Résumé : Les parents sont partis pour deux semaines, laissant ma s?ur et moi seuls… Premier réflexe : inviter des amis.

Après quelques suggestions classiques, je suggère de jouer à une de mes nouvelles concepteurs triviale : le strip-? roche papier ciseau ?. Je vous épargne les détail du jeu complexe, celui-ci pouvant se jouer autant seul (devant un miroir) ou en groupe. Ils acceptent tous en rigolant, étant tous passablement éméchés. Marie à l’honneur de perde la première, elle décide avec témérité et audace de retirer son gilet plutôt moulant. Elle se dégage donc, avec grâce, de la pièce de vêtement gênante, découvrante son jolie ventre plat et un nombril. Ce nombril, à mon grand étonnement était percé d’un anneau. Je regarde ma s?ur qui me lance un sourire moqueur. Elle est donc la première à montrer ses sous-vêtement, un soutient gorge blanc moulant ses seins à merveille. Les yeux de mes amis sont rivés sur ceux-ci. Nous continuions ainsi le jeu jusqu’à ce que tous soi en sous-vêtement. Moi, Jean et Dominic (surnommé tumescence) ont peine à cacher nos érections respectives. D’ailleurs, le cercle de jeu s’étant rapproché, des frôlements non réglementaires se produisent. À ce moment, le jeu s’interrompt, le temps est suspendu quelques secondes, des regards en rencontrent d’autres.

Camille et moi sommes un à côté de l’autre. Un imperceptible mouvement nous rapproche alors que déjà, la main de Jean se pose sur les haches de ma s?ur. Les corps de Camille et moi se frappent, elle appuit sa poitrine sur la mienne, les yeux soudés au mien. Je pose doucement les mains sur la taille de celle-ci, au même moment, nos lèvres se joignent, d’abord doucement, puis rapidement nos bouchent s’ouvrent, je laisse glisser ma langue entre ses lèvres. Elle en fait autant. Mes mains remontent le long de son dos, hésite une fraction de seconde à son soutient gorge puis continue vers sa tignasse blonde. Notre baiser se poursuit alors que Jean et Dominic ont quitté la pièce, nous laissant seul Camille et moi. Alors que je lui quelques baisers dans le cou, mes mains s’affaire à dégrafer son corsage. Elle se défait agilement du soutien-gorge, révélant sa poitrine magnifique, des seins généreux, couronnés de mamelons rose très érigés. Je lui caresse la base des seins alors que je me penche pour mettre ma langue en contact avec sa peau douce. Elle frémit pendant que ma longue se rapproche de ses mamelons gonflés d’excitation. Je mordille enfin à tour de rôle les petits fruits auréolant ses seins.

Elle décide alors de me faire découvrir les parties inférieure de son anatomie, ce qui n’est pas sans me réjouir. La main droite appuyée sur ma nuque, elle me guide vers l’élastique de sa culotte. J’attarde ma langue dans la région du nombril, pendant que mes mains massent doucement les fesses fermes de Camille Elle semble apprécier mes attentions et sans prévenir, elle fait glisser sa petite culotte, exposant à mes yeux ravis sa toison châtain aux reflets blonds. Mes doigt se glissent sporadiquement entre ses fesses, frôlant ses lèvres humides.

Elle s’assoit, pour me donner un meilleur accès à son centre de plaisir. Ma langue se fraie un chemin à travers son poil. Son corps entier est parcouru d’un frisson lorsque ma langue entre en contact avec ses lèvres légèrement entrouvertes. Elle écartent les cuisses pour faciliter l’enter de ma langue. Je glisse celle-ci entre les lèvres chaudes et humectées de Camille. À l’aide de mes doigts, je dégage le clitoris de son refuge devenu trop étroit. Je concentre mes effort sur cet endroit précis, faisant claquer ma langue sur son bouton érigé. Camille commence à respirer de manière plus irrégulièrement, elle pousse d’une main ma tête entre ses jambes et de l’autre se caresse les seins avec frénésie. Alors que ma langue excite toujours son clitoris, je décide de glisser un doigt dans sa fente, histoire d’explorer plus en profondeur. Je fait d’abord des petits cercles, palpant les parois de mon index. À l’intromission de ce doigt, Camille pousse un petit cri étouffé, entre deux halètements saccadés. Ensuite, je commence un mouvement de va-et-vient, invitant mon majeur à joindre la traversée. Ce deuxième doigt se glissent plus difficilement, malgré la lubrification abondante. Camille pousse un deuxième, celui-là moins contenu. La langue fatiguée, je remonte suçoter les mamelons de la jeune dame, continuant mon manège digital. Elle se redresse légèrement pour m’embrasser avec une fougue sans retenu. Je sens sa respiration augmenter. Elle me fait ensuite pivoter afin que mon boxer tendu au maximum se retrouve devant son visage. Je poursuit mon va-et-vient, plus rapidement encore, dans cette position nettement plus équitable pour nous deux. Elle baisse mon caleçon, et se recouche sur le dos, afin d’avoir mes testicules à porter de bouche. Ma langue étant reposé (il faut tout de même éviter les crampes), je repositionne celle-ci sur son clitoris. Elle accueille ce retour d’un râle aigu. Elle lèches mes bourses un moment puis, glisse lentement la langue sur mon pénis prêt à exploser. Sa langue s’enroule sur ma tige, atteignant bientôt mon gland. Elle embouche alors ma verge en entière, prouvant hors de tout doute son expérience dans le domaine. Mon ardeur augmente, sentant cette divine présence sur mon pénis. Elle fait aller sa bouche de plus en plus vite, je me sens sur le bord d’un orgasme. Je décide d’insérer un troisième et ultime doigt, pour la mener elle aussi au plaisir ultime. La bouche occupée, je ne peux la prévenir de mon arrivée imminente. Alors, sa respiration, jusqu’alors très rapide, s’arrête un temps, ses muscles se contractent, ses cuisses viennent enserrer ma tête comme un étau. Elle lance alors un cri, dégageant ma verge de sa bouche. Je profite de son orgasme pour lancer le mien. Une saccade de spermes lui éclabousse le menton alors que son miel chaud s’écoule le long de mes lèvres. Nous soupirons au même moment, alors que je m’allonge près d’elle pour l’embrasser pendant que la chaleur lui consume encore l’intérieur. Elle accueil ma bouche avec candeur, celle étonnante qui l’avait quitté vingt minutes plus tôt.

On s’est rhabillé en vitesse, elle s’est essuyée du mieux qu’elle a pu. C’est alors que Marie descend l’escalier avec à son bras de chaque côté, Jean et Dominic, l’air imbéciles heureux.

Asperge51

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