Chapitre 6 : post-sexe
Excitée par tes cris de jouissance, la brésilienne semble avoir eu un deuxième orgasme, mais on n’a rien remarqué tellement on était concentré.
On reste au moins trente minutes sur le lit, complètement post-sexe. Je prends une serviette et j’essuie doucement ton corps au complet. Je prends la même serviette pour me laver un peu.
Sans m’en rendre compte, je mélange l’odeur de ton sexe avec celui de ma testostérone.
Dans un autre contexte, on aurait probablement terminé la soirée comme ça. En moins de cinq minutes, tu te serais endormi contre moi. Mais les circonstances sont bien différentes.
Juste à côté de nous, il y a trois corps enlacés qui exsudent la sensualité. Plusieurs invités passent aussi dans la chambre et nous regardent avec intérêt. Certains hésitent à grimper sur le lit.
Un couple en profite même pour s’arrêter devant nous. Il s’agit d’une petite dominatrice au trait asiatique et un barbu particulièrement musclé. Le contraste entre les deux est assez frappant. Elle ne doit pas mesurer plus de cinq pieds, et ça, c’est en incluant ses talons aiguilles. Lui mesure au moins six pieds avec la carrure d’un haltérophile.
Sa petite taille ne l’empêche pas d’avoir un contrôle total sur son esclave. Elle le guide à l’aide d’une laisse attachée à sa verge. Ses mains sont aussi attachées dans son dos à l’aide de menottes.
Elle tire sur la laisse attachée très serrée et se positionne devant nous. D’une main, elle garde une pression sur la laisse. De l’autre main, elle saisit sa grosse queue avec fermeté. Elle commence des va-et-vient sans jamais faire de pause. Tous les deux nous regardent.
Elle est clairement une experte de la branlette : son partenaire commence à grogner et à gémir.
On voit ses couilles prêtes à exploser. Son sexe s’orne d’une goutte de sperme, puis d’une deuxième goutte. La petite dominatrice continue de masturber son colosse.
Ils sont à seulement deux pieds de nous et son sexe est braqué sur nous. C’est tellement proche que lorsqu’il viendra, on risque d’être couvert de sperme! On a un mélange d’appréhension, mais aussi d’excitation.
À la dernière minute, elle arrête complètement de le masturber, mais elle maintient sa poigne ferme sur son sexe. Désespéré, il tente de bouger ses hanches. Il est tellement près de l’orgasme.
Elle tire violemment sur la laisse et son pénis vire écarlate pendant une seconde. Ce n’est pas suffisant : il continue de bouger son bassin. Elle lâche sa verge et lui donne une claque rapide sur ses couilles. La fessée résonne dans la pièce et il laisse échapper un cri de douleur.
Il arrête finalement de bouger. Il tente de contrôler sa respiration pour se calmer un peu. La petite dominatrice part à rire, tire doucement sur la laisse et le guide vers une autre pièce.
On se lève par la suite et on continue notre exploration du Manoir.
Chapitre 7 : chandelles et fessée
Dans la pièce suivante, l’éclairage vient exclusivement de chandelles. Il y a au moins une trentaine de bougies allumées. Certaines sont montées sur de longs chandeliers. D’autres, à la base plutôt large, sont déposées directement sur les mobiliers.
Deux femmes dominent la scène. La première est une jolie brunette avec les cheveux courts. La deuxième est une femme à la peau noire avec un masque blanc. Toutes les deux portent un gode ceinture : un godemichet mauve pour la première et un gros gode noir pour la seconde.
Un homme avec les cheveux aux épaules fait face contre un mur. Ses deux mains sont appuyées sur le mur, ce qui fait ressortir ses fesses particulièrement musclés.
Il a un bâillon-boule dans la bouche. On a l’impression que le harnais de son bâillon est intégré à son masque de cuir.
À notre arrivée, l’homme reçoit la fessée avec force. À chaque coup, on entend un cri étouffé par son bâillon. On devine que le trio est occupé à leurs jeux sexuels depuis un certain temps : il y a plusieurs traces de cire dans son dos et il y a quelques marques vives sur ses fesses.
Après une dizaine de coups, la dominatrice cesse la fessée.
