CHAPITRE 7
Je passai une merveilleuse nuit et me réveillai en pleine forme, mon organe également que je soulageai en pensant naturellement à notre rapport. Je gémis à l’orgasme en soufflant le prénom de ma cousine, versant ma semence dans un nouveau mouchoir. En sortant de ma chambre pour aller le jeter, je fus surpris par Aurore qui attendait face à ma porte.
Bonjour, cousin fit-elle avec un immense sourire.
Sans me laisser le temps de répondre, elle s’approcha, mit sa main dans ma nuque et m’embrassa.
Alors, ajouta-t-elle coquine, on repensait tout seul à notre aventure ?
Rien ne t’échappe on dirait !
Toi par contre, mon nom t’a échappé : "Aurore ! Aurore Aaah, Aurore !", plaisanta-t-elle.
Je ne répondis que par une caresse sur sa joue, allai jeter mon mouchoir usé et on descendit prendre notre petit déjeuner. En arrivant à la table sur la terrasse, surprise ! Des croissants nous attendaient. Je nous fis à Aurore et moi un chocolat dans la cuisine et nous servis ensuite.
Il est 10h20 et il fait déjà 25°C ! C’est fou ! s’étonna ma cousine en voyant le thermomètre.
Je propose un programme piscine, aujourd’hui, fis-je.
C’est une très bonne idée. Tu me l’ôtes de la bouche !
Après avoir fini le petit déj’ et l’avoir rangé dans le lave-vaisselle, nous allâmes nous changer dans nos chambres respectives, puis descendîmes ensemble dans le jardin pour se retrouver au bord du bassin, commençant à nous déshabiller. Je n’attendis pas qu’Aurore soit en tenue pour l’attraper, la porter et la lancer dans l’eau. PLOUF !
Aaaaah ! Arnaaaauuud ! rit-elle de bon cur.
Déjà torse nu et enlevant mon short à toute vitesse, je plongeai à mon tour pour glisser en face de ma cousine.
J’étais pas encore déshabillée !
C’est pas grave, ça sèchera vite ! plaisantai-je.
Elle commença à monter à la petite échelle lorsqu’elle se fit tirer dans l’eau par la cheville. J’avais le cur à beaucoup l’embêter, j’étais heureux, elle aussi, et je savais de toute façon qu’elle adorait ça.
Naturellement, on riait énormément tous les deux et ça finit rapidement en bataille de vagues, à qui s’éclabousserait le plus. Finalement, pour ne pas être trop lourd, je la laissai sortir, enlever son T-Shirt et l’étendre au soleil, tout en matant son fabuleux derrière ; un début d’érection ne se fit pas attendre.
Aurore s’assît sur le bord les pieds dans l’eau, et nous nous regardâmes en souriant tous deux. Même si je savais que c’était arrivé, j’avais du mal à me dire en la voyant que nous avions pu faire l’amour ensemble, il y avait à peu près douze heures seulement de cela.
Tu es ravissante, Aurore.
Merci, Arnaud, sourit-elle.
Je nageai vers elle avant de me mettre juste devant et commencer à lui embrasser la jambe et le genou.
Fais attention, me prévint-elle, personne ne nous voit mais ne traîne pas trop par ici.
J’avais, bien entendu, écouté cette mise en garde, mais mes baisers s’en trouvaient plus grands et j’y avais joint les mains en lui caressant le mollet de la jambe embrassée. Aurore appréciait, elle faisait des "Mmmmh" et répétait mon prénom. Soudain :
Arnaud, attention ! Grand-père ouvre la fenêtre ! me fit-elle en m’écartant de sa jambe.
Les enfants, sortez de la piscine ! Vous allez faire les courses pour le déjeuner !
D’accord, on arrive ! répondit ma cousine.
Ses vêtements étaient déjà secs et on se rhabilla après s’être séchés. Une fois dans la maison, notre grand-père nous demanda d’aller acheter de la viande à la boucherie et du charbon pour faire un barbecue et nous laissa de l’argent.
Pendant le trajet d’aller, je laissai Aurore en avant, marchant plus lentement. Elle remarqua que je n’étais plus là et se retourna :
Ben Arnaud, qu’est-ce qu’il y a ?
