier et se placèrent chacun d’un côté de la table, au niveau du visage de Noémie. Ils firent tomber leur pantalon et commencèrent à se branler lentement. Brandier ne baissait pas de rythme et la jeune femme ne tarda pas à jouir fortement.

« Suce-les, salope de chinetoque. T’es bonne qu’à ça. »

Elle se jeta sur la bite la plus proche qui était celle de Patrick. Le sexe était malodorant et assez douteux au niveau de l’hygiène. Mais la jeune asiatique entreprit de le nettoyer avec sa belle langue rose, tandis qu’elle se faisait défoncer par Brandier. Elle aspira le gland, approcha la tête et avala la queue sale. Patrick, un sourire au lèvres, ferma les yeux et pencha la tête en arrière, comme pour mieux savourer cette pipe inattendue. Les deux techniciens bloquèrent avec leurs pieds la course de la table qui avançait sous l’impulsion des coups de bite de Brandier. Le bruit de frottement se fit moins fort, mais les pieds de la table, secoués, grinçaient.

Noémie pompait ardemment Patrick et branlait de l’autre main Joël, qui attendait son tour.

— « M’oublies pas, salope ! »

Noémie, totalement surexcitée, tourna sa belle tête brune, ses cheveux étalés sur le formica rouge et engouffra la bite du technicien, en branlant l’autre rapidement. Elle suçait très vite et cherchait à avaler le plus possible le membre dur. Après de longues minutes de ce traitement appliquée aux deux bites alternativement, les deux hommes commencèrent à sentir monter leur jus. Brandier avait un petit peu ralenti lui aussi et voulait cracher sur le corps de la jeune femme.

« Allez, on va tout te foutre dessus. Mes gars vont te repeindre la face. »

Il relâcha son étreinte et les jambes de la philippine redescendirent en s’écartant, de chaque côté de son baiseur. Brandier s’avança et commença à se branler vigoureusement, imités par ses deux employés. La jeune femme, à bout de souffle, ne savait plus où regarder ni qui allait jouir le premier. Ce fut Brandier, qui inonda son ventre et son soutien-gorge. Patrick l’appela et dès qu’elle eut retourner sa jolie tête, lâcha sa purée sur son visage et ses cheveux. Elle pivota tout logiquement vers Joël en ouvrant la bouche, espérant récolter un peu de semence au passage. Il visa et atteignit l’orifice qu’il remplit de son foutre.

« Oh, putain, c’était bon ! », dit Patrick.

« Ouais… », rajouta Joël.

« Du bon boulot, les gars, voilà une cliente comblée qui je suis sûr nous rappellera en cas de baisse de pression : », lança, hilare, Brandier.

Dix minutes plus tard, rhabillés et ayant fait la facture de l’intervention et pris le chèque, les trois hommes, ravis et moqueurs, repartirent enfin. Noémie se retrouva, comme l’autre soir, couverte de sperme. Plus de « trouble» ni d’excitation, elle venait de retrouver entièrement ses esprits, et s’attendait à ressentir la honte et la colère qui allaient avec. Au lieu de ça, elle se surprit à se caresser les seins, alors que les trois salauds étaient déjà loin. Elle se rendit compte que sa colère faisait place à un plaisir coupable et honteux. Elle commencerait à aimer ça ? Après sa douche, elle irait compléter ses recherches avec ces nouveaux éléments.

Le soir venu, couchée dans son lit, près d’Olivier, elle s’assoupit difficilement. Dans ses rêves, la scène se répéta dans les moindres détails. Puis une autre scène succéda soudain : la jeune femme était à genoux devant un homme, visiblement dans une boîte de nuit. Elle regardait le sexe de l’inconnu grossir entre ses mains, en souriant. La belle asiatique se réveilla brutalement, avec encore sa main entre les jambes qui caressait sa chatte. Elle se leva, et alla faire un tour dans le salon pour se changer les idées. Son portable était allumé. Elle le saisit machinalement et vit alors un message d’un numéro masqué  : « Souviens-toi ».

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