Je finissais à peine de me garer sur le parking du boulot que mon portable se mit à sonner. Chloé ? Que peut-elle bien me vouloir ? Chloé, c’est ma belle-sur. Elle ne mappelle quasiment jamais directement et passe en général par sa sur lorsqu’elle a un souci technique chez elle. Et ça me va très bien. Chloé c’est le genre de gonzesse casse-couilles à souhait, ni moche ni belle, plutôt plate avec un visage quelconque mais surtout un sacré caractère de merde. Autant vous dire que je préférais avoir son mec au téléphone mais après cinq ans de douleur et un gosse, il a pris conscience que la vie était trop courte pour endurer ça. Jamais compris qu’il reste aussi longtemps. A moins que ce soit une vraie chaudasse au lit ce dont je doute fortement. Bref, je décroche en faisant la moue… Elle est en formation dans le coin… Demande si on peut manger ensemble… Elle a une question pour moi et une surprise pour sa sur donc silence radio… Je lui dis OK et on convient de se donner rendez-vous au resto de son hôtel qui est à côté du boulot.
La matinée passe et arrive l’heure du déjeuner. Elle est déjà là quand j’arrive. Après les salutations d’usage on s’installe et parle de tout et de rien. J’apprends que c’est la semaine où elle ne garde pas sa fille, que c’est toujours tendu entre elle et son ex, qu’il a retrouvé une petite jeune. S’inquiète de nous, bref le temps passe et pas trace d’une question ou surprise… Je profite qu’elle est la bouche pleine de sa pizza (oui parce qu’elle mange comme quatre et reste super mince au grand désespoir de ma femme qui a moins de chance mais plus de forme, ce que je préfère largement), pour l’interroger un peu. C’est quoi cette formation ? Psychologie… Formation personnelle de trois jours, plutôt genre mise en pratique… je ne comprends pas grand-chose mais bon je m’en fous donc j’évite de creuser le sujet. Et sinon c’est quoi la question et surprise ? Elle m’invite à finir de manger pour en parler après… Que de mystère. L’avantage c’est que je pourrais écourter en prétextant le boulot si elle me gave trop… Donc on finit de manger tranquillement et presque silencieusement.
Je la sens un peu tendue, perdue dans ses pensées… Vraiment pas nette cette gonzesse mais bon c’est la famille ! On commande les desserts et elle se lance. En fait elle n’est pas vraiment en formation. Plutôt en vacances. Elle était là ce matin et m’a vu arrivé à mon boulot. Elle m’explique que depuis sa séparation elle est obsédée par moi, que c’est moche et malsain mais elle ne peut s’en empêcher. Elle a vu plusieurs psys qui n’ont pas pu faire grand-chose et ça la rend malade. Y en a même un qui lui aurait conseillé de devenir ma maîtresse, assouvir ses fantasmes pour s’en détacher et sortir de ce cycle mortifère. Elle se penche et murmure : "pour tout te dire je me masturbe cinq fois par jour minimum en pensant à toi… Et cette idée folle, à force de tourner dans ma tête est passée du stade d’idée folle à immorale puis dernier ressort pour devenir… la seule. Voilà pourquoi je suis là. Chambre 125. Voici le doublon de carte. S’il te plaît, prends-la et prends le temps d’y réfléchir".
Je reste là sans voix, hésitant entre une blague ou un piège. Ce que je lui dis. Elle m’assure qu’il ne s’agit ni de l’un ni de l’autre et qu’elle fera tout ce que je lui demande pour s’en assurer si je veux. Et que quoi quil en soit elle a beaucoup plus à perdre que moi car si ça se sait, elle n’aura plus de famille. Je lui propose de l’enregistrer me refaire le même discours sur le chemin du retour à mon boulot et que j’y réfléchirais alors. Elle accepte. Elle insiste pour payer l’addition et au moment de partir je l’invite à aller aux toilettes et de me ramener sa culotte. Elle semble choquée mais s’exécute. Elle revient, on sort et elle me la donne en s’excusant qu’elle soit mouillée, elle n’a pas pu s’empêcher… Je la porte discrètement à mon nez, comme un mouchoir et respire un grand coup. Ca promet… Et si finalement on allait faire cet enregistrement dans sa chambre me propose-t-elle. Comme ça, je pourrais faire une vidéo compromettante en prime me dit-elle. Dans l’ascenseur elle s’enregistre sur mon téléphone me proposant des choses de plus en plus salaces en me regardant droit dans les yeux.
A peine rentrer dans sa chambre elle tombe à genoux et m’arrache mon pantalon. En effet elle semble sacrément en manque et volontaire. Je retiens un peu ses ardeurs, histoire de la faire languir. Je joue à la caresser avec mon membre que je n’ai pas vu aussi tendu depuis longtemps. Lui donner des petites baffes, glisser sur ses lèvres, le contour de son visage. Je l’allonge sur le lit et la déshabille intégralement. Je veux la goûter, on va faire un 69. Et de me sucer comme une déesse avec un plaisir visible et non dissimulé. J’abdique à la faire jouir tant sa caresse buccale est voluptueuse et me pompe mon énergie. Je jouis abondamment dans sa bouche, ce qu’elle ne semble pas trop apprécier mais s’y résigne pour mon plus grand plaisir. A charge de revanche. Je sens que demain je vais avoir un appel de l’école de mon fils au boulot, m’indiquant qu’il est malade et que je dois rentrer m’en occuper toute la journée moi. Et j’ai hâte…