Estimant qu’elle avait beaucoup d’avance, je me mis à foncer vers elle comme un prédateur sur sa proie ; elle comprit le jeu et se mit à courir elle aussi pour m’échapper. Mais j’étais le plus rapide et je l’attrapai au ventre avant de nous faire tourner en l’embrassant dans le cou ; nous nous mîmes à rire comme des gamins, c’était idiot comme truc mais ça nous amusait.
Gnaarrh ! Je te tiens ! lui faisais-je.
Hahaha ! Arnaud, arrête ! rit-elle. Tu me "mangeras" ce soir, ajouta-t-elle plus sensuellement.
Échangeant un regard approbateur, nous continuâmes notre route, il ne fallait pas non plus rentrer trop tard. Nous n’étions pas encore arrivés à la boucherie que je passai ma main à l’intérieur du poignet d’Aurore et, dans le mouvement, entrelaçai mes doigts avec les siens ; sa réponse fut de les fermer dessus, unissant nos deux mains.
La viande fut achetée et cuite sur le grill de la maison, ma cousine m’aidant à la tâche ; le déjeuner se passa sans souci, à une table installée dehors à l’ombre d’un arbre, nous parlions et plaisantions facilement Aurore et moi. Je sentis tout à coup quelque chose me caresser le pied ; en la regardant et voyant ses yeux brillants, je compris que c’était bel et bien ma cousine qui me faisait passer un message invisible sous la table et, sans que ça ne se voie, j’enlevai une de mes chaussures pour faire à mon tour du pied à la jeune fille, lui faisant comprendre que moi aussi, "j’avais envie". Ce que nous adorions dans cette complicité, c’était que nos grands-parents ne savaient rien de ce qui s’était passé entre nous, et donc ce qui nous avait rendus encore plus proches. Ils étaient simplement heureux de voir que deux de leurs petits-enfants s’entendaient à merveille. Ah ! Si vous saviez à quel point !
Nous retournâmes à la piscine une fois la table débarrassée et Aurore s’allongea sur une serviette dans l’herbe, son cahier de vacances tout près. Elle se mit de la crème solaire devant, puis se mit sur le ventre.
Cousin, tu peux me mettre de la crème dans le dos s’il te plaît ?
Je la mis sur sa peau et commençai à l’étaler. D’abord le dos, puis la nuque, les omoplates, les épaules… Je lui proposai de défaire la ficelle de son haut de maillot pour bien lui mettre de la crème, et elle accepta à condition que je refasse le nud après. Quand son dos fut fini, Aurore me demanda, avec un peu plus de coquinerie cette fois, de lui faire les jambes. L’étalage de la crème solaire devenait de plus en plus sensuel, et ce n’était pas uniquement par ma volonté !
En jetant un petit coup d’il rapide à la fenêtre et n’y voyant personne, je déposai furtivement un baiser sur les fesses de ma cousine.
Qu’est-ce que tu fais ?? fit-elle presque inquiète.
Je profite que personne ne nous voie.
Évite ça s’il te plaît, les bisous à ce genre d’endroit. En une seule seconde tout peut basculer. Quand on est tous seuls oui, mais pas là, c’est trop dangereux.
D’accord. Est-ce que ici c’est mieux ? demandai-je en lui baisant le bas de la nuque.
Oui, c’est mieux.
Je la laissai travailler tranquillement en même temps de prendre le soleil en me mettant dans l’eau pour faire quelques longueurs et des tours de bassin. Après un certain temps que je ne pus compter, je sortis de la piscine. Aurore était toujours concentrée et afin de la titiller un peu, je pris de l’eau dans le creux de ma main que je fis dégouliner au niveau de ses reins.
Aaaah ! Arnaud, arrête ! rit-elle.
Je posai ma main mouillée entre ses omoplates, sa peau était chaude de soleil et la différence de température se fit surtout sentir pour elle. Je me séchai vite fait le corps avant de m’allonger sur ma serviette.
Cousinette, est-ce que à ton tour tu peux me mettre de la crème ?