La fille noire s’approche de lui et lui rentre deux doigts bien lubrifiés dans les fesses. On entend un autre cri étouffé, mais celui-ci semble être de la jouissance plus que de la douleur. Elle le pénètre tranquillement pendant au moins une minute. L’autre dominatrice semble plutôt amusée.
Finalement, elle rentre un troisième doigt. Il ne semble pas y avoir beaucoup de résistance et elle recommence à masturber sa prostate avec plus de vigueur.
La brunette saisit une des longues chandelles. Face contre le mur, l’homme ne la voit pas s’approcher de son dos.
La jolie noire rajoute un quatrième doigt. L’homme écarte un peu plus ses jambes, il semble en redemander.
De son autre main, elle lui saisit les couilles et continue les mouvements de va-et-vient dans son cul.
Sans préavis, la brunette laisse tomber la cire chaude sur son dos. Il sursaute, grogne au travers de son bâillon. Les traînées de cire descendent sur chaque côté des fesses. Ses cris semblent juste encourager les dominatrices à continuer.
Tu devines que la scène m’excite particulièrement. Tu m’ordonnes de m’installer sur un divan, presque à quatre pattes. Je m’exécute rapidement. J’espère que tu as finalement décidé de me donner mon premier orgasme.
Je m’attends à recevoir une fessée ou bien à sentir de la cire coulée dans mon dos. Tu optes pour une autre tactique.
Ta main glisse entre mes fesses, me caresse doucement. Tes doigts explorent ma peau, puis trouvent la base du plug anal. Tu commences tranquillement à jouer avec.
Mon excitation est à son comble. À ce moment précis, tu pourrais me défoncer les fesses avec vigueur et mon cul ne t’offrirai aucune résistance. Mais tu le sais très bien, donc tu choisis l’option plus cruelle de continuer à me stimuler le plus lentement possible.
Des fois, tu tournes le plug anal un peu à gauche ou à droite. D’autres fois tu le saisis, tu le retires doucement, puis tu le réinsères. Tu sens mes fesses se contractées, puis se relâchées. Ton autre main glisse sur mon sexe. Ma queue est dure, mon gland est mouillé.
En face de nous, les dominatrices ont changé de jeu. La femme noire a arrêté de lui pénétrer les fesses. À la place, elle lui installe une paire de pinces à mamelons qui semblent particulièrement serrés. Puis elle recommence la fessée avec un petit fouet.
On remarque qu’elles ont en fait un assortiment d’objets à leur disposition. Il semble y avoir au moins deux ou trois fouets différents. Il y a aussi quelques plugs anaux de grosseurs différentes, des godes colorés, ainsi qu’un string de billes anales. Les plus petites billes semblent être un pouce de diamètre, tandis que les plus grosses billes font presque deux pouces de diamètre. Les billes sont déjà enduites de lubrifiant.
La brunette saisit les billes anales et commencent tranquillement à les insérer. Encore une fois, il ne semble pas y avoir de résistance.
À quelques occasions, l’une des dominatrices va lui saisir la queue et le masturber pendant quelques secondes. Ça semble être plus des préliminaires qu’autre chose.
L’une des dominatrices s’approche et lui murmure quelque chose à l’oreille. En même temps, elle saisit son gode ceinture et commence lentement à se masturber comme si c’était une vraie queue. On n’a aucune misère à deviner ce qu’elle lui a dit.
Tu continues à jouer avec le plug dans mes fesses. Tu modifies un peu ta technique de masturbation et je courbe le dos tellement c’est bon. Tu accélères le rythme. Mon cul se fait défoncer par le plug et je sens la pression directement sur ma prostate.
Je ne porte plus vraiment attention à ce qui se passe autour tellement la sensation est intense. Tu commences à coordonner les mouvements de masturbation avec les mouvements du plug.
Je respire vite, tu sens que je fonds entre tes doigts.
Tu te penches et me murmures à l’oreille : "Allez pervers, tu peux venir. Ça ne m’empêchera pas de t’enculer tantôt."
J’explose à ce moment. En quelques secondes, le divan de cuir noir est recouvert de ma semence blanche.