Elle boucha son stylo, prit le tube et me tartina le dos, les épaules et les jambes. Le contact de ses mains était très agréable, et je trouvai qu’elle avait fini beaucoup trop vite à mon goût. Un bon quart d’heure après cela, Aurore ferma son cahier de devoirs et posa sa tête sur ses mains en me regardant dans les yeux, l’air rêveur derrière ses grandes lunettes de soleil. Soudain, j’eus une idée : retournant dans ma chambre, j’y pris mon téléphone et allai rejoindre Aurore qui n’avait pas bougé. Je m’allongeai à ma place.
Sourire !
Elle sourit en regardant mon téléphone qui l’immortalisa en un "clic" sonore. Aurore, aimant beaucoup les photos, s’amusa à enlever ses lunettes pour prendre différentes poses faciales, et même d’autres postures de corps, de plus en plus pin-up, tout en vérifiant que les adultes ne nous voyaient pas.
Tu pourras les mettre sur Facebook si tu veux, mais pas les dernières, me fit-elle. Celles-là, elles sont juste pour toi si tu veux te masturber.
Cet ajout se vit accompagné d’un beau clin d’il ; ma cousine était loin d’être dupe et savait, de toute manière, qu’elle était et restera longtemps l’objet de mes fantasmes. Je pouvais même ressentir une certaine fierté, un amusement et une auto-flatterie dans ces mots. Oui Aurore, promis, je me masturberai avec tes photos.
Nous retournâmes ensuite dans l’eau pour nous rafraîchir et y restâmes quelques temps ou sur le bord à discuter, rire, jouer, puis on décida de rentrer pour le goûter. Après cela, je proposai de nouveau un film à Aurore dans ma chambre et la fis asseoir sur mes genoux en joignant mes mains sur son ventre pour la câliner.
Hé Arnaud Tu serais pas en train de bander, là ? me demanda-t-elle amusée.
En effet, avoir ma cousine sur mes genoux avait fini par me donner une érection qui toucha une de ses fesses. Je répondis que oui, j’étais bien en train de bander en lui avouant la raison ; elle regarda sa montre et me fit doucement :
C’est bientôt l’heure du dîner. Après.
Aurore avait vu juste : dix minutes après, ma grand-mère nous appela pour mettre la table. On dîna convenablement, on débarrassa, Aurore et moi remplîmes le lave-vaisselle et remontâmes dans nos chambres après avoir souhaité une bonne nuit à nos grands-parents. Alors qu’on était dans le couloir de notre étage
Viens, cousin !
Je la suivis immédiatement dans sa chambre où après avoir fermé la porte, on commença des préliminaires debout. Entre deux baisers, Aurore parla :
On va être tranquilles les grands-parents mmmh ont dit qu’ils allaient voir un film à la télé.
Je la désirais comme un dingue, et elle aussi. Par rapport à hier soir, nos caresses étaient plus fortes, plus rapides, et on n’hésitait pas à se toucher les parties intimes ; j’avais déjà mis mes mains sous son T-Shirt pour aller caresser ses seins gonflés d’excitation alors qu’elle m’avait déjà déboutonné pour me prendre le "fusil armé", si je puis dire. Nos bouches s’écrasèrent l’une contre l’autre en se léchant goulûment les langues.
On se déshabilla très vite, intégralement. Et étrangement, le fait d’être nus nous ramena à un rythme plus sensuel, plus délicat. Aurore avait tenu à ce que nous fassions un 69 que j’acceptai avec un grand sourire. Je lui caressais et lui léchai tendrement le sexe qui s’ouvrait doucement mais sûrement, tandis qu’elle était en train de me sucer en ventouse les testicules en me masturbant sans précipitation, avant d’insérer finalement mon sexe dans sa bouche. Concentré sur ce que j’étais en train de faire à son clitoris, je ressentais un peu moins de plaisir qu’à la première, ce qui me permit d’en profiter un peu plus, ainsi qu’elle.
Alors qu’elle continuait de se délecter de mon membre, sa vulve de plus en plus détendue m’ouvrit le chemin vers son orifice encore un peu fermé ; je fis tomber de la salive dans cette entrée et me suçai le doigt avant de l’introduire. Son sexe était tout chaud et très humide, et entendant qu’Aurore éprouvait du plaisir je ne tardai pas à y insérer un deuxième doigt : elle se mit à gémir un peu plus fort, toujours mon sexe en bouche.
On se dégagea pour commencer l’amour. Ma cousine souhaita m’enfiler elle-même le préservatif, ce qu’elle fit avec beaucoup d’adresse et qui m’excita certainement, sentant le bout de ses doigts me toucher. Elle me suça de nouveau avec beaucoup, beaucoup de salive.
À mon tour d’avoir ma position préférée au début ! fit-elle en se mettant en levrette.
J’humidifiai encore un petit peu sa jolie fleur avant de la prendre par les hanches et de m’introduire en elle. À l’entrée, Aurore fit un "Aahhh" de satisfaction et moi un "Mmmh". S’en suivit alors un tendre va-et-vient qui me donnait envie de grimper aux rideaux ! Je caressai avec énergie ses deux fesses fermes, ses reins, et me penchai une nouvelle fois contre elle. Elle laissait son plaisir s’exprimer tout comme moi, ce qui nous excitait encore plus.
On resta environ 5 à 8 minutes en levrette lorsque je me sentis au bord de l’explosion : je sortis de son vagin pour l’éviter et nous nous allongeâmes sur le côté l’un en face de l’autre pour nous embrasser et nous caresser. Aurore se mit ensuite dos à moi et, mon érection de nouveau gérée, je la pénétrai en petites cuillères, mes mains attrapant ses seins.
Aaaah, j’adore la douceur Aucun ne m’avait fait l’amour comme ça, cousin Continue.
Je l’assaillais de baisers dans ses cheveux lisses et brillants. Ils sentaient si bon ! Ma main quitta son sein pour aller jouer dans sa chevelure digne du plus soyeux chocolat. Mon bassin continuait ses mouvements réguliers, je contractais mon pénis le plus possible pour apporter autant de plaisir que possible à ma cousine et je posai même ma main sur son pubis : la différence était clairement perceptible lorsque mon sexe entrait et sortait du sien, et ça m’excitait toujours plus.
On se remit à quatre pattes, mais cette fois c’était Aurore qui bougeait et moi qui restais immobile. Elle avait accéléré la cadence en tapant ses fesses contre moi, puis je la pris par les hanches et la maintins, mon engin tout entier dans son corps.
Tu as éjaculé ?
Non, pas encore. J’ai juste envie de rester un peu en toi.
Elle profita de cet arrêt pour m’effleurer du bout des doigts les testicules, ce qui me procura plus de plaisir que de chatouilles. Je repris quelques mouvements pour durcir mon pénis qui avait commencé à légèrement ramollir, puis on changea une nouvelle fois de position pour se mettre en union du papillon. Je tenais mon sexe à sa base en le penchant un peu en avant, Aurore maintenait le sien ouvert avec l’une de ses mains et commença à enrober mon engin. Immobile, elle se stabilisa en tendant ses bras légèrement en arrière et commença à bouger dans la diagonale. J’avais une vue parfaite de nos parties génitales partagées et je me délectai de ce spectacle en caressant la cuisse de ma cousine. Parfois, je regardai le reste de son corps et ses yeux, dans un grand sourire.
Tu aimes ? me demanda-t-elle sans s’arrêter.
Oh oui, continue mon Aurore.
Elle ne cessa pas de bouger son bassin en veillant à ne pas exprimer son plaisir trop fort. De temps en temps c’était moi qui étais pris par l’envie de remuer, pour laisser ma cousine se reposer un peu. On resta un peu dans cette position avant de finir en missionnaire. On commençait à bouger beaucoup, le lit faisait un petit grincement de temps en temps ; Aurore avait du mal à contenir sa joie et j’étais obligé de mettre ma main sur sa bouche.
À force de faire l’amour, le plaisir atteint son paroxysme et j’éjaculai, toujours grâce à son vagin. Nous nous baisâmes et nous caressâmes avant que je ne retire le préservatif, puis après une dizaine de minutes on entendit nos grands-parents aller dans leur chambre. Je quittai donc celle d’Aurore dans un dernier baiser et m’endormis sous mes draps